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Etude du poinçonnement d'une série stratifiée par le déplacement d'une écaille chevauchante : exemples expérimentaux et naturels

Bonnet, Jean Luc 19 April 1983 (has links) (PDF)
La modélisation analogique effectuée consiste à déformer une couverture stratifiée (représentée par des feuillets de paraffine calibrés : niveaux compétents, séparés par un enduit degraisse aux silicones = niveaux incompétents) qui peut glisser sur son socle rigide, par un poinçon simulant une écaille (représentée par un bloc indéformable) et agissant soit par son déplacement dans le plan des couches, soit par son poids, perpendiculairement à celles-ci. Par nécessité de schématisation le rôle tangentiel du poinçon est séparé de son rôle gravitaire en deux expériences distinctes. Des règles de répartition des structures obtenues sont déduites de ces modèles contrôlés. Les résultats de la modélisation sont ensuite testés sur deux exemples de terrain. L'arc du front pennique valaisan, qui parait, cartographiquement, dû à un ecoulement entre les deux poinçons passifs du Mont Blanc et de l'Aar, ne peut pas en fait être interprété en termes de poinçonnement horizontal. C'est la surrection tardive des massifs bordiers qui provoque la forme arquée du front des nappes. L'arc du Jura correspond mieux aux résultats expérimentaux. Les structures analysées dans cette région semblent tout à fait compatibles avec un glissement et une déformation contrastée en zones concentriques, de la couverture sédimentaire sur son socle. La mise en mouvement serait due à la poussée vers le NW du Bassin molassique suisse, lui-même indéformé et déplacé sous l'influence des schevauchement crustaux alpins plus méridionaux. La confrontation des données expérimentales et de terrain permet de donner les règles utilisables pour déterminer si un ensemble de structures est bien le résultat du déplacement d'une écaille chevauchante agissant par poinçonnement de son avant pays. Les deux tests effectués sur le terrain montrent que ces règles sont réellement pratiques et discriminantes. Il en ressort qu'il est surtout important de distinguer entre les déformations situées au front du poinçon (forte amplitude des plis, déversements et chevauchements, structures imbriquées, extension perpendiculaire aux directions structurales axiales) et celles qui sont situées à son flanc (moindre amplitude des plis, extension parallèle aux axes, décrochement...) .
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Exemples de structures en extension et de leur influence sur les déformations postérieures dans le domaine téthysien (Bourg d'Oisans, Alpes occidentales françaises et Troodos, Chypre)

Grand, Thierry 27 March 1987 (has links) (PDF)
La mesure systématique dans les plans striés et leur traitement statistique par la méthode des dièdres droits ont permis de mettre en évidence, dans la région de Bourg-d'Oisans, 3 épisodes d'extension, antérieurs aux phénomènes alpins. Des critères stratigraphiques permettent de préciser leur âge, soit : • au Trias, direction d'extension N-S, • au Lias inférieur p.p., direction d'extension NE-SW, • au Lias supérieur, direction d'extension W.NW-E.SE. Ces faits sont à relier à la structuration de la marge européenne de la Téthys ligure, le bassin de Bourg d'Oisans étant considéré comme la couverture sédimentaire d'un bloc basculé décakilométrique. Le paléochamp de contraintes au Lias inférieur peut-être considéré comme le résultat d'une déviation de la contrainte générale en régime décrochant, du fait de l'existence d'accidents antérieurs hérités des phases tardi-hercyniennes. Les émissions de basaltes subalcalins (spilites) du sommet du Trias ont déjà été contrôlées par cette tectonique décrochante. Selon cette interprétation, le changement tectonique entre le sommet du Trias-Lias inférieur et le Lias supérieur s'est effectué par une simple permutation des contraintes D1 et D2 ; la contrainte minimale D3 étant restée constante en direction durant ces 2 épisodes. Ceci nous conduit à considérer que la réorganisation tectonique principale se situe au sommet du Trias et correspond donc au début du rifting dans cette région. L'évolution géodynamique de la région de Bourg-d'Oisans durant le Mésozoïque est similaire à celle d'autres systèmes de rift, comme le fossé rhénan et le Golfe de Suez. Les phases compressives alpines ont aussi été caractérisées. Leurs effets ont été fortement influencés par les structures héritées des épisodes distensifs mésozoïques. L'étude des structures syn-ophiolitiques dans le massif du Troodos à Chypre a permis d'individualiser une phase d'extension syn-ophiolitique dirigée W.NW-E.SE et des épisodes de déformation post-ophiolitiques (compression N160 et extensions récentes) fortement influencés par les structures antérieures.
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Les épisodes magmatiques filoniens basiques du massif des Ecrins-Pelvoux entre Carbonifère et Lias

Laurent, Jean Christophe 06 May 1992 (has links) (PDF)
Les filons basiques du Massif des Ecrins-Pelvoux (massif cristallin externe des Alpes françaises) se rattachent à 2 principaux cortèges marqueurs de l'évolution géodynamique du domaine dauphinois entre Carbonifère et Lias : -un cortège basaltique associé à la distension du début du cycle alpin, -un cortège lamprophyrique, d'affinité subalcaline à magnésio-potassique, Carbonifère supérieur. I- Le cortège Carbonifère est formé par des lamprophyres micacès déjà connus (minettes) et également par des lamprophyres calco-alcalins à amphibole (vosgésites, quartz-monzodiorites). Ces 2 groupes présentent des compositions semblables en SiO2 (46 à 56%), et en Fe, Ti, Na, Ca à SiO2 constant. En revanche, toutes les transitions existent pour Al, Mg, K et les éléments incompatibles entre un pôle alumineux, calco-alcalin potassique (vogésites) et un pôle métalumineux, magnésio-potassique (minettes). Ils sont engendrés par un manteau source commun, dont l'hétérogénéité serait à l'origine de leurs écarts de composition, à SiO2 constant. Ce cortège est génétiquement associé aux laves stéphaniennes des Grandes Rousses et postérieur à la dernière phase de structuration du cycle hercynien (324 +- 12 Ma, Ménot, 1987). II- Le cortège basaltique comprend d'une part, la lignée alcaline proprement dite, et d'autre part une lignée tholéiitique continentale composée de dolérites non spilitiques, riches en titane (TiO2 = 2,6-4%), Th, La, Ce, K, très fractionnées (Mg/Mg+Fe = 0,31 à 0,4, SiO2= 48-54%)) et sursaturées en silice, comparable aux tholéiites de plateaux (Columbia River, Ecosse). Les dolérites tholéiitiques affleurent en filons plurikilométriques E-W, dont un grand filon ancien, qui recoupait probablement tout le socle du M.E.P. leur âges ne sont clairement établis mais ils sont contemporains du régime distensif éoalpin.
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Déplacements et déformations dans l'avant-pays d'une chaine de collision (Méthodes d'études et modélisation - exemple du Jura)

Mugnier, Jean-Louis 11 October 1984 (has links) (PDF)
L'amortissement des déplacements et des déformations de l'avant-pays d'une chal ne de collision est étudié grâce à l'utilisation conjointe de plusieurs méthodes. Les déformations à l'échelle de l'affleurement sont analysées par des mesures microstructurales. Les déplacements horizontaux et les déformations à l'échelle des méga-structures sont quantifiés par l'analyse des bilans géométriques d'une coupe. Les déplacements verticaux du socle sont étudiés grâce à un modèle de flex ion d'une plaque Iithosphérique. La zonation des déformations de la couverture est reliée, grâce à des modèles mécaniques à l'influence respective des forces de surface et des forces de volume. Chacune de ces méthodes est d'abord présentée, puis détaillée de manière à faire partie d'une méthode d'aide à la conception de coupes géologiques, basées sur l'utilisation d'un micro-ordinateur. Le problème des relations entre la formation du Jura et celle des Alpes est ensuite étudié. Différentes hypothèses sur la genèse du Jura sont analysées grâce aux méthodes présentées précédemment. Ce travail conduit à exclure certaines d'entreelles, et à proposer un schéma cinématique et dynamique compatible avec les observations structurales et stratigraphiques, les données géophysiques disponibles, et les résultats de modèles. mécaniques. Si la déformation du Jura interne peut correspondre à un chevauchement Alpin propagé jusqu'à cette région périphérique par le décollement généralisé de la couverture du bassin molassique, la déformation du Jura Externe ne peut être reliée de la même manière à la formation des Alpes, et doit être expli- . quée par une tectonique du socle, liée aux régimes successifs d'extention (formation des fossés Bressan et Rhénan) et de corn· pression (formation des Alpes) qui se produisent régionalement.
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Etude pétrologique, géochimique et structurale des terrains cristallins de Belledonne et du Grand Chatelard traversés par les galeries E.D.F. Arc-Isère- Alpes Françaises.

Gasquet, Dominique 27 November 1979 (has links) (PDF)
les terrains cristallins de Belledonne et du Grand Chatelard sont étudiés du point de vue pétrologique, géochimique et structurale. Cette étude à mis en évidence d'Ouest en Est : (i) le caractère principalement chevauchant de l'accident médian, (ii) des conditions de T° et de P pour le métamorphisme des gneiss de St Rémy évaluées respectivement à 635 +/- 30°C et 4>P<6 kb, (iii) une mise en place du monzogranite des Sept Laux tardive par rapport à (iV) le complexe granitique de St Colomban, lui même composé de faciès hétérogènes comprenant des gneiss +/- migmatitiques, et de faciès plutonique allant des diorites à des leucogranites. Enfin, (v) la tectonique tardi-hercynienne puis alpine le long de l'accident de Fond de France entraine une mylonitisation progressive dans le faciès schistes verts, notamment des granitoïdes.
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Géologie des unités de Vanoise septentrionale et méridionale de Pralognan à Tignes (Alpes de Savoie)

Broudoux, Bruno 28 May 1985 (has links) (PDF)
Cette étude lithostratigraphique, géochimique,et structurale est basée sur la cartographie à 1/10 000 des unités briançonnaises de la limite Vanoise septentrionale et méridionale, et des nappes de la Grande Motte, des gypses et des Schistes Lustrés, entre Pralognan-la-Vanoise et Tignes. LITHOSTRATIGRAPHIE - Les unités de Vanoise septentrionale contiennent selon les cas 1) des séries exclusivement triasiques. carbonatées, adhérentes ou non sur leur substratum; 2) des séries pour l'essentiel triasiques et carbonatées, avec des termes post-triasiques très réduits; 3) des séries carbonatées complètes ou réduites allant des cargneules du Werfénien supérieur aux schistes de Pralognan éocènes ; 4) des séries de type Acceglio MaIm transgressif sur Werfénien). - Les unités de Vanoise méridionale renferment : 1) des séries carbonatées, complètes ou réduites 2) des séries de type Acceglio. En Vanoise méridionale et Vanoise septentrionale, une sédimentation de plateforme carbonatée s'installe, lors du Trias moyen, sur la pénéplaine épivarisque. Ces dépôts sont interrompus par une tectonique cassante distensive soit au Carnien inférieur, soit au Lias-Dogger inférieur. L'érosion plus ou moins importante des panneaux basculés précède la transgression généralisée du Jurassique moyen à supérieur, et la subsidence conduit à des faciès pélagiques à la fin du Malm. Après lacune du Crétacé inférieur, la sédimentation pélagique. condensée et lacuneuse, donne des dépôts actuellement représentés par les marbres chloriteux. entrecoupés de hardground (encroutement). A l'Eocène moyen - supérieur, des apports détritiques notables (ce sont les schistes calcaro-qréseux de Pralognan) clôturent les dépôts sédimentaires en Vanoise. - La nappe de la Grande Motte (des dolomies noriennes aux schistes éocènes) se caractérise par la présence d'un Rhétien - Hettangien d'affinité prépiémontaise s'amincissant d'Est en Ouest, et par celle d'un Lias moyen à supérieur dit prépiémontais , constitué de calcschistes à zones siliceuses. - Surmontant une semelle riche en gypses et cargneules (nappe des Gypses) , la nappe des Schistes Lustrés débute par des métabasites jurassiques s.l. et peut monter dans le Crétacé moyen-supérieur ? TECTONIQUE - L'édifice structural est très complexe, avec une tectonique polyphasée et polymétamorphique. On peut schématiquement distinguer quatre événements tectoniques : pré D1 : déplacements majeurs des nappes au N, ou NW, avec écaillages localisés D1 : grands plis couchés transverses, synmétamorphiques, d'axes E-W qui localement seraient à vergence sud sur la limite Vanoise septentrionale - méridionale ; D2 : plis méridiens synmétamorphiques, déversés généralement à l'Est (et rarement A l'Ouest), marquant la phase de rétrocharriage. Le métamorphisme est plus faible et se marque par une rétromorphose D3 : plis NE-SW synschisteux déversés au SE ou au SSE. Des bombements tardifs dus à la remontée du socle, et des fractura tians achèvent l'édifice. En conclusion, une reconstitution paléogéographique est proposée et l'on tente d'en montrer l'évolution par étapes du Trias à l'Eocène.
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Magmatismes paléozoiques et structuration carbonifère du Massif de Belledonne (Alpes Françaises). Contraintes nouvelles pour les schémas d'évolution de la chaîne varisque ouest-européenne.

Ménot, René-Pierre 29 June 1987 (has links) (PDF)
Les Massifs cristallins externes (M.C.E) des Alpes occidentales sont des témoins de l' orogène hercynien s.1., repris dans la chaine alpine. Leur place et \ leur signification dans le cadre varisque sont mal cernées. Cette méconnaissance résulte essentiellement de la rareté des données pétrologiques, géochimiques et géochronologiques disponibles. L'étude concerne la chaîne de Belledonne et plus spécialement son extré mité méridionale. Ce secteur Sud-Ouest présente en effet une lithologie et une structuration atypiques par rapport à celles du secteur Nord-Est dont les caractères sont proches . de ceux de l'ensemble des M.C.E . L'analyse peut être schématisée par les étapes suivantes: - Le domaine méridional (basse vallée de la Romanche) est constitué par un empilement de formations différant par leur âge et par leur histoire tectonométamorphique. Des datations soulignent (i) la juxtaposition de terrains cambro-ordoviciens et dévono-carbonifères et(ii) l'âge carbonifère inférieur de la tectogenèse . Deux formations d'origine ignée permettent de caractériser le paléomagnétisme paléozoïque et d'en préciser le site originel: * A la limite Cambro-Ordovicien, une distension crustale conduit à l'ouverture d'un bassin marginal (complexe ophiolitique de Séchilienne-Chamrousse). L'extension crustale est balisée par l'évolution géochimique des métabasites. Ce site originel particulier induit divers processus pétrogénétiques qui se traduisent par la dive rsité des produits basiques et acides. Les déformations et les recristallisations a ppartiennent à deux stades, intra-océanique et orogénique. Une évolution polycyclique est de ce fait écartée. * Au Dévonien, une seconde période d'amincissement crustal conduit à la genèse des formations de Rioupéroux et de Livet. Elle se matérialise par un magmatisme de nature bimodale puis - trondhjémitique. La pétrogenèse est complexe et implique des sources mantelliques et crustales ainsi que des phénomènes de contamination et de mélanges. 2 - Dans l'ensemble de la chaîne de Belledone, une comparaison des domaines Nord-Est et Sud-Ouest montre que le domaine septentrional représente un fragment lithosphérique à structuration plus ancienne siluro-dévonienne, et à caractères de zone profonde (métamorphisme de haute pression siluro-dévonien, anatexie dévonienne et granitisations carbonifères). Le dernier épisode métamorphique, carbonifère, y est rétromorphique et associé au fonctionnement d'une zone de décrochements majeurs, alors que le métamorphisme de même âge est prograde et contemporain de chevauchements dans le domaine méridional. La structure de la chaîne de Belledone est interprétée dans le cadre des serrages tardifs lors de la collision intracontinentale. On souligne la progression centrifuge des phénomènes tectoniques et métamorphiques et l'extension de la ceinture orogénique. 3 - Des corrélations sont proposées avec d'autres segments de la chaîne hercynienne ouest-européenne afin (i) de replacer les diverses pieces du "puzzle" de Belledonne' dans la zonation orogénique pré-carboni fère et (ii) de retrouver les secteurs présentant une évolution similaire au Dinantien.

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