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Évaluation pragmatique de la quétiapine dans la dépression résistante aux antidépresseurs et efficacité de la buspirone dans la dépression anxieuse

Tourjman, Smadar Valérie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Évaluation pragmatique de la quétiapine dans la dépression résistante aux antidépresseurs et efficacité de la buspirone dans la dépression anxieuse

Tourjman, Smadar Valérie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La dépression associée au deuil et la dépression atypique chez la population âgée du Québec

Jozwiak, Natalia January 2013 (has links)
La dépression est un trouble fréquent chez les personnes âgées, ayant une prévalence annuelle entre 1%-6%. La dépression est souvent associée à des événements stressants et peut se manifester à travers différents symptômes. Le deuil est un second phénomène commun chez les aînés, et il est parmi les stresseurs les plus associés à la dépression majeure. Cependant, dans le DSM-IV, le deuil est un critère d'exclusion pour le diagnostic de dépression, pour des questions de validité. L'objectif de ma recherche était d'observer s'il existe une distinction entre la dépression majeure et mineure (MD), et la dépression liée au deuil, ainsi qu'entre la dépression et la dépression atypique, chez les personnes âgées du Québec. Les objectifs secondaires de cette recherche sont d'observer s'il existe des différences entre les symptômes de la dépression liée au deuil et la MD ainsi qu'entre la dépression atypique et la MD, et de documenter les facteurs associés à la dépression associée à ces deux désordres. Les données utilisées proviennent de l'Enquête sur la Santé des Aînés (ESA), qui consiste en une entrevue à deux temps de mesure à un an d'intervalle. Les données de l'enquête ESA ont été jumelées aux données administratives de la Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ). Pour tester notre hypothèse, une analyse de classe latente (LCA) exploratoire, avec des indicateurs binaires de classes latentes, a été réalisée avec Mplus 5.21. Une régression logistique multivariée a été utilisée afin de déterminer les associations entre les groupes établis par le LCA, et les facteurs et les conséquences étudiés. Dans notre échantillon, la prévalence de la dépression associée au deuil chez les aînés est de 39%. Les individus avec une dépression liée au deuil ont une plus faible probabilité de rapporter des symptômes dépressifs que les individus avec une dépression, mais les symptômes sont aussi persistants que chez les individus avec une dépression. Les principaux facteurs de risque associés à la dépression liée au deuil sont le statut de veuf et une faible scolarité. Les individus avec une dépression liée au deuil utilisent moins les services médicaux et reçoivent moins de prescriptions d'antidépresseur, comparativement aux individus avec une dépression majeure ou mineure. Nos résultats suggèrent que les individus avec une dépression liée au deuil ne doivent pas être exclus d'un diagnostic selon le DSM-IV. La dépression atypique n'est pas un sous-type distinct de la dépression, sur une base symptomatologique, ni sur les caractéristiques médicales associées.
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Prise en compte de l’adaptation locale et de la dépression hybride en biologie de la conservation : exemple de Biscutella neustriaca, endémique de Haute Normandie / Taking into account local adaptation and outbreeding depression in conservation biology : the example of Biscutella neustriaca, an endemic plant species from Haute Normandie

Courquin, Betty 10 December 2012 (has links)
Pour éviter la disparition d'une espèce menacée, l'augmentation des effectifs par transfert d'individus d’une population source à la population cible (renforcement) et la création de populations nouvelles (réintroduction), constituent des instruments clés des stratégies de conservation. Cependant le transfert d’individus dans un contexte d’adaptation locale peut aboutir à une mal-adaptation des individus transférés dans leur environnement d’introduction. Par ailleurs les descendants des croisements entre individus natifs et individus transplantés peuvent présenter une valeur sélective réduite consécutive à la dépression hybride. Intégrer les notions d’adaptation locale et de dépression hybride en biologie de la conservation suscite de nombreuses interrogations, quant à la mise en évidence des adaptations locales, les mesures de distances entre populations, le choix des populations cibles dans un protocole de renforcement ou de réintroduction. La présente thèse s’inscrit dans un projet de conservation d’une espèce micro-endémique menacée, la Biscutelle de Neustrie. Elle s’attache à prendre en compte l’adaptation locale et ses conséquences dans les protocoles de renforcement de l’espèce. Cette thèse comporte trois volets : (1) l’étude de la dépression hybride en lien avec la distribution géographique de l’espèce, en conditions environnementales contrôlées et en sites d’introductions (2) l’étude de la différenciation écologique des populations en termes d’habitats et de traits d’histoire de vie ainsi que le patron d’adaptation locale des plantes à leur environnement naturel (3) la comparaison de deux stratégies conservatrices de renforcement : l’auto- et l’allo-renforcement. La synthèse de ces trois volets a permis d’élaborer un protocole de conservation pour l’espèce et plus largement d’identifier les paramètres à intégrer pour réussir un transfert d’individus chez les espèces menacées ou d’en comprendre les échecs. / In conservation management of threatened populations or species, reintroduction and reinforcement procedures constitute essential tools. However, transplanted individuals may either establish in the introduction site or be poorly adapted to it. Moreover outcrosses may either increase or decrease outbred progeny fitness, by heterosis or outbreeding depression respectively. In this context, understanding the pattern of genetic and adaptive differentiation between populations is essential for the elaboration of conservation strategies. The objective of the present study is to apply this proposition in the context of the conservation program of Biscutella neustriaca, a declining species. First, we investigated progeny fitness from crosses between populations at distinct geographic scales. Second, we examined ecological differences between habitats, genetic differences in life-history traits between populations and the pattern of local adaptation in greenhouse and in introduction sites. Third, we compared the efficiency of two conservative reinforcement strategies. Finally after a synthesis of these three parts we developed a protocol for the conservation of B. neustriaca and more widely we identified the parameters to include for a successful transfer of individuals in threatened species or for a better understanding of failed attempts.
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Du domicile à l'institution : évaluation du stress et du soutien par les conjoints et les enfants accompagnant un proche atteint de maladie d'Alzheimer / From home to institution : appraisal of stress and support among spouses and children of older adults with Dementia

Kerhervé, Hélène 09 April 2010 (has links)
Introduction: Comment les aidants familiaux selon qu’ils soient conjoint ou enfant et que leur proche atteint de maladie d’Alzheimer habite à domicile ou en institution, perçoivent-ils le stress qu’ils vivent et le soutien qu’ils reçoivent ? Quels aspects négatifs mais aussi positifs de la relation d’aide sont susceptibles d’influencer leur santé psychique ? L’étude des effets respectifs des dimensions du fardeau et du sentiment de compétence sur la santé psychique des aidants apporte des éléments de réponse.Méthode: 264 aidants familiaux remplissent des questionnaires d’auto-évaluation du soutien social perçu (SSQ-6), de la dépression (BDI‑2), de l’anxiété (STAI), de l’hostilité (STAXI-2) et de la satisfaction de vie (SWLS). Une analyse en composantes principales des échelles de fardeau Zarit (BI) et du sentiment de compétence (SCQ) est effectuée. Un modèle d’équations structurales est testé simultanément dans quatre groupes d’aidants : statut (enfants vs conjoints) x contexte (domicile vs institution). Résultats: L’aide fournie par les conjoints et les enfants a des effets indirects multiples sur leur santé psychique via les composantes du stress perçu : la détérioration de leur vie personnelle, leur culpabilité et leur satisfaction vis-à-vis de sa compétence. Le statut et le contexte ont un effet modérateur sur le poids de ces relations. Chez les conjoints aidants à domicile le soutien social perçu n’a pas d’effet protecteur de la santé psychique.Conclusions: Dans le cadre du modèle transactionnel du stress, cette étude pointe le rôle de l’évaluation que fait les aidants de leurs difficultés et du soutien. Les implications en terme d’aide aux aidants sont discutées. / Introduction: How do spouses and children of older people with dementia living in the community or in an institution perceive the the stress related to caregiving and the support provided by the professionals? Which negative and positive aspects of caregiving influence the caregivers’ mental health? This study examines the specific effects of the burden of caring and their sense of competence on caregivers’ mental health.Methods: Data are gathered from 264 family caregivers, using self-rating scales measuring perceived social support (6 items SSQ6), depression (BDI-II), anxiety (STAI-Y), hostility (STAXI-2), satisfaction with life (SWLS). A principal component analysis of the 22 items of Zarit Burden Inventory (BI) and 27 items of the Sense of Competence Questionnaire (SCQ) is computed. Structural Equation Models (SEMs) are tested simultaneously in four conditions: children vs spouses (status), the care recipient living at home vs institutionnalised (context).Results : Caring indirectly affects the caregiver’s mental health via the perceived stress components : consequences for the caregiver’s personal life (SCQ), caregiver’s feelings of guilt (BI) and satisfaction with one’s performance as caregiver (SCQ). These effects are moderated by the caregiving context and the caregiver status. Perceived social support does not protect the mental heath of spouses caring for their relative at home.Conclusion: According to the stress process model this study highlights the key role of the caregiver’s evaluation of his/her own difficulties and perceived support. Implications for interventions and support for carers are discussed.
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Caractérisation chez l'humain de l'expression de différents gènes et fonctions biologiques associés à la dépression et signatures transcriptionnelles spécifiques au sexe à l'aide de différents modèles animaux / Caractérisation chez l'humain de l'expression de différents gènes et fonctions biologiques associés à la dépression et signatures transcriptionnelles spécifiques au sexe à l'aide de différents modèles animaux

Stéfan, Théo, Stéfan, Théo January 2020 (has links)
Le trouble majeur de la dépression est un des troubles de santé mentale les plus fréquents dans la société d’aujourd’hui avec plus de 350 millions de personnes atteintes dans le monde. Malgré la présence de différents types de traitement, comme les antidépresseurs ou les thérapies comportementales, les causes de ce trouble ne sont pas encore complètement élucidées. Les lacunes concernant la compréhension de cette pathologie se trouve plus particulièrement au niveau de ses fondements génétiques. A partir d’un grand échantillon de 267 sujets atteints de la dépression, de 286 sujets témoins ainsi que de trois modèles animaux, la présente étude a pour objectif de mettre en évidence différents gènes et fonctions associés de façon significative à cette maladie et de caractériser les différences transcriptionnelles spécifiques au sexe. Pour ce faire, deux grandes étapes composent ce projet. Une analyse de gènes différentiellement exprimés ainsi qu’une de modules de gènes Eigengenes, toutes deux effectuées sur l’humain et sur les modèles animaux. Les résultats ont mis en exergue plusieurs gènes associés à la dépression et partagés entre l’humain et les modèles animaux. Il semblerait que le modèle animal qui reproduit le plus les observations chez l’humain soit celui de l’isolation sociale. De plus, plusieurs fonctions biologiques pertinentes avec la caractérisation du trouble étudié ont été identifiées. Par surcroît, les modules de gènes associés à la dépression chez les femelles étaient en plus grand nombre que chez les mâles et cette observation est bien reproduite dans le modèle du stress variable chronique de l’animal. Cette étude a donc permis une amélioration des connaissances concernant la génétique de la dépression. Il en ressort que les modèles animaux utilisés dans cette étude permettent de bien de reproduire un état dépressif chez l’animal. / Le trouble majeur de la dépression est un des troubles de santé mentale les plus fréquents dans la société d’aujourd’hui avec plus de 350 millions de personnes atteintes dans le monde. Malgré la présence de différents types de traitement, comme les antidépresseurs ou les thérapies comportementales, les causes de ce trouble ne sont pas encore complètement élucidées. Les lacunes concernant la compréhension de cette pathologie se trouve plus particulièrement au niveau de ses fondements génétiques. A partir d’un grand échantillon de 267 sujets atteints de la dépression, de 286 sujets témoins ainsi que de trois modèles animaux, la présente étude a pour objectif de mettre en évidence différents gènes et fonctions associés de façon significative à cette maladie et de caractériser les différences transcriptionnelles spécifiques au sexe. Pour ce faire, deux grandes étapes composent ce projet. Une analyse de gènes différentiellement exprimés ainsi qu’une de modules de gènes Eigengenes, toutes deux effectuées sur l’humain et sur les modèles animaux. Les résultats ont mis en exergue plusieurs gènes associés à la dépression et partagés entre l’humain et les modèles animaux. Il semblerait que le modèle animal qui reproduit le plus les observations chez l’humain soit celui de l’isolation sociale. De plus, plusieurs fonctions biologiques pertinentes avec la caractérisation du trouble étudié ont été identifiées. Par surcroît, les modules de gènes associés à la dépression chez les femelles étaient en plus grand nombre que chez les mâles et cette observation est bien reproduite dans le modèle du stress variable chronique de l’animal. Cette étude a donc permis une amélioration des connaissances concernant la génétique de la dépression. Il en ressort que les modèles animaux utilisés dans cette étude permettent de bien de reproduire un état dépressif chez l’animal. / Major depressive disorder is one of the most common mental health disorder in modern society affecting more than 350 million people worldwide. While different types of treatment are available, such as antidepressants or behavioural therapies, causes of this disorder are not yet fully understood. A better comprehension of its genetic basis could fulfil the gaps. From a large sample of 267 subjects with depression, 286 control subjects and three animal models, this study aims to identify different genes and functions significantly associated with this disorder and to characterize sex-specific transcriptional differences. This project splits in two major steps: a differentially expressed genes analysis and a gene modules analysis using Eigengenes, both performed on humans and animal models. Results highlight several genes shared between humans and animal models. The animal model that seems to better reproduce the effects observed in humans is that of social isolation. In addition, several biological functions appear to be relevant to major depressive disorder characterization. Furthermore, gene modules associated with depression are more numerous in females than in males and this observation is reproduced in the animal’s chronic variable stress model. This study therefore enhanced knowledge about depression’s genetics and shows that animal models can be effectively used to reproduce a depressive state in animals. / Major depressive disorder is one of the most common mental health disorder in modern society affecting more than 350 million people worldwide. While different types of treatment are available, such as antidepressants or behavioural therapies, causes of this disorder are not yet fully understood. A better comprehension of its genetic basis could fulfil the gaps. From a large sample of 267 subjects with depression, 286 control subjects and three animal models, this study aims to identify different genes and functions significantly associated with this disorder and to characterize sex-specific transcriptional differences. This project splits in two major steps: a differentially expressed genes analysis and a gene modules analysis using Eigengenes, both performed on humans and animal models. Results highlight several genes shared between humans and animal models. The animal model that seems to better reproduce the effects observed in humans is that of social isolation. In addition, several biological functions appear to be relevant to major depressive disorder characterization. Furthermore, gene modules associated with depression are more numerous in females than in males and this observation is reproduced in the animal’s chronic variable stress model. This study therefore enhanced knowledge about depression’s genetics and shows that animal models can be effectively used to reproduce a depressive state in animals.
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Les facteurs associés à la dépression maternelle postnatale : un examen de leurs interactions et de leurs contributions à sa persistance de la naissance jusqu’au début de la deuxième année de vie

Dubé, Sonia January 2016 (has links)
Cette étude vise à déterminer les meilleurs prédicteurs de la dépression postnatale, à examiner leurs effets d’interaction et à identifier les corrélats qui prédisent le mieux la persistance des symptômes dépressifs entre 3 et 15 mois après la naissance. Cent quarante-cinq dyades mères-enfant, à risque modéré sur le plan psychosocial ont été évaluées à 3, 8 et 15 mois, lors de visites au domicile ou en laboratoire. Les mères ont complété le Symptom Checklist-90-R (SCL-90-R; Derogatis, 1994) afin de mesurer leurs symptômes dépressifs. Elles ont aussi complété d’autres questionnaires portant sur de nombreux corrélats liés à différents niveaux écosystémiques. Plus précisément, les corrélats liés à l’ontosystème, soit la mère, sont : son âge, son niveau de scolarité, son statut d’emploi, son état de santé, la présence de stress psychologiques et les cognitions-maternelles (sentiment d’efficacité parental, impact parental perçu, comportements parentaux hostiles-réactifs et de surprotection). Pour le microsystème, le tempérament de l’enfant, son développement cognitif et moteur ainsi que la qualité de la relation conjugale sont examinés. Enfin, le soutien social et le revenu familial sont considérés comme des corrélats de l’exosystème. Les résultats montrent que la dépression prénatale, le stress psychologique prénatal et postnatal, l’état de santé de la mère et le développement mental de l’enfant ont un lien significatif avec la dépression postnatale, à tous les temps de mesure, lorsqu’observés de façon indépendante. Ce lien se maintient pour le stress psychologique postnatal, même en présence d’autres variables. Des effets d’interaction significatifs sont observés entre le stress psychologique postnatal et le développement mental de l’enfant, ainsi qu’entre le stress psychologique postnatal et l’état de santé de la mère, dans la prédiction de la dépression postnatale. Enfin, les analyses portant sur la persistance de la dépression postnatale n’ont pu être réalisées vu des scores de dépression trop faibles.
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Effet de l’intensité d’un programme d’activité physique de type aérobie dans le traitement de la dépression majeure chez l’adulte

Therrien, Francine January 2010 (has links)
Huit pourcent des canadiens souffriront d’une dépression majeure au cours de leur vie. Un programme d’entraînement aérobie semble être un traitement efficace et offre du même coup un ensemble de bénéfices additionnels pour la santé. La science cherche donc à optimiser ce type de traitement, en tentant notamment de mieux cerner le type d’entraînement le plus optimal à prescrire à une personne souffrant de dépression. À ce titre, il semble logique que l’intensité de l’entraînement joue un rôle important au niveau de l’efficacité, étant donné qu’elle module des mécanismes neurophysiologiques qui semblent être au coeur de la pathophysiologie dépressive. Actuellement, on ne connaît pas l’intensité optimale à prescrire pour un programme d’entraînement aérobie chez une population de personnes dépressives. Cette étude a pour principal objectif de vérifier, chez des adultes atteints de dépression majeure, l’effet de l’intensité d’un programme d’activité physique de nature aérobie sur la réduction des symptômes dépressifs ainsi que son influence sur la qualité de vie et de sommeil. Deux groupes de sept adultes sédentaires ayant obtenu un diagnostic de dépression majeure selon les critères du DSM-IV et ne recevant pas d’autre traitement pharmacologique, psychologique ou autre, ont été formés par attribution au hasard. Un groupe a suivi un entraînement aérobie à intensité légère à modérée (40% de la puissance aérobie maximale (VO[indice inférieur 2]max) et l’autre groupe s’est entraîné à une intensité modérée à élevée (70% du VO[indice inférieur 2]max). Le volume d’entraînement a été le même pour tous les participants : 250 kcal par entraînement (lorsque l’intensité était plus élevée, la durée était moindre et vice versa), à raison de trois fois par semaine pendant huit semaines. Résultats : À la suite de ce programme d’entraînement, 94% des participants ont connu une baisse des symptômes dépressifs et 70% étaient considérés non dépressifs à la fin de l’étude (selon l’échelle de Beck). La réduction moyenne au score de Beck a été de 18,2 points (± 8,44). Il ressort de cette étude que le score de dépression a chuté plus rapidement dans le groupe à intensité modérée à élevée, mais la différence entre les deux groupes n’était pas significativement différente à la fin des huit semaines. D’autre part, bien que la puissance aérobie se soit significativement plus améliorée dans le groupe à intensité plus élevée, la qualité de vie et la qualité du sommeil se sont significativement améliorées pour l’ensemble des sujets mais n’ont pas différé de façon significative entre les deux groupes. Conclusion : Deux programmes aérobie de courte durée provoquant la même dépense énergétique mais variant au niveau de l’intensité et de la durée se sont avérés d’une efficacité similaire pour atténuer l’état dépressif, améliorer le sommeil et la qualité de vie. Le seul avantage additionnel observé dans le groupe à intensité élevée était une plus grande amélioration de la puissance aérobie maximale.
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La tentation d'être soi : vivre et survivre avec des antidépresseurs

Namian, Dahlia January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire interroge le développement du phénomène de la dépression et de la diffusion des antidépresseurs comme traitement de choix en Occident. Pour ce faire, nous nous sommes située dans un paradoxe constitutif de l'individualité contemporaine: la pression sociale croissante à être soi-même le sujet de sa vie crée, en contrepartie, de la dépendance. Comment la vulnérabilité psychique et sociale qui caractérise l'épisode dépressif se transforme-t-elle en dépendance salutaire et chronique à l'antidépresseur? À l'aide de l'analyse des discours de six femmes qui ont vécu un épisode de dépression et qui ont eu recours aux antidépresseurs pour la soigner, nous tentons d'esquisser un ensemble de réponses à cette question. Dans le premier chapitre, nous examinons comment s'est tissé en Occident le noeud entre individu, société et problème de santé mentale. Cette perspective nous permet de saisir tant la nouveauté que la permanence dans l'émergence, la diffusion et le traitement institutionnalisé de la dépression. De l'asile au médicament psychotrope, le deuxième chapitre aborde les transformations des stratégies d'intervention en santé mentale. Le troisième chapitre concerne nos choix méthodologiques et le quatrième l'analyse de nos entretiens. En conclusion, nous articulons notre démarche théorique à nos résultats empiriques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Dépression, Antidépresseur, Névrose, Normativité sociale, Individualité contemporaine.
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Impact de l'état dépressif sur l'attention et l'estimation temporelle

Sévigny, Marie-Claude 08 April 2021 (has links)
Afin de déterminer l'influence de la dépression sur l'attention et l'estimation du temps, 120 participants ont rempli le Beck Depression Inventory II constituant ainsi deux groupes (15 participants déprimés et 20 participants non déprimés). Ils ont effectué des tâches informatisées de production d'intervalles d'une et de dix secondes, de discrimination de durées de 80-120 ms, 450-550 ms et 1120-1280 ms ainsi que d'attention soutenue (Continuous Performance Test). Les participants ont également effectué deux estimations verbales rétrospectives reliées au laps de temps qu'ils croient avoir passé à réaliser les tâches d'estimation temporelle et la tâche d'attention soutenue, respectivement. Les résultats obtenus démontrent que les participants déprimés commettent plus d'erreurs d'omissions au CPT, ont des performances plus instables lors des productions d'une et de dix secondes et ont un taux de discrimination correcte inférieur pour les intervalles de 1120-1280 ms. Cependant, aucune différence entre le groupe de déprimés et de non déprimés n'a pu être mise en lumière pour les tâches d'estimations verbales rétrospectives et de discrimination pour les intervalles de 80-120 ms et 450-550 ms. Il semble donc que les déprimés présentent des déficits au niveau du processus d'attention soutenue et que ces mêmes déficits ont pu influencer les performances de discrimination pour les intervalles de 1120-1280 ms et la stabilité des productions d'une et de dix secondes.

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