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Analyse du phénomène citationnel dans l'oeuvre "Portrait (Futago)" de l'artiste japonais Yasumasa Morimura

Lefebvre, Claire January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire propose une étude sur la pratique citationnelle de l'artiste japonais Yasumasa Morimura, telle qu'elle apparaît dans l'oeuvre Portrait (Futago). La citation n'est pas un phénomène nouveau. Faisant suite au principe de l'imitation, la citation caractérise l'ère dite postrnoderne de l'histoire de l'art occidentale. Avant l'arrivée de la modernité, les artistes avaient plutôt tendance à masquer leurs emprunts stylistiques. Les auteurs contemporains de la citation perpétuent la tradition imitative avec la principale différence qu'ils affirment leurs sources picturales. Les dernières décennies furent riches en création d'oeuvres citationnelles. Très en vogue en arts visuels depuis le début des années 1980, la citation picturale fut, en effet, le centre de plusieurs réflexions théoriques. Or, même s'il fut traité à diverses reprises au cours des dernières années par plusieurs auteurs, il nous semblait pertinent d'entreprendre une étude approfondie sur ce sujet qui apparaît comme une préoccupation constante de la production artistique actuelle. Dans ce mémoire, nous privilégierons une approche théorique constituée d'analyses iconographiques, même si l'approche historique sera utilisée tout au long de notre recherche sur l'oeuvre Portrait (Futago). Dans un premier temps, nous mettrons en perspective les définitions de la citation et de ses variantes terminologiques pour déterminer que la citation demeure un terme pouvant cerner plus adéquatement la pratique esthétique de Morimura. Nous élaborerons également, dans le second chapitre, sur l'histoire de l'art japonais qui nous permettra de lier la pratique de Morimura avec la tradition esthétique nippone. Ce survol historique nous aidera à mieux comprendre le phénomène d'acculturation volontaire des japonais -le phénomène de l'« occidentalité » -à travers les âges, et ainsi relier l'esthétique de Morimura avec cette coutume typiquement nippone. Nous profiterons de l'observation de ce phénomène pour mentionner la présence du Japonisme en France au milieu du XIXe siècle qui consistait en l'appropriation des éléments japonais pour la création artistique. Ensuite, nous examinerons l'histoire de la rupture esthétique de l'Olympia de Manet (oeuvre source de notre étude de cas) en relation avec les conventions de l'époque, pour commenter le choix particulier de l'artiste contemporain envers cette oeuvre. L'étude des estampes Ukiyo-e, du théâtre kabuki, du travestissement et de l'autoportrait nous éclairera, dans le dernier chapitre, sur l'oeuvre Portrait (Futago) dans son ensemble, car elle dégagera une compréhension plus contemporaine axée sur l'affirmation identitaire et la confusion des genres. Nous conclurons sur l'idée que le travestissement opéré par l'autoportrait de Morimura, dans l'oeuvre Portrait (Futago) , puisse se signifier comme indicateur de la citation. En effet, c'est en affirmant corporellement sa différence et sa distance historique avec Manet que Morimura soulève des enjeux identitaires fortement lié à l'actualité esthétique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Yasumasa Morimura, Art japonais, Citation, Appropriation, Art contemporain, Travestissement, Autoportrait.
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Les artistes japonais à Paris durant les annees 1920 : à travers le Salon de la Société des Artistes Français, le Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, le Salon d’Automne, le Salon de la Société des Artistes Indépendants et le Salon des Tuileries / Japanese Artists in Paris during the 1920s : across le Salon de la Société des Artistes Français, le Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, le Salon d’Automne, le Salon des Artistes Indépendants and le Salon des Tuileries

Kawachi, Akiko 03 December 2010 (has links)
A la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, les artistes japonais s’installant à Paris sont peu nombreux. Cependant, après la Première Guerre mondiale, à partir de 1920, un grand nombre d’artistes japonais arrivent en France. Au total deux cent huit artistes japonais ont figuré dans les Salons parisiens durant la décennie entre 1920 et 1929. La plupart de ces artistes choisissent comme lieu de résidence le quartier de Montparnasse. A cette époque à Paris, dans le milieu des artistes travaillant la peinture à l’huile, dite « yô-ga », nous pouvons distinguer trois courants : Le premier circule autour de Foujita Tsugouharu, artiste de renom associant la peinture occidentale et l’art traditionnel du Japon. Le second regroupe un certain nombre de jeunes artistes, dont Saeki Uzo, attirés par la peinture occidentale et la peinture moderne de Montparnasse. Le troisième courant est de nature académique : dans la lignée de Kuroda Seiki, les artistes suivent l’enseignement des Académies parisiennes. D’autres artistes choisissent la voie d’un art plus indépendant, à l’instar de Tanaka Yasushi, Hasegawa Kiyoshi ou bien Oka Shikanosuke, mais leur nombre reste limité, comme par ailleurs ceux exerçant la technique de la peinture japonaise, dite « nihon-ga », et également ceux pratiquant la sculpture, la gravure, la laque et la tenture. Le résultat suite au dépouillement mené dans les centres de documentation et les fonds photographiques au Japon et en France prouve l’importance de la présence des artistes japonais sur la scène artistique à Paris durant les années 1920 et permet de comprendre les motivations et créations de ces artistes. / During the end of the 19th century and the beginning of the 20th century, not many Japanese artists settled in Paris. However, after the First World War, starting from 1920, a large number of Japanese artists arrived in France. In total two hundred and eight Japanese artists appeared in Parisian Salons during the decade between 1920 and 1929. Most of these artists choose Montparnasse district as their residence. In Paris those days, amongst artists who worked on oil painting called « yô-ga » we can distinguish three movements. The first circulated around Fujita Tsuguharu, a renowned artist who associated the Western painting and the traditional Japanese art. The second gathered a certain number of young artists, such as Saeki Yuzo, who were attracted by the Western painting and the modern painting of Montparnasse. The third movement was of an academic nature: as Kuroda Seiki did, artists were following the teaching of Paris Academies. Other artists choose the route of a more independent art, following the examples of Tanaka Yasushi, Hasegawa Kiyoshi or Oka Shikanosuke, but the number of these artists remains limited, same as those who practiced the technique of Japanese painting, i.e. « Nihon-ga », and also those who practiced sculpture, engraving, lacquer painting, and hangings. The result of going through the data of the documentation centres and photography funds in Japan and in France proves the importance of the presence of Japanese artists on the artistic scenes in Paris during the 1920’s and allows us to comprehend the motives and creations of these artists.
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Production et réception des manuscrits enluminés japonais des XVIIe et XVIIIe siècles : le cas du « Récit de Bunshô » (Bunshô sôshi) / Production and reception of seventeenth and eighteenth Japanese illuminated manuscripts : the case of the "Tale of Bunshô" (Bunshô sôshi)

Mulard, Delphine 09 June 2017 (has links)
Entre les années 1600 et 1750 au Japon, de nombreux manuscrits enluminés (Nara ehon et Nara emaki) ont été produits. Ils ont néanmoins fait l’objet d’assez peu de recherches. Cette thèse aborde ce genre en trois temps, à travers l’étude d’un récit, le « Récit de Bunshô » (Bunshô sôshi). Nous considérons d’abord le processus d’élaboration de ces œuvres. Peints par des artisans anonymes, les rouleaux et les codex enluminés sont parfois signés de leur calligraphe ou portent un sceau de boutique. Travaillant pour des boutiques concurrentes, calligraphes et peintres ne forment pas véritablement avec ces dernières un atelier. Les boutiques peuvent également agir comme les maîtres d’œuvre en coordonnant les peintres et les calligraphes. Il a été souvent dit que les rouleaux et les codex enluminés ont été élaborés pour faire partie de trousseaux de mariage (yomeiri-bon). En confrontant les sources historiques aux œuvres conservées, nous soulignons, dans la seconde partie, que cette affirmation est loin de se vérifier. Enfin, nous consacrons un développement à l’évolution de l’iconographie du Bunshô sôshi. Histoire de l’élévation sociale d’un saunier et romance amoureuse entre la fille de ce dernier et un aristocrate, le Bunshô sôshi comporte des scènes problématiques du point de vue de l’échelle sociale. Ces manuscrits comportent également des images spécifiques représentant le jeune héros aristocrate comme un personnage androgyne (wakashu), en combinaison avec des compositions génériques qui rappellent d’autres récits.Ce travail constitue une première synthèse des recherches sur ces rouleaux et livres enluminés en français. / In the years between 1600 and 1750 AC, many anonymous illuminated handscrolls and manuscripts were produced in Japan, which are now collected under the name of Nara Ehon and Nara Emaki. Although they are very numerous, very few is known about them. This study is focused on those related to the tale of Bunshô (Bunshô sôshi) and proceeds in three steps.First, it examines the making process of these scrolls and manuscripts. Although the painters remained anonymous, a calligrapher's signature or the seal of a painting shop can sometimes be found. Calligrapher and painters could be working for several rival shops. Painting shops did not only sell painted scrolls or illuminated manuscripts, but worked the connections between the calligrapher and the painters as well.Then, our study reconsiders the place of illuminated scrolls and manuscripts in marriages' dowries, called yomeiri-bon. From what we know about marriages through historical sources and the surviving illuminated manuscripts, it can be stressed that very few manuscripts can be considered as yomeiri-bon.Finally, an analysis of Bunshô Sôshi's iconography throughout the years says a lot about how this tale was understood. As it tells about social ascension and how a saltmaker's daughter and an aristocrat lived a romance together, there is in this tale some problematic scenes, where the social scale is turned upside down. Also, specific compositions with an androgenic character (wakashu) as the hero are employed with more generic compositions echoing other stories as well.The present study represents a first extensive summary in French about those illuminated manuscripts.

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