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La Nouvelle école de Paris et la revue "Art d'aujourd'hui" ou les Abstractions au début des années cinquanteRichard, Georges, January 1988 (has links)
Th. 3e cycle--Hist. de l'art--Paris--EHESS, 1988.
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Die Kontroverse um Abstraktion und Figuration in der französischen Malerei nach dem zweiten Weltkrieg /Weber-Schäfer, Harriet. January 1997 (has links)
Diss.--Köln, 1997. / Bibliogr. p. 260-285.
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La fenêtre condamnée : Transparence et opacité de la représentation dans Les Rougon-Macquart d'Émile ZolaPiton-Foucault, Emilie 27 June 2012 (has links) (PDF)
La fenêtre transparente d'une oeuvre ouverte sur le monde a été érigée comme un modèle de la représentation zolienne par une critique qui, tout en dénonçant la transitivité comme une utopie littéraire naïve, n'en a pas moins validé la pertinence pour comprendre la démarche de Zola. La fenêtre condamnée interroge le passage de ce motif en un symbole métadiscursif validant la théorie de la transitivité, au regard de son actualisation dans le cycle romanesque des Rougon-Macquart. Celle-ci plaide contre toute attente pour un dysfonctionnement de ce " technème " de la description, et donc pour une esthétique beaucoup moins tournée vers la transparence qu'elle ne le prétend elle-même bien souvent. De cette idée naît l'examen d'une possible esthétique de l'opacité de la représentation zolienne, se plaisant à perturber tous lesrelais usuels de la fiction romanesque réaliste (miroirs, enquêteurs et autres artistes réalistes...). Le naturalisme zolien semble ainsi davantage commandé par le modèle de la perversion voyeuriste, consciente de l'inaccessibilité de son désir (rendre compte du réel), qu'elle entretiendrait afin d'en cacher la fatale déception. Cette réalité inatteignable illustréepar le cycle des Rougon-Macquart conforterait dès lors l'assimilation de l'oeuvre zolienne à des théories en apparence bien éloignées de l'image caricaturale du naturalisme, celle d'un réel conçu comme une illusion chez Taine et Schopenhauer, ou encore celle d'une oeuvre fétiche nécessairement subordonnée à l'artifice, refermée sur la projection subjective de l'artiste, dans une préfiguration étonnante des recherches de la poétique mallarméenne et despremiers tenants de l'abstraction picturale.
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Alberto Burri et sa contribution au renouvellement du langage artistique de l’après-guerre / Alberto Burri and his contribution to the renewal of artistic language after WWIISensi, Maria Assunta 26 November 2011 (has links)
Ce travail examine l’œuvre de l’artiste abstrait italien Alberto Burri (Città di Castello, 1915 - Nice, 1995) et ses nouvelles contributions à partir de 1945, notamment dans l’utilisation de la matière en peinture : Goudrons, Sacs, Bois, Fers, Plastiques, jusqu’aux Cretti et Cellotex. La métamorphose de sa recherche est contemplée en faisant état des différentes phases de sa création. C’est dans le Texas, durant sa captivité au cours de la Seconde Guerre mondiale qu’elle vit le jour et continua sans cesse de prendre forme, dans chaque lieu qu’il habita : Rome, où il entra en contact et influença nombre d’artistes, et aussi Los Angeles, Beaulieu-sur-Mer. Prenant également en compte la réception critique de ses créations en Italie et ailleurs, on étudie ses spéculations par rapport à celles des Avant-gardes et à d’autres artistes travaillant avec de la matière, en France, en Italie, dans d’autres pays européens, aux États-Unis et au Japon (entre autres, Gutaï, Néo-Dada, Nouveau Réalisme, Arte Povera…) Tableaux, sculptures, grands «Cycles», œuvre gravé, livres d’artiste, décors pour le théâtre, Sculptures-Théâtre : un voyage monumental, où Burri - entre révolution et classicisme - concevant des œuvres puissantes et raffinées, à l’ «équilibre déséquilibré», renouvela complètement le langage artistique de l’après-guerre. / This survey examines the work of the Italian abstract artist Alberto Burri (Città di Castello, 1915 - Nice, 1995) and his original contributions using a variety of materials in artistic creation since 1945: Tar, Burlap, Wood, Iron, Plastic, and finally Cretti and Cellotex. The metamorphosis of his research is evidenced through all the different phases of his activity, starting in Texas at the time of his internment during WWII and constantly continued in every place he lived: Rome, where he met and influenced many artists, Los Angeles, Beaulieu-sur-Mer. Also examining the critical reception of his work in Italy and elsewhere, his speculations have been studied in relation to those of the Avant-garde and other artists working with materials, in France, Italy, other European countries, United States and Japan (among others, Gutaï, New-Dada, Nouveau Réalisme, Arte Povera…) Paintings, sculptures, big "Cycles", graphic work, artists’ books, stage sets, Theatre-Sculptures: a monumental journey, during which Burri - between revolution and classicism - created powerful and refined works of "unbalanced balance", completely renewing the post-war artistic language.
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Das dualistische Prinzip : zur Typologie abstrakter Formensprache in der angewandten Kunst, dargestellt am Beispiel der Wiener Werkstätte, des Artel und der Prager Kunstwerkstätten /Selden, Brigitte. January 1900 (has links)
Diss.--Aachen--Technische Hochschule, 1989.
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Das Kristalline als Kunstsymbol - Bruno Taut und Paul Klee : zur Reflexion des Abstrakten in Kunst und Kunsttheorie der Moderne /Prange, Regine, January 1991 (has links)
Diss.--Fachbereich Geschichtswissenschaften--Berlin--Freie Universität, 1990.
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La fenêtre condamnée : Transparence et opacité de la représentation dans Les Rougon-Macquart d’Émile Zola / Viewless windows : transparency and opaqueness of representation in Emile Zola’s Rougon-Macquart cyclePiton-Foucault, Émilie 27 June 2012 (has links)
La fenêtre transparente d’une oeuvre ouverte sur le monde a été érigée comme un modèle de la représentation zolienne par une critique qui, tout en dénonçant la transitivité comme une utopie littéraire naïve, n’en a pas moins validé la pertinence pour comprendre la démarche de Zola. La fenêtre condamnée interroge le passage de ce motif en un symbole métadiscursif validant la théorie de la transitivité, au regard de son actualisation dans le cycle romanesque des Rougon-Macquart. Celle-ci plaide contre toute attente pour un dysfonctionnement de ce « technème » de la description, et donc pour une esthétique beaucoup moins tournée vers la transparence qu’elle ne le prétend elle-même bien souvent. De cette idée naît l’examen d’une possible esthétique de l’opacité de la représentation zolienne, se plaisant à perturber tous lesrelais usuels de la fiction romanesque réaliste (miroirs, enquêteurs et autres artistes réalistes…). Le naturalisme zolien semble ainsi davantage commandé par le modèle de la perversion voyeuriste, consciente de l’inaccessibilité de son désir (rendre compte du réel), qu’elle entretiendrait afin d’en cacher la fatale déception. Cette réalité inatteignable illustréepar le cycle des Rougon-Macquart conforterait dès lors l’assimilation de l’oeuvre zolienne à des théories en apparence bien éloignées de l’image caricaturale du naturalisme, celle d’un réel conçu comme une illusion chez Taine et Schopenhauer, ou encore celle d’une oeuvre fétiche nécessairement subordonnée à l’artifice, refermée sur la projection subjective de l’artiste, dans une préfiguration étonnante des recherches de la poétique mallarméenne et despremiers tenants de l’abstraction picturale. / TTransparent panes of glass and wide-open windows are some of the common models Zola’s critics have set up to emphasise the will of transitivity in his art. Although they denounce this idea as a literary utopia, it is still used as a pertinent key to understand Zolian fictional processes. La fenêtre condamnée questions the promotion of the “transparent window” to a metadiscursive symbol of Zolian transitivity by analysing its actualization in the Rougon- Macquart cycle. The study points out an astonishing dysfunction of this supposed “adjunct” of description in the novels, pleading for a totally different aesthetic pattern : an aesthetic of opaqueness, attacking all means of depicting objective reality (windows panes, mirrors,investigators, realistic artists...). Therefore, Zolian naturalism benefits from being understood as a metaphoric voyeurist perversion. Like Peeping Tom, Zola’s fiction acknowledges its desire to be out of reach, but its maintains it in order to avoid disappointment. This idea of an inaccessible reality makes Zolian writing very close to theories apparently far from thecaricature of naturalism : world and reality as an illusion in Taine and Schopenhauer’s theses ; work of art as an artefact or a fetish, enclosed for the projection of a subjective mind, foreshadowing avant-gardist researches in Mallarmé’s poetry, or pioneering abstract paintings
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Le dessin naturaliste, du sujet singulier à l'œuvre singulière : individus, masses et multitudesGransac, Pauline 20 September 2023 (has links)
Ce mémoire fait état de mes réflexions au cours de cette maitrise et des deux champs de recherches à travers lesquels celles-ci se sont développées. J'aborde dans un premier temps mon rapport au dessin, en particulier le dessin naturaliste et son ambiguïté dans le monde de l'art, dû à son lien avec la mimesis. Reconsidérant, à partir des réflexions élaborées par Gérard Genette et Nelson Goodman, la fonction esthétique du dessin naturaliste, j'ai pu confirmer sa nature interprétative révélant la personnalité de l'artiste dans la singularité de ses œuvres. Je me suis également intéressée à l'abstraction et à la façon dont celle-ci pouvait se révéler au travers du naturalisme. Ma fascination pour les planches d'artistes naturalistes et mon intérêt pour l'histoire m'ont également poussée à remonter aux origines du dessin naturaliste et à explorer son évolution. Exploration à travers laquelle j'ai pu retracer la participation de nombreuses femmes dans ce champ de création, les carrières artistiques leur étant pourtant très difficiles d'accès. La seconde partie s'articule autour des recherches en lien avec mon projet artistique. Ma pratique du dessin naturaliste a constitué dans ma mémoire un large répertoire de formes et de détails, qu'il m'était possible de reconstituer librement sans nécessiter l'observation directe. Je me suis inspirée davantage de phénomènes d'intelligence collective observés chez les oiseaux, abeilles et fourmis, où l'agglomération des individus mettait l'accent sur la configuration de la masse en faisant disparaitre l'entité singulière. Des fragments se sont accumulés librement dans des compositions abordant de multiples degrés d'abstraction, sans éliminer le détail naturaliste qui est devenu l'élément de base de ma démarche créatrice. Saturant l'espace de la répétition d'un élément figuratif, je crée une composition à la rythmique abstraite décontextualisée, animée d'une mouvance naturelle.
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L’art abstrait et la tradition du sublime : du sublime comme principe de critique d’art / Abstract Art and the Tradition of the Sublime : The Sublime as a principle of art criticismScalco, Diego 02 November 2011 (has links)
Le présent travail a pour objectif de montrer que les réflexions théoriques et les remarques à caractère technique suscitées au cours de l’histoire par le sublime permettent d’approfondir la question du sens de l’art abstrait. En retour, il vise à tracer les voies par lesquelles l’art abstrait porte à témoigner du sublime, à le penser et à le reconnaître. La relation que l’art abstrait entretient avec la tradition du sublime n’est pas univoque, car certaines parmi ses manifestations tendent à confluer dans la tradition du beau et à renouer avec la pratique de la mímēsis (dont la notion classique déborde les notions modernes d’imitation, de représentation et de figuration). Force est de constater que l’impression d’étrangeté provoquée par le sublime se distingue du plaisir de la reconnaissance qui accompagne le beau et qui est l’effet de la mímēsis accomplie. Ainsi il s’agira de départager l’abstraction, laquelle aurait pour objet l’harmonie sous sa forme abstraite, et l’art abstrait, lequel procurerait un émoi propice au sublime. Cet émoi ne constituera pas le seul critère discriminant en matière de choix des démarches à comparer. D’autres aspects seront pris en considération, à savoir la simplicité, la grandeur et l’obscurité, qui, sous certaines conditions et une fois réunies, peuvent prêter existence au sublime. L’intérêt de l’approche proposée consiste à considérer différentes pratiques abstraites sous un angle, celui du sublime, qui offre la possibilité de les relier à des pratiques figuratives, poétiques, oratoires ou architectoniques dans une perspective historique, mais aussi d’en reconnaître les enjeux et les difficultés spécifiques. / The objective of this thesis is, on the one hand, to show how the theoretical reflections and technical considerations raised throughout history by the sublime allow a deeper understanding of the meaning of abstract art. On the other hand, this thesis explores the way in which abstract art gives rise to the experience of the sublime and therefore to a reflection on it and to its recognition. The relation between abstract art and the tradition of the sublime is not unproblematic. Some of the manifestations of abstract art have a tendency to relate to the tradition of beauty and the practice of mímēsis (whose classical meaning goes beyond the modern notion of imitation, representation and figuration). It is important to note that the impression of strangeness provoked by the sublime differs from the pleasure gained from the recognition that accompanies beauty and is the effect of the accomplished mímēsis. Therefore, it is a question of distinguishing between abstraction, whose objective is harmony in its abstract form, and abstract art, which provokes an agitation that can generate the sublime. In addition to agitation, other aspects will be taken into consideration, namely simplicity, grandness and obscurity. These aspects can, under certain conditions and once they are brought together, give rise to the sublime. The approach of this thesis is important because it considers abstract practices from the angle of the sublime which offers the possibility (a) to link abstract practices with figurative, poetic, oratory or architectural practices in a historical perspective, and (b) to identify specific issues and problems of abstract practices.
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L’oeuvre d’art comme expression et comme langage dans l'Esthétique de Benedetto Croce / The work of art identified to expression and language, in the Aesthetics of Benedetto CroceGarelli, Céline 20 June 2014 (has links)
L’objectif principal de ce travail est d’établir le sens attribué à la science de l’expression et de préciser comment elle est identifiée à la linguistique générale, dans l’Esthétique de Benedetto Croce. Adversaire de l’intellectualisme et du rationalisme, Croce a éprouvé au plus profond de lui-même les questions que l’homme se pose. C’est dans l’expérience du langage que l’homme expérimente la profondeur de son existence au monde. Il s’agit de l’essence du langage comprise comme expression dans laquelle l’intuition se réalise intégralement. D’où, le langage est le résultat de la création irremplaçable de chaque expression singulière. C’est le langage non répétitif et intraduisible de l’œuvre d’art. Le langage est un art, il prend son sens dans l’art et se comprend par rapport à l’art. Philosophie du langage et philosophie de l’art sont la même chose. C’est selon cette perspective que l’art pour Croce est expression. C’est l’expression de l’intuition comme faculté de la transposition esthétique qui occupe la première position de la vie de l’esprit. Il en sera différemment pour la place de l’oeuvre d’art. Débat qui se prolongera sur la question de l’art abstrait, contemporain de l’Esthétique de Croce. / The goal of my research is to establish the meaning given to the science of expression and specialy how it is identified to general linguistic, in Benedetto Croce’s Aesthetics. Against Intelectualism and rationalism, Croce felt deep inside him, the questioning of Man. It is in the experience of language that Man experiments the depth of his being to the world. The essence of language, understood as expression, is in which intuition realises itself, totaly. Therefore, language is the result of an irreplaceable creation of each single expression. It is a non repetitive and untranslatable language of the work of art. Language is art, it takes its meaning in art and is understood in regard to art. Philosophy of language and philosophy of art are alike. It is in this perspective that art for Croce is expression. It is the intuition’s expression as the faculty of aesthetic transposition that is in first position of the mind. It will be different for the work of art. This debate will continue on the question of abstract art, contemporary to the Aesthetics of Croce.
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