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1

Les relations entre les symptômes dépressifs pré et postnataux chez la mère et la détresse face aux limitations chez le nourrisson

Rémillard, Roxane January 2012 (has links)
La présente recherche porte sur la relation entre les symptômes dépressifs maternels prénataux et postnataux et la détresse face aux limitations du nourrisson. L'objectif de cette étude est d'examiner comment les symptômes dépressifs pré et postnataux influencent la détresse face aux limitations du nourrisson nés de jeunes mères à risque, tout en contrôlant pour l'anxiété maternelle et le sexe de l'enfant. L'échantillon utilisé aux fins de cette recherche comporte 102 dyades mère-enfant issus d'un projet plus vaste. Une première visite a eu lieu à cinq mois de grossesse et la seconde visite a eu lieu environ huit mois après l'accouchement. En examinant simultanément les contributions de la dépression prénatale et postnatale à la détresse face aux limitations dans une analyse de régression, il est possible de voir que la dépression prénatale a un plus grand effet sur la détresse face aux limitations que la dépression postnatale.
2

Les facteurs associés à la dépression maternelle postnatale : un examen de leurs interactions et de leurs contributions à sa persistance de la naissance jusqu’au début de la deuxième année de vie

Dubé, Sonia January 2016 (has links)
Cette étude vise à déterminer les meilleurs prédicteurs de la dépression postnatale, à examiner leurs effets d’interaction et à identifier les corrélats qui prédisent le mieux la persistance des symptômes dépressifs entre 3 et 15 mois après la naissance. Cent quarante-cinq dyades mères-enfant, à risque modéré sur le plan psychosocial ont été évaluées à 3, 8 et 15 mois, lors de visites au domicile ou en laboratoire. Les mères ont complété le Symptom Checklist-90-R (SCL-90-R; Derogatis, 1994) afin de mesurer leurs symptômes dépressifs. Elles ont aussi complété d’autres questionnaires portant sur de nombreux corrélats liés à différents niveaux écosystémiques. Plus précisément, les corrélats liés à l’ontosystème, soit la mère, sont : son âge, son niveau de scolarité, son statut d’emploi, son état de santé, la présence de stress psychologiques et les cognitions-maternelles (sentiment d’efficacité parental, impact parental perçu, comportements parentaux hostiles-réactifs et de surprotection). Pour le microsystème, le tempérament de l’enfant, son développement cognitif et moteur ainsi que la qualité de la relation conjugale sont examinés. Enfin, le soutien social et le revenu familial sont considérés comme des corrélats de l’exosystème. Les résultats montrent que la dépression prénatale, le stress psychologique prénatal et postnatal, l’état de santé de la mère et le développement mental de l’enfant ont un lien significatif avec la dépression postnatale, à tous les temps de mesure, lorsqu’observés de façon indépendante. Ce lien se maintient pour le stress psychologique postnatal, même en présence d’autres variables. Des effets d’interaction significatifs sont observés entre le stress psychologique postnatal et le développement mental de l’enfant, ainsi qu’entre le stress psychologique postnatal et l’état de santé de la mère, dans la prédiction de la dépression postnatale. Enfin, les analyses portant sur la persistance de la dépression postnatale n’ont pu être réalisées vu des scores de dépression trop faibles.
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Relations entre la dépression maternelle, la sensibilité maternelle et le développement cognitif d'enfants d'âge préscolaire

Desgroseilliers, Joannie January 2014 (has links)
Cette recherche vise à vérifier l’existence de liens bivariés entre la dépression maternelle, la sensibilité maternelle et le développement cognitif des enfants. Plus spécifiquement, elle vise à tester le possible effet de médiation de la sensibilité maternelle dans la relation entre la dépression maternelle et le développement cognitif d’enfants âgés de 36 mois, tout en contrôlant pour le sexe de l’enfant. Quatre-vingt-quinze (95) dyades mère-enfants (29 mères adultes et 66 mères adolescentes) ont été évaluées à 5 reprises. La dépression maternelle a été évaluée par questionnaire auto-rapporté alors que les enfants avaient 6 et 10 mois, la sensibilité maternelle a été évaluée par observation d’un évaluateur externe à 15 et 18 mois tandis que le développement cognitif a été évalué à 36 mois à l’aide d’un test standardisé. Les résultats obtenus suggèrent qu’il existe des corrélations significatives entre chacune des variables d’intérêt à l’étude. Également, les résultats suggèrent que l’effet médiateur de la sensibilité maternelle dans la relation entre la dépression maternelle et le développement cognitif de l’enfant est significatif et complet. Considérant la nature hétérogène de l’échantillon au niveau du risque psychosocial des analyses supplémentaires montrent qu’il existe un effet médiateur (partiel) de la dépression maternelle dans la relation entre le risque psychosocial et la sensibilité maternelle. L’ensemble des résultats suggère donc que le niveau de risque psychosocial influence la dépression maternelle, qui à son tour influence la sensibilité maternelle, qui à son tour influence le développement cognitif de l’enfant.
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Les problèmes de santé physique chez l'enfant et la dépression maternelle entre cinq et dix-sept mois après l'accouchement

Perreault, Geneviève January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'attachement chez les enfants de mères adolescentes : une combinaison de précurseurs pouvant altérer la qualité de l'attachement à 15 mois

Emery, Jacinthe January 2003 (has links)
No description available.
6

Maternal depression symptoms in early childhood and children's cognitive performance at school entry : the role of maternal guidance

Abitan, Ingrid January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Maternal depression symptoms in early childhood and children's cognitive performance at school entry : the role of maternal guidance

Abitan, Ingrid January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Utilisation en grossesse des antidépresseurs et les risques maternels associés : focus sur le diabète gestationnel et la dépression postpartum

Dandjinou, Maëlle 12 1900 (has links)
La dépression affecte environ 20 % des femmes en âge de procréer et environ 5 % à 15 % des femmes enceintes. Les troubles anxieux, souvent concomitants de la dépression maternelle sont de l’ordre de 15 % durant la grossesse. Au cours des dernières années, l’utilisation gestationnelle des antidépresseurs s’est accrue, malgré les risques associés pour la mère et l’enfant rapportés dans la littérature. Les risques maternels tels que le risque de diabète gestationnel et de dépression postpartum ont été peu étudiés avec des résultats souvent contradictoires. De plus, les données sur l’évolution dans le temps de la prévalence de la dépression/anxiété et de l’utilisation des antidépresseurs durant la grossesse sont très peu disponibles dans la littérature. La Cohorte des Grossesses du Québec (CGQ) a été utilisée pour cette recherche et la thèse a été organisée en trois volets. Dans un premier volet, nous avons réalisé une étude descriptive pour étudier la prévalence et les tendances d’utilisation des antidépresseurs et de la dépression maternelle/anxiété durant la grossesse, sur la période allant de 1998 à 2015. La prévalence d’utilisation des antidépresseurs durant la grossesse a triplé, allant de 2,2 % en 1998 à 6,2 % en 2015, alors que la prévalence de dépression maternelle/anxiété a été multipliée par 1,3 (de 5 % en 1998 à 7 % en 2015). Le deuxième volet consistait à réaliser une étude utilisant le devis cas-témoins niché dans une cohorte pour évaluer si l’utilisation gestationnelle des antidépresseurs était associée à une augmentation du risque du diabète gestationnel. Nous avons trouvé que l’utilisation des antidépresseurs est associée à une augmentation du risque de diabète gestationnel (aOR = 1,19, IC 95% : 1,08-1,30) et particulièrement pour la venlafaxine (aOR = 1,27, IC 95% :1,09-1,49) et l’amitriptyline (aOR = 1,52, IC 95% :1,25-1,84). Le troisième volet consistait en une analyse de survie pour déterminer si différentes trajectoires d’utilisation d’antidépresseurs durant la grossesse, chez des femmes déprimées avant la grossesse pouvaient affecter le risque de dépression postpartum. Nos résultats montrent que les femmes exposées en continu durant la grossesse (aHR=1,69; IC à 95 % : 1,01-2,84), celles exposées au deuxième/troisième trimestre (aHR=2,56; 95 % CI : 1,33-4,90), et celles avec une exposition intermittente (aHR=2,41; 95 % CI : 1,59-3,66) ont un risque plus élevé de dépression postpartum que les femmes enceintes déprimées, non exposées pendant la gestation. A contrario, celles exposées uniquement au premier trimestre (aHR=1,35; IC à 95 % : 0,81-2,25) étaient moins à risque de dépression postpartum par rapport aux femmes non exposées. En conclusion, les antidépresseurs sont de plus en plus utilisés en grossesse et nous avons observé une augmentation modérée du risque de diabète gestationnel associé à leur utilisation, principalement pour la venlafaxine et l’amitriptyline. En ce qui concerne leur efficacité en vie réelle dans la prévention de la dépression postpartum, nous n’avons pas trouvé de diminution du risque pour les utilisatrices au sein d’une cohorte de femmes avec une dépression prénatale. Néanmoins, malgré certaines limites méthodologiques, ces résultats renforcent la nécessité d’une approche de traitement personnalisée pour chaque femme enceinte souffrant de dépression, afin de faire les meilleurs choix pour sa santé et celle de l’enfant à naitre. / Depression affects about 20% of women of childbearing age and about 5% to 15% of pregnant women. Anxiety disorders, often concomitant with maternal depression, are in the order of 15% during pregnancy. In recent years, gestational use of antidepressants has increased, despite the associated risks to mother and child reported in the literature. Maternal risks such as the risk of gestational diabetes and postpartum depression have been little studied with often contradictory results. In addition, data on the evolution over time of the prevalence of depression / anxiety and the use of antidepressants during pregnancy are very limited in the literature. The Quebec Pregnancy Cohort (QPC) was used for this research and the thesis was organized in three parts. In a first part, we carried out a descriptive study to determine the prevalence and the trends of use of antidepressants and maternal depression / anxiety during pregnancy. over the period from 1998 to 2015. We observed that the prevalence of antidepressants use during pregnancy has tripled, ranging from 2.2% in 1998 to 6.2% in 2015, while the prevalence of maternal depression / anxiety has increased by 1.3 (from 5% in 1998 to 7% in 2015). The second part consisted of carrying out a study using the nested case-control design to assess whether the gestational use of antidepressants was associated with an increased risk of gestational diabetes. We have found that the use of antidepressants is associated with an increased risk of gestational diabetes (aOR = 1.19, 95% CI: 1.08-1.30) and particularly for venlafaxine (aOR = 1.27, 95% CI: 1.09-1.49) and amitriptyline (aOR = 1.52, 95% CI: 1.25-1.84). The third part consisted of a survival analysis to determine whether different trajectories of antidepressant use during pregnancy in women depressed before pregnancy could affect the risk of postpartum depression. Our results show that women exposed continuously during pregnancy (aHR = 1.69; 95% CI: 1.01-2.84), those exposed in the second / third trimester (aHR = 2.56; 95% CI: 1.33-4.90), and those with intermittent exposure (aHR = 2.41; 95% CI: 1.59-3.66) have a higher risk of postpartum depression than depressed pregnant women, not exposed during gestation. Conversely, those exposed only in the first trimester (aHR = 1.35; 95% CI: 0.81-2.25) were less at risk of postpartum depression compared to unexposed women. In conclusion, antidepressants are increasingly used in pregnancy and we have observed a moderate increase in the risk of gestational diabetes associated with their use, mainly for venlafaxine and amitriptyline. Regarding their real-life efficacy in preventing postpartum depression, we found no decreased risk for users in a cohort of women with prenatal depression. Nonetheless, despite some methodological limitations, these results reinforce the need for a personalized treatment approach for each pregnant woman with depression, in order to make the best choices for her health and that of the unborn child.
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L'interaction mère-enfant à 9 mois et l'attachement désorganisé mère-enfant à 15 mois

Diab, Sabrina January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L'interaction mère-enfant à 9 mois et l'attachement désorganisé mère-enfant à 15 mois

Diab, Sabrina January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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