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Nicolas Besnier (1686-1754) : architecte, orfèvre du roi, directeur de la Manufacture royale de tapisseries de Beauvais, et échevin de la Ville de Paris / Nicolas Besnier (1686-1754) : architect, goldsmith of the king, director of the Royal Manufacture of Tapestry of Beauvais, and alderman of the city of Paris

Huchet de Quénétain, Christophe 04 March 2017 (has links)
Nicolas Besnier (1686-1754) est le fils de François Besnier, chef du gobelet du roi, et d’Henriette Delaunay. Son oncle est Nicolas Delaunay et son parrain est Corneille Van Clève. Comme architecte, Nicolas Besnier fait le voyage en Italie de 1709 à 1712 ; étudiant à l’Académie de France à Rome, il obtient le premier prix d'architecture de l’Académie de Saint-Luc en 1711. Maître orfèvre en 1714, associé à Delaunay, logé aux galeries du Louvre à partir de 1718, il est nommé orfèvre du roi par un brevet en 1723. Il travaille pour la cour de France, notamment pour le remplacement de la vaisselle ordinaire du roi et pour les Affaires étrangères, ainsi que pour les comtes de Tarroca, de Pontchartrain, les duchesses de Retz, d'Harcourt, le maréchal de Castries, les ducs de Bouillon, de Levy, Horatio Walpole, Gaspard-César-Charles de Lescalopier, William Bateman, l'église Saint-Louis-en-l'ile, la cour de Wurtemberg, etc… Il devient échevin de la ville de Paris en 1729. A cette époque, il décide de collaborer avec son gendre Jacques Roëttiers de La Tour, à qui il laissera la conduite de son atelier d’orfèvre. De 1734 à 1753, il est directeur de la Manufacture royale de tapisserie de Beauvais. Il supervise la création de nouvelles tentures par Jean-Baptiste Oudry - Métamorphoses d'Ovide, Verdures fines -, par Charles Joseph Natoire - Histoire de don Quichotte - et par François Boucher - les Fêtes italiennes, Histoire de Psyché,Seconde tenture chinoise, les Amours des dieux, la Noble pastorale, les Fragments d'opéra ; cette période est vraiment « l'âge d'or » de la manufacture. Il quitte son logement aux galeries du Louvre en 1739 et il remet son poinçon d'orfèvre en 1744. / Nicolas Besnier (1686-1754) is the son of François Besnier, head of the Gobelet du Roi and Henriette Delaunay. His uncle is Nicolas Delaunay and his godfather is Corneille Van Clève. As an architect, Nicolas Besnier traveled to Italy from 1709 to 1712. As student at the Academy of France in Rome, he obtained the first prize of architecture of the Académie de Saint-Luc in 1711. He became master goldsmith in 1714, partner with Delaunay, and was housed in the Galeries du Louvre from 1718. He was appointed goldsmith of the king by a patent in 1723. He worked for the court of France, notably for the replacement of the king's ordinary serveware and for the Foreign Affairs, as well as for the Counts of Tarroca, of Pontchartrain, the Duchess of Retz, of Harcourt, the Marshal de Castries, the Dukes of Bouillon, of Levy, Horatio Walpole, Gaspard-Caesar-Charles de Lescalopier,William Bateman... He became the alderman of the city of Paris in 1729. At that time, he decided to collaborate with his son in law Jacques Roëttiers de La Tour, who led the his workshop of goldsmith. From 1734, and until 1753, he was director of the Royal Manufacture of Tapestry of Beauvais. He supervised the creation of newhangings by Jean-Baptiste Oudry - Metamorphosis of Ovide, Fine verdures, by Charles Joseph Natoire - History of Don Quixote and by François Boucher - Italian festivals, Story of Psiché, the second Chinese hangings, the Loves of the gods, the Noble pastoral, Fragments of opera. This period is truly the « golden age » ofmanufacturing. He left his lodging at the galleries of the Louvre in 1739 and in 1744 gave back his hallmark of goldsmith.
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Les envois de Rome des pensionnaires peintres de l’Académie de France à Rome de 1863 à 1914 / The "envois de Rome" of the "pensionnaires peintres" of the "Académie de France à Rome" 1863-1914

Lechleiter, France 22 November 2008 (has links)
La direction artistique de l’Académie de France à Rome et de ses pensionnaires est placée sous le patronage de l’Académie des beaux-arts. Elle détermine et réglemente les conditions de séjour et le programme des travaux annuels, les envois de Rome. Ce privilège est interrompu le 13 novembre 1863 par un décret qui lui retire sa tutelle pour la confier à l’Etat. Cette rupture est révélatrice d’une crise majeure de l’enseignement des beaux-arts en France et bien que l’Académie récupère la totalité de ses prérogatives huit ans plus tard, elle devra désormais composer avec les exigences que l’époque lui imposera, entre tradition et modernité. C’est dans cette perspective que vienne s’inscrire les pensionnaires peintres et leurs envois de Rome. Tributaires d’un enseignement et d’un système académique des beaux-arts, les lauréats des grands prix de Rome de peinture sont le symbole de la tradition. Ils sont peintres d’histoire et achèvent leur formation artistique en Italie, à Rome, au contact des grands maîtres de la Renaissance et des chef-d’œuvres de l’antiquité. Mais ils sont aussi enfants de leur siècle et à ce titre partagent les problématiques artistiques contemporaines. La question est de savoir dans quelle mesure cette présence au monde se manifeste dans leurs envois et de quelle nature sont les formes qu’elle revêt. / The artistic direction of the Académie de France à Rome and its artists in residence is placed under the patronage of the Academy of fine arts. The Academy determines and regulates the conditions of stay and the programme of annual work, the « envois de Rome ». This privilège is interrupted on the 13th November 1863 by a decree witch withdraws its guardianship to entrust it to the government. This rupture shows major crisis in fine arts education in France. even though the Academy recovers the totality of its prerogatives eight years later, from then on it has to take into account the demands that epoch imposes, oscillatin between tradition and modernity. It is in this perspective that the painters in residents and their « envois de Rome » position themselves. tributaries of the education and of the academic system of fine arts, laureates of the prix de Rome in painting are the symbol of the tradition. They are history painters and complete their artistic training in Italy, in Rome, in touch with the old masters of the Renaissance and the masterpiecies of antiquity. But they are also children of their century and for this reason they share the contemporary artistic issues . The point is to know to what extent this presence in world is manifested in their work and what is the nature of the forms it takes on.

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