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Les Déformations des terrains secondaires de la région de Megève (Haute Savoie) : mise en évidence d'une zone de cisaillement dans un plan horizontal - Alpes françaises

Pijolat, Bernard 30 October 1978 (has links) (PDF)
La région étudiée sous l'angle analyse structurale est le prolongement NE de la couverture du massif de Belledonne.Cette couverture sédimentaire est composée de terrains triasiques et jurassiques et repose sur les massifs cristallins externes ( Aiguilles Rouges au NE, Belledonne au SW, Mont Blanc au SE).
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Variabilité spatiale et temporelle du bois mort dans le réseau hydrographique de l'Isère à l'amont de Grenoble

Moulin, Bertrand 12 December 2005 (has links) (PDF)
Depuis la fin des années 1970, de nombreuses publications scientifiques ont permis de mieux comprendre les mécanismes de production et de transport des bois morts dans les cours d'eau. La plupart de ces travaux se sont concentrés géographiquement sur des torrents ou des petits cours d'eau localisés en Amérique du Nord, dans des régions caractérisées par l'industrie forestière et la présence de vieilles forêts tempérées. Les connaissances relatives à la dynamique du bois mort dans les cours d'eau de grande taille sont encore très lacunaires. Il s'agit aujourd'hui d'identifier, à l'échelle du réseau hydrographique, l'origine, les conditions de mobilité et de transfert du bois mort, afin de mieux cibler les mécanismes et les secteurs de production et de stockage. Ces démarches devraient permettre à moyen terme de proposer des solutions adaptées en termes d'entretien des cours d'eau et de gestion des risques associés. Toutes ces questions se posent sur l'Isère à l'amont de Grenoble. Une démarche holistique est ainsi engagée dans le cadre de cette thèse à l'échelle de ce bassin. Elle s'est organisée autour de trois axes thématiques. Une première étape a consisté à parcourir les linéaires de l'Isère entre le barrage d'Aigueblanche et Grenoble, de l'Arc entre Saint-Jean-de-Maurienne et la confluence de l'Isère, de l'Arly entre Ugine et la confluence de l'Isère. Le résultat a permis de cartographier les différentes formes d'accumulation du bois mort le long du linéaire et d'identifier les zones préférentielles de dépôts (et inversement) ainsi que certains paramètres contrôlant la distribution spatiale des accumulations de bois mort le long de ce linéaire. La deuxième étape s'est appuyée sur les secteurs où de fortes concentrations en bois mort ont été déterminées. Sur ces sites, des mesures ont été réalisées sur les troncs stockés dans les chenaux des différents cours d'eau afin d'élaborer la carte d'identité des bois morts en transit. Trois tests méthodologiques ont ensuite été effectués afin d'identifier l'origine géographique des bois morts stockés dans le chenal de l'Isère à l'aval d'Albertville. La troisième étape présente les résultats issus d'un test de suivi des bois par traçage mis en place en 2002 et de l'expérimentation réalisée en juin 2003 lors d'un lâcher de barrage. Nous avons étudié ensuite la dynamique des bois morts en rapport avec l'hydrologie des cours d'eau. A partir des résultats obtenus, des propositions de gestion ont été formulées. Elles ont eu pour objectifs de réduire les risques d'inondations et de dommages au niveau des ouvrages et des zones urbaines, de réduire les coûts d'extraction et les contraintes d'exploitation aux barrages et aux ponts. Il s'agissait, en outre, de trouver une solution permettant d'éviter une systématisation de l'entretien sur tout le linéaire qui est financièrement et écologiquement coûteuse, et de proposer quelques règles permettant de promouvoir l'impact des politiques d'entretien mises en place.
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Les débuts du cinéma en Corée : entre projection et spectacle vivant

Kang, Chang Il 10 November 2018 (has links)
Cette recherche est une étude sur les débuts de l'histoire du cinéma en Corée des premières projections de films dans ce pays jusqu'en 1935, année pendant laquelle les Coréens ont commencé à produire des films parlants. Dans la première partie, nous avons étudié l’arrivée du cinéma en Corée, quand et par qui il a été introduit dans ce pays. Puis, quels films ont été vus par le public coréen et quels effets ils ont produits sur ce public.Dès les premiers temps du cinéma, chaque région du monde a essayé de surmonter les manques du film muet. Aussi, la deuxième partie s’intéresse à la particularité de la projection des premiers films muets en Corée. Le mot « spectacle cinématographique » se réfère, d’abord, à la représentation de films dans les premiers temps des débuts du cinéma. Le spectacle cinématographique sous-entend la possibilité d’un accompagnement supplémentaire, surtout sonore. En effet, les premiers films étaient « muets » et le moyen de mettre du son sur la pellicule n’avait pas encore été trouvé. De plus, souvent, il y avait aussi un concert ou un court spectacle secondaire (clown, bonimenteur, etc.) pendant, avant ou même après la projection des films. Cet ensemble autour de la projection de films représentait un véritable « spectacle cinématographique ». Nous avons étudié ce spectacle mixte présenté depuis 1919 à Séoul en Corée, et qui combine concert, projections de films, théâtre occidental moderne et boniment appelé Chosŏn Sinp'a Hwaltong Yŏnswaegŭk ou Chosŏn Kino-drama.Dans la troisième partie, nous avons présenté et analysé les données sur les films muets coréens dont nous avons pu retrouver les traces. / This research is a study of the history of cinema in Korea from the first motion pictures screenings until 1935, the year in which Koreans began making their talking films.In the first part, we study the arrival of cinema in Korea, when and by whom was the motion picture introduced in this country. Then, what films were seen by the Korean public and what effects they had on this audience. From the early times of cinema, the diverse regions of the world have tried to overcome the lack of the silent motion picture. The second part is focused on the specificity of the first silent motion pictures screenings in Korea. The Spectacle cinématographique can refer to the form of the representation of the motion pictures in the early days of cinema. The word Spectacle cinématographique implies the possibility of an additional accompaniment, especially the sound. The first films were "silent" and the way of putting sound on films had not been found yet. At that time, there was a concert or a short secondary show (clown, pitch, etc.) during, before or even after the screening of the films. We study the Spectacle cinématographique called Chosŏn Sinp'a Hwaltong Yŏnswaegŭk or Chosŏn Kino-drama which was presented since 1919 in Korea that combines the pitch, the concert, the modern western theater and the motion pictures screenings.In the third part, we report all the data concerning silent Korean films of which we still found the traces.

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