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Die Spitze des Bewusstseins : Untersuchungen zu Weltbild und Kunst der Shipibo-Conibo /

Gebhart-Sayer, Angelika. January 1987 (has links)
Diss.--Tübingen--Eberhard-Karls Universität, 1986. / Bibliogr. p. 395-420. Notes bibliogr.
2

L'esthétique oubliée de Jacques Maritain : un chemin de poésie et de raison /

Duvauchel, Marion. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Philosophie--Rouen, 2004. / Bibliogr. p. 271-279.
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La durée picturale chez les cubistes et futuristes comme conception du monde : suggestion d'une parenté avec le problème de la temporalité en philosophie

Thibault, Alexandre 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Dans les années qui précédèrent le début de la Première Guerre mondiale, les premières avant-gardes ont forgé une conception du temps pictural radicalement différente de celles des écoles dominantes du XIXe siècle, entraînant par là une représentation nouvelle de l'espace. Le but de ma recherche est d'analyser la modalité temporelle du rapport pictural sujet/objet sous les divers aspects de son expression esthétique : temps du créateur, temps du spectateur, temps de l'objet représenté et temps de l'œuvre d'art. En plus de comprendre la temporalité picturale comme un rapport avec la réalité, il s'agira aussi d'appréhender le « temps » du début du siècle, selon l'acception de « conjoncture », ou d'époque dans la culture européenne occidentale, révélée par une approche interdiciplinaire et même transdisciplinaire. L'analyse d'un corpus sélectif d'œuvres cubistes et futuristes mène à la démonstration d'une parenté avec les idées philosophiques contemporaines de ces artistes. Cette synchronie prend tout son sens dans certains concepts présents dans la phénoménologie husserlienne, tout particulièrement dans Leçon pour une phénoménologie de la conscience intime du temps de 1905 et aussi chez Henri Bergson dont la pensée est une influence probante sur l'art du début du XXe siècle.
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L'œuvre en tant qu'œuvre : approche de l'expérience

Cardinal, Éric 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Ce mémoire se veut une réflexion sur la nature du lien qui unit l'oeuvre au regardeur. Il met l'accent sur une remise en question de la notion d'interprétation et propose un modèle d'approche différent qui privilégie plutôt l'expérience. Ici, l'oeuvre est envisagée telle quelle, c'est-à-dire désengagée de message ou de discours, dans son surgissement. Différents concepts y sont abordés, tels que le sublime et la signifiance. Les écrits de plusieurs auteurs importants comme Roland Barthes, Jean-François Lyotard, Giorgio Agamben et Roman Jakobson fournissent les lignes directrices de cette réflexion. Celle-ci sert ensuite de canevas à une analyse détaillée de mon travail. J 'y traite plus particulièrement d'une exposition intitulée Amas, fatras, îlots qui fut présentée au Centre d'art et de diffusion CLARK en février 2008.
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Formalisme et aformalisme: essai sur le statut de la forme et du regard au travers d'une analyse du maniérisme

Buydens, Mireille January 1994 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ce qui se passe réellement : à propos de la contribution du dadaïsme berlinois à l'histoire de la culture visuelle allemande

Bouchard, Anne. 11 April 2018 (has links)
Par le biais d'une analyse de la philosophie de l'histoire et de la théorie de l'art de Walter Benjamin, l'auteur explore les cadres conceptuels et historiques du mouvement Dada de Berlin en s'attachant plus particulièrement aux collages et photomontages et à leurs relations avec la culture visuelle allemande. Développant son étude à partir de considérations sur la Révolution dans la philosophie allemande, sur le contexte révolutionnaire de l'Allemagne, sur l'essor de la presse illustrée dans ce contexte et sur le rôle de la presse dans la constitution de la république de Weimar, l'auteur relève les principales caractéristiques des collages et photomontages dadaïstes et les sources théoriques et pratiques du mouvement.
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Pratique de création et pensée philosophique : le geste et la forme

Riverin, André 05 April 2024 (has links)
Le présent ouvrage interroge à la source le concept de pli. Il le fait en prenant pour objet d‟étude l‟inséparabilité de l‟activité de peindre et du milieu peinture en lequel celle-ci s‟exerce. Le texte revient constamment sur ce même objet et fait basculer la compréhension que l‟on pourrait avoir du concept de pli de l‟intériorité vers le dehors, mieux, vers l‟intériorité du dehors. L‟oeuvre d‟art étant à la fois un être-tenu et un être-dehors, epoché et rythme, celle-ci s‟avère être alors l‟un des derniers lieux, sinon le dernier où demeure agissant cette inséparabilité que rend manifeste ma pratique de création losqu‟opèrent en elle les concepts d‟origine, de souci et de liberté. L‟intitulé Le geste et la forme cerne donc l‟ensemble de la problématique éthique au fondement de ces études au doctorat. Il le cerne en ce sens que, me tenant devant l‟étant en totalité, par-delà le fait qu‟avec chaque geste posé il s‟agit de tenir la promesse des gestes précédents pour les suivants, de sorte que puisse s‟y maintenir, avec chaque pas gagné, la possibilité de former une forme non donnée à l‟avance, il y va qu‟en cette forme s‟ouvre et s‟y maintienne, comme forme de vie, cette sensibilité à l‟absence d‟objet qui nous distingue de tout autre être vivant. Questionnée par le sens, s‟affirme ici, pour toute pratique de création quelle qu‟elle soit, l‟importance de la pensée phénoménologique, et plus particulièrement celle, herméneutique, de Heidegger, pour mettre des mots sur ce que ma pratique m‟offre lors des moments d‟attente et de surprise à titre d‟expériences que nous avons et qui nous ont, contrairement à celles que nous faisons et qui décident hors de nous. Le sol de l‟art étant ainsi l‟être et non la conscience, l‟espace de l‟art est le suspens d‟un monde tout fait pour nous. En lui s‟installe d‟un coup en l‟oeuvre d‟art la prégnance du sens dans le sensible, là où sens et sensibilité ne sont l‟un pour l‟autre que la différence d‟un identique. „„Le geste se fait forme‟‟résume mon travail dans le non-lieu de la création en quelque sorte. Ce moment relève de l‟attente. „„La forme se fait geste‟‟ révèle notre être-au-monde. Ce moment relève de la surprise, de l‟amplitude d‟un échange des regards que sous-tend l‟image d‟appel, là où, en elle, la transcendance prend son appel à elle-même.
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(Archipels) : construire une oeuvre : de l'image-utopie à l'horizon d'images / Archipels

Chapleau, Danielle 12 March 2024 (has links)
La métaréflexion porte sur la phase la plus obscure de la construction d'une œuvre : la période d'antériorité du faire. Loin en amont de cette étape de concrétisation, le créateur est assailli par un foisonnement intérieur : flux et émergences se succèdent, s'oblitèrent ou se contrecarrent. La fulgurance de l'image-utopie amorce ce parcours intime. Forte et prégnante, elle impulse le désir de créer. Comme une gangue, elle contient, encore crypté, tout le devenir de l'œuvre. L'image-utopie loge dans le préconscient, en zone protolangagière, et résiste aux conditions de la discursivité. Voilée, mais ponctuée de survenues conscientes, la protostructure de l'œuvre à venir y incube. Au fil de voyagements intérieurs immobiles, l'artiste s'imprègne de cette latence. Aucun observateur extérieur n'a accès à ce moment inaugural de l'expérience de création. Par mûrissement, l'image-utopie se transforme en intention de création. Une fois énoncée, elle marque le seuil de la phase programmatique du faire. Ce segment du parcours de création est notoirement imbriqué dans la morphogénèse de la subjectivation. L'artiste parfait son identité en établissant dans son œuvre des mises en relation inédites. De ce travail de création émane une connaissance intuitive directe, originelle, un savoir issu de l'expérience qui cadre avec l'épistémologie constructiviste. Praticienne, je m'ouvre sur ce vécu impénétrable. Ma réflexion, autodirigée, sous-tend mon effort de conceptualisation. L'œuvre [Archipels], matériau-témoin, est née au fil de résidences en immersion au Mexique. Cette expérience interculturelle et interdisciplinaire a singularisé ma démarche de création. Malgré la persistance de mes interrogations, malgré l'incertitude, je compose avec l'indéfinition et l'inexpliqué qui marquent ma relation au monde. En construisant et en partageant sa vision unique, l'artiste rallie l'humanisme inclusif de la philosophie de la complexité. Cette pensée globalisante accorde toute sa valeur au savoir expérientiel et l'associe dument au renouvèlement, à l'élargissement et à la réunification de la connaissance. / This metareflection addresses the most obscure stage of creating a work of art: what comes before doing. Long before the creation stage, creators are besieged with an inner profusion-a succession of flows and elements all emerging, clashing into and obliterating one another. This very personal journey is begun by a powerful, meaningful utopian image that impels the desire to create. Like veinstone, this image harbours the entire future work, in scrambled form. The utopian image resides in the preconscious mind, in the protolanguage zone, and resists discursivity. This is where the work's protostructure incubates, veiled, yet sparking moments of conscious insight. In the course of inner journeys, the artist is steeped in this latency. No outside observer can access this inaugurating moment of the creation experience. As it matures, the utopian image morphs into an intention to create. Once articulated, it has crossed into the programmatic stage of doing. This stretch of the creation journey is unquestionably enmeshed with the morphogenesis of subjectivization. The artist crafts an identity by creating novel relationships in their work. In turn, this creation produces a direct, original, experience-based, intuitive knowledge that connects with constructivist epistemology. As a practitioner, I open myself to this inscrutable experience. My self-directed reflection is the springboard for my conceptualization process. My work of art [Archipels], a material witness of this process, is the result of my immersion residency in Mexico. This intercultural and interdisciplinary experience gave my creation process its unique form. In spite of persistent questioning and uncertainty, I contend with the lack of definition and explanation characterizing my relationship to the world. By building and sharing a unique vision, artists mobilize the inclusive humanism of the philosophy of complexity. This global thinking recognizes the value of experiential knowing and rightfully associates it with the renewal, expansion and reunification of knowledge.
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Art, Gattung, System : eine logisch-systematische Analyse biologischer Grundbegriffe /

Heuer, Peter. January 2008 (has links)
Zugl.: Leipzig, Univ., Diss., 2006. / Karl Alber Preis 2008 des Philosophischen Jahrbuchs.
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Sur la possibilité d'une esthétique critique : le débat entre Walter Benjamin et Theodor W. Adorno

Lagacé, Jean-Philippe 17 April 2018 (has links)
Dans les années 1930, Walter Benjamin et Theodor W. Adorno sont les premiers théoriciens à appréhender l'objet d'art dans une perspective critique. Persuadés que les conditions d'existence de l'homme moderne sont marquées du sceau de la contradiction, ils inaugurent une pensée de l'oeuvre d'art qui fait de cette dernière un condensé paradoxal de tous les antagonismes sociaux. Le problème qu'ils soulèvent est alors clair : comment l'art peut-il simultanément préfigurer un échappement à l'égard de la barbarie sociale et réfléchir l'exploitation à l'oeuvre dans la civilisation ? Le présent mémoire propose d'analyser le débat théorique entre Benjamin et Adorno dans la mesure où il nous fournit la clé de l'élucidation de ce statut problématique de l'art moderne. En proposant une analyse comparative des perspectives benjamienne et adornienne, il s'agira de montrer que ces dernières définissent les lignes de force d'une esthétique critique qui, non seulement rend compte des contradictions que la modernité artistique fait peser sur l'expérience humaine, mais explore aussi les possibilités qui émergent de ces contradictions.

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