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1

Coma ; suivi de Écriture et incarnation

Gilbert, François January 2008 (has links) (PDF)
Coma raconte à la première personne l'histoire de Satô, un jeune Japonais qui, après la tentative de suicide de sa fiancée, a le sentiment d'avoir commis un grave péché sans pouvoir le nommer. Incapable de surmonter son angoisse, il s'enfuit en Chine et s'enferme dans un hôtel de Shanghai. Une année passe avant que la mère de sa fiancée ne vienne le trouver et lui intime de revenir au Japon dans l'espoir qu'il fasse sortir sa fille du coma. Or le retour à sa ville natale, dans un univers de mystère, de secret et de silence, provoque chez Satô des questionnements identitaires profonds qui lui font même douter de l'authenticité de ses souvenirs. S'enclenche alors un long processus au cours duquel les résistances du déni, du mensonge, du désir d'être autre et de la possibilité de l'être élaborent une fiction de plus en plus organisée. C'est en s'y abandonnant que le personnage-narrateur arrive à franchir la limite même de sa résistance et à comprendre son trouble. Le roman se termine au moment où Satô acceptera de se reconstruire comme personne. À l'intérieur du volet réflexif de ce mémoire, Écriture et incarnation, j'explore cette construction exigeante du personnage. Elle demande un amenuisement, une atténuation de ma voix propre, un maximum d'attention à la voix de l'autre: seule possibilité de ressentir de l'intérieur son trouble, sa faille, sa présence, et d'arriver à les décrire. Ma pratique passe donc par la déconstruction de mes repères personnels pour me permettre de créer un espace vide où il me sera possible de réapparaître en cet autre qui est le personnage, en réduisant au minimum l'interférence d'éléments qui pourraient me ramener à moi-même et créer de la résistance. De cette manière je crois pouvoir laisser surgir des idées et des émotions auxquelles je n'aurais pas eu accès autrement. Ainsi, depuis l'intuition première du personnage jusqu'à sa construction finale, il m'importe de ne paraître ni à travers lui ni à travers le texte, qui devra tout naturellement sembler écrit par Satô Kikuchi. En lien avec cette pratique, ma réflexion théorique cherche par ailleurs à comprendre comment mes expériences d'acteur et d'improvisateur peuvent être mises à contribution. Il s'agit plus précisément pour moi de reconnaître en elles et dans les théories du jeu d'acteur les concepts de transformation et de disparition de soi, d'identification au personnage et de dédoublement, que je mets en relation avec la construction et la représentation du personnage dans l'écriture. De cette façon, je cherche à développer une conception de l'écriture entièrement dynamisée par la création du personnage, et par son incarnation en processus d'écriture. Cette approche est ultimement portée par une éthique, c'est-à-dire une quête de vérité tant dans la représentation du personnage que dans l'appréhension du plus petit objet, de toutes choses aperçues un court instant, dans cet «aperçu fulgurant» dont parle Novarina. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Écriture, Amenuisement, Personnage, Incarnation, Improvisation, Méditation, Voyage.
2

Les changements des pratiques journalistiques au Québec à travers l'étude des titres et amorces, La Presse, 1945 et 1995

Chaussée, Frédéric January 1997 (has links) (PDF)
No description available.
3

La tierce personne, roman ; suivi de L'intertextualité, un élément constitutif du processus de création littéraire

Lamothe, Serge January 2001 (has links) (PDF)
No description available.
4

Chuchotements ; suivi d'Une expérience de l'ailleurs

Herdhuin, Claude 11 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire se compose de deux parties. La première partie présente un roman, Chuchotements, dans lequel une femme de quarante ans, qui a beaucoup voyagé, revit les moments importants de sa vie. Narré par la protagoniste et composé de courts chapitres, le récit est une longue traversée pour retrouver une identité qui fuit. Seul point d'ancrage du personnage, le travail de la mémoire se traduit par des analepses représentant le cheminement de la pensée du personnage. Le style dépouillé, l'absence de longs monologues et l'insistance sur les faits plutôt que sur la description d'états d'âme ancrent le roman dans une écriture de l'intime. En effet, le personnage se construit et se définit par ses actions: le lecteur le regarde vivre et découvre, au fil des pages, les conséquences de chaque acte sur le personnage, chaque acte étant déterminant sur la construction du roman lui-même, dans lequel l'écriture veut rendre une impression de fragmentation et de fugacité. Le dossier d'accompagnement propose une réflexion sur l'acte d'écriture ou, pour reprendre le terme de Marguerite Duras, sur récrire. En deçà de l'aspect intellectuel qu'il suppose, le processus créateur est un acte intuitif, venu de l'intérieur, de l'intimus. Le texte n'est pas seulement le fruit d'un travail de la pensée ou de la réflexion, mais le résultat d'un retour sur soi, d'une méditation profonde. Recherche d'identité, construction du Je à partir du conscient, du connu et du déjà-vu, mais aussi et surtout rencontre de cette altérité que l'écrivain devine vaguement sans pouvoir la nommer et qu'il doit affronter. L'écriture intime se trame dans la souffrance et la solitude. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : roman, processus créateur, introspection, mémoire, altérité, angoisse.
5

Qui est mort? (pièce en kit) - The master of creation remix - ; suivi de, Le maître et la créature

Mangerel, Philippe 09 1900 (has links) (PDF)
QUI EST MORT ? (PIÈCE EN KIT) est une pièce de théâtre en dix points et un refrain que la version abrégée, THE MASTER OF CREATION REMIX, réinterprète sous l'angle de la création à l'université, sous forme de fragments interchangeables. L'ensemble du propos se centre sur une personne, prénommée Thomas, un metteur en scène totalitaire et irascible qui se sait condamné à mort et qui décide conséquemment de mettre en scène son dernier spectacle. L'action a pour objet les différentes relations qui se nouent et se dénouent au sein de cette mise en scène entre les différentes personnes constituant l'entourage de Thomas : les acteurs / performateurs (Véronique, Balthazar, Gotika, Lombric, le chœur des clowns) et la régie (Antonin, l'Éclairagiste, Lucas). Cette action centrale est observée par des personnes extérieures qui interviennent peu ou prou telles que le Sphynx, l'Ange botté de cuir ou la Petite fille aux gros yeux et se terminera par l'intervention extraordinaire de l'un d'eux, une personne inquiétante intitulée l'Archange, dont le rôle est absolument définitif. LE MAÎTRE ET LA CRÉATURE constitue le dossier d'accompagnement réflexif et esthétique de la pièce de théâtre. Formé de trois fragments principaux, il élabore une réflexion sur les conditions d'écriture en milieu universitaire en se basant sur les différentes pratiques liées à la littérature (écriture et lecture). Après l'identification dans un premier fragment d'un problème d'adéquation dans l'emploi du terme création entre l'auteur et le milieu institué dans le cadre duquel il écrit, un modèle idéal est proposé -dans un second fragment- qui étudie la relation liant Antonin Artaud à Vincent Van Gogh par le biais d'un extrait de l'essai intitulé Van Gogh le suicidé de la société, avant de se pencher, lors d'un troisième fragment, sur la démarche de l'auteur et les déclencheurs de son écriture, établis grâce à un parallèle avec trois œuvres de Gabrielle Wittkop : La Mort de C, Almanach perpétuel des Harpies et Chaque jour est un arbre qui tombe. ______________________________________________________________________________
6

La migration des étoiles ; suivi de, La courtepointe

Arsenault, Marie-Andrée 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire comporte deux parties : un recueil intitulé La migration des étoiles et un dossier d'accompagnement, La courtepointe. La migration des étoiles est un récit calqué sur la forme discontinue de la mémoire et de l'oubli. Il met en scène une narratrice qui, à la suite du passage difficile de l'enfance à l'âge adulte, vit un sentiment d'éclatement et de dépossession de sa propre existence. La quête de la narratrice s'articule principalement autour du besoin de reconstituer sa vie, de lui donner une forme pour mieux faire face au temps qui lui échappe et donner sens au monde qui l'entoure. Pour ce faire, la rêverie, l'imaginaire et la fiction, ses seules emprises sur le temps et l'espace, interviennent comme des outils visant à combler les lacunes de sa mémoire et à redonner vie à l'histoire qu'elle tente de reconstruire. Ce recueil composé de fragments narratifs et poétiques se présente comme la courtepointe de sa vie morcelée, d'une mémoire à recoudre par pans. La courtepointe est un essai sur l'écriture en tant qu'espace de création propice à l'exploration de ce qui, de l'enfance, perdure dans l'imaginaire de l'écrivain. Cette réflexion vise à clarifier les liens entre la mémoire, l'oubli et les restes pêle-mêle de souvenirs d'enfance qui serviront de matériau à l'écrivain. Elle s'intéresse aussi à l'apport de la rêverie et de l'imagination dans la reconstruction des souvenirs, dans le remaniement nécessaire d'une mémoire sans cesse réinventée. Elle ouvre finalement sur la recherche d'un espace de création toujours plus vaste et vivant pour l'écrivain visant à ressusciter les images de son enfance. L'essai est ponctué de trois études de récits dont les auteurs ont rendu lisibles certaines parcelles d'enfance. Il s'agit d'Enfance, de Rose amer et de Little Jordan, écrits respectivement par Nathalie Sarraute, Martine Delvaux et Marly Youmans, trois romancières dont les démarches ont tout particulièrement inspiré ma réflexion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : création littéraire, enfance, mémoire, fragment, rêverie
7

Les bonnes filles plantent des fleurs au printemps ; suivi de, La seconde chance de l'écriture

Larochelle, Claudia 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire comporte deux parties : un recueil de nouvelles, qui s'intitule Les bonnes filles plantent des fleurs au printemps, et un dossier d'accompagnement, que j'ai titré La seconde chance de l’écriture. Composée de douze nouvelles, la partie création met en place l'univers intime de femmes à différents épisodes de leur vie. Dans des périodes charnières marquées par la perte ou la peur de la perte (décès, deuils amoureux, maladie, conscience du vieillissement, nostalgie du passé), les protagonistes s'adonnent à la réflexion, à l'introspection. La presque totalité des textes sont écrits à la première personne, ce qui favorise une proximité, de sorte qu'on peut suivre les pensées, les impressions et les sentiments des narratrices, qui tentent d'exercer un certain contrôle sur ce qui leur échappe et cherchent un apaisement. Dans leur désarroi, elles remettent en question leurs convictions naïves sur le monde et sur les êtres qui les entourent, elles constatent que l'ordre des choses établies s'effondre, elles doivent abandonner leurs illusions et leur désir de perfection. Le style dépouillé, le langage mimant l'oralité et la brièveté de ces récits concentrés sur la trajectoire intérieure des personnages ancrent ces nouvelles dans une écriture de l'intime basée sur des rapports interpersonnels familiaux et sentimentaux problématiques. Le ton direct, souvent impudique, ainsi que l'importance d'un quotidien où il n'advient rien d'important, laisse davantage place à la confession qu'à l'intrigue. Ces textes appartiennent à ce qu'on appelle la nouvelle-instant. Le dossier d'accompagnement explore différents aspects d'un processus d'écriture basé sur l'expérience de la dépression. À partir de témoignages d'écrivaines ayant traversé des périodes difficiles, qui leur ont souvent été fatales (Virginia Woolf, Sylvia Plath), cet essai amorce une réflexion sur l'incidence des états dépressifs sur l'écriture. Souvent nécessaire à l'éveil de la création, la dépression apporte une lucidité que l'individu n'avait pas auparavant, laissant émerger une impudeur qui tient de la « franchise enfantine », selon le terme de Virginia Woolf. Quand, une fois rétabli, l'écrivain recommencera à écrire, il fera face à un dédoublement de la voix créatrice, celle de l'adulte et celle de l'enfant sans « surmoi ». La voix narrative surgira de la tension entre ces deux voix, qui doivent coexister afin que le texte trouve sa forme. L'écrivain est un funambule qui marche sur un fil tendu. Tout en reconnaissant le besoin de porter un regard distancié sur ce qu'il a vécu, il ne doit pas céder à l'autocensure. Le regard d'autrui et la peur d'être jugé l'obligent à livrer un combat constant, sans quoi sa pensée, dans ce qu'elle a de plus authentique, pourrait ne pas se déployer. L'œuvre d'autres créateurs (écrivains, artistes visuels, compositeurs, cinéastes) lui sont d'un grand secours pour ranimer l'impulsion créatrice et faire échec à la tentation de voiler sa pensée. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écriture, nouvelles, autocensure, dépression, sentiments, enfance, impudeur.
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Le sang du cerf ; suivi de, Hannah : corps noir, feuille blanche

Lavoie, Rosalie 03 1900 (has links) (PDF)
Le roman Le sang du cerf compose la première partie de ce mémoire de maîtrise. La violence, l'écriture, la solitude et la mort sont au cœur de ce récit qui met en scène une relation trouble entre le narrateur du texte et un des personnages, Hannah. Le livre s'ouvre alors que le narrateur entreprend d'écrire leur histoire, de la rencontre jusqu'au moment de la mort d'Hannah qui devient prétexte à l'écriture, rejouant le désir par le biais d'une parole corrosive dont Hannah est la muette destinataire. Si la majeure partie du roman présente par la bouche du narrateur cette relation improbable, intervient, de temps à autre dans le récit, un témoin de la scène de l'écriture qui s'adresse directement à l'écrivain. La seconde partie de ce mémoire est, pour une large part, une réflexion sur la portée métaphorique d'Hannah. À travers elle, nous nous interrogeons sur le sens de l'écriture et du silence qui sont les fils conducteurs entre les deux chapitres de cet essai. « Corps noir » explore, par la représentation du cadavre, la signification du déchet (pourriture/paria) ainsi que l'expérience de la démesure provoquée par la confrontation avec la mort. « Feuille blanche », quant à lui, expose la question de l'écriture en lien avec la violence et le sacrifice. ______________________________________________________________________________
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Un pan de soleil ; suivi de, Récits de vie

Beaudoin, Nancy 09 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire en création littéraire est constitué de deux parties. La première, Un pan de soleil devant la fonderie, est un récit composé de dix tableaux sous-divisés en fragments. On y suit le parcours et la pensée d'une narratrice qui déambule dans le quartier de son enfance pour rejoindre, à la toute fin, la maison de ses parents. Ce récit autobiographique est accompagné d'une nouvelle, Le sanctuaire inviolable, laquelle est une mise en fiction des lieux et des personnages décrits dans la déambulation. Ces deux textes forment un tout, dans lequel le matériau autobiographique sert de base à l'exploration des frontières, des limites entre expérience vécue et transposition romanesque. Par l'utilisation de différentes tonalités dans l'énonciation, il s'agit de reprendre contact avec les lieux de l'enfance, de questionner les figures parentales et d'affirmer le lien à une communauté. La seconde partie, Récits de vie, aborde les différentes sortes d'écriture du moi à travers le temps, du Moyen Âge à nos jours. Ce survol rapide de la constitution du genre de l'autobiographie met en rapport deux aspects fondamentaux du discours sur soi : la référence à une réalité vécue et le dévoilement d'une intimité. Elle tend aussi à montrer comment, à partir des formes usuelles de l'autobiographie, se sont développées des pratiques alternatives, comme l'autofiction et le récit transpersonnel, lesquelles sont la pierre de touche d'un nouveau questionnement sur l'argumentation problématique entre histoire de soi et histoire du monde. ______________________________________________________________________________
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Écoutez-moi ; suivi de, Ça reste entre nous

Roberge, Valérie 04 1900 (has links) (PDF)
Écoutez-moi est un texte contrapuntique, une composition à quatre voix dans laquelle quatre personnages-narrateurs, membres d'une même famille, se partagent l'espace du récit. Chacun présente une vision particulière du monde, une pensée et une parole spécifiques. Dans la dynamique du récit, construit sans aucune intervention externe de narration, chaque personnage est envisagé comme une conscience : l'important n'est pas de connaître toutes ses caractéristiques, son nom, son statut social, bref la place qu'il occupe dans le monde, mais plutôt de se glisser à l'intérieur de lui pour savoir ce qu'il pense du monde et, par conséquent, de lui-même. Tel un contrepoint musical, les quatre voix expriment alors leur singularité, mais elles sont également étroitement liées. Ce sont ces relations de tension, d'assonance et de dissonance qui forment la cinquième mélodie, le chant harmonique du contrepoint. Dans tout ceci, j'aborde en somme l'écriture comme une instance de confidence. La confidence plutôt que la parole usuelle, parce que s'y logent une vérité, une vulnérabilité : une pensée si intime qu'elle côtoie le silence, mais à l'intérieur de la solitude et de la souffrance, elle explose comme des cris. Ça reste entre nous est lui aussi structuré comme un chant polyphonique, sur le principe de l'entrecroisement. Tout au long d'un parcours entre le passé et le présent, les voix se confrontent, alternent ou se superposent. Il y a celle qui cherche et qui doute, et celle qui découvre et qui s'autorise peu à peu... Entre voix intérieure et voix extérieures, hésitations et questionnements, lettres adressées à Émile Cioran et Antonin Artaud, échanges entre ma pensée et celles de différents auteurs, l'essai crée un espace pour la parole. Mon attention s'y oriente tantôt sur des concepts (la voix, le seuil, l'intime) tantôt sur des relations ou des oppositions (écrire/ne pas savoir écrire, le parlé/l'écrit, musique/écriture, résistance/abandon). Je tente de développer une position intérieure face à l'écriture, sans souci du bel effet. Je veux créer à partir d'une nécessité, à partir de ce qui résiste; me départir des formes usuelles pour aller vers une vérité intérieure, vers un battement interne : atteindre une qualité vibratoire dans l'écriture. Avec Artaud et Cioran, je cherche en fin de compte une réponse aux questions fondamentales qui animent ma démarche : comment construire tonalement dans l'écriture une subjectivité et une intimité non personnelle? Comment approcher le pulsionnel, inscrire le corps à partir de la voix? Comment créer une écriture musicale? Comment, en somme, devenir dans l'écriture une respiration, un chuchotement, un silence? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Voix, Création, Pluralité, Corps, Intime, Seuil, Polyphonie

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