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L'armement médiéval : les armes blanches dans les collections bourguignonnes. Xe - XVe siècles. / Mediaeval weapons : the arms in the burgundian collections. Xth-XVth centuries

Cognot, Fabrice 29 March 2013 (has links)
Les armes et armures de la période médiévale ont depuis longtemps suscité un intérêt certain. Aux premiers auteurs ont succédé des érudits enthousiastes. puis des chercheurs qui ont mis en place les bases et proposé les problématiques. les approches et les dynamiques de l'étude. Mais l'arme, l'objet matériel, est à même de constituer une source : elle contient dans ses formes et sa matière les traces des phénomènes liés à sa création et son utilisation, liés aux savoir-faire qui leur correspondaient. Cette thèse étudie le mobilier présent dans un cadre géographique et institutionnel restreint, dans une démarche qui place le chercheur en outil de compréhension de l'objet : l’approche expérimentale a montré à de nombreuses reprises sa pertinence, mais peut être approfondie encore si l'observateur se tait détenteur des savoir-faire liés à la matière ; de plus une riche documentation existe qui permet de s'approprier physiquement ces savoir-faire spécifiques liés à l’arme et au combat, livrés par les écrits des maîtres d’armes de la fin du Moyen âge. Trois groupes d’objet sont considérées : les épées, lances et haches. Après un rappel ou parfois une exploration historique plus appuyée, le matériel .est étudié : les observations réalisées permettent d'entrevoir le détail des étapes et des modes de fabrication des objets, proposés alors de manière théorique. La combinaison des informations issues des sources secondaires. des objets et surtout de l'approche corporelle du chercheur permettent de comprendre l’arme dans ses aspects fonctionnels, vivants, appliqués. Mais également, d'entrevoir dans la matière des phénomènes au-delà de ces aspects de fabrication ou d'utilisation. / Mediaeval arms and armour have long been a subject of interest : the early authors were followed by enthusiastic scholars and finally scientists who set the base and offered the kevs, methods and dvnamics of the field. But the weapon. the phvsical object. is in itself a source of studv : its shapes and its very matter link to its making and its use, to the technical skills implied. In this thesis we study mediaeval arms on a restrained area and kept in specific institutions, within the scope of setting the researcher as an active tool for the understanding the object : experimental approach has proved its worth, but can be even furthered if the observer becomes holder of the skills related to matter : moreover, a rich documentation exists that allows to physically acquire the skills related to combat, provided by the writings left by the masters at arms of the late Middle Ages. Three categories of objects are considered : swords, spears/lances and axes. After an historical outline, or if needed a deeper exploration, the material then studied : observations open to an understanding of the steps and modes involved in the making, which is then schematicallv proposed, The association of informations given by secondary sources, by the objects themselves. and chiefly by the corporeal approach or the researcher allow to understand the weapon in its functional, live, applied aspects. And also to perceive in the very matter things reaching beyond the two sole aspects of making and use
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L'armement médiéval : les armes blanches dans les collections bourguignonnes. Xe - XVe siècles.

Cognot, Fabrice 29 March 2013 (has links) (PDF)
Les armes et armures de la période médiévale ont depuis longtemps suscité un intérêt certain. Aux premiers auteurs ont succédé des érudits enthousiastes. puis des chercheurs qui ont mis en place les bases et proposé les problématiques. les approches et les dynamiques de l'étude. Mais l'arme, l'objet matériel, est à même de constituer une source : elle contient dans ses formes et sa matière les traces des phénomènes liés à sa création et son utilisation, liés aux savoir-faire qui leur correspondaient. Cette thèse étudie le mobilier présent dans un cadre géographique et institutionnel restreint, dans une démarche qui place le chercheur en outil de compréhension de l'objet : l'approche expérimentale a montré à de nombreuses reprises sa pertinence, mais peut être approfondie encore si l'observateur se tait détenteur des savoir-faire liés à la matière ; de plus une riche documentation existe qui permet de s'approprier physiquement ces savoir-faire spécifiques liés à l'arme et au combat, livrés par les écrits des maîtres d'armes de la fin du Moyen âge. Trois groupes d'objet sont considérées : les épées, lances et haches. Après un rappel ou parfois une exploration historique plus appuyée, le matériel .est étudié : les observations réalisées permettent d'entrevoir le détail des étapes et des modes de fabrication des objets, proposés alors de manière théorique. La combinaison des informations issues des sources secondaires. des objets et surtout de l'approche corporelle du chercheur permettent de comprendre l'arme dans ses aspects fonctionnels, vivants, appliqués. Mais également, d'entrevoir dans la matière des phénomènes au-delà de ces aspects de fabrication ou d'utilisation.
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L'histoire vivante médiévale. Approche socio-anthropologique.

Tuaillon Demésy, Audrey 23 November 2011 (has links) (PDF)
L'histoire vivante est une manière de présenter le passé, qui peut se décliner en fonction d'époques variées ; celle qui est prise en compte dans cette recherche concerne la période médiévale. La pratique s'expose à travers deux activités distinctes mais complémentaires : la reconstitution historique et les Arts martiaux historiques européens, couramment nommés AMHE. L'étude menée répond à un travail de terrain interdisciplinaire, mêlant des approches ethnologiques et sociologiques. Les données recueillies proviennent d'observations participantes, mises en place lors de différents événements, d'entretiens (semi-directifs ou directifs) auprès de divers informateurs et, enfin, de deux séries de questionnaires. C'est une méthodologie aussi bien qualitative que quantitative qui a été utilisée, afin de permettre une compréhension globale de l'objet d'étude.La problématique retenue, en fonction d'une dialectique constante entre le terrain et la théorie, questionne les modalités d'expressions d'une pratique culturelle génératrice d'identités. Plusieurs axes ont ainsi pu être dégagés. C'est d'abord sous l'angle de la diffusion des connaissances (actions culturelles, rapport au patrimoine, liens entretenus avec la mémoire et principe de transmission) que l'histoire vivante est abordée. Ensuite, la recherche porte sur les éléments de définition associés à la démarche, entre activité de loisir et professionnalisation. Les thématiques présentées renvoient autant au fait associatif qu'au développement technique, en passant par les enjeux touristiques et les ambivalences relatives au concept de fête. Enfin, le dernier point évoque la pratique sociale, créatrice de liens entre les participants. Du profil sociologique des enquêtés au principe de communauté, les investigations réalisées invitent à appréhender les normes et valeurs spécifiques à ce type d'activités. L'un des principaux enjeux consiste à afficher les mécanismes relatifs à la délimitation identitaire d'un groupe particulier : c'est en fonction du rapport à l'altérité et des normes véhiculées par un ensemble précis que le lien social se maintient ou se délie. La faible reconnaissance dont dispose l'histoire vivante favorise ainsi une approche en termes de jeu identitaire, fécond pour l'analyse globale d'une démarche contemporaine en expansion.
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L'histoire vivante médiévale. Approche socio-anthropologique. / Medieval living history. Socio-anthropological approach

Tuaillon Demésy, Audrey 23 November 2011 (has links)
L'histoire vivante est une manière de présenter le passé, qui peut se décliner en fonction d'époques variées ; celle qui est prise en compte dans cette recherche concerne la période médiévale. La pratique s'expose à travers deux activités distinctes mais complémentaires : la reconstitution historique et les Arts martiaux historiques européens, couramment nommés AMHE. L'étude menée répond à un travail de terrain interdisciplinaire, mêlant des approches ethnologiques et sociologiques. Les données recueillies proviennent d'observations participantes, mises en place lors de différents événements, d'entretiens (semi-directifs ou directifs) auprès de divers informateurs et, enfin, de deux séries de questionnaires. C'est une méthodologie aussi bien qualitative que quantitative qui a été utilisée, afin de permettre une compréhension globale de l'objet d'étude.La problématique retenue, en fonction d'une dialectique constante entre le terrain et la théorie, questionne les modalités d'expressions d'une pratique culturelle génératrice d'identités. Plusieurs axes ont ainsi pu être dégagés. C'est d'abord sous l'angle de la diffusion des connaissances (actions culturelles, rapport au patrimoine, liens entretenus avec la mémoire et principe de transmission) que l'histoire vivante est abordée. Ensuite, la recherche porte sur les éléments de définition associés à la démarche, entre activité de loisir et professionnalisation. Les thématiques présentées renvoient autant au fait associatif qu'au développement technique, en passant par les enjeux touristiques et les ambivalences relatives au concept de fête. Enfin, le dernier point évoque la pratique sociale, créatrice de liens entre les participants. Du profil sociologique des enquêtés au principe de communauté, les investigations réalisées invitent à appréhender les normes et valeurs spécifiques à ce type d'activités. L'un des principaux enjeux consiste à afficher les mécanismes relatifs à la délimitation identitaire d'un groupe particulier : c'est en fonction du rapport à l'altérité et des normes véhiculées par un ensemble précis que le lien social se maintient ou se délie. La faible reconnaissance dont dispose l'histoire vivante favorise ainsi une approche en termes de jeu identitaire, fécond pour l'analyse globale d'une démarche contemporaine en expansion. / Living history is a way to investigate the past which differs according to the time period under consideration. The one which is considered in this work is the Middle-Ages. Two distinct but complementary activities are introduced : historical reenactment and HEMA (Historical European Martial Arts). The study uses a cross-disciplinary method, with ethnological and sociological elements. The fieldwork presents participant observation, interviews and questionnaires in a qualitative and quantitative approach.My working hypothesis consists in questioning cultural activity as a means to build up identity. Three points can be developed : the first one displays dissemination of knowledges (cultural modalities, heritage, memory and transmission) related to living history. Then, the research focuses on the link between spare time and occupation. Life organization, expansion of professionalism, tourism and the concept of fair are investigated. The last point refers to the social dimension that creates links among participants. This way, the work presents the sociological profile of the actors, the notion of community, that of the representation of activities which leads to specifics norms and rules. The goal is to understand identity demarcations of a particular group. The connection between alterity, norms and rules allows or releases the social link. The limited recognition of living history conduces to approaches concerning games of identity, fruitful for the analysis of a contemporary practice, which is actually growing in France.
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Le combat à la fin du Moyen Âge et dans la première modernité : théories et pratiques / The fighting at the end of Middle Ages and during the first Modernity : theories and practices

Bas, Pierre-Henry 28 November 2015 (has links)
Pourquoi et comment se battait-on à la fin du Moyen Âge et durant le XVIe siècle ? Avec quelles armes ? Et en suivant quelles règles ou quels principes ?L’objectif de ce travail est de répondre à ces questions en s’interrogeant sur les utilisations théoriques et pratiques de l’armement présent dans les sociétés européennes du Moyen Âge tardif et de la Renaissance. Trois axes principaux seront à l’étude :– tout d’abord, celui de la réalité du terrain à travers l’étude des sources judiciaires, en particulier les lettres de rémission qui attestent de la présence et de l’utilisation d’une arme pouvant conduire à la blessure ou à la mort d’un individu.– ensuite, celui de la théorie des armes à travers l’étude des Fechtbücher, les livres de combat germaniques écrits par les maîtres d’armes du XVe et XVIe siècle. Ces derniers expliquent le maniement des différentes armes tel que celui des épées, des armes d’hast ou de la dague, ainsi que les fondements de l’art de la lutte et de l’escrime à pied et à cheval.– enfin, celui de la pratique contemporaine, c’est-à-dire l’expérimentation gestuelle et la tentative de restitution des techniques et des tactiques anciennes via des méthodes d’enseignement dans un cadre normé. Ceci afin de mieux comprendre les gestes martiaux ludiques du passé.Outre l’apport de la sociologie, ce corpus est complété par l’étude des documents littéraires ou normatifs, illustrant la présence d’armes dans les milieux non militarisés comme ceux des sociétés d’escrimeurs ou des manifestations martiales et sportives. / Why and how we use to fight in the late Middle Ages and during the sixteenth century? With what weapons? Following what rules or principles?The objective of this work is to answer these questions by questioning the theoretical and practical uses of weapons. The ones present in European society in the late Middle Ages and during the Renaissance. Three approaches will be explored :– First, the situation on the ground through the study of legal sources, particularly the remission letters in which the presence and use of a weapon can lead to injury or death of an individual.– Secondly, the theory of weapons through the study of Fechtbücher, Germanic fightbooks written by masters at arms of the fifteenth and sixteenth century. They explain the handling of various weapons such as swords, polearms or daggers. Also the foundations of the art of wrestling and fencing on foot and on horseback.– Finally, the contemporary practice. That is to say, the gesture experimentation and the attempted to return old techniques and tactics through teaching methods in a regulatory framework. The goal is to better understand the playful martial gestures of the past.Besides the contribution of sociology, this corpus is completed by literary or normative documents, showing weapons in non-militarized environments such as corporate fencers or martial and sporting events.

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