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L'altérité et le refus de l'autre : essai sur le suicide

Sénéchal, Marie-Eve 08 May 2021 (has links)
L'altérité est d'une importance primordiale pour l'humain, dans le sens qu'il donne à sa vie. C'est elle qui lui permet de devenir ce qu'il est à travers les actions qu'il pose. L'homme ne peut qu'accepter cette altérité puisqu'elle est présente dans tout ce qui est extérieur à lui, et ce, autant dans autrui, dans l'amitié, dans la souffrance que dans la mort; ce ne sont là, bien sûr, que quelques exemples. Par le lien à l'Autre devant lui et en lui, l'homme est responsable du bonheur de son semblable et du sien propre; il est créateur de sens. Il est cependant malheureux de constater aujourd'hui une banalisation et une méfiance de l'Autre ce qui entraîne comme conséquence une augmentation importante du désespoir profond de la vie. Il s'agit sûrement de la pire sentence que l'homme puisse infliger à l'homme. Certains, devant une telle absence d'avenir, décident d'en finir.
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La question du rapport à autrui dans la philosophie de Vladimir Jankélévitch

Moreau, Daniel 07 March 2022 (has links)
De tout temps, la question du rapport à autrui compte parmi les thèmes décisifs de la philosophie. À cette pérennité s'ajoutent les effets de la crise culturelle profonde que nous traversons, qui ont pour nom narcissisme et agressivité, autodestruction et violence. La démarcation du thème d'autrui dans la philosophie du XXe siècle fait l'effet d'une réaction contre tout cela et n'a rien perdu de sa pertinence aujourd'hui encore. La contribution de Vladimir Jankélévitch à cet égard nous a semblé insuffisamment reconnue. Chez ce disciple de Bergson, à la pensée vive et subtile, la dimension morale joue un rôle de tout premier plan. L'apport de la présente recherche aura été d'étudier en détail les thèses de Vladimir Jankélévitch sur la question du rapport à autrui. Le style de ce philosophe n'est pas systématique mais bien plutôt dynamique et "organique", ce qui a obligé à puiser librement dans les textes les éléments essentiels à une telle analyse.
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La liberté du thérapeute : de l'assujettissement à l'autonomie

Leblanc, Nathalie 29 May 2008 (has links) (PDF)
Le thérapeute peut-il aujourd'hui exercer sa fonction comme il l'entend et penser sa pratique en la portant hors du champ des idéologies dominantes qui la parasitent ? Peut-il en être sujet et non objet, n'ayant plus alors la possibilité de s'en distancier pour pouvoir la regarder ? De même, quelle position adopte-t-il face aux différentes techniques de soins dont il dispose ? Les considère-t-il toujours comme un moyen et non une fin, aliénant ceux dont il prend soin et leur déniant le statut de personne ? Face aux différentes contraintes (scientifiques, économiques, politiques) qui l'assujettissent, à quels impératifs doit-il se référer ? La liberté du thérapeute met en question les deux concepts qui la sous-tendent : indépendance et autonomie, tels que les définit Kant dans sa Critique de la raison pratique. Mais elle dévoile aussi l'éthique de sa position, en tant qu'êthos, justesse de son rapport à soi, à autrui et au monde. Toutefois, la liberté du thérapeute est indissociable de celle du patient. Le considérer en tant que personne implique de reconnaître ce qui le fonde comme tel, c'est-à-dire son altérité et son autonomie. La responsabilité du thérapeute n'est-elle pas de révéler la liberté singulière de celui qu'il rencontre ? Mais a-t-il aujourd'hui suffisamment d'autonomie pour la mettre à son service et faire du temps dont il dispose un temps avec et pour l'autre ?
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La liberté du thérapeute : de l'assujettissement à l'autonomie / The therapist freedom : from subjection to autonomy

Leblanc, Nathalie 29 May 2008 (has links)
Le thérapeute peut-il aujourd’hui exercer sa fonction comme il l’entend et penser sa pratique en la portant hors du champ des idéologies dominantes qui la parasitent ? Peut-il en être sujet et non objet, n’ayant plus alors la possibilité de s’en distancier pour pouvoir la regarder ? De même, quelle position adopte-t-il face aux différentes techniques de soins dont il dispose ? Les considère-t-il toujours comme un moyen et non une fin, aliénant ceux dont il prend soin et leur déniant le statut de personne ? Face aux différentes contraintes (scientifiques, économiques, politiques) qui l’assujettissent, à quels impératifs doit-il se référer ? La liberté du thérapeute met en question les deux concepts qui la sous-tendent : indépendance et autonomie, tels que les définit Kant dans sa Critique de la raison pratique. Mais elle dévoile aussi l’éthique de sa position, en tant qu’êthos, justesse de son rapport à soi, à autrui et au monde. Toutefois, la liberté du thérapeute est indissociable de celle du patient. Le considérer en tant que personne implique de reconnaître ce qui le fonde comme tel, c’est-à-dire son altérité et son autonomie. La responsabilité du thérapeute n’est-elle pas de révéler la liberté singulière de celui qu’il rencontre ? Mais a-t-il aujourd’hui suffisamment d’autonomie pour la mettre à son service et faire du temps dont il dispose un temps avec et pour l’autre ? / Very large subject limited here to the psychiatric praxis. Today, can the therapist practise his function as he intends it and think his practice out of prevailing ideologies that are hangering on it ? Can he be subject and not object, not having the possibility of keeping his practice at a distance in order to look at it ? In the same way, how must he consider all up-to-date technologies at his disposition? To him, are they a way and not an aim, depriving the patients that he cares of and denying them their status of person ? Facing the scientific, economic and political restraints that subject him, which requirements must he refer to ? Therapist freedom is bound to concepts of independence and autonomy, such as Kant has defined them in Critique de la raison pratique. But it is also revealing his ethical attitude, that is êthos, accuracy of relation with oneself, with the others, with the world. However, the therapist freedom is indissociable from patient freedom. Consider him as a person implies to acknowledge what founds him such, that is his alterity and his autonomy. Does’nt the therapist reponsability consist of revealing the peculiar freedom of the patient? But has he today autonomy enough for being in the other’s service? Can his time be with and for the other ?
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Éléments d'une anthropologie de l'acteur et de l'observateur : Sarrola-Carcopino, village corse (1845-1939)

Galibert, Charlie 01 September 2000 (has links) (PDF)
Le continuum épistémique de l'anthropologie s'étire depuis la distanciation maximale par rapport à l'objet jusqu'au desir d'implication du sujet dans celui-ci. Ces deux attitudes extrêmes constituent tendanciellement une anthropologie de "l'observateur" versus une "anthropologie" de l'acteur. Un examen de ces deux approches est mené à travers la littérature sociologique et ethnologique. Le repérage de ces deux approches dans l'épistémé ethno-anthropologique corse, puis leur conjonction et leur dynamisation sur le terrain d'un village de Corse du Sud (Sarrola-Carcopino) à partir des données suscitées et non-suscitées, constituent l'ébauche d'une anthropologie de l'acteur et de l'observateur. Crisant la problématique de l'insularité, cette anthropologie de la rencontre permet d'appréhender historiquement le village aussi bien depuis lui-même (socialité quotidienne, économie, politique, symbolique) que depuis son extériorité (le continent, les colonies autour de 1900) à travers les relations épistolaires entre une famille du village et l'un des siens, militaire engagé dans les campagnes coloniales (Tonkin, Madagascar, Soudan). Contribution à une anthropologie historique de la Corse, la recherche présentée prend la forme d'une ethnologie-au -quotidien du quotidien local.
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Pouvoir et impouvoir du verbe : le dit, l'inter-dit, le silence : approche des oeuvres de Maurice Blanchot et Georges Bataille / The power and powerlessness of the verb : saying and silence in the works of Maurice Blanchot and Georges Bataille

Radouk, Fatima 05 February 2010 (has links)
Qu'en est-il de la communication de l'impossible dans son rapport au pouvoir du langage ? En révélant la face a-dialectique du langage littéraire, Maurice Blanchot et Georges Bataille, liés par une amitié essentielle, ont redéployé l’espace désoeuvré de l’Impossible comme espace scripturaire. La présente étude s’est articulée en trois parties, regroupant chacune quatre chapitres. La première s’est intéressée à la nomination comme stricte révélation de la négativité, d’une part, et de l’altérité, d’autre part. Elle a analysé les stratégies de contestation du discours dialectique adoptées en vue de redessiner un nouvel espace communautaire grevé d’absence. Cette dernière, induisant par ailleurs le mouvement infini de la répétition, ouvre l’exigence scripturaire à l’in-fini du re-dire. La seconde a mis au centre de ses préoccupations, à l’exemple des auteurs eux-mêmes, la mort. Liée au déploiement scripturaire, la mort creuse littéralement le Dire dans lequel domine l’oscillation entre pouvoir et impouvoir. La dimension thanatique des œuvres des deux auteurs convoque les notions de limite, de transgression, de dehors, de chance et de neutre qui envisagent toutes l’ouverture de l’expérience scripturaire sur son impossible horizon. La dernière partie, quant à elle, a mis en évidence la manière dont l’écriture, en son mouvement disjoint et imaginaire, s’abstrait du domaine du possible en s’ouvrant finalement sur le silence dont elle se fait complice pour ouvrir le Dire au partage de l’Impossible. / This thesis discusses the saying of the Impossible in its relationship to the power of language in the works of Maurice Blanchot and Georges Bataille. By unveiling the a-dialectical aspect of the literary language, Maurice Blanchot and Georges Bataille, who were bound by an essential friendship, deployed anew the idle space of the Impossible as a writerly space. This study is composed of three parts, each divided into four chapters. The first part discusses nomination as a strict unveiling of negativity on the one hand, and of alterity on the other hand, before analysing the strategies of contesting the dialectical discourse which were adopted by both writers with a view of delineating a new community space marked by absence. By inducing an endless movement of repetition, absence is shown to open the writerly exigence to the infiniteness of re-saying. The second part focuses on death as explored by both writers themselves. As linked to the writerly deployment, death literally enacts a saying dominated by the oscillation between Power and Unpower. The thanatical dimension of the works of both authors relies on the notions of limits, transgression, exteriority, chance and neutre, all of which lead to the opening of the writerly experience on its impossible horizon. The third part highlights how writing, in its disjointed and imaginary movement, abstracts itself from the realm of the possible by opening itself to the silence and becoming thus its accomplice to open the saying to the sharing of the Impossible.

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