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"Activation pharmacologique primaire et secondaire des récepteurs sérotoninergiques de type 1-A dans la dépression majeure de l'adulte"Proulx, Jean January 1993 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Variations saisonnières de l'illumination chez des sujets avec ou sans variations saisonnières de l'humeurGuillemette, Josée January 1997 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Impact de l'état dépressif sur l'attention et l'estimation temporelleSévigny, Marie-Claude 08 April 2021 (has links)
Afin de déterminer l'influence de la dépression sur l'attention et l'estimation du temps, 120 participants ont rempli le Beck Depression Inventory II constituant ainsi deux groupes (15 participants déprimés et 20 participants non déprimés). Ils ont effectué des tâches informatisées de production d'intervalles d'une et de dix secondes, de discrimination de durées de 80-120 ms, 450-550 ms et 1120-1280 ms ainsi que d'attention soutenue (Continuous Performance Test). Les participants ont également effectué deux estimations verbales rétrospectives reliées au laps de temps qu'ils croient avoir passé à réaliser les tâches d'estimation temporelle et la tâche d'attention soutenue, respectivement. Les résultats obtenus démontrent que les participants déprimés commettent plus d'erreurs d'omissions au CPT, ont des performances plus instables lors des productions d'une et de dix secondes et ont un taux de discrimination correcte inférieur pour les intervalles de 1120-1280 ms. Cependant, aucune différence entre le groupe de déprimés et de non déprimés n'a pu être mise en lumière pour les tâches d'estimations verbales rétrospectives et de discrimination pour les intervalles de 80-120 ms et 450-550 ms. Il semble donc que les déprimés présentent des déficits au niveau du processus d'attention soutenue et que ces mêmes déficits ont pu influencer les performances de discrimination pour les intervalles de 1120-1280 ms et la stabilité des productions d'une et de dix secondes.
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Caractérisation chez l'humain de l'expression de différents gènes et fonctions biologiques associés à la dépression et signatures transcriptionnelles spécifiques au sexe à l'aide de différents modèles animauxStéfan, Théo 24 March 2024 (has links)
Le trouble majeur de la dépression est un des troubles de santé mentale les plus fréquents dans la société d’aujourd’hui avec plus de 350 millions de personnes atteintes dans le monde. Malgré la présence de différents types de traitement, comme les antidépresseurs ou les thérapies comportementales, les causes de ce trouble ne sont pas encore complètement élucidées. Les lacunes concernant la compréhension de cette pathologie se trouve plus particulièrement au niveau de ses fondements génétiques. A partir d’un grand échantillon de 267 sujets atteints de la dépression, de 286 sujets témoins ainsi que de trois modèles animaux, la présente étude a pour objectif de mettre en évidence différents gènes et fonctions associés de façon significative à cette maladie et de caractériser les différences transcriptionnelles spécifiques au sexe. Pour ce faire, deux grandes étapes composent ce projet. Une analyse de gènes différentiellement exprimés ainsi qu’une de modules de gènes Eigengenes, toutes deux effectuées sur l’humain et sur les modèles animaux. Les résultats ont mis en exergue plusieurs gènes associés à la dépression et partagés entre l’humain et les modèles animaux. Il semblerait que le modèle animal qui reproduit le plus les observations chez l’humain soit celui de l’isolation sociale. De plus, plusieurs fonctions biologiques pertinentes avec la caractérisation du trouble étudié ont été identifiées. Par surcroît, les modules de gènes associés à la dépression chez les femelles étaient en plus grand nombre que chez les mâles et cette observation est bien reproduite dans le modèle du stress variable chronique de l’animal. Cette étude a donc permis une amélioration des connaissances concernant la génétique de la dépression. Il en ressort que les modèles animaux utilisés dans cette étude permettent de bien de reproduire un état dépressif chez l’animal. / Major depressive disorder is one of the most common mental health disorder in modern society affecting more than 350 million people worldwide. While different types of treatment are available, such as antidepressants or behavioural therapies, causes of this disorder are not yet fully understood. A better comprehension of its genetic basis could fulfil the gaps. From a large sample of 267 subjects with depression, 286 control subjects and three animal models, this study aims to identify different genes and functions significantly associated with this disorder and to characterize sex-specific transcriptional differences. This project splits in two major steps: a differentially expressed genes analysis and a gene modules analysis using Eigengenes, both performed on humans and animal models. Results highlight several genes shared between humans and animal models. The animal model that seems to better reproduce the effects observed in humans is that of social isolation. In addition, several biological functions appear to be relevant to major depressive disorder characterization. Furthermore, gene modules associated with depression are more numerous in females than in males and this observation is reproduced in the animal’s chronic variable stress model. This study therefore enhanced knowledge about depression’s genetics and shows that animal models can be effectively used to reproduce a depressive state in animals.
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Étude des déterminants de l'utilisation des services ambulatoires de santé pour la dépression au Canada : différences de genreGagné, Sarah January 2015 (has links)
Au Canada, il existe un écart entre le niveau de dépression dans la population générale et le niveau de traitement reçu. Près de la moitié des individus souffrant de dépression majeure dans la communauté ne vont pas chercher de l’aide professionnelle, et plus du deux-tiers de ceux qui consultent ne sont pas traités ou reçoivent un traitement inapproprié ou insuffisant. Dans le contexte actuel, où les hommes investissent moins les services ambulatoires pour des raisons de santé mentale que les femmes, il est important de mieux comprendre les déterminants et les barrières d’accès aux soins en fonction du genre. Le but de ce mémoire était donc : (1) examiner les différences de genre dans l’utilisation des services ambulatoires de santé mentale pour la dépression, et (2) identifier les déterminants et les barrières d’accès aux soins chez les canadiens et canadiennes ayant une dépression majeure dans la communauté. Pour répondre à cet objectif, une étude a été réalisée avec les données provenant de l’Enquête sur la Santé dans les Collectivités Canadiennes, Cycle 1.2 Santé Mentale et Bien-être (ESCC 1.2) conduit par Statistique Canada en 2002 (n= 36 984). L’échantillon incluait les personnes de 15 ans et plus ayant répondu aux critères d’un épisode de dépression majeure selon le DSM-IV au courant des 12 mois qui ont précédé l’entrevue (n=1763). Des analyses de régressions logistiques multivariées stratifiées en fonction du genre ont été effectuées avec le logiciel SPSS 18.0 afin de déterminer les facteurs associés à l’utilisation des services au cours des 12 derniers mois spécifiques aux hommes et aux femmes. Les résultats de l'étude ont montré que 54% des répondants ayant une dépression ont utilisé les services de santé pour des raisons de santé mentale au courant de la dernière année. La probabilité de consulter un professionnel de la santé au cours des 12 derniers mois pour des raisons de santé mentale était similaire chez les hommes et les femmes. Toutefois, les femmes dépressives comparativement aux hommes dépressifs consultaient davantage un omnipraticien. Les facteurs associés à l’utilisation des services ambulatoires incluaient pour les hommes, le revenu du ménage, et pour les femmes, un âge de moins de 65 ans, la présence de soutien social, un manque de disponibilité des services, la présence de pensées ou de tentatives suicidaires et une moins bonne santé mentale perçue. Les résultats de cette étude suggèrent la présence d’inégalités socio-économiques quant à l’accès aux soins pour la dépression, et indiquent que certains groupes devraient être ciblés, soit, les femmes âgées de 65 ans et plus, et les hommes avec des idées suicidaires.
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Isotretinoin and the risk of depression in patients with acne vulgarisAzoulay, Laurent January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Adéquation du traitement des troubles dépressifs au CanadaDuhoux, Arnaud January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Prise en compte de la dépression en oncologie : les coulisses de la recherche / Consideration of depression in oncology : the scenes of researchRhondali, Wadih 12 December 2013 (has links)
Ce travail s'est intéresser aux difficultés de la prise en charge de la dépression en explorant plusieurs niveaux de représentations : celui des soignants, des patients, de leur famille. La dépression est une pathologie fréquente en oncologie avec une prévalence d’environ 15% qui augmente avec l'aggravation de la maladie cancéreuse. Elle aggrave les autres symptômes tels que la douleur, la fatigue, l'anxiété et retentit sur la qualité de vie et la survie des patients. La prise en charge spécifique du cancer est plus difficile chez les patients déprimés. Les différents objectifs de cette recherche sont de déterminer les freins de la prise en charge de la pathologie dépressive en oncologie et de sensibiliser les soignants à cette problématique en proposant une réflexion sur les modalités de prise en charge. Après une avoir effectué une revue de la littérature, nous avons débuté un travail de traduction et validation d’une échelle de dépistage de la dépression qui semblait adapté à notre population et aux modalités de prise en charge. Cette échelle a ensuite été proposée et utilisée en routine dans différents lieux de prise en charge. Elle a permis de confirmer les résultats retrouvés dans la littérature internationale quant à la fréquence de la dépression et son association avec d’autres symptômes. Ce travail a été complété par une évaluation de la concordance entre l’évaluation par le patient, le médecin et l’infirmier de la symptomatologie dépressive. Les niveaux de concordance retrouvés étaient faibles. Des résultats similaires ont été retrouvés lorsque l’on s’est intéressé à l’utilisation de différentes méthodes pour évaluer la dépression chez la personne âgée atteinte d’un cancer en phase avancée. Nous avons complété ce travail par une étude rétrospective ayant pour objectif d’évaluer l’impact de l’intervention d’une équipe de soins de support sur la sévérité de la dépression des patients atteints d’un cancer en phase avancée avec des résultats positifs, ainsi qu’une synthèse de la littérature quant aux traitements pharmacologiques existants pour la dépression.La dernière partie a utilisé une autre approche de la dépression avec pour objectif d’évaluer les représentations sociales de la dépression dans plusieurs groupes (soignants et famille de patients. Après une discussion générale de ce travail ainsi que la présentation des limites, nous conclurons par les perspectives quant à la prise en charge de la dépression en oncologie. / This work is exploring the associated issues with the management of depression among cancer patients by exploring several levels of representations: health care professionals, patients and patients’ families. Depression is a common disease in oncology with a prevalence of 15%, which increases with the worsening of the cancer disease. It worsens other symptoms such as pain, fatigue, anxiety and impacts patients’ quality of life and survival. Furthermore, cancer specific management is more difficult among depressed patients. The different objectives of this research were to explore the barriers to depression management in oncology and to make health care porfessional aware of this disease by proposing a reflection on the modalities of care.After having conducted a literature review, we started a study to translate and validate a depression screening scale that seemed suited to our population and modalities of care. This scale was then proposed and used routinely in different places of care. Our results were consistent with the international literature regarding the prevalence of depression and its association with other symptoms. We have then explored correlation between depression assessment by the patient, the physician and the nurse. The levels of agreement were found weak. Similar results were found in another study exploring the use of different methods to assess depression in elderly patients with advanced cancer.After these studies, we conducted a retrospective study aiming to evaluate the impact of the intervention of a supportive care team on the severity of depression in advanced cancer patients with positive results and a summary of the existing literature on depression pharmacological treatments.The last part used a different approach to depression study with the goal to assess social representations of depression in several groups (health care professionals, patients and their family). After a general discussion of this work and the presentation of limitations, we conclude with the prospects for the management of depression in oncology.
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Les bonnes filles plantent des fleurs au printemps ; suivi de, La seconde chance de l'écritureLarochelle, Claudia 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire comporte deux parties : un recueil de nouvelles, qui s'intitule Les bonnes filles plantent des fleurs au printemps, et un dossier d'accompagnement, que j'ai titré La seconde chance de l’écriture. Composée de douze nouvelles, la partie création met en place l'univers intime de femmes à différents épisodes de leur vie. Dans des périodes charnières marquées par la perte ou la peur de la perte (décès, deuils amoureux, maladie, conscience du vieillissement, nostalgie du passé), les protagonistes s'adonnent à la réflexion, à l'introspection. La presque totalité des textes sont écrits à la première personne, ce qui favorise une proximité, de sorte qu'on peut suivre les pensées, les impressions et les sentiments des narratrices, qui tentent d'exercer un certain contrôle sur ce qui leur échappe et cherchent un apaisement. Dans leur désarroi, elles remettent en question leurs convictions naïves sur le monde et sur les êtres qui les entourent, elles constatent que l'ordre des choses établies s'effondre, elles doivent abandonner leurs illusions et leur désir de perfection. Le style dépouillé, le langage mimant l'oralité et la brièveté de ces récits concentrés sur la trajectoire intérieure des personnages ancrent ces nouvelles dans une écriture de l'intime basée sur des rapports interpersonnels familiaux et sentimentaux problématiques. Le ton direct, souvent impudique, ainsi que l'importance d'un quotidien où il n'advient rien d'important, laisse davantage place à la confession qu'à l'intrigue. Ces textes appartiennent à ce qu'on appelle la nouvelle-instant. Le dossier d'accompagnement explore différents aspects d'un processus d'écriture basé sur l'expérience de la dépression. À partir de témoignages d'écrivaines ayant traversé des périodes difficiles, qui leur ont souvent été fatales (Virginia Woolf, Sylvia Plath), cet essai amorce une réflexion sur l'incidence des états dépressifs sur l'écriture. Souvent nécessaire à l'éveil de la création, la dépression apporte une lucidité que l'individu n'avait pas auparavant, laissant émerger une impudeur qui tient de la « franchise enfantine », selon le terme de Virginia Woolf. Quand, une fois rétabli, l'écrivain recommencera à écrire, il fera face à un dédoublement de la voix créatrice, celle de l'adulte et celle de l'enfant sans « surmoi ». La voix narrative surgira de la tension entre ces deux voix, qui doivent coexister afin que le texte trouve sa forme. L'écrivain est un funambule qui marche sur un fil tendu. Tout en reconnaissant le besoin de porter un regard distancié sur ce qu'il a vécu, il ne doit pas céder à l'autocensure. Le regard d'autrui et la peur d'être jugé l'obligent à livrer un combat constant, sans quoi sa pensée, dans ce qu'elle a de plus authentique, pourrait ne pas se déployer. L'œuvre d'autres créateurs (écrivains, artistes visuels, compositeurs, cinéastes) lui sont d'un grand secours pour ranimer l'impulsion créatrice et faire échec à la tentation de voiler sa pensée.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écriture, nouvelles, autocensure, dépression, sentiments, enfance, impudeur.
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Étude exploratoire des symptômes psychiatriques dans un échantillon épidémiologique de sujets démentsPaquette, Isabelle January 1994 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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