• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 6
  • Tagged with
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Attachement et adaptation sociale : étude comparative entre les enfants adoptés à l'international et les enfants vivant avec leurs parents biologiques /

Massé, Véronique. January 2006 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2006. / Bibliogr.: f. 46-54. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
2

Inhibition comportementale à la petite enfance : pertinence du contexte et fondements génétiques et environnementaux

Provost, Lysandre 01 October 2024 (has links)
L'inhibition comportementale est un trait de tempérament caractérisé par une forte réponse négative à la nouveauté. Bien que ce trait soit généralement conceptualisé comme un construit unidimensionnel, les comportements d'évitement et les affects négatifs manifestés face à la nouveauté pourraient constituer des dimensions distinctes de l'inhibition comportementale qui varient selon le contexte (social ou non social). Une approche différenciée de ce construit pourrait révéler des patrons distincts sur le plan étiologique ainsi qu'en ce qui concerne les associations avec des mesures parallèles de réponses à la nouveauté. Ce mémoire s'arrime à l'Étude des jumeaux nouveau-nés du Québec et comprend deux objectifs. Premièrement, il vise à documenter les associations entre certaines dimensions de l'inhibition comportementale évaluées dans deux contextes distincts avec la réponse de cortisol et une évaluation générale des difficultés d'adaptation à la nouveauté rapportée par la mère. Deuxièmement, il vise à examiner les contributions génétiques et environnementales propres à chaque composante de l'inhibition comportementale. Un total de 568 jumeaux âgés de 19 mois ont été exposés à deux situations nouvelles, l'une sociale et l'autre non sociale, dans lesquelles les manifestations comportementales et affectives de l'inhibition comportementale ont été codifiées. Le cortisol a été prélevé avant et après l'exposition aux situations. Les résultats révèlent que la réponse de cortisol n'est associée qu'aux manifestations de l'inhibition comportementale observées dans un contexte non social. Les difficultés d'adaptation rapportées par la mère sont associées à toutes les composantes, mais surtout aux manifestations de l'inhibition comportementale en contexte social. Concernant le second objectif, les différences individuelles des comportements d'évitement étaient principalement associées à des facteurs génétiques, alors que les affects négatifs étaient principalement liés à des facteurs environnementaux. Ces résultats permettent une compréhension plus précise et nuancée de l'inhibition comportementale et souligne la pertinence d'adopter une approche différentiée et contextualisée pour évaluer ce construit. / Behavioral inhibition is a temperamental trait observed early in life characterized by a strong negative response to novelty. Although this trait is generally conceptualized as a unitary construct, avoidance behaviors and negative affect in the face of novelty represent distinct dimensions of behavioral inhibition and vary according to context (social or nonsocial). It remains thus unknown whether a differentiated approach to the measurement of behavioral inhibition would reveal a distinct gene-environment etiology and patterns of associations with other indicators of reactivity to novelty. This memoir, which is affiliated with the Quebec Newborn Twin Study, first aims to document the patterns of association between dimension- and context-specific measures of behavioral inhibition with cortisol response to novelty and mother-rated general unadaptability to novelty. The second aim is to examine the genetic and environmental contributions across these specific components of behavioral inhibition. A total of 568 19-month-old twins were exposed to two novelty situations, one social and the other nonsocial, in which the dimensions of behavioral inhibition were coded. Cortisol was collected before and after exposure to the novel situations. Results showed that cortisol response to novelty was only associated with dimensions of behavioral inhibition in a nonsocial context. Mother-reported general unadaptability was associated with all components but predicted more strongly the social dimensions of behavioral inhibition. Individual differences related to avoidance behaviors were mainly explained by genetic factors, while those associated with negative affect were mostly driven by environmental factors. These findings enhance our understanding of individual differences in a temperament trait crucial for child's social-emotional development and underscore the importance of implementing a nuanced and context-sensitive approach to assessing behavioral inhibition.
3

Attachement et adaptation sociale : étude comparative entre les enfants adoptés à l'international et les enfants vivant avec leurs parents biologiques

Massé, Véronique 11 April 2018 (has links)
Cette étude a pour objectifs de vérifier si le fait de développer une relation d'attachement sécurisante à son parent favorise une meilleure adaptation sociale en bas âge et ce, tant chez les enfants issus de contextes d'adoption internationale que chez les enfants vivant avec leurs parents biologiques. 32 enfants adoptés et 38 enfants non-adoptés constituent l'échantillon. La relation d'attachement est mesurée à l'aide du Tri-de-cartes rapporté par les mères. Le Child Behavior Checklist (CBCL) est utilisé afin de mesurer l'adaptation sociale des enfants. Contrairement à ce qui était attendu, les enfants adoptés ont un attachement significativement plus sécurisant que les enfants vivant avec leurs parents biologiques ( t(68) = -3.710, p < .05). De plus, le score d'extériorisation est plus bas chez les enfants adoptés que chez les enfants nonadoptés (t(68) = 3.445, p< .05 ). Cependant, ces résultats ne tiennent pas compte des grandes différences sur le plan socio-économique entre les deux groupes de familles et de la différence d'âge entre les enfants. De plus, le groupe d'enfants adoptés est composé en grande partie de filles, ce qui influence les résultats obtenus. Une régression hiérarchique a été effectuée avec le score d'extériorisation comme variable dépendante, et trois variables socio-économiques comme prédicteurs potentiels. Les résultats indiquent que dans ces deux groupes, le score d'extériorisation est davantage associé aux caractéristiques socio-économiques familiales qu'à la relation d'attachement.
4

Les dimensions du retrait social à l'enfance : associations avec les difficultés interpersonnelles, étiologie génétique et précurseurs tempéramentaux

Morneau-Vaillancourt, Geneviève 27 January 2024 (has links)
Le retrait social à l'enfance est associé à un ensemble de difficultés socio-émotionnelles, incluant des problèmes internalisés et des difficultés sociales avec les pairs. Le retrait social est un construit complexe qui peut se décliner de différentes manières puisque plusieurs raisons peuvent mener les enfants à s'isoler en contextes sociaux. Notamment, la réticence sociale et la préférence pour la solitude constituent deux dimensions qui se distinguent sur le plan de leurs motivations sous-jacentes et de leurs répercussions sur l'ajustement socio-émotionnel des enfants. Pour cette raison, il est pertinent d'étudier la réticence sociale et la préférence pour la solitude séparément. Plusieurs questions demeurent toutefois non résolues par rapport à leur développement au cours de l'enfance. C'est pourquoi l'objectif général de la présente thèse de doctorat est de documenter, à l'aide d'un devis longitudinal prospectif, l'évolution de la réticence sociale et de la préférence pour la solitude au cours de l'enfance, ainsi qu'examiner les mécanismes à l'origine de leur développement. Les objectifs spécifiques de la thèse sont d'examiner 1) dans quelle mesure la réticence sociale et la préférence pour la solitude prédisent les difficultés interpersonnelles au cours de l'enfance, 2) leur étiologie génétique, ainsi que 3) leurs précurseurs tempéramentaux. Des données recueillies tout au long de l'enfance auprès de participants de l'Étude des jumeaux nouveau-nés du Québec (ÉJNQ) et de l'Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ÉLDEQ) ont été utilisées pour répondre à ces objectifs. La thèse se compose de trois articles empiriques. Le premier article utilise les données recueillies auprès des familles de l'ÉJNQ pour montrer, à l'aide d'une approche multi-niveaux, que, contrairement à la réticence sociale, la préférence pour la solitude augmenterait le risque de subir de la victimisation et du rejet par les pairs et que ces liens prédictifs s'expliqueraient par des contributions environnementales. Par ailleurs, la préférence pour la solitude était progressivement associée à la victimisation de 6 à 10 ans, suggérant que la préférence pour la solitude deviendrait davantage perçue négativement auprès des pairs vers la fin de l'enfance. Le deuxième article de la thèse met à profit les données issues du génotypage de participants de l'ÉJNQ et de l'ÉLDEQ pour examiner si des profils de vulnérabilité génétique différents permettent de différencier les trajectoires développementales à risque de la réticence sociale et de la préférence pour la solitude au cours de l'enfance. Les résultats indiquent que des scores polygéniques, calculés à partir des données génétiques des participants, sont différemment associés avec la réticence sociale et la préférence pour la solitude. Alors qu'un score polygénique pour la solitude prédisait la réticence sociale, un score polygénique général associé à plusieurs traits en lien avec la santé mentale prédisait la préférence pour la solitude. Ainsi, le deuxième article fournit une démonstration probante que des profils de risque génétique distincts sous-tendenderaient chacune des dimensions. Enfin, le troisième article examine, à l'aide des données de l'ÉJNQ recueillies de 5 mois à 10 ans, les précurseurs tempéramentaux et physiologiques précoces de la réticence sociale et de la préférence pour la solitude à l'âge préscolaire et à l'âge scolaire. Les résultats obtenus à partir d'un modèle séquentiel d'équations structurelles indiquent que l'inhibition comportementale face à une personne inconnue était posivitement associée à la réticence sociale au préscolaire. Par ailleurs, l'expression d'affects négatifs en contextes de nouveauté prédisait de façon similaire la réticence sociale et la préférence pour la solitude au préscolaire. Enfin, une interaction entre deux indicateurs de régulation physiologique, soit le tonus vagal et le cortisol, prédisait la réticence sociale en contexte scolaire. Cette interaction suggère que le tonus vagal pourrait atténuer le risque associé à la réponse du cortisol en ce qui a trait au développement de la réticence sociale à l'âge scolaire. Dans l'ensemble, les résultats du troisième article indiquent que certains précurseurs tempéramentaux et physiologiques prédisent de façon distincte la réticence sociale et la préférence pour la solitude. Ainsi, les résultats de la thèse contribuent à clarifier les distinctions entre les dimensions du retrait social en suggérant que la réticence sociale et la préférence pour la solitude sont différemment associées aux difficultés interpersonnelles et ont une étiologie génétique et des précurseurs tempéramentaux partiellement distincts. / Social withdrawal in childhood is associated with a host of emotional and interpersonal adjustment problems, including internalizing and peer difficulties. Social withdrawal is a complex and multifaceted construct, as different reasons can explain why children may choose to refrain from interacting with peers. Dimensions of social withdrawal such as social wariness and preference for solitude have unique social motivations and distinct associations with socioemotional problems. For these reasons, studying social wariness and preference for solitude separately is warranted. There are, however, several unresolved questions regarding aspects of their development. Hence, the general objective of the thesis is to document, within a longitudinal-prospective design, the development of social wariness and preference for solitude throughout childhood and the mechanisms underlying their respective developmental course. Specifically, the thesis aims to examine 1) the extent to which social wariness and preference for solitude are predictively associated with peer difficulties, 2) their genetic etiology, and 3) their early temperamental predictors. To achieve these goals, data collected throughout childhood from the Quebec Newborn Twin Study (QNTS) and the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD) were used. The thesis includes three empirical chapters. The first chapter incorporates familial data from the QNTS in a longitudinal multilevel model to show that preference for solitude, rather than social wariness, increases the risk for peer victimization and rejection, and that these predictive links are likely a reflection of an environmental process. Preference for solitude progressively predicted victimization from 6 to 10 years old, suggesting that preference for solitude becomes more negatively perceived by peers in late childhood. The second chapter takes advantage of genotype data in the QNTS and in the QLSCD to test whether genetic vulnerability profiles differentiate high-chronic trajectories of social wariness and preference for solitude throughout childhood. Findings show that polygenic scores, calculated from the participants' genotypes, are differently associated with social wariness and preference for solitude. Whereas social wariness was associated with a polygenic score for loneliness, preference for solitude was associated with a general polygenic score for several mental health traits and thus overlapped genetically with a broader range of mental health traits. Results from the second study suggest that social wariness and preference for solitude have different etiological mechanisms, this time characterized by different genetic risk profiles. The third chapter examines, using data from the QNTS collected between 5 months and 10 years old, the early temperamental and physiological precursors of social wariness and preference for solitude in preschool and in grade school. Results from a sequential structural equation model indicate that behavioral inhibition in approaching an unfamiliar person was positively associated with preschool social wariness. Yet, the expression of negative affects in unfamiliar situations predicted both elevated levels of social wariness and preference for solitude in preschool. Further, an interaction between two physiological stress regulation systems, vagal tone and cortisol reactivity, predicted social wariness during the grade school years. This interaction suggests that vagal tone may buffer the risk associated with cortisol reactivity. Overall, findings from the third study show that, for the most part, early temperamental and physiological dispositions differentially predict social wariness and preference for solitude in childhood. In conclusion, results from the thesis contribute to enhancing our understanding of the etiological distinctions between dimensions of social withdrawal and of their respective risk for peer difficulties.
5

Violence communautaire et problèmes associés chez les enfants et les adolescents québécois

Dubé, Christine 24 April 2018 (has links)
La présente thèse a pour objectif d'approfondir l'étude des liens existant entre le fait d'être victime ou témoin de violence communautaire et différents problèmes psychologiques et d'adaptation sociale, s'exprimant sous forme de colère et de symptômes dépressifs, anxieux et d'état de stress post-traumatique (ÉSPT) chez 797 enfants et 1400 adolescents québécois âgés entre 6 et 17 ans. Un premier volet de l'étude permet de documenter le phénomène de la violence communautaire vécue par les enfants et les adolescents. Cette étude contribue d'une part à l'opérationnalisation et à la mesure de ce type de violence, et fournit un portrait statistique de cette forme de violence d'autre part. Les analyses factorielles et de cohérence interne réalisées sur le Juvenile Victimization Questionnaire (Hamby & Finkelhor, 2004) ont permis de faire ressortir trois composantes à la violence communautaire, soit les composantes de violence physique, violence sexuelle et de climat de violence. Un portrait détaillé de cette violence, incluant les prévalences annuelles de diverses manifestations de violence communautaire selon l'âge et le sexe, a également été réalisé. Le deuxième volet de cette étude permet d'évaluer les différences entre les adolescents présentant un vécu de violence communautaire de nature physique, et ceux n'ayant pas vécu de telles expériences sur la colère et les symptômes d'ÉSPT et dépressifs rapportés, en considérant plusieurs variables contextuelles à cette violence. Ce volet s'intéresse plus particulièrement aux adolescents plutôt qu'aux enfants et à la violence communautaire de nature physique en raison des prévalences plus importantes observées. Les résultats d'analyses de variance multivariée réalisées auprès de l'échantillon adolescent montrent que le fait d'être victime, la diversité des manifestations de violence rapportées et l'identité de l'agresseur auraient une incidence importante sur les symptômes psychologiques rapportés, et ce, particulièrement pour la colère. Ces deux études confirment la présence de violence communautaire dans une population qui n'est pas considérée comme à haut risque de violence et précise sous quelles formes cette violence se manifeste en contexte québécois. La présente thèse souligne l'importance de tenir compte du contexte entourant la violence communautaire pour mieux comprendre les difficultés psychologiques qui lui sont associées.
6

Favoriser le développement de la pensée sociale par l'étayage du jeu symbolique chez des enfants qui fréquentent la maternelle cinq ans

Landry, Sarah 20 April 2018 (has links)
Cette étude comporte trois objectifs correspondant respectivement aux trois articles composant cette thèse. Le premier de ces objectifs, consiste à dresser un état des connaissances sur le jeu symbolique comme contexte de développement de la pensée sociale et de l’adaptation socioscolaire en maternelle cinq ans. Une recension des écrits a permis de faire une synthèse des connaissances présentant le jeu symbolique comme contexte favorisant le développement de la pensée sociale et de l’adaptation socioscolaire. Le second objectif concerne l’étude des compétences associées à la pensée sociale et de leurs liens prédictifs avec l’adaptation socioscolaire. Pour ce faire, soixante-douze enfants de quatre classes maternelles de la Commission scolaire des Découvreurs ont pris part à un prétest (janvier) incluant trois épreuves individuelles mesurant la pensée sociale (prise de perspective d’autrui, attitude prosociale et capacité de résoudre des problèmes sociaux). Aussi, leurs enseignantes ont complété des questionnaires mesurant quatre dimensions de l’adaptation sociocolaire de leurs élèves (sociabilité, adaptation socioscolaire, problèmes extériorisés et problèmes intériorisés). Les résultats des analyses de régression multiples confirment le caractère multidimensionnel de la pensée sociale et l’associent à la dimension adaptation sociocognitive de l’adaptation socioscolaire. Le troisième objectif consiste à examiner, chez ces mêmes enfants l’effet de l’étayage du jeu symbolique sur le développement de la pensée sociale et de l’adaptation socioscolaire. Pour ce faire, les quatre classes furent divisées pour former un groupe expérimental (N=2) et un groupe témoin (N=2). Les enfants du groupe expérimental (N=34) ont participé à des opportunités relationnelles misant sur l’étayage du jeu symbolique (N=9) qui s’échelonnaient sur une période de trois mois à raison d’environ une rencontre (1 heure) par semaine. Ainsi, au-delà des données récoltées en prétest (janvier), les données amassées avec les mêmes instruments en posttest (mai), ont permis de réaliser des analyses de régression multiples afin d’évaluer les effets de ces opportunités relationnelles pour le développement de la pensée sociale des enfants et de leur adaptation socioscolaire. Les résultats obtenus indiquent qu’au-delà du genre et des résultats en temps 1, l’étayage du jeu symbolique est associé à un score plus élevé à deux mesures de la pensée sociale.

Page generated in 0.1699 seconds