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L'imaginaire de la marche dans les Illuminations d'Arthur Rimbaud

Gauthier, Audrey 11 1900 (has links) (PDF)
Les poèmes des Illuminations d'Arthur Rimbaud sont traversés par l'imaginaire de la marche qui se forme à partir des réseaux d'images qui insufflent le rythme de la prose. La figure du marcheur est à la fois locuteur passif devant un monde en marche et personnage en acte dans les territoires mouvants et les paysages poétiques des Illuminations. La marche est toujours sous-entendue dans les thèmes abordés par le poète, elle est un mouvement qui s'incarne dans un corps. Le recueil est mis en marche par le mouvement des corps, par le rythme scandé de la prose et par les nombreuses figures de promeneurs qui sillonnent l'espace. Le périple des Illuminations est à la fois vécu et rêvé, il donne lieu à des départs et à des fuites hors de tout lieu, complètement situé dans l'espace et dans la durée. Marche du monde, marche des corps, marche à l'écriture, le présent mémoire propose une lecture interprétative des Illuminations qui s'organise en trois chapitres, le premier mettant en perspective les diverses figures du marcheur présentes dans le recueil, le second retraçant les références au corps en marche dans les textes et le troisième explorant les nombreux départs et impulsions qui précèdent toute marche dans les Illuminations. Le but étant de retrouver la relation entre la marche et l'écriture à travers les textes des Illuminations. ______________________________________________________________________________
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Lecture et interprétation : le langage à l'épreuve du sens

Plante, Maxime 03 1900 (has links) (PDF)
On a coutume de voir dans l'absurde l'échec du langage à communiquer son sens. Une telle absence de sens au cœur même du langage ne devrait-elle pas remettre en question son efficacité? L'auteur tente de montrer que le concept d'absurde est pris dans les rets de la dialectique, car il est toujours assimilé à une négativité toujours productive. N'y a-t-il pas lieu pourtant de penser l'absurde en dehors de toute pensée dialectique - sans référence à une finalité, une utilité ou un sens ultime - en se basant sur l'expérience du texte dans la lecture? Une telle tentative nous projette au cœur du jeu de l'écriture et montre qu'en dehors de tout volontarisme de la part de l'auteur ou du lecteur un certain poétique les frappe avant toute intériorisation. Une telle rencontre n'est pas un prélude à la donation de sens mais la nuit de la désorientation. Celle-ci sera porteuse d'une expérience marquante pour la subjectivité du sujet sans posséder une quelconque valeur dans l'ordre de la connaissance. Le toucher du poétique engage le lecteur à la dissolution de sa subjectivité dans l'optique d'une communication qui serait pré-politique. Que signifie cet engagement lorsqu'on le confronte à des auteurs comme Derrida et Lévinas qui placent l'intentionnalité et la décision au cœur de leur pensée? Loin de compromettre la pensée du poétique, la réflexion de ces auteurs permet de la pousser plus avant vers une redéfinition de la liberté autour du motif de responsabilité à l'égard de l'Autre. Une telle responsabilité peut-elle être finalement le noyau constitutif de la subjectivité et le lien entre éthique et politique qui permet de penser une justice inconditionnelle? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : lecture, écriture, interprétation, absurde, poétique, langage
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Juste une fois ; suivi de, Pourquoi écrire en français au Québec?--

Duperré, Yvan 08 1900 (has links) (PDF)
Vous trouverez, ci-dessous, le résumé de la première partie du roman qui s'intitule Juste une fois : une rencontre entre une histoire baroque aux nombreux personnages et un conte urbain animalier. Un 24 juin, François Beauprey s'élance dans son deltaplane du haut de la chute Montmorency. Dans son élan, cet ancien coopérant volontaire va se rappeler quand il était rentré à Montréal désabusé de son dernier projet humanitaire avec sa nouvelle femme, Claire Saïd, une Arabe chrétienne d'origine israélienne à la recherche de son père d'origine juive. C'est aussi l'histoire de son fils Rock et de son père Roméo Beaupré, un ancien père franciscain. Un conflit intergénérationnel entre fils et pères. La deuxième partie de ce mémoire est un essai sur les éléments fondateurs de ma future posture d'écrivain intitulé : Pourquoi écrire en français au Québec? Apprendre à écrire? Pourquoi écrire? Écrire un roman? Écrire au « je » ou au « il ». Qu'en est-il de l'éthique, de la morale dans l'art romanesque aujourd'hui au Québec, pour nous qui appartenons à une nation francophone minoritaire en Amérique du Nord et qui sommes tout au plus une grande tribu entre le Chiapas et le Nunavut? Pourquoi espérer publier un roman pour des lecteurs de plus en plus analphabètes, qui parlent presque français dans le meilleur des cas, ou un dialecte typique le plus souvent, au moment où nous passons de la culture livresque à la culture de l'image et du numérique? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écrire, français, Québec, éthique
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La fiction poétique, précédée par Corps-floraison et En filigrane

Peyrouse, Anne January 1998 (has links) (PDF)
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Scepticisme et politesse dans l'œuvre de David Hume / Scepticism and politeness in the works of David Hume

Simon, Alexandre 05 January 2016 (has links)
Ce travail étudie la relation entre scepticisme et politesse dans l’œuvre de David Hume afin de contribuer à la compréhension philosophique de l’art d’écrire de Hume et de son évolution. Du Traité de la nature humaine (1739-1740) aux œuvres suivantes (les Essais, les deux Enquêtes, les Four Dissertations et les Dialogues sur la religion naturelle), on observe un incontestable changement dans la manière de communiquer la science de l’homme au public du XVIIIe siècle. Inspiré en partie du journalisme philosophique d’Addison et de Steele et destiné à rendre la philosophie abstraite accessible au public de la conversation, l’art d’écrire de Hume témoigne d’une intégration progressive de la culture de la politesse au scepticisme mitigé et à son expression. Mais cela signifie tout sauf un renoncement aux ambitions spéculatives du Traité, que Hume aurait abandonnées pour la recherche d’une gloire mondaine. Au contraire, comme expression de la bonne humeur caractéristique du « vrai sceptique » et comme préparation littéraire de la réception critique de la philosophie au sein de la République des Lettres, l’art d’écrire de Hume cherche à donner à cette science sceptique – et science nouvelle – qu’est la science de l’homme le public dont elle a besoin pour assurer sa fondation. Le scepticisme mitigé apparaît alors comme étant essentiellement un scepticisme policé, c’est-à-dire comme la meilleure manière de faire entrer la « métaphysique » dans la voie sûre de la civilisation. / This study deals with the relationship between scepticism and politeness in the works of David Hume, in order to contribute to the understanding of Hume’s art of writing from a philosophical point of view. From the Treatise of human nature (1739-1740) to the later works (the Essays, the two Enquiries, the Four dissertations and the Dialogues concerning natural religion), one can observe an obvious change in the manner of communicating the science of man to the public of the eighteenth century. Partly inspired by the philosophical journalism of Addison and Steele and designed to make abstract philosophy accessible to the public of conversation, Hume’s art of writing shows a progressive integration of the culture of politeness with scepticism and its expression. But this certainly does not mean that Hume would have left the speculative ambitions of the Treatise for worldly success. On the contrary, as an expression of the good humour which characterizes the « true sceptic » as well as a literary preparation of the critical reception of philosophy in the Republic of Letters, Hume’s art of writing tries to give to the science of man, considered as a sceptical – and new – science, the public that it needs for its foundation. Hence mitigated scepticism appears essentially as a polite scepticism, the best way for « metaphysics » to enter upon the secure path of civilization.
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La corporation des maîtres écrivains jurés de Paris sous l'Ancien Régime

Métayer, Christine 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La récolte diversifiée de feedbacks pour la détection de problèmes en rédaction journalistique (par l'utilisation d'un banc d'essai)

Samson-Legault, Daniel 12 April 2018 (has links)
L'écriture médiatique, même quand le récepteur est bien ciblé et connu statistiquement, donne lieu à une réception en lecture faite d'inférences et d'interprétations très difficiles à prévoir pour l'auteur-e. Ici, une expérimentation a réuni trois groupes de personnes, différemment composés, pour commenter des textes journalistiques avant leur publication, une discussion de groupe complétant un exercice individuel plus-minus. La récolte de feedbacks a. été abondante et pourrait certainement servir, à certaines conditions, à bonifier un projet de communication écrite. / Written-based media, even when the addressee is well targeted and known statistically, are read with inferences and interpretations hardly envisaged by the author or journalist. Here, an experiment gathered three different and selected groups of people, to give comments about selected texts before issuing them, a focus-group discussion supplementing the individual plus-minus method. Numerous feedbacks were generated of a kind who could serve to improve a written message planned. / La escritura mediática, aunque el receptor esta bien identificado y conocido estadísticamente, gênera en la etapa de la lectura una recepción con inferencias e interpretaciones muy difícil a prever por el autor. Aquí, una experimentación reunió très grupos de personas, diferentemente compuestos, para comentar sobre textos periodísticos antes de ser publicados, una discusión de grupo complementó un ejercicio individual llamado plus-minus. La colecta de feedbacks fue abundante y podría seguramente servir, con ciertas condiciones, para mejorar un projecto de comunicación escrita.
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Cycles repère : de l'espace scénique à l'espace écranique / De l'autre côté de la mer

Tounsi, Abdelmajid 16 April 2018 (has links)
Cycles Repère: de l'espace scénique à l'espace écranique ¿ est une recherche-création . visant à appliquer le processus créateur appelé Cycles Repère dans la réalisation d'un film accompli à l'aide de procédés numériques. Cette démarche créatrice a été conçue au départ pour le théâtre, mais j ' ai tenté d' établir un modèle parallèle à ce processus dans l'W1ivers du cinéma. Ce nouveau procédé d'expérimentation a privilégié une interaction créatrice entre les logiciels de création cinématographique et le matériel de captation numérique. Grâce au maillage de nouvelles technologies numériques et l' application des Cycles Repère, la genèse du film progresse dans une créativité structurée permettant aux artistes de nourrir leur vision artistique et leurs apprentissages pour renouveler cet art. Le corpus a été élaboré à partir de l' autoobservation, pendant trois ans de déroulement du laboratoire recherchecréation, d'un scénarimage créé collectivement, selon cette méthode de création. Les modalités relevées au cours des observations mettent en lumière un échange circulaire interactionnel entre les créateurs et principalement entre le réalisateur et son matériel de travail Geu d' acteurs, scénographie, effets spéciaux, musique, bruitage, etc.).
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À un pas ; : suivi de Écrire pour l'éternité / Écrire pour l'éternité

Mignault, Alexandra 18 April 2018 (has links)
Partie créative : À un pas. Nous sommes tous à un pas de la mort. Ou presque. Comment vivre avec cette menace qui plane toujours au-dessus de nos têtes ? Comment vivre avec la perte d'êtres chers ? Dix nouvelles qui décortiquent la mort sous plusieurs angles, qui se font écho entre elles dans une structure architecturale particulière, qui sont intrinsèquement liées, comme la mort et la vie. De ce thème macabre jaillit, paradoxalement, surtout une passion pour la vie, un désir de vivre. La vie est parfois plus forte que tout. Quand la mort ne s'en mêle pas. Partie réflexive : Écrire pour l'éternité. Pourquoi écrire ? Tous les humains sont voués à mourir un jour, à disparaître. Mais les écrits, eux, restent. L'écriture ne meurt pas. Elle existe pour toujours. Écrire pour laisser une trace, pour défier la mort un mot à la fois. Écrire pour fuir la mort en s'inscrivant dans la pérennité, en déjouant le temps. Écrire pour ne pas mourir. Écrire pour vivre. Encore. Mieux. Écrire, c'est une passion, une façon de vivre, un souffle, une exaltation. Écrire encore et encore. Toujours. À jamais. Pour l'éternité. L'obsession de la mort peut donc être un thème inspirant pour des nouvelles, mais aussi la raison inconsciente qui pousse à écrire ces mêmes nouvelles. La mort omniprésente s'impose partout. Après tout, elle fait partie de la vie.
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La ruelle aux aquariums : roman ; suivi de Les poches du Charlatan : essai sur la métamorphose du chantier de l'écrivain

Roy, Hugo 13 April 2018 (has links)
Une jeune femme qui cherche des souliers dans les ruelles et qui mémorise les pavillons à la poupe des cargos, un libraire qui collectionne les aquariums et un chien qui se prend pour un baron. D'abord isolés, les personnages de La ruelle aux aquariums développent une amitié aussi profonde qu'étrange. Jusque-là confinés à la marge, ils se rencontrent le temps de faire pour l'autre la cartographie de leurs mondes et d'effacer la frontière séparant la réalité rêche d'une imagination salutaire. En écrivant ce roman sur un ordinateur, une question s'est imposée: ±Qu'implique au juste l'utilisation de cet outil pour l'écrivain?¿. S'ouvrait alors une réflexion sur le romancier qui, composant une oeuvre à paraître sous forme imprimée, entretient une relation nouvelle avec son support d'écriture. Puisqu'il est question d'ordinateur, de brouillon et d'imprimé, la première section rappelle d'abord les principales transformations qu'ont subies les supports d'écriture et le brouillon à travers le temps du point de vue des informaticiens, des généticiens du texte et des historiens du livre. Avec l'écran comme vecteur d'une nouvelle relation entre le romancier et son texte, c'est ensuite la nature du ±brouillon numérique¿ qui apparaît. Mais ce brouillon, largement influencé par l'±image¿ iconique (Eco), comporte une ±friabilité¿ doublée d'une illusion contradictoire: à l'état de chantier, il prend souvent les allures d'un texte fini. C'est là le côté ±charlatan¿ du numérique. Pour capter cette ±image¿, la médiologie de Régis Debray a, dans un troisième temps, servi d'interface. Grâce au concept de médiasphère, le lien entre l'innovation technique et le roman est analysé dans une perspective diachronique, traçant du coup les contours de la période de transition dans laquelle nous nous trouvons. Appliquées à notre objet, les caractéristiques de cette période font émerger une nouvelle posture de l'écrivain à laquelle s'accrochent des ±rôles¿ transformés (romancier-lecteur, éditeur et imprimeur) dont l'impact est discuté. Enfin, la friabilité du brouillon est interrogée en regard de sa sauvegarde et de son archivage, le brouillon numérique destiné à l'impression impliquant plusieurs sauvegardes et un archivage qui peuvent poser problème.

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