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Le contrôle de l'administration sur les associations au XIXe siècle : l'exemple de l'Isère (1810-1901) / The control of the French administration on the associations of the 19th Century : the example of the French department of the Isère (1810-1901)

Arbet, Maxime 09 December 2013 (has links)
Consacré par la loi de 1901 comme un droit, le fait de s'associer, de se regrouper, a connu d'importantes manifestations dès le XIXe siècle, malgré les interdictions révolutionnaires. La thèse se propose de comprendre à partir du département de l'Isère, les codes légaux et administratifs de l'existence d'une liberté publique en cours de constitution. Au travers du prisme du préfet, elle mettra en valeur les différentes techniques administratives du contrôle et de la surveillance, ainsi que l'adaptation des groupements visés, adaptations variables selon les domaines d'activité. Pour cela, cette étude constitue une enquête juridique et historique sur la pratique d'une liberté publique fondamentale antérieurement à la reconnaissance législative. / Established as a legal right through the law of 1901, the act of going into partnership and the act of joining together had been occurring in public circles from the 19th century on, despite the fact that these acts had been been banned by revolutionary decrees. This thesis uses as a focus the Isère Department, and analyses the French legal and administrative codes to scrutinise the real existence of a public freedom in its phase of construction. Using a theoretical framework which focuses on the French Departmental leader - the Préfet (the Prefect), this thesis will highlight the different administrative control and surveillance techniques as well as the adapatation of activity of its targeted groups. These adaptations were of a varied nature according their domain of business. To achieve this objective, this study is a legal and historical investigation on the practice of a fundamental public right before its legal acknowledgement.
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Les acteurs du développement rural en Isère : canton de Villard-de-Lans 19e-21e siècles / The actors of Rural Growth in Isère : canton de Villard-de-Lans, XIX C.-XXI C.

Della Vedova, Gilles 02 March 2016 (has links)
Territoire supposé « sans histoire », le canton de Villard-de-Lans (Isère), fait partie des points aveugles de l’historiographie. Situé en montagne, donc supposé enclavé, il semble en marge du développement rural tel que le modèle anglais le conçoit. L’approche longitudinale sur deux siècles, et en particulier au cours de la période vers 1830-vers 1930, montre que cet espace est un cas pertinent de construction commune entre des acteurs de nature diverse, situés à des échelles différentes et qui forment un système traversé par des complémentarités et des rivalités. Pour démontrer ceci, l’approche prosopographique questionne la notion de développement rural. Celui-ci, en premier lieu, n’est pas déterminé par les étapes de l’âge industriel. Les Quatre montagnes sont dès la première moitié du 19e siècle un espace intégré aux transformations globales et plusieurs indices révèlent des circulations régulières avec Grenoble, le chef-lieu du département. Si les notables jouent un rôle important, de nombreuses autres familles tissent des liens avec les sociétés et les activités de la plaine. De la recherche des moyens pour demeurer au village au développement qui s’exprime dans un cadre collectif, et qui prend notamment forme dans les conseils municipaux, les familles sont des acteurs décisifs du développement rural. Celui-ci s’appuie, en deuxième lieu, sur l’essor précoce de l’élevage bovin mais également sur le commerce du bois. Progressivement, les bois du délit s’effacent devant l’arbre autour duquel les acteurs se réconcilient. La politique bovine constitue un angle privilégié car elle concerne le plus grand nombre d’individus à l’échelle locale et elle est un cadre pour des jeux d’échelles. L’élaboration d’une construction commune entre les cultivateurs et les acteurs dépêchés par l’Etat, notamment à l’occasion de la reconnaissance par l’Etat de la race bovine de Villard-de-Lans (1864), puis lors de la création d’un concours spécial départemental (1893-1914) met au jour les logiques communes mais également rivales entre les uns et les autres. La notion de spécialisation s’efface devant une orientation renforcée et la pluriactivité reste vivace. Elle démontre la volonté de faire feu de tout bois. Dans le même temps, une filière se construit à travers la station d’élevage (1875) et une segmentation des activités liées à l’élevage. La recherche du développement rural s’exprime, pour finir, à travers la construction d’un système touristique entre le dernier quart du 19e siècle et l’entre-deux-guerres. Celui-ci est, à nouveau, une élaboration commune entre des acteurs qui cherchent à promouvoir cette nouvelle branche industrielle et des sociétés locales qui se servent de leurs atouts (un milieu serti de reliefs élevés mais avec une amélioration de l’accessibilité, l’essor du commerce et de belles forêts) pour investir cette opportunité. La comparaison avec l’élevage évite de parler de spécialisation car plusieurs activités font la renommée du canton de Villard-de-Lans au début du 20e siècle ; elles proposent donc une autre possibilité de développement qui ne soit ni industrielle ni fondée sur une monoactivité et qui ne s’appuie que sur quelques individus. Ainsi, la dimension communautaire reste prégnante, le rapport entre la ville et l’espace rural n’est pas seulement hiérarchisé et les combinaisons des activités permettent de passer, pour une partie des habitants, du maintien à l’essor. La période du dernier quart du 19e siècle à l’entre-deux-guerres est féconde et elle suggère une relecture des évolutions de la seconde moitié du 20e siècle jusqu’à nos jours. / The Villard-de-Lans canton may be deeemed a historiographic “point aveugle”. As a mountainous area, supposedly isolated, it does seem alien to the English model of rural growth.However a diachronic study over two centuries, concentrating upon 1830 to 1930, illustrates the interplay of a variety of actors. A prosopographic method will challenge the very concept of rural growth.To begin with, rural growth is undetermined by the successive steps of the industrial revolution. Ever since the beginning of the XIX C., the “Quatre Montagnes” are involved with the main transformations ; many signs point to regular exchanges with Grenoble, the “chef-lieu” of Isère. Assuredly, the upper classes play an important role but many other families are linked with various types of activities on the plain. Sometimes, they will find the means to stay at home, sometimes they will favour collective growth, thanks for instance to the municipal council. These are major actors of rural growth.Secondly, growth here depends on the early boom of bovine-breeding (“élevage”) as well as on the timber trade.We have concentrated upon the policy of cattle-breeding for it involves the largest number of local actors as well as being the scene of a scale-game. The recognition by the State of the Villard-de-Lans breed (1864) followed by the creation of a “Concours départemental spécial” (1893-1914) enable to discover the interplay, sometimes antagonistic, of farmers and State agents. Pluriactivity remain strong despite the launching of a new industry (breeding facility (1875)) and a segmentation of its various departments.Finally, rural growth delivers itself through the expansion of tourism between 1875 and the interwar period. Here also a common construction is detailed between the active promoters of a new industry and the local societies determined to make the most of this opportunity via enhanced access, commercial development and their beautiful woodland. The category of specialization is irrelevant for many activities, apart from “élevage”, caracterize the “canton” at the start of the XXth C. : growth here is neither industrial nor mono-occupational nor dependent upon a small number of individuals. The community is decisive. There is more than a mere hierarchy between town and country - thanks to the multiplicity of occupations, a section of the population can go from preservation to growth. The rich period from 1875 to the interwar years invites to a reassessment of the contemporary evolution from 1950 to the present.
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Infiltration et alimentation des aquifères alluviaux : détermination du coefficient d'infiltration dans la Combe de Savoie - Alpes françaises

Kyroussis, Jean 13 February 1979 (has links) (PDF)
La présente étude est un essai d'évaluation du bilan hydrologique d'une plaine alluviale pour une période de cinq ans (19721976) de mesures. Plus particulièrement, le but de cette étude est de déterminer le coefficient d'infiltration d'une plaine alluviale afin de pouvoir mesurer l'infiltration dans cette région. Ayant choisi une plaine alluviale (Combe de Savoie) du bassin de l'Isère, nous étudierons la géologie des différentes formations alluviales de cette plaine. Nous essayerons de déterminer les différents facteurs de l'hydrologie et de la climatologie du domaine d'étude (précipitations.évapotranspiration, climat). Nous examinerons le comportement hydrogéologique de la nappe aquifère contenue dans les alluvions (les différents types d'alimentation, de circulation et de variations de la nappe). Nous exposerons les données géophysiques existantes concernant notre région et pour calculer le coefficient d'infiltration, nous choisirons trois secteurs différents où nous évaluerons ce facteur. Après, nous tâcherons de déterminer le coefficient d'infiltration de l'ensemble du bassin. Ayant mesuré le coefficient d'infiltration, nous déterminerons l'infiltration et nous établirons le bilan hydrologique de notre région. Enfin, nous essayerons d'établir une relation entre les précipitations et l'infiltration de ce bassin (par méthode statistique) afin d'établir la loi des variations de cette dernière en fonction de la pluie.
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L'infiltration dans les cônes de déjection : la basse vallée de la Tarentaise, Savoie - Alpes françaises

Carret, Jean Paul 04 May 1979 (has links) (PDF)
Dans les grandes vallées alpines, les cônes de déjection tiennent une place importante. De nombreuses études ponctuelles ont montré leur rôle dans l'alimentation des nappes alluviales. Le but de cette étude est d'analyser les facteurs qui influent sur l'infiltration dans les cône s de déjection. Une connaissance correcte de ces facteurs doit permettre d'agir de façon artificielle sur l'infiltration lorsque le besoin s'en fait sentir. Cette étude a été menée en Tarentaise, entre Albertville et Aigueblanche, car en raison de la position relative des éléments structuraux des Alpes et de la vallé e de l'Isère, les cônes de déjection que l'on y trouve sont tous différents les uns des autres.
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Etude par spectrométrie de masse à étincelles de la répartition des éléments traces dans quelques gîtes alpins d'arsénopyrite

Marie, Robert 27 June 1980 (has links) (PDF)
L'étude géochimique par spectrométrie de masse à étincelles de paragenèses à arsénopyrite fait suite aux travaux sur les sidérites et les molybdènites effectués respectivement par R. LE SUAVE et M. VOISSET. Dans la première partie, nous exposons très brièvement le principe de la spectrométrie de masse à étincelles ainsi que le mode opératoire et la préparation des échantillons. Dans la deuxième partie, nous décrivons les gîtes d'arsénopyrite étudiés. Les résultats des analyses et l'examen comparatif des teneurs des éléments trace font apparaitre des anomalies géochimiques. L'idée initiale était de préciser l'origine des minéralisations avec l'aide du profil de répartition des lanthanides dans les arsénopyrites et dans les biotites des intrusions granitiques proches ainsi que l'avait réalisé M. VOISSET pour les molybdènites. Malheureusement l'absence presque totale de lanthanides dans les arsénopyrites nous a amené à rechercher les corrélations possibles avec les autres éléments trace ( moins de 1000 ppm). Leur nature ainsi que la comparaison de leurs teneurs nous renseignent parfois sur l'origine des minéralisations. Des teneurs élevées en tungstène nous ont amené à la découverte de scheelite dans les gîtes de St Paul sur Isère et de Salanfe. Nous verrons que son analyse et le profil de répartition des lanthanides qu'elle contient nous permettent d'avancer une hypothèse métallogénique sur son origine. Enfin la fréquente association de l'arsénopyrite avec l'or nous a amené à poser le problème du mode de gisement de l'or.
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Le Bassin du Rhône au Quaternaire, géologie et préhistoire

Bourdier, Franck 02 February 1958 (has links) (PDF)
Cette thèse aborde - la description des dépôts quaternaires du Bassin du Rhône dans son cadre français. - la chronologie du IV° rhodanien
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Les mouvements de terrain : recherches sur les apports mutuels des études géologique et mécanique à l'estimation de la stabilité des pentes .

Mougin, Jean Pierre 07 September 1973 (has links) (PDF)
Les sujets principaux de ce travail sont les suivants: Après un chapitre d'introduction consacré à un exposé sur l 'importance du phénomène, où l'on distinguera les problèmes posés par les mouvements de terrain naturels de ceux qui sont la conséquence de l'activité humaine, avec une mention particulière à l'aspect juridique des mouvements de terrain, la première partie s'intéressera à la description de tous les mouvements de terrain réels et de leurs différents aspects , de façon à aboutir à une classification fondée sur des critères d'observation et permettant de distinguer divers types de mouvement que l'on pourra étudier par des procédés distincts. Cette étude aboutit à la définition et à la description du glissement de terrain et est illustrée par l' exemple de M0NTAUD (Isère). Nous nous sommes ensuite préoccupés de l'estimation de la stabilité des pentes en passant en revue d'une part tous les facteurs qui interviennent sur cette stabilité, ainsi que l'état actuel des connaissances à propos de ces facteurs, et les moyens que l'on a pour les déterminer, et d'autre part les méthodes qui permettent l'estimation de cette stabilité. Nous avons par principe exclu toute recherche en direction de mét hodes très élaborées, donc théoriquement les plus précises, faisant appel à l ' informatique et cela pour plusieurs raisons : de telles méthodes existent actuellement et semblent donner de bons résultats; nous n 'étions pas en mesure d'effectuer de longs travaux sur ordinateur dans le cadre de ce travail ; enfin et surtout nous avons cherché une méthode qui soit d 'un emploi simple tant par ses bases mathématiques que par les moyens matériels qu'elle nécessite , afin de pouvoir être utilisée par le maximum de personnes. Un paragraphe est consacré au rappel de tous les facteurs régissant la stabilité des pentes: loi rhéologique et conditions aux limites . Nous envisageons ensuite les deux voies qui peuvent conduire à l'estimation de la stabilité des pentes: la voie descriptive tout d'abord qui fait appel à l'observation et au relevé de tous les renseignements offerts par chaque cas de stabilité ou d'instabilité (donc résolu par la nature) et qui peut conduire soit à une étude comparative des problèmes, faisant alors appel à l'expérience de l'observateur, soit à un traitement statistique, si le nombre d'observations est suffisant, permettant de définir l'influence relative des différents paramètres: une méthode est proposée, illustrée par l'exemple des glissements d'EN BRUNET (Savoie) ; cette voie descriptive, utilisable surtout par le naturaliste, peut apporter une aide notable à l'ingénieur placé devant de grands phénomènes naturels; l' étude théorique, au contraire, doit apporter au géologue un outil simple et efficace pour chiffrer la stabilité; après un passage en revue des différentes méthodes de calcul, nous avons retenu celles de FELLENIUS et de BISHOP simplifiée qui peuvent être utilisées par le calcul à la main; pour évaluer la validité de ces méthodes , nous les avons appliquées à un certain nombre de cas (pentes stables et instables) parfaitement décrits dans la littérature; ceci nous a permis d ' établir que la méthode de FELLENIUS, affectée d'un coefficient correcteur, donne des résultats très valables pour définir la limite de stabi lité d'une pente; nous avons donc défini, à partir de cette méthode qui est la plus simple d 'emploi, un coefficient probable FP , égal au coefficient de FELLENIUS FF, majoré de 0, 12 , et dont nous indiquons les limites de précision qui sont en accord avec la précision que l'on peut espérer des différents relevés et essais sur le terrain et en laboratoire. Un exemple d' uti isation "inverse " de la méthode est donné (glissement de SAINT JEAN DU BRUEL, Aveyron) qui consiste à chercher la va l e ur des paramètres mécaniques d'un terrain au moment de sa rupture (FP = 1) afin d'étudier l'évoluti on de la stabilité en fonction des diverses modifications des conditi ons du terrain . La dernière partie de ce travail est consacrée à l' étude de l'inf luence de l ' eau sur la stabilité , car ce sont le plus souvent des modifications des conditions hydrauliques d'un massif qui conduisent à sa rupture ; nous passons tout d ' abord en revue la modification de chaque paramètre régissant la stabilité à la suite de variations des conditions hydrauliques , afin de discuter l 'importance relative de leur influence sur la stabilité ; un court paragraphe est ensuite consacré au comportement de l'eau dans le sol en fonction de sa nature et de sa structure géologique, de façon à indiquer à quels problèmes hydrauliques peuvent conduire les différents types de sols ; enfin nous avons voulu chiffrer l 'influence de la position d 'une nappe , à l'intérieur d ' un talus, sur la stabilité de celui -ci : on a donc calculé la variation du coefficient de sécurité probable de ce talus en fonction de sa hauteur et de sa pente , de la position de la nappe , de la densité , de la cohésion et du frottement interne du sol supposé homogène ; cela conduit à un cahier d' abaques qui est présenté à la fin de cet ouvrage .
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Variabilité spatiale et temporelle du bois mort dans le réseau hydrographique de l'Isère à l'amont de Grenoble

Moulin, Bertrand 12 December 2005 (has links) (PDF)
Depuis la fin des années 1970, de nombreuses publications scientifiques ont permis de mieux comprendre les mécanismes de production et de transport des bois morts dans les cours d'eau. La plupart de ces travaux se sont concentrés géographiquement sur des torrents ou des petits cours d'eau localisés en Amérique du Nord, dans des régions caractérisées par l'industrie forestière et la présence de vieilles forêts tempérées. Les connaissances relatives à la dynamique du bois mort dans les cours d'eau de grande taille sont encore très lacunaires. Il s'agit aujourd'hui d'identifier, à l'échelle du réseau hydrographique, l'origine, les conditions de mobilité et de transfert du bois mort, afin de mieux cibler les mécanismes et les secteurs de production et de stockage. Ces démarches devraient permettre à moyen terme de proposer des solutions adaptées en termes d'entretien des cours d'eau et de gestion des risques associés. Toutes ces questions se posent sur l'Isère à l'amont de Grenoble. Une démarche holistique est ainsi engagée dans le cadre de cette thèse à l'échelle de ce bassin. Elle s'est organisée autour de trois axes thématiques. Une première étape a consisté à parcourir les linéaires de l'Isère entre le barrage d'Aigueblanche et Grenoble, de l'Arc entre Saint-Jean-de-Maurienne et la confluence de l'Isère, de l'Arly entre Ugine et la confluence de l'Isère. Le résultat a permis de cartographier les différentes formes d'accumulation du bois mort le long du linéaire et d'identifier les zones préférentielles de dépôts (et inversement) ainsi que certains paramètres contrôlant la distribution spatiale des accumulations de bois mort le long de ce linéaire. La deuxième étape s'est appuyée sur les secteurs où de fortes concentrations en bois mort ont été déterminées. Sur ces sites, des mesures ont été réalisées sur les troncs stockés dans les chenaux des différents cours d'eau afin d'élaborer la carte d'identité des bois morts en transit. Trois tests méthodologiques ont ensuite été effectués afin d'identifier l'origine géographique des bois morts stockés dans le chenal de l'Isère à l'aval d'Albertville. La troisième étape présente les résultats issus d'un test de suivi des bois par traçage mis en place en 2002 et de l'expérimentation réalisée en juin 2003 lors d'un lâcher de barrage. Nous avons étudié ensuite la dynamique des bois morts en rapport avec l'hydrologie des cours d'eau. A partir des résultats obtenus, des propositions de gestion ont été formulées. Elles ont eu pour objectifs de réduire les risques d'inondations et de dommages au niveau des ouvrages et des zones urbaines, de réduire les coûts d'extraction et les contraintes d'exploitation aux barrages et aux ponts. Il s'agissait, en outre, de trouver une solution permettant d'éviter une systématisation de l'entretien sur tout le linéaire qui est financièrement et écologiquement coûteuse, et de proposer quelques règles permettant de promouvoir l'impact des politiques d'entretien mises en place.
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Etude des échanges nappe-rivière : la nappe de la plaine de l'Isère dans l'ombilic de Grenoble

Fourneaux, Jean Claude 06 June 1975 (has links) (PDF)
Les premières études hydrogéologiques entreprises sur la nappe de la plaine de l'Isère. dans le Grésivaudan. ont montré l'existence de liens étroits entre la nappe et la rivière (J .C. FOURNEAUX. 1968 ). Cette liaison se traduit par des échanges permanents entre les eaux souterraines et les eaux superficielles. Une telle situation doit se retrouver partout où existent des conditions géologiques et hydrogéologiques identiques. Cette étude se propose d'analyser le mécanisme de ces échanges entre la nappe et la riviére ; non plus seulement dans le Grésivaudan mais dans toute la plaine de l'Isére entre Albertville et Rovon, où les conditions semblent analogues sinon identiques. Il n' est pas question de faire, ici, une analyse détaillée de l'hydrogéologie de toute cette zone, mais , à partir d'exemples, de déterminer les facteurs qui jouent un rôle dans les variations de la nappe. Celles-ci sont, en effet, le moteur des échanges, car s'il y avait équilibre parfait et permanent entre la nappe et la rivière, il n'y aurait, bien évidemment aucun échange . Ceux-ci tendent à compenser une rupture d'équi libre due à l'action d'un ou plusieurs facteurs. Le but recherché est d'établir les régles qui régissent les variations de la nappe. Ces relations font intervenir trois séries de facteurs - les facteurs de la nappe, - les facteurs de la riviére, - les facteurs hydrologiques.
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Contribution à l'étude géologique, hydrogéologique et géotechnique du bas Grésivaudan (Isère) - Alpes françaises

Couturier, Bernard 02 November 1974 (has links) (PDF)
Ce travail finalisé en 1975 apporte une contribution synthétique à l'hydrogéologie et à la géotechnique de la vallée de l'Isère au NE de Grenoble.

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