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The relationship of zoospores of Aphanomyces euteiches to the host root

Cunningham, John Luverne, January 1961 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1961. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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Field and laboratory investigations with Aphanomyces euteiches

Temp, Marvin Wayne, January 1966 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1966. / Typescript. Vita. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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Soil suppressiveness to Aphanomyces root rot of pea /

Persson, Lars, January 1998 (has links)
Diss. (sammanfattning) Uppsala : Sveriges lantbruksuniv. / Härtill 6 uppsatser.
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Chemical control of Aphanomyces root rot of peas and the relationship of Pythium spp. to the disease

Alconero Pivaral, Rodrigo Arturo, January 1967 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin, 1967. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references.
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Aphanomyces root rot of garden pea

Sherwood, Robert Tinsley, January 1958 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1958. / Typescript. Abstracted in Dissertation abstracts, v. 18 (1958) no. 3, p. 751-752. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves 116-119).
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La Pourriture racinaire du pois : éléments de compréhension du processus infectieux d'A. euteiches et perspectives agronomiques / Root rot of the pea : understanding the infectious process of A. Euteiches and agronomic perspectives

Laloum, Yohana 15 December 2017 (has links)
Dans l’objectif de redynamiser la culture des protéagineux, il est primordial d’améliorer la gestion du risque lié à Aphanomyces euteiches, agent responsable de la pourriture racinaire du pois. Le manque de connaissances sur les mécanismes d’infection d’A. euteiches constitue un frein à l’élaboration de stratégies de contrôle durable. Dansl’optique d’étudier les premières étapes du processus infectieux d’A. euteiches, laconstruction d’une souche A. euteiche-GFP a été entreprise. Transfecter A. euteiches aura permis d’assurer (i) la production de protoplastes par digestion enzymatique du mycélium puis (ii) d’insérer le gène gfp par la méthode de transfection chimique PEG-CaCl2 et (iii) de constater l’insertion stable du gène gfp dont l’expression s'est avérée transitoire. En parallèle, dans l’objectif d’apporter des éléments de réponses quant aux rôles des exsudats racinaires et du Root Extracellular Trap (RET) dans les réactions de défense du pois, une étude comparée des interactions entre Pisum sativum (plante sensible) et Vicia Faba (plante tolérante) au pathogène A.euteiches a été réalisée durant les premières phases de l’infection. Alors que de nombreuses variations au niveau de la composition polysaccharidique du RET et des exsudats ont été observées chez le pois, la féverole a présenté des modifications marginales. Chez le pois, l’infection est intense et rapide alors qu’elle semble réduite chez la féverole. La féverole repousse les zoospores tandis que le pois infecté les attire davantage. La féverole semble pouvoir protéger le pois au travers de mécanismes de communication qu’il convient de caractériser. L’ensemble de ces résultats semblent prometteurs dans le développement de méthode de lutte contre la pourriture racinaire du pois. Enfin, l’étude des propriétés bio-physico-chimiques des sols susceptibles de conditionner l’apparition de la maladie ont permis de confirmer la corrélation positive entre la densité d’inoculum du pathogène et le potentiel infectieux (PI) dans des sols naturellement infestés : les sols possédant des teneurs élevées en sable ou en calcium s'avèrent défavorables au développement de la maladie. Cette étude a aussi permis de mettre en évidence une influence possible des communautés microbiennes des sols, susceptibles d’influencer le processus infectieux d’A.euteiches / Aphanomyces euteiches is a pathogenic oomycete considered to be the most damaging root disease of pea crops in the world and there is currently no registered pesticide for its control. Crop management is the most efficient tool to control root rot, and avoidance of infested soil seems to be the optimal solution. Mechanisms related to A. euteiches root colonization remain poorly understood. In order to better understand A.euteiches infectious cycle, a polyethylene glycol (PEG) – calcium chloride (CaCl2) transformation protocol has been perfected in order to stably express the reporter gene GFP. The data show for the first a transient expression of green fluorescent protein (GFP) which can be observed in A.euteiches mycelium, a Saprolegnia oomycete. Vector pGFPN, containing the ham34 promoter and terminator of the Peronospora oomycete Bremia Lactucae, was introduced in A.euteiches protoplasts. Transient expression of GFP could be observed in A. euteiches mycelium by confocal microscopy. qPCR analyses confirmed the actual gfp gene insertion in its genome. Meanwhile, the influence of both pea and faba bean root extracellular trap (RET) and root exudates has been explored for A. euteiches zoospores by chemotaxis assays, microscopic observations and oomycete DNA quantification. Reciprocally pea and faba bean roots responses to A. euteiches infection have been studied at early stage of infection by biochemical analysis of cell wall polymer content in the RET and root exudates. Whereas infected pea root exudates stimulated A.euteiches zoospores attraction, faba bean exudates had a repellent effect on zoospores. In response to infection, arabinogalactan protein content of root pea exudates was altered. Interestingly, A.euteiches colonization was less intense on faba bean root surface and protect pea root at early stage of infection. Finally, the correlation between inoculum quantity in infested and the inoculum potential (IP) in field has been confirmed by qPCR. Analyses of the influence of abiotic soil parameters on the disease showed that a high calcium concentration or sand content negatively impact the IP. Furthermore, microbial communities proved to play a role in the expression of the disease in some soils. Metagenomics could be applied in order to provide new directions in managing this disease.
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Effet de la nutrition azotée sur la résistance de la légumineuse Medicago truncatula à Aphanomyces euteiches / Effect of nitrogen nutrition on Medicago truncatula resistance against Aphanomyces euteiches

Thalineau, Elise 09 December 2016 (has links)
L’azote (N) est un facteur majeur limitant la croissance des plantes. Sa disponibilité peut également avoir un impact sur la résistance des plantes aux pathogènes en régulant leur immunité. Afin de mieux comprendre les liens entre la nutrition azotée et les défenses de la plante, nous avons analysé l’impact de la disponibilité en N sur la résistance de Medicago truncatula à un pathogène racinaire, Aphanomyces euteiches, en prenant en compte la variabilité génétique de la plante. Cet oomycète est considéré comme un des facteurs limitant le plus la production des légumineuses. Deux conditions de nutrition azotée, non limitante ou carencée en N, et dix génotypes de M. truncatula ont été testés in vitro. Les résultats ont montré que la résistance est modulée par les conditions nutritionnelles, dépendament du génotype. Les analyses d’expression de gènes impliqués dans le métabolisme azoté et dans les réponses de défense ainsi que la quantification des teneurs en acides aminés et des composés métaboliques secondaires ont montré des réponses différentes selon les génotypes et la condition nutritive. Elles ont souligné en particulier le rôle potentiellement important de la glutamine dans ce pathosystème. De plus, nous avons mis en évidence l’importance de l’homéostasie du monoxyde d’azote (NO) dans la résistance de M. truncatula à A. euteiches et que la disponibilité en azote impactait l’homéostasie du NO en affectant les niveaux de S-nitrosothiols et l’activité de la S-nitrosoglutathion réductase dans les racines. Ces résultats soulignent l’importance du métabolisme azoté et de son interaction avec le génotype de la plante dans les réactions de défense chez M. truncatula. / Nitrogen (N) is a major limiting factor for plant growth. N availability can also impact plant resistance to pathogens by regulating plant immunity. To better understand the links between N nutrition and plant defense, we analyzed the impact of N availability of plant on Medicago truncatula resistance to the root pathogen, Aphanomyces euteiches, taking into account plant genetic variability. This oomycete is considered as the most limiting factor for legume production. Two conditions of N nutrition, non-limiting or deprived in N, and ten plant genotypes were tested in vitro. The results showed that the resistance is modulated by nutritional conditions, depending on plant genotype. Analysis of the expression of genes involved in N metabolism and defense and quantification of different amino-acids contents and secondary metabolic compounds showed different responses of the genotypes and highlighted a potential role of glutamine in this pathosystem. Furthermore, our work underlined the importance of nitric oxide (NO) homeostasis for M. truncatula resistance to A. euteiches and that N availability impacts NO homeostasis by affecting S-nitrosothiol levels and S-nitrosoglutathione reductase activity in roots. These studies highlight, therefore, the importance of N metabolism and its interaction with plant genotype in defense responses in M. truncatula.
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Soil-borne pathogens in intensive legume cropping - Aphanomyces spp. and root rots /

Levenfors, Jens, January 2003 (has links) (PDF)
Diss. (sammanfattning) Uppsala : Sveriges lantbruksuniv., 2003. / Härtill 4 uppsatser.
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Root rot of pea caused by Aphanomyces euteiches : calcium-dependent soil suppressiveness, molecular detection and population structure /

Heyman, Fredrik, January 2008 (has links) (PDF)
Diss. (sammanfattning) Uppsala : Sveriges lantbruksuniv., 2008. / Härtill 4 uppsatser.
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Le Root Extracellular Trap (RET), un réseau au coeur de la défense racinaire : caractérisation moléculaire et fonctionnelle chez deux légumineuses, Glycine max (Merr.) L. et Pisum sativum (L.) / The Root Extracellular Trap, a Network at the Heart of Root Defense : Molecular and Functional Characterization in Two Leguminous Species, Glycine Max (Merr.) L. and Pisum Sativum L.

Ropitaux, Marc 30 November 2018 (has links)
Chez les plantes, le RET (Root Extracellular Trap) est une structure cellulo-moléculaire jouant un rôle central dans la défense racinaire face aux stress abiotiques et biotiques. De nombreuses similitudes de composition ont été observées entre le RET et le NET (Neutrophil Extracellular Trap) du système immunitaire des mammifères, connu pour capturer et tuer certains microorganismes bactériens et fongiques. Le RET est composé de cellules frontières et de leurs sécrétions (composés de haut et de bas poids moléculaire) comprenant des polysaccharides de la paroi cellulaire, des protéoglycannes et des métabolites secondaires. Il contient également des protéines antimicrobiennes et de l'ADN extracellulaire, tout comme le NET. Dans le cadre de mon projet de thèse, nous avons caractérisé la composition moléculaire et la structuration de cette entité de défense chez deux légumineuses, le soja (Glycine max (Merr) L.) et le pois (Pisum sativum L.), par des approches d’imagerie cellulaire photonique et électronique. Nous avons également étudié l’impact du RET du soja sur des pathogènes telluriques, à savoir Phytophthora parasitica et Aphanomyces euteiches. Nous avons ainsi pu mettre en évidence la présence de différents morphotypes de cellules frontières et de mucilage au sein du RET de soja et de pois. Pour la première fois, nous avons montré la présence d’hétéromannanes, de xyloglucane et de cellulose dans le RET, formant une ossature stabilisant le mucilage et reliant les cellules frontières entre elles. Ces polysaccharides structuraux semblent être essentiels à l’intégrité structurale et fonctionnelle du RET. Enfin, nos résultats ont montré que le RET de soja était impliqué dans la défense précoce de la racine contre P. parasitica. Cette étude apporte de nouvelles connaissances relatives à la composition moléculaire et la structure du RET, nous amenant ainsi à comparer le RET à d’autres modèles que le NET des mammifères, tels que les biofilms bactériens et les mucilages de graines. En effet, de nombreuses similitudes existent entre ces différents complexes en termes de composition et de fonctionnement, qui méritent d’être explorer plus en détail dans l’avenir. / In higher plants, the RET (Root Extracellular Trap) is a complex made up of border cells and secretions, released by root tips and believed to play a central role in biotic and abiotic stress tolerance. This structure is quite similar to the Neutrophil Extracellular Trap (NET) known as one of the first lines of defense in mammals, able to trap and kill microbial pathogens. RET secretions consist of high and low-molecular weight compounds including cell wall polysaccharides, proteoglycans and secondary metabolites. They also contain a variety of anti-microbial proteins and extracellular DNA much like the NET. During my thesis work, we investigated the release and morphology of root border cells in soybean (Glycine max (Merr) L.) using light and scanning electron microscopy. The molecular composition of the mucilage was also investigated using immunocytochemistry, anti-cell wall glycan antibodies and confocal microscopy. Immunocytochemistry was also applied to pea (Pisum sativum L.) border cells and secretions to examine the occurrence of specific polysaccharides. We also studied the impact of soybean RET on the soilborne pathogens, Phytophthora parasitica and Aphanomyces euteiches. Our findings showed that root tips of soybean released three border cell morphotypes all of which secreted substantial amounts of mucilage. Immunocytochemical data showed that mucilage was enriched in pectin and the two hemicellulosic polysaccharides xyloglucan and heteromannan. Mucilage also contained cellulose, histone and extracellular DNA. Interestingly, the structural polysaccharides formed a fibrous network surrounding the cells and holding them together, supporting their role in maintaining mucilage architecture and integrity. In addition, we found that xyloglucan and cellulose were also secreted into the mucilage of pea, connecting border cells together. Finally, our findings revealed that RET prevented P. parasitica zoospores from colonizing soybean root tip, by stopping their penetration and inducing their death. Overall the study revealed novel insights into the composition, structure and function of plant RETs. Currently, the RET is much less studied than its mammal counterpart, the NET, but structural and functional similarities exist between these two traps. Interestingly, similarities do also exist between the RET and other important biological complexes, including bacterial biofilms and seed mucilage, that deserve to be further investigated and compared in the context of immunity.

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