Spelling suggestions: "subject:"3analyse désavantages"" "subject:"3analyse disavantages""
1 |
Les avantages et les coûts, pour le Québec, de ne pas renouveler les "contrats à partage de risques" entre Hydro-Québec et les alumineries en 2014Fortier, Isabelle January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire procède à une analyse des avantages et des coûts, pour l'ensemble du Québec, d'un contrat à partage de risques établi sur une période de vingt-cinq ans entre une aluminerie et Hydro-Québec qui lui octroie une quantité substantielle d'électricité à faible tarif. L'hypothèse émise est que si ce contrat n'est pas renouvelé en 2014, l'aluminerie transfère sa production hors du Québec. Alors, la province subirait des pertes associées à l'arrêt de la production, mais en contrepartie, un bloc d'énergie deviendrait disponible pour le marché extérieur de plus en plus lucratif. Le modèle est basé sur des données publiées portant sur les ententes existantes et sur les alumineries du Québec. L'intérêt de l'évaluation est accentué par le contexte du marché de l'électricité. Le coût d'opportunité de la ressource grandit pendant que la demande interne et externe pour l'énergie est toujours en croissance. D'abord, un modèle caractérise les avantages pour la société québécoise que procure l'utilisation, pour la production d'aluminium, d'un bloc d'énergie de 5 Térawattheures. Cette valeur équivaut au produit marginal de l'électricité. C'est le coût éventuel du non-renouvellement du contrat. Ensuite, il est calculé le montant qui serait obtenu si ce même bloc d'électricité était alloué à l'exportation et si les revenus étaient réinvestis au Québec par la suite. Ce sont les bénéfices reliés au non-renouvellement du contrat. Une fois actualisée, la valeur des bénéfices soustraite de celle des coûts donne l'ordre de grandeur des pertes subies par l'ensemble de la société découlant de ces ententes. Elles sont évaluées entre 3 et 6 milliards de dollars. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Contrats à partage de risques, Hydro-Québec, Électricité, Aluminerie, Valeur ajoutée, Analyse avantages/coûts, Actualisation.
|
2 |
Le processus d'évaluation des dépenses en capital TI : une perspective pratiqueGoyette, Sylvain 07 1900 (has links) (PDF)
La documentation sur l'évaluation des bénéfices des technologies de l'information (TI) comprend une importante diversité de méthodes utilisées pour comprendre et mesurer l'évaluation des bénéfices des TI. Cependant, les méthodes répertoriées ne semblent pas concorder avec les pratiques d'évaluation utilisées par les gestionnaires d'entreprise. Cette recherche a donc comme objectif d'enrichir la vision du domaine scientifique en développant un cadre conceptuel d'évaluation des bénéfices reposant sur la perspective des gestionnaires d'entreprise. En améliorant la conceptualisation de l'évaluation des bénéfices des TI grâce aux ressources documentaires dans le domaine de la finance sur l'évaluation des dépenses en capital, dans le domaine de la productivité des TI, et finalement de la documentation associée au modèle de succès des systèmes d'information de Delone et McLean (2003). À l'aide d'une approche qualitative reposant sur des entrevues avec des responsables du processus d'évaluation des dépenses en capital des TI de dix organisations, une analyse comparative a été faite pour de développer un modèle issu de la pratique de ces processus. Le modèle est composé de six phases, soit l'identification des projets, le développement des propositions, la sélection des projets, la réévaluation des projets, l'implantation des projets et l'évaluation des bénéfices organisationnels. La modélisation des pratiques d'évaluation des dépenses en capital des TI a permis, dans un premier temps, de valider et d'enrichir une conceptualisation issue de la documentation. Cet exercice a également permis d'identifier une nouvelle phase d'évaluation ex ante. En effet, il existe des activités d'évaluation après l'évaluation préliminaire associée à la sélection des projets et avant l'implantation des TI, qui comprend l'évaluation détaillée des analyses quantitatives et qualitatives des projets. Enfin, l'analyse des données des entrevues a permis de confirmer l'inefficacité de la perception des utilisateurs pour évaluer le succès ainsi que l'importance de la perception des dirigeants dans l'évaluation du succès des TI.
______________________________________________________________________________
|
3 |
Facteurs décisionnels pour l'implantation d'un ERP dans les PME : le rôle de l'évaluation des bénéfices tangibles et intangiblesBraud, Olivier January 2008 (has links) (PDF)
Les entreprises sont de plus en plus dépendantes des technologies de l'information. Ces technologies sont cependant complexes et coûteuses à mettre en place. Elles nécessitent une évaluation ex-ante rigoureuse des coûts et des bénéfices afin d'assurer une implantation réussie. À ce jour, la majorité des grandes entreprises sont munies de systèmes d'information tels les Entreprise Resource Planning (ERP), et plusieurs modèles de recherche sur l'évaluation de ces systèmes adaptés à ce contexte ont été développés dans la littérature. Cependant, le marché des ERP au niveau des grandes entreprises connaît un ralentissement, le marché des PME paraît alors propice à la fois pour les éditeurs de logiciels et pour les entreprises qui ont besoin de leurs outils. Cette recherche se concentre sur les PME, plus particulièrement sur comment elles évaluent les projets ERP et quels rôles jouent les aspects intangibles dans ces évaluations. Au travers de cinq études de cas réalisées auprès de trois entreprises manufacturières et deux entreprises de service, l'étude propose une adaptation du modèle présenté par Hares et Royle (1994) pour permettre une évaluation plus représentative des coûts et des bénéfices générés par ces systèmes. Les résultats de cette recherche montrent que, malgré une prise de conscience des PME, les projets ERP nécessitent des méthodes d'évaluation différentes des autres projets TI, et que peu de PME possèdent la maturité suffisante pour développer un processus d'évaluation adéquat. L'aspect intangible des bénéfices lors de l'évaluation semble être identifié dans 40% des cas étudiés mais pris en compte dans l'évaluation ex-ante seulement dans 20% des cas étudiés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Technologies de l'information, TI, ERP, PME, Évaluation des bénéfices, Ex-ante, Intangible.
|
4 |
Coûts et bénéfices, privés et sociaux, des bandes riveraines boisées en milieu agricoleSimard, Caroline January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire mesure les avantages et les coûts liés à l'introduction de bandes riveraines boisées, dans le milieu agricole québécois, comme moyen de filtrer la pollution de l'eau par des charges excédentaires en phosphore. Par la méthode de l'analyse avantages coûts, la rentabilité de trois systèmes agroforestiers a d'abord été évaluée d'un point de vue privé. Cette première partie nous a permis de déterminer que les bandes riveraines boisées ne sont pas rentables pour le producteur agricole surtout en raison de coûts d'entretien élevés. Par la suite, le coût privé a été comparé aux coûts et bénéfices sociaux attendus de l'agroforesterie. Les résultats de cette seconde analyse ont montré que les bénéfices sociaux liés à l'agroforesterie en milieu agricole surpassent les coûts. La conclusion principale de ce travail est qu'en introduisant la société dans l'analyse des avantages et des coûts, il a été mis en lumière que les bandes riveraines boisées constituent un moyen efficace de lutte contre la pollution diffuse d'origine agricole et ce, même si elles représentent un coût pour les producteurs agricoles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Analyse avantages coûts, Biens et services environnementaux, Agroforesterie, Bandes riveraines, Culture de maïs, Amélioration de la qualité de l'eau, Cyanobactéries, Baie Missisquoi, Coûts privés, Bénéfices sociaux.
|
5 |
Étude de la rentabilité de différentes stratégies d'aménagement forestier en forêt boréale du nord de l'AbitibiPasturel, Thibault 02 1900 (has links) (PDF)
Au Québec, l'entrée en vigueur du nouveau régime forestier prévue pour avril 2013 va modifier la manière dont la forêt sera aménagée et exploitée. L'introduction du concept d'aménagement écosystémique a pour but de permettre la mise en place de pratiques garantissant à la fois le maintien d'attributs naturels et sociaux de la forêt tout en offrant un rendement suffisant pour les exploitants. Parmi ces pratiques, on compte notamment l'introduction de contraintes à l'échelle des Compartiments d'Organisation Spatiale (COS) et l'intensification de l'usage de la coupe partielle dans le but d'imiter les perturbations naturelles. Cette étude a pour objectif d'évaluer l'effet de la mise en place de stratégies d'aménagement écosystémiques sur le niveau de possibilité forestière ainsi que sur le coût des opérations et sur la valeur des bois à l'échelle d'une Unité d'Aménagement Forestier (UAF). Pour cela, nous avons évalué la rentabilité comparative de différents plans d'aménagement en calculant la Valeur Actualisée Nette (VAN) de deux types de scénarios simulés sur un horizon de 150 ans (30 périodes quinquennales), sur l'UAF 85-51 située au Nord-Ouest de l'Abitibi. Le premier scénario appelé RNI a été réalisé en conformité avec la Règlementation des Normes d'Intervention (RNI) en vigueur jusqu'à mars 2013. L'atteinte des objectifs fixés par cette réglementation a essentiellement été assurée par l'application de contraintes de forêts résiduelles et d'encadrements visuels des coupes à l'échelle des Unités Territoriales de Référence (UTR). Les trois autres scénarios appelés Aménagement Écosystémique (AMEC) ont pris en compte les enjeux du futur régime forestier concernant la répartition spatiale des agglomérations de coupe, le maintien de forêts matures et surannées, la protection d'habitats essentiels pour des espèces menacées ainsi que le maintien de la productivité du territoire. L'intégration de ces enjeux a nécessité l'application de contraintes à une échelle plus fine que celle des UTR, au niveau des Compartiments d'Organisation Spatiale (COS). Par ailleurs, l'analyse de l'effet de l'intensification de la coupe partielle a été introduite au niveau du volume cible de coupe partielle à réaliser par période quinquennale par scénario selon le gradient suivant : RNI doit réaliser 1377 ha de coupe partielle, AMEC01 doit en réaliser 1707 ha, AMEC02 3220 ha et AMEC03 5179 ha (correspondant au niveau maximum possible). Pour estimer les flux monétaires (revenus moins coûts) nécessaires au calcul de rentabilité, nous avons déterminé les coûts potentiels relatifs aux activités d'exploitation forestière (i.e. création et entretien des chemins pendant la récolte, récolte en CPRS, récolte en CP, chargement, transport, camps forestiers, droits de coupe, frais de CAAF et coûts indirects) sur l'ensemble de la période de simulation. Afin de prendre en compte la variation spatiale de ces coûts, ceux-ci ont été définis à l'échelle des COS. Nous avons ensuite déterminé les revenus potentiels en estimant un prix d'achat entrée d'usine par classe de diamètre pour les bois résineux (entre 47,91 et 67,51 $/m3) et un prix unique pour les bois feuillus (40 $/m3). En outre, l'estimation des revenus par classe de diamètre a nécessité d'associer aux données de croissance en volume de nos modèles des données correspondantes d'évolution en diamètre issues des tables de rendement de Pothier et Savard (1998). Une fois paramétrés, les scénarios ont été optimisés à l'aide du logiciel Woodstock (Saucier et Groot, 2008) afin d'estimer la possibilité forestière sur 150 ans et d'en déduire les coûts et revenus d'exploitation correspondants. Les résultats des optimisations ont montrés que le scénario RNI prévoit de récolter 3,1 million de m3 de bois par période quinquennale, soit 8,60 % de plus que le scénario AMEC01, 11 ,94 % de plus que AMEC02 et 16,35 % de plus que AMEC03. Ensuite, les résultats des contraintes introduites au niveau des COS ont montré que les scénarios AMEC permettent de réaliser un gain par rapport au RNI de 19 à 29 % au niveau de la superficie moyenne de forêts matures et surannées et de 3,8 à 5% au niveau de la superficie moyenne de forêts productives de 7 mètres et plus. Puis, les résultats de calculs de coûts d'exploitation ont montrés que ceux-ci sont légèrement plus élevés pour les scénarios AMEC que pour RNI (de 55,37 à 55,57 $/m3 pour les scénarios AMEC contre 55,14 $/m3 pour RNI). Puis, les calculs de rentabilité ont montrés que pour un taux d'actualisation initial fixe entre 2 et 6% dégressif à partir de 30 ans, tous les scénarios sont rentables, la VAN de RNI se situant entre 0,49 et 5,24 $/m3, celle de AMEC01 entre 0,45 et 7,39 $/m3, celle de AMEC02 entre 0,27 et 5,60 $/m3 et celle de AMEC03 entre 0,19 et 3,74 $/m3. Enfin, les résultats de VAN ont permis de constater que AMEC03 présente le niveau maximum de coupe partielle réalisable selon les contraintes du futur régime forestier et, comme RNI, est le seul scénario AMEC à pouvoir intégrer le rendement soutenu pour les trois groupes d'essences principales de l'UAF (SEPM, BOP et PEP). AMEC03 nous est donc apparu comme le scénario de référence par rapport au RNI. Au total, notre étude a démontré que la mise en place d'une stratégie d'aménagement écosytémique par l'introduction de contraintes au niveau des COS a pour conséquences une réduction de la surface disponible à la récolte et donc de la possibilité forestière. Cette baisse peut toutefois être amenuisée en ayant recours à la coupe partielle dont le surcoût reste marginal par rapport à la CPRS et permet à l'approche écosystémique de rester une stratégie rentable.
______________________________________________________________________________
MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Aménagement écosystémique, coupe partielle, analyse de rentabilité, modélisation, plans d'aménagement, possibilité forestière.
|
6 |
Effets, coûts et bénéfices des garderies à 5/7 dollars au QuébecRoy-Desrosiers, Francis 05 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire présente une analyse des effets de la politique du Québec pour le développement de places de garderies subventionnées au Québec par rapport au Reste du Canada, en offrant l'opportunité aux familles, de ne payer, à partir de septembre 1997, que 5$, puis 7$ à partir de 2004. Cette politique visait, entre autres, à augmenter la participation des mères sur le marché du travail et à améliorer le développement des enfants en leur donnant une chance égale. Pour mesurer l'atteinte de ces objectifs, cinq aspects ont été considérés. Après l'introduction de la politique, trois de ces aspects semblent démontrer une augmentation au Québec par rapport au Reste du Canada : le nombre d'heures de garde par semaine, la participation des mères au marché du travail et le nombre de semaines travaillées par année. Par contre, le développement cognitif de l'enfant ne semble pas avoir été amélioré au Québec par rapport au Reste du Canada. Par ailleurs, la simulation des coûts-bénéfices pour les gouvernements démontre que les coûts du programme sont élevés par rapport aux bénéfices pour le Québec alors que l'inverse est vrai pour le gouvernement fédéral.
______________________________________________________________________________
|
Page generated in 0.0749 seconds