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Apprentissage artificiel collectif ; aspects dynamiques et structurels / Collective machine learning ; structural and dynamic aspectsVeillon, Lise-Marie 08 March 2018 (has links)
L’apprentissage collectif dans un système multi-agents considère comment une communauté constituée d’agents autonomes partageant un même objectif d’apprentissage peut bénéficier, au niveau individuel et collectif, d’échanges structurés d’informations. Les agents, reliés par un réseau de communication, ont tous la faculté de percevoir des observations, appelées exemples d’apprentissage. Cette thèse s’appuie sur un protocole pré-existant, SMILE (Sound-Multi-agent-Incremental-LEarning), qui organise un échange parcimonieux d’exemples et d’hypothèses. Ce protocole garantit, dans le cas d’agents tous connectés, que les agents obtiennent une hypothèse qui tient compte de tous les exemples perçus par l’ensemble des agents. Il existe des variantes séquentielles de ce protocole qui mettent en place une propagation de l’information pour offrir les mêmes garanties dans un réseau, non pas complet mais, connexe.Cette thèse apporte deux nouveaux éclairages sur l’apprentissage artificiel collectif. Une première étude montre l’influence de la structure du réseau sur l’apprentissage avec un protocole dont les communications sont limitées au voisinage, sans propagation. Une seconde contribution présente et analyse un nouveau protocole, Waves, qui préserve les garanties de SMILE et dont les interactions en parallèle rendent l’apprentissage en réseau plus dynamique. Ce protocole est évalué en détail,dans un contexte simplifié de tour par tour, ce qui permet de le raffiner par la suite avec diverses améliorations. Il est cependant conçu pour s’adapter à un apprentissage en ligne et une acquisition non limitée, ni en temps ni en nombre, de nouveaux exemples par la communauté. / Collective learning in multi-agent systems considers how a community of autonomous agents sharing a learning purpose may benefit from exchanging information to learn efficiently as a community as well as individuals. The community forms a communication network where each agent may accesses observations, called learning examples. This thesis is based on a former protocol, SMILE (Sound-Multi-agent-Incremental-LEarning), which sets up parsimonious examples and hypotheses exchanges between agents. In a fully connected community, this protocol guarantees an agent’s hypothesis takes into account all the examples obtained by the community. Some sequential protocols add propagation to SMILE in order to extend this consistency guarantee to other connected networks. This thesis contribution to the artificial collective learning field is two fold.First, we investigate the influence of network structures on learning in networks when communication is limited to neighbourhood without further information propagation. Second, we present and analyze a new protocol, Waves, with SMILE’s guarantees and a more dynamic learning process thanks to its execution in parallel. The evaluation of this protocol in a simple turn-based setting gives the opportunity to improve it here in multiple ways. It is however meant to be used with online learning without any restriction on the acquisition rate of new examples, neither on speed nor number.
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Nonnegative matrix factorization for transfer learning / Factorisation matricielle non-négative pour l'apprentissage par transfertRedko, Ievgen 26 November 2015 (has links)
L’apprentissage par transfert consiste `a utiliser un jeu de taches pour influencerl’apprentissage et améliorer les performances sur une autre tache.Cependant, ce paradigme d’apprentissage peut en réalité gêner les performancessi les taches (sources et cibles) sont trop dissemblables. Un défipour l’apprentissage par transfert est donc de développer des approchesqui détectent et évitent le transfert négatif des connaissances utilisant tr`espeu d’informations sur la tache cible. Un cas particulier de ce type d’apprentissageest l’adaptation de domaine. C’est une situation o`u les tachessources et cibles sont identiques mais dans des domaines différents. Danscette thèse, nous proposons des approches adaptatives basées sur la factorisationmatricielle non-figurative permettant ainsi de trouver une représentationadéquate des données pour ce type d’apprentissage. En effet, unereprésentation utile rend généralement la structure latente dans les donnéesexplicite, et réduit souvent la dimensionnalité´e des données afin que d’autresméthodes de calcul puissent être appliquées. Nos contributions dans cettethèse s’articulent autour de deux dimensions complémentaires : théoriqueet pratique.Tout d’abord, nous avons propose deux méthodes différentes pour résoudrele problème de l’apprentissage par transfert non supervise´e bas´e sur destechniques de factorisation matricielle non-négative. La première méthodeutilise une procédure d’optimisation itérative qui vise `a aligner les matricesde noyaux calculées sur les bases des données provenant de deux taches.La seconde représente une approche linéaire qui tente de découvrir unplongement pour les deux taches minimisant la distance entre les distributionsde probabilité correspondantes, tout en préservant la propriété depositivité.Nous avons également propos´e un cadre théorique bas´e sur les plongementsHilbert-Schmidt. Cela nous permet d’améliorer les résultats théoriquesde l’adaptation au domaine, en introduisant une mesure de distancenaturelle et intuitive avec de fortes garanties de calcul pour son estimation.Les résultats propos´es combinent l’etancheite des bornes de la théoried’apprentissage de Rademacher tout en assurant l’estimation efficace deses facteurs cl´es.Les contributions théoriques et algorithmiques proposées ont et évaluéessur un ensemble de données de référence dans le domaine avec des résultatsprometteurs. / The ability of a human being to extrapolate previously gained knowledge to other domains inspired a new family of methods in machine learning called transfer learning. Transfer learning is often based on the assumption that objects in both target and source domains share some common feature and/or data space. If this assumption is false, most of transfer learning algorithms are likely to fail. In this thesis we propose to investigate the problem of transfer learning from both theoretical and applicational points of view.First, we present two different methods to solve the problem of unsuper-vised transfer learning based on Non-negative matrix factorization tech-niques. First one proceeds using an iterative optimization procedure that aims at aligning the kernel matrices calculated based on the data from two tasks. Second one represents a linear approach that aims at discovering an embedding for two tasks that decreases the distance between the cor-responding probability distributions while preserving the non-negativity property.We also introduce a theoretical framework based on the Hilbert-Schmidt embeddings that allows us to improve the current state-of-the-art theo-retical results on transfer learning by introducing a natural and intuitive distance measure with strong computational guarantees for its estimation. The proposed results combine the tightness of data-dependent bounds de-rived from Rademacher learning theory while ensuring the efficient esti-mation of its key factors.Both theoretical contributions and the proposed methods were evaluated on a benchmark computer vision data set with promising results. Finally, we believe that the research direction chosen in this thesis may have fruit-ful implications in the nearest future.
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Contribution to the Study and Implementation of Intelligent Modular Self-organizing Systems / Contribution à l'étude et implantation de systèmes intelligents modulaires auto-organisateursBudnyk, Ivan 08 December 2009 (has links)
Les problèmes de la classification ont reçu une attention considérable dans des différents champs d'ingénierie comme traitement des images biomédicales, identification a partir de la voix, reconnaissance d'empreinte digitale etc. Les techniques d'intelligence artificielles, incluant les réseaux de neurones artificiels, permettent de traiter des problèmes de ce type. En particulier, les problèmes rencontrés nécessitent la manipulation de bases de données de tailles très importantes. Des structures de traitement adaptatives et exploitant des ensembles de classificateurs sont utilisées. Dans cette thèse, nous décrivons principalement le développement et des améliorations apportées à un outil de classification désigné par le terme Tree-like Divide to Simplify ou T-DTS. Nos efforts se sont portés sur l'un des modules de cet outil, le module d'estimation de complexité. L'architecture de l'outil T-DTS est très flexible et nécessite le choix d'un nombre important de paramètres. Afin de simplifier l'exploitation de T-DTS, nous avons conçu et développé une procédure automatique d'optimisation d'un de ces plus importants paramètres, le seuil de décision associé à la mesure de complexité. La contribution principale de cette thèse concerne le développement de modules pouvant s'implanté sur une architecture de calcul matérielle parallèle. Ceci permet de se rapprocher d'une implantation purement matérielle de l'outil T-DTS / Classification problems deal with separating group of objects into sets of smaller classes; this set of problems have received considerable attention in diverse engineering fields such as biomedical imaging, speaker identification, fingerprint recognition, etc. Several effective approaches for automated classification were suggested based on artificial intelligence techniques, including neural networks. Still, one of the major challenges faced by these approaches is a large scale of data required for successful classification. In this thesis, we explore a possible solution to this problem based on a module-based Tree-like Divide to Simplify (T-DTS) classification model. We focus on enhancing the key module of this approach - complexity estimation module. Furthermore, we provide an automated procedure for optimizing key complexity estimation parameters of the T-DTS model; this considerably improves usability and allows for a more effective configuration of decomposition reasoning of the approach. Another major contribution of this work employs further development of T-DTS modules that could be implemented using parallel computer architecture, thereby allowing T-DTS to utilize an underlying hardware to the fullest extent
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Segmentation d'image par intégration itérative de connaissances / Image segmentation by iterative knowledge integrationChaibou salaou, Mahaman Sani 02 July 2019 (has links)
Le traitement d’images est un axe de recherche très actif depuis des années. L’interprétation des images constitue une de ses branches les plus importantes de par ses applications socio-économiques et scientifiques. Cependant cette interprétation, comme la plupart des processus de traitements d’images, nécessite une phase de segmentation pour délimiter les régions à analyser. En fait l’interprétation est un traitement qui permet de donner un sens aux régions détectées par la phase de segmentation. Ainsi, la phase d’interprétation ne pourra analyser que les régions détectées lors de la segmentation. Bien que l’objectif de l’interprétation automatique soit d’avoir le même résultat qu’une interprétation humaine, la logique des techniques classiques de ce domaine ne marie pas celle de l’interprétation humaine. La majorité des approches classiques d’interprétation d’images séparent la phase de segmentation et celle de l’interprétation. Les images sont d’abord segmentées puis les régions détectées sont interprétées. En plus, au niveau de la segmentation les techniques classiques parcourent les images de manière séquentielle, dans l’ordre de stockage des pixels. Ce parcours ne reflète pas nécessairement le parcours de l’expert humain lors de son exploration de l’image. En effet ce dernier commence le plus souvent par balayer l’image à la recherche d’éventuelles zones d’intérêts. Dans le cas échéant, il analyse les zones potentielles sous trois niveaux de vue pour essayer de reconnaitre de quel objet s’agit-il. Premièrement, il analyse la zone en se basant sur ses caractéristiques physiques. Ensuite il considère les zones avoisinantes de celle-ci et enfin il zoome sur toute l’image afin d’avoir une vue complète tout en considérant les informations locales à la zone et celles de ses voisines. Pendant son exploration, l’expert, en plus des informations directement obtenues sur les caractéristiques physiques de l’image, fait appel à plusieurs sources d’informations qu’il fusionne pour interpréter l’image. Ces sources peuvent inclure les connaissent acquises grâce à son expérience professionnelle, les contraintes existantes entre les objets de ce type d’images, etc. L’idée de l’approche présentée ici est que simuler l’activité visuelle de l’expert permettrait une meilleure compatibilité entre les résultats de l’interprétation et ceux de l’expert. Ainsi nous retenons de cette analyse trois aspects importants du processus d’interprétation d’image que nous allons modéliser dans l’approche proposée dans ce travail : 1. Le processus de segmentation n’est pas nécessairement séquentiel comme la plus part des techniques de segmentations qu’on rencontre, mais plutôt une suite de décisions pouvant remettre en cause leurs prédécesseurs. L’essentiel étant à la fin d’avoir la meilleure classification des régions. L’interprétation ne doit pas être limitée par la segmentation. 2. Le processus de caractérisation d’une zone d’intérêt n’est pas strictement monotone i.e. que l’expert peut aller d’une vue centrée sur la zone à vue plus large incluant ses voisines pour ensuite retourner vers la vue contenant uniquement la zone et vice-versa. 3. Lors de la décision plusieurs sources d’informations sont sollicitées et fusionnées pour une meilleure certitude. La modélisation proposée de ces trois niveaux met particulièrement l’accent sur les connaissances utilisées et le raisonnement qui mène à la segmentation des images. / Image processing has been a very active area of research for years. The interpretation of images is one of its most important branches because of its socio-economic and scientific applications. However, the interpretation, like most image processing processes, requires a segmentation phase to delimit the regions to be analyzed. In fact, interpretation is a process that gives meaning to the regions detected by the segmentation phase. Thus, the interpretation phase can only analyze the regions detected during the segmentation. Although the ultimate objective of automatic interpretation is to produce the same result as a human, the logic of classical techniques in this field does not marry that of human interpretation. Most conventional approaches to this task separate the segmentation phase from the interpretation phase. The images are first segmented and then the detected regions are interpreted. In addition, conventional techniques of segmentation scan images sequentially, in the order of pixels appearance. This way does not necessarily reflect the way of the expert during the image exploration. Indeed, a human usually starts by scanning the image for possible region of interest. When he finds a potential area, he analyzes it under three view points trying to recognize what object it is. First, he analyzes the area based on its physical characteristics. Then he considers the region's surrounding areas and finally he zooms in on the whole image in order to have a wider view while considering the information local to the region and those of its neighbors. In addition to information directly gathered from the physical characteristics of the image, the expert uses several sources of information that he merges to interpret the image. These sources include knowledge acquired through professional experience, existing constraints between objects from the images, and so on.The idea of the proposed approach, in this manuscript, is that simulating the visual activity of the expert would allow a better compatibility between the results of the interpretation and those ofthe expert. We retain from the analysis of the expert's behavior three important aspects of the image interpretation process that we will model in this work: 1. Unlike what most of the segmentation techniques suggest, the segmentation process is not necessarily sequential, but rather a series of decisions that each one may question the results of its predecessors. The main objective is to produce the best possible regions classification. 2. The process of characterizing an area of interest is not a one way process i.e. the expert can go from a local view restricted to the region of interest to a wider view of the area, including its neighbors and vice versa. 3. Several information sources are gathered and merged for a better certainty, during the decision of region characterisation. The proposed model of these three levels places particular emphasis on the knowledge used and the reasoning behind image segmentation.
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