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A study of the composition and changes occurring during storage of a range of edible aroidsAgbor-Egbe, T. January 1989 (has links)
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Biology of the Araceae in GhanaBeath, Danny January 1993 (has links)
The reproductive ecology of nine aroid species in the rain forests around Kumasi in Ghana was studied. These species included two seasonal geophytes; Amorphophallus johnsonii and Anchomanes difformis, two herbaceous species; Culcasia saxatilis and Culcasia striolata, Four hemi-epiphytic species with terrestrial phases; Cercestis afzelii, Cercestis stigmaticus, Culcasia angolensis and Culcasia parviflora, and one hemi-epiphytic species without a terrestrial phase when mature; Rhaphidophora africana. These aroids are pollinated by beetles and flies. Anchomanes difformis and Culcasia angolensis exhibit floral heating. Trap mechanisms are present in the inflorescences of Amorphophallus johnsonii, both Cercestis species, in Culcasia parviflora and in C.saxatilis. Pollen is psilate or verrucate to bacculate in most species, but echinate in Culcasia angolensis. Ripe infructescences in most species consist of clusters of large orange to red coloured berries, but Rhaphidophora africana develops gravid spadices, with the outer tapetum peeling away to reveal naked seeds in a pulp. The seeds in most of these aroids germinate quickly and produce high percentage germination, but Amorphophallus johnsonii exhibits bimodal germination, with some seeds germinating immediately and others delaying germination until 8 months later. Evidence of berry flesh inhibition was found in Cercestis afzelii. Two main patterns of climbing are displayed by the hemi-epiphytic aroid species, with continuous growth in Culcasia angolensis and Culcasia parviflora and periodic climbing shown by Cercestis afzelii, Cercestis stigmaticus and Rhaphidophora africana. Growth towards dark areas or 'skototropism' is evident in Culcasia angolensis, Culcasia parviflora and to some extent in Cercestis stigmaticus.
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Diversité chimique et biofortification des plantes à racines et tubercules tropicales cultivées : caractérisation des parents et élaboration de protocoles permettant l'optimisation de la sélection / Pas de titre traduit en anglais fourni par l'auteurChampagne, Antoine 18 January 2010 (has links)
L’agrobiodiversité s'étudie au niveau génotypique mais également au niveau de l'expression chimique de ce génotype, le chimiotype. Les plantes à racines et tubercules tropicales (manioc, patate douce, ignames et taros) sont multipliées par voie asexuée et les bases génétiques sont bien souvent étroites chez les cultivars traditionnels. Malgré les faibles diversités génétiques révélées à l'aide de marqueurs ADN, les chimiotypes sont très variables et leur étude est riche d’informations. Ces cultures vivrières, plantes amylacées mais aussi sources de molécules intéressantes pour les industries alimentaire et pharmaceutique, tiennent un rôle déterminant dans la garantie de la sécurité alimentaire des pays du Sud. Dans cette optique, leur amélioration génétique par voie conventionnelle est une contribution majeure aux enjeux actuels. De nombreux efforts restent néanmoins à réaliser pour analyser, compiler et disséminer les informations liées à la diversité des compositions et teneurs de plantes qui restent sous-utilisées ou non appréciées à leur juste valeur. La biofortification qui vise une amélioration des propriétés nutritionnelles de ces plantes, présente de nombreux avantages dont le principal est de ne pas modifier les comportements alimentaires tout en permettant une meilleure adaptation environnementale des nouveaux génotypes. Leur amélioration passe par une sélection des parents basée sur leurs valeurs propres et le criblage de grands nombres d'individus hybrides. Le processus est long et fastidieux. L’élaboration de nouveaux outils permettant une optimisation de cette tâche est donc nécessaire. L'analyse d'échantillons représentatifs de la variabilité chimiotypique des collections du Vanouatou, un archipel Mélanésien abritant une riche agrobiodiversité, a permis d'étudier les relations entre composés majeurs, métabolites secondaire et préférences alimentaires locales. Les corrélations mises en évidence permettent d'apporter des éléments utiles à la compréhension du processus de sélection traditionnelle. L’identification des préférences visées par ce processus aident à comprendre les goûts et les attentes des consommateurs, et donc à mieux définir les idéotypes ciblés par les programmes d'amélioration. Ce travail a permis un premier criblage chimiotypique d'un grand nombre de cultivars appartenant aux deux espèces majeures, le taro (Colocasia esculenta) et la grande igname (Dioscorea alata). L'étude des caroténoïdes et des anthocyanes a permis d’identifier un certain nombre de cultivars comme parents potentiellement intéressants pour la biofortification mais aussi pour l'exploitation commerciale directe des clones. La caractérisation des hybrides, obtenus par panmixie et pollinisations libres au cours de cycles de sélection récurrente, indique que des gains importants sont obtenus pour des composés et métabolites essentiels. Les avancées réalisées dans le cadre de ce travail, et leurs conséquences pour les programmes d'amélioration génétique en cours, sont discutées. Les perspectives de mise au point de nouveaux outils de criblage et de nouvelles méthodes de caractérisation qui permettront in fine une meilleure approche de la biofortification de ces cultures vivrières, sont aussi envisagées / Agronomic selection generates and maintains agrobiodiversity which can be regarded as an essential resource. To describe phenotypic diversity, genotypes as well as their chemical expression, chemotypes, have been widely used. Tropical root and tuber crops are vegetatively propagated and their genetic bases are often narrow. Therefore, unveiling the impressive phenotypic diversity is still rather difficult through genotyping alone, whereas chemotype studies are very informative. Tropical root crops are staples and represent a good source of compounds related to health benefits and used in food and pharmaceutical industries. Those crops have key-roles to play in food security for developing countries and so plant breeding cannot be neglected. Biofortification is effective and does not imply change of dietary behaviours. Analysing, computing and compiling data bases for chemical data on diversity of neglected crops are still needed. Biofortification involving mass selection and profiling of numerous accessions is, however, time-consuming. Thus, efficient protocols and tools facilitating this process are required. Chemotypic variability within Vanuatu germplasm was characterised through core samples from different species and relationships between primary compounds, secondary metetabolites and local preferences have been studied. Useful correlations were shown, thus clarifying traditional selection process. This process has permitted the definition of ideotypes that will be interesting for the management of breeding programmes. At least for the two most important species in Vanuatu - taro Colocasia esculenta and the greater yam - Dioscorea alata -our work is the first broad screening of germplasm. The study of carotenoid and anthocyanin content indicates that some cultivars show potential for commercial exploitation. With the aim of improving staple foods by plant breeding, we identified accessions to be selected as parents for future crosses
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