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Le genre et les limites de l'universalité : la Ligue des Droits de l'Homme du Québec, 1963-1985

B. Beaumier, Marie-Laurence 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2012-2013. / Ce mémoire porte sur la prise de conscience et l’intégration des rapports de genre aux revendications de la Ligue des Droits de l’Homme du Québec (LDHQ) de 1963 à 1985. Le discours et les actions de la LDHQ sont étudiés principalement à partir des procès-verbaux des diverses instances décisionnelles de la Ligue (conseil d’administration, conseil exécutif, Assemblée générale annuelle, etc.) qui permettent de suivre l’évolution de son orientation et de ses revendications. Créée en 1963, la LDHQ se démarque progressivement dans le paysage social et politique québécois au cours des années 1970 par ses revendications en faveur d’une Charte des droits et libertés de la personne. Cette période est également caractéristique, à la Ligue, d’un élargissement de la notion de droits humains qu’elle utilise et des groupes dont elle prend la défense. La Ligue définit ainsi une nouvelle plateforme de revendication plus axée sur les droits socio-économiques et au sein de laquelle les droits des femmes finissent par occuper une certaine place, sans complètement s’effacer derrière les droits de l’« Homme », ou les « droits de la personne ». Méconnue, cette évolution constituera le coeur de ce mémoire. Comme on le verra, celle-ci est d’ailleurs étroitement liée aux caractéristiques des membres de la Ligue et à leurs liens avec les mouvements féministes québécois.
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Parler politique : potentiel et limites des pratiques encadrant le partage de la parole à l'Association pour une solidarité syndicale étudiante

Leclerc, Typhaine 24 April 2018 (has links)
Malgré leurs bonnes intentions, les groupes progressistes reproduisent des inégalités sociales dans leur structure interne. Même dans les groupes qui ont intégré des pratiques (pro)féministes à leur fonctionnement, on observe une inégalité parfois flagrante dans les prises de parole des hommes et des femmes et en fonction d’autres facteurs socioéconomiques. L’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) utilise plusieurs mesures visant à rééquilibrer le partage de la parole, notamment l’alternance homme-femme, la garde du senti, les caucus non mixtes et les instances non mixtes. J’ai réalisé douze entretiens semi-directifs avec des personnes ayant milité à l’ASSÉ afin de mieux comprendre comment elles jugent la pertinence et l’efficacité de ces pratiques. Si toutes estiment qu’elles facilitent la prise de parole des femmes sur le plan individuel, hommes et femmes ont toutefois des opinions divergentes par rapport à leur potentiel transformateur et émancipateur. Les hommes tendent à souligner les effets de resocialisation ou de contre-socialisation de ces mesures alors que les femmes abordent davantage leurs limites. Elles estiment que les mesures utilisées à l’ASSÉ ne suffisent pas à remettre en question la division genrée du travail militant qui y prévaut. À partir des données recueillies, il est possible d’affirmer que les coûts et les bénéfices liés à ces pratiques sont différenciés selon le genre. Bien qu’elles soient conçues pour favoriser la prise de parole des femmes, elles offrent des bénéfices symboliques et matériels aux hommes. Les femmes, responsables du travail de justification de ces pratiques, de leur application et, plus largement, des revendications et analyses féministes dans l’organisation, déplorent que ce travail invisibilisé et sous-valorisé les empêche de se concentrer sur des tâches « politiques ». J’explore le potentiel des pratiques encadrant le partage de la parole pour éclairer la nature politique du travail d’écoute, de care et d’organisation accompli par les femmes, à l’ASSÉ et ailleurs. / Despite their best intentions, progressive groups contribute to the reproduction of social inequalities within their internal structure. Even in groups using pro-feminist practices intended to manage how speech is shared among participants, there sometimes are blatant inequalities in the voices being heard – or not – depending on gender and other socioeconomic factors. ASSÉ (Association for Solidarity among Student Unions) implements a number of measures to rebalance how speech and power are being shared, including alternating speaking rights between men and women, using a “moodwatcher” during meetings, allowing for non-mixed caucuses, and holding Women’s congresses. I have conducted twelve semi-structured interviews with people who are or have been involved in ASSÉ to better understand how they judge the relevance and effectiveness of these practices. While all of them believe that these measures help amplify women’s voices on an individual level, men and women have different opinions about the transformative and emancipatory potential of these practices. Men tend to highlight these measures’ re-socialization or counter-socialization effects, while women are more likely to point out their limitations. They argue that these measures fail question the gendered division of activist labor that prevails in ASSÉ. Furthermore, the interview data suggest that the costs and benefits associated with these practices are gender differentiated. Although they are designed to promote women's voices, they tend to symbolically and materially benefit to men. Meanwhile, women are responsible for the labor involved in justifying and applying these practices, and, more broadly, for providing feminist analyses within the organization. Women participants lament the fact that this invisible and undervalued work prevents them from concentrating on "political" tasks. I sketch the potential of (pro)feminist speech-sharing practices to demonstrate how conversation is indeed "political" and to hightlight the political nature of the gendered labor of listening, caring and organizing.
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Woman-to-woman sexual assault : a situational analysis

Malinen, Kelley Anne 20 April 2018 (has links)
Selon la méthode d’analyse situationnelle élaborée en théorie ancrée, cette thèse explore l’expérience d’agression sexuelle entre femmes telle que vécue par les survivantes et abordée dans la théorie, les discours et la prestation de services. Ce travail examine les enjeux de reconnaissance et de déni et leurs impacts sur les vies de survivantes d’agression sexuelle entre femmes. Les deux premiers chapitres étudient l’invisibilisation de cette violence sexuelle par les théories datant des années 1970 jusqu’à aujourd’hui. Suivant Butler, je propose une perspective théorique sur l’agression sexuelle permettant la coexistence des normes de genre et de leurs transgressions. Je soutiens que les normes de genre appliquées à la violence sexuelle ont une incidence sur ces actes et sur leur reconnaissance. Dans le chapitre trois, des récits de survivantes sont interprétés en mobilisant la théorie phénoménologique; je souligne en quoi les émotions et l’espace sont co-impliqués dans les expériences d’agression sexuelle des participantes. Je présente un parcours commun aux participantes décrivant la transformation du sentiment d’être pris dans un piège vers un certain degré de liberté dans les espaces de guérison. Inspiré par Becker, le chapitre quatre déploie une analyse des « mondes sociaux » qui fournit un contexte institutionnel à ces agressions sexuelles. Je décris comment les pratiques et discours liés à l’agression sexuelle et aux milieux de prestation de services évoluent d’un paradigme genré vers une version non genrée. J’identifie les fournisseurs de services et les survivantes qui reconnaissent les agressions sexuelles entre femmes comme membres de l’« Anti-Violence Project Subworld » (« sous-monde du projet anti-violence »). Les personnes qui comprennent l’agression sexuelle comme forme de violence uniquement perpétrée par les hommes contre les femmes sont identifiées comme membres du « Violence Against Women Subworld » (« sous-monde de violence contre les femmes »). Dans le chapitre cinq sont identifiées quatre approches discursives appliquées aux agressions sexuelles entre femmes. Elles sont : « Gendered Silencing » (« silence genrée »), « Gendered Contextualizing » (« contextualisation genrée »), « Degendered Agentification » (« agentivité dégenrée ») et « Degendered Agentified Contextualization » (« contextualisation dégenrée avec agentivité »). / Based on the Grounded Theory Method of Situational Analysis, this dissertation examines woman-to-woman sexual assault as experienced by survivors, and as negotiated in theory, discourse, and service provision. It illuminates dynamics of recognition and denial that influence the lives of woman-to-woman sexual assault survivors. It begins in Chapters One and Two by looking at ways woman-perpetrated sexual violence is obscured by theories dating from the 1970s to present. Drawing on Butler, I advance a theoretical perspective which accommodates the coexistence of gender norms and their transgressions in thinking about sexual assault. I suggest that gendered norms for sexual violence influence acts on the one hand, and recognition on the other. In Chapter Three, survivor narratives are framed by phenomenological theory as I focus on how space and emotion are co-implicated in participant experiences of sexual assault. I present a common trajectory in which survivor participants describe going from feeling trapped to finding some degree of freedom in healing spaces. The fourth chapter deploys a “social worlds” analysis, in the tradition of Becker, to provide an institutional context for woman-to-woman sexual assault. I describe the ways practices and discourses in sexual assault and related contexts of service provision are moving from a rigidly gendered paradigm toward a de-gendered one. I conceptualize providers and survivors who recognize woman-to-woman sexual assault as members of the “Anti-Violence Project Subworld.” Those who understand sexual assault as a fundamentally man-on-woman form of violence are conceptualized as members of the “Violence Against Women Subworld.” Finally, in Chapter Five, this dissertation identifies four discursive approaches to woman-to-woman sexual assault. They are referred to as “Gendered Silencing, ” “Gendered Contextualizing, ” “Degendered Agentification, ” and “Degendered Agentified Contextualization.”

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