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Les découvertes de l'archéologie préventive dans l'actualité médiatique / Media and archaeology, the race against time

Dureuil-Bourachau, Catherine 17 December 2012 (has links)
Depuis un siècle, l'aménagement intensif du territoire français, sans prise en compte du patrimoine archéologique a entrainé la destruction irréversible d'un nombre incalculable de sites. Aujourd'hui ce processus est ralenti. La restructuration du cœur historique des villes et les grands projets de développement local sont accompagnés par les archéologues. Ils favorisent ainsi un renouvellement sans précédent de la connaissance de notre histoire. C'est une chance et une révolution qu'il faut mener de front avec la profonde mutation des sources médiatiques. L'archéologie est tributaire des médias même si elle a parfois du mal à s'adapter à la contrainte de « l'immédiat ». Car ils influencent les opinions surtout en matière culturelle, hiérarchisent les événements de l'actualité mettant l'accent sur certains et en laissant d'autres dans l'ombre. La subjectivité est grande et les médias de référence (presse nationale quotidienne et télévision) donnent le ton, définissent la tendance. Ces derniers sont furtivement suivis par la presse locale qui cherche à mettre les faits à la portée de leur lectorat. La porte qui s'ouvre avec l'audiovisuel et surtout le réseau tentaculaire et infini du web oblige les archéologues à repenser le cadrage de l'information. L'identité, les origines, le patrimoine universel, la bataille des idées et des cultures peuvent aussi passionner d'autres publics sur internet avec d'autres réseaux que les sources classiques et canalisées. Les comportement des trois protagonistes de ce sujet ; archéologues, journalistes et publics ont ici été étudiés à partir d'un corpus d'articles, d'entretiens et d'études d'opinion. / Since a century, the intensive development of the French territory, without consideration of the archaeological heritage, has driven to the irreversible destruction of an incalculable number of sites. Today this process is slowed down. The restructuring of the historic heart of cities and importants projects of local planning are accompanied by the archaeologists. They unprecedented remodelled the knowledge of our history. It is a luck and a révolution which need to be manage with the profound transformation of the media. Archaeology need media even if it's sometimes difficult to adapt it at the constraint of the quickness which is neccessary in the word's information. Because media influence the opinions especially in cultural field, organize into a hierarchy the events of the current, emphasizing some and leaving the others in the shadow. The subjectivity is important and the reference media (daily national press and television) set the tone, define the tendency. These last ones are followed in by the local press which tries to put the facts within the reach of their readership. The door which opens, with the broadcasting and especially the tentacular and infinite network of Web, oblige the archaeologists to rethink the centring of the information. Identity, origins, universal heritage, battle of the ideas and cultures, can fascinate as well an other public on the Internet.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila January 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.

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