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Une approche chrétienne de l'éthique de l'environnement : étude de la déclaration de l'Assemblée des évêques du Québec "Les chrétiens et l'environnement" (1981)Bédard, Yves 14 January 2022 (has links)
La déclaration de l'Assemblée des évêques du Québec Les chrétiens et l'environnement (1981) constitue un jalon important de la réflexion chrétienne au Québec· sur la question de l'environnement. Aussi, nous en faisons l'étude afin d'en mettre en valeur les points d'intérêt pour une éthique de l'environnement. L'historique de l'élaboration de la prise de parole est établi à partir d'informations provenant d'écrits publiés et de l'entrevue d'un des auteurs du document. Une analyse dialogique du texte permet d'évaluer la cohérence de l'argumentation, de même que de dégager le contenu des différents niveaux du discours. Enfin, une analyse des réactions à la prise de parole permet d'en estimer la pertinence extrinsèque.
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Pour la structuration de l'identité du chrétien par la vie théologaleAuger, Jean-Philippe 12 January 2022 (has links)
La première épître de Paul aux Thessaloniciens (1 Thés) est un texte à caractère pastoral évoquant les relations des « apôtres » avec « l’Église des Thessaloniciens ». Le texte Identité chrétienne de l’Assemblée des évêques du Québec (AEQ) est aussi un texte à caractère pastoral évoquant les relations d’un « Comité de théologie » avec « plusieurs communautés chrétiennes » actuelles. À l’aide d'outils linguistiques, nous avons fait une lecture de la première épître de Paul aux Thessaloniciens en dégageant des structures identitaires. À l’aide des travaux de Michel de Certeau, nous avons repris les structures dégagées dans l’épître pour lire le texte Identité chrétienne et pour critiquer son approche identitaire. Ainsi, nous avons dégagé deux types de discours identitaires: l’un davantage d’ordre idéologique (AEQ), associant « donné révélé » et « institution », l’autre davantage d’ordre éthique (1 Thés), associant « pratique intersubjective » et « vie théologale ».
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Le cardinal Paul Grégoire et l'Église de Montréal (1968-1990)Phaneuf, Luc 12 1900 (has links)
L’historiographie récente du catholicisme québécois a passé pratiquement sous silence la vie et l’épiscopat de Mgr Paul Grégoire, archevêque de Montréal de 1968 à 1990. Pourtant, son épiscopat s’est déployé pendant une période cruciale de l’histoire du Québec et de l’Église catholique. Lorsque Mgr Grégoire devient archevêque de Montréal en avril 1968, le Québec vit encore sa Révolution tranquille, une période qui a vu l’éclosion au Québec de mentalités et moeurs nouvelles à l’enseigne du rejet du passé, sous l’impulsion d’une sécularisation et d’une déchristianisation déferlantes. De son côté, l’Église catholique vit son propre renouveau identitaire, fruit des travaux du Concile Vatican II, terminé depuis décembre 1965. C’est au confluent de ces deux renouveaux identitaires que l’épiscopat de Mgr Grégoire va prendre forme. L’archevêque de Montréal devra faire face à de nombreux défis inédits sur les fronts externes et internes. Ad extra, il devra prendre acte des défis d’une nouvelle donne sociale extrêmement défavorable à son Église, notamment sur le flanc de la confessionnalité du système d’éducation. Ad intra, il devra implanter les réformes conciliaires dans son diocèse, non sans avoir à affronter plusieurs résistances et incompréhensions, dont certaines deviendront des crises remettant en question la qualité de son leadership comme archevêque de Montréal. Au moment de sa retraite en mars 1990, Monsieur le cardinal Grégoire aura vu l’Église catholique perdre la majeure partie de son influence morale et spirituelle sur la société montréalaise et québécoise. Même si sa personnalité ne l’avait pas desservi dans ses efforts pour imprimer à l’Église de Montréal son orientation doctrinale, sa discipline et son style, on voit mal comment il aurait pu contrer significativement une évolution toute-puissante dans sa globalité. C’est ce que révèle le bilan de son épiscopat. / The recent historiography on Catholicism in the Province of Québec has neglected the life and episcopate of Paul Grégoire, archbishop of Montréal from 1968 to 1990. Yet his episcopate covers a crucial period in the history of the Province and the Catholic Church. When he became archbishop of Montréal in April 1968, the Province of Québec was still in the midst of its Quiet Revolution, a period of growing change in mentalities and morals brought on by a rejection of the past and the rising tide of secularization and dechristianization. For its part, the Catholic Church was going through its own renewed identity process as a result of the Second Vatican Council which had ended December 1965. It is at the juncture of these two renewed identities that Archbishop Grégoire’s episcopate took shape. The prelate had to cope with many new challenges both on the external and internal fronts. Ad extra, he had to meet the challenges of a new social order extremely unfavorable towards his Church, particularly concerning the denominational school system. Ad intra, he had to implement the Council reforms throughout his diocese and in so doing encountered a great deal of resistance and much misunderstanding which sometimes led to crises casting doubt on his leadership. At the time of his retirement in March 1990, Cardinal Grégoire had seen the Catholic Church lose the greater part of its moral and spiritual influence on the Montréal and Québec societies. He had set out to mold the Church of Montréal according to his doctrinal orientation, his discipline and his style. Even while taking into consideration that his personality was not best suited for the task, we fail to see how he could have significantly countered the great opposing forces at work. The study of his episcopate clearly reveals this.
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Le cardinal Paul Grégoire et l'Église de Montréal (1968-1990)Phaneuf, Luc 12 1900 (has links)
L’historiographie récente du catholicisme québécois a passé pratiquement sous silence la vie et l’épiscopat de Mgr Paul Grégoire, archevêque de Montréal de 1968 à 1990. Pourtant, son épiscopat s’est déployé pendant une période cruciale de l’histoire du Québec et de l’Église catholique. Lorsque Mgr Grégoire devient archevêque de Montréal en avril 1968, le Québec vit encore sa Révolution tranquille, une période qui a vu l’éclosion au Québec de mentalités et moeurs nouvelles à l’enseigne du rejet du passé, sous l’impulsion d’une sécularisation et d’une déchristianisation déferlantes. De son côté, l’Église catholique vit son propre renouveau identitaire, fruit des travaux du Concile Vatican II, terminé depuis décembre 1965. C’est au confluent de ces deux renouveaux identitaires que l’épiscopat de Mgr Grégoire va prendre forme. L’archevêque de Montréal devra faire face à de nombreux défis inédits sur les fronts externes et internes. Ad extra, il devra prendre acte des défis d’une nouvelle donne sociale extrêmement défavorable à son Église, notamment sur le flanc de la confessionnalité du système d’éducation. Ad intra, il devra implanter les réformes conciliaires dans son diocèse, non sans avoir à affronter plusieurs résistances et incompréhensions, dont certaines deviendront des crises remettant en question la qualité de son leadership comme archevêque de Montréal. Au moment de sa retraite en mars 1990, Monsieur le cardinal Grégoire aura vu l’Église catholique perdre la majeure partie de son influence morale et spirituelle sur la société montréalaise et québécoise. Même si sa personnalité ne l’avait pas desservi dans ses efforts pour imprimer à l’Église de Montréal son orientation doctrinale, sa discipline et son style, on voit mal comment il aurait pu contrer significativement une évolution toute-puissante dans sa globalité. C’est ce que révèle le bilan de son épiscopat. / The recent historiography on Catholicism in the Province of Québec has neglected the life and episcopate of Paul Grégoire, archbishop of Montréal from 1968 to 1990. Yet his episcopate covers a crucial period in the history of the Province and the Catholic Church. When he became archbishop of Montréal in April 1968, the Province of Québec was still in the midst of its Quiet Revolution, a period of growing change in mentalities and morals brought on by a rejection of the past and the rising tide of secularization and dechristianization. For its part, the Catholic Church was going through its own renewed identity process as a result of the Second Vatican Council which had ended December 1965. It is at the juncture of these two renewed identities that Archbishop Grégoire’s episcopate took shape. The prelate had to cope with many new challenges both on the external and internal fronts. Ad extra, he had to meet the challenges of a new social order extremely unfavorable towards his Church, particularly concerning the denominational school system. Ad intra, he had to implement the Council reforms throughout his diocese and in so doing encountered a great deal of resistance and much misunderstanding which sometimes led to crises casting doubt on his leadership. At the time of his retirement in March 1990, Cardinal Grégoire had seen the Catholic Church lose the greater part of its moral and spiritual influence on the Montréal and Québec societies. He had set out to mold the Church of Montréal according to his doctrinal orientation, his discipline and his style. Even while taking into consideration that his personality was not best suited for the task, we fail to see how he could have significantly countered the great opposing forces at work. The study of his episcopate clearly reveals this.
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L'enseignement religieux catholique au Québec, 1963-1996 : du Rapport Parent aux États généraux sur l'éducation : autorités, stratégies, enjeuxWatters, Denis 13 June 2021 (has links)
Réalisée dans le cadre de la recherche multidisciplinaire sur l’histoire de l’enseignement religieux de la Faculté de théologie et de sciences religieuses de l’Université Laval, cette thèse porte sur l’enseignement catholique au Québec : du rapport Parent (1963) jusqu’aux États généraux sur l’éducation (1996). À partir des écrits officiels produits au cours de cette période, on y traite de l’enseignement religieux catholique dispensé au niveau primaire dans le système scolaire public québécois. De façon plus précise encore, on y identifie les autorités qui se définissent comme responsables de cet enseignement entre 1963 et 1996, on y suit les stratégies et les enjeux d’autorité qui vont s’opérer à cet égard pour prendre la mesure des déplacements qui caractérisent alors cette réalité sur les plans de sa gestion, de ses orientations et de ses productions. Cette thèse recoupe une importante page de l’histoire contemporaine du Québec. Elle intéressera aussi bien les professionnels de l’histoire, de la sociologie, de la théologie, de l’éducation que les instances politiques et ecclésiastiques.
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