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Arms transfers and dependence /

Catrina, Christian. January 1988 (has links)
Th. doct.--Université de Zurich, 1987. / Bibliogr. p. 395-409.
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Die bayerischen Militärbeziehungen zur Türkei vor und im Ersten Weltkrieg /

Unger, Michael, January 2003 (has links)
Magisterarbeit--Fach Bayerische und allgemeine Landesgeschichte--München--Ludwig-Maximilians-Universität, Wintersemester 2001/2002. / Bibliogr. p. 263-308.
3

American aid to NATO allies in the 1950s : the Dutch case /

Megens, Ine. January 1994 (has links)
Proefschrift--Groningen, 1994. / Résumé en néerlandais. Bibliogr. p. 275-298. Index.
4

Entre méfiance et intérêts partagés : trois décennies d'assistance militaire des Etats-Unis au Chili, 1940-1970 / Between mistrust and shared interests : three decades of US military assistance to Chile, 1940-1970

Blanc, Floriane 13 December 2018 (has links)
Cette thèse se propose d'étudier le programme d'assistance militaire des États-Unis au Chili entre 1940 et 1970. Elle examine les différents rouages de sa mise en oeuvre entre la Seconde Guerre mondiale, durant laquelle se met en place l’esquisse des structures de coopération militaire multilatérales et bilatérales qui se développent ensuite pendant les premières années de la Guerre froide, et l'arrivée au pouvoir de Salvador Allende en 1970. A travers l'exemple chilien, il s'agit de mettre en lumière la volonté des Etats-Unis de standardiser, à l'échelle du continent, les doctrines, les pratiques, et les équipements selon le modèle promu par Washington. Est également examinée la question de la réception de cette influence par le Chili : dans quelle mesure ces transferts culturels sont-ils acceptés, rejetés, réappropriés dans les contextes nationaux, mis en concurrence avec ceux d'autres pays ? Enfin, pour rendre compte de la complexité des processus de décision, un accent particulier est mis sur les jeux d’acteurs à la fois au sein de la bureaucratie des départements impliqués dans la gestion du programme, et entre les protagonistes états-uniens et chiliens sur le terrain. / This research examines the U.S. military assistance program in Chile from 1940 to 1970. It analyses its beginnings during the Second World War, and the development of multilateral and bilateral military structures from the the Cold War, up to the election of Salvador Allende in 1970. Through the Chilean example, it highlights the will of the United States to standardize, continent-wide, doctrines, practices, and equipment according to the model promoted by Washington. The question of the reception of this influence by Chile is also examined: to what extent are these cultural transfers accepted, rejected, re-appropriated in national contexts, put in competition with those of other countries? Finally, to account for the complexity of the decision-making process, special emphasis is placed on interactions between various players, both within the bureaucracy of the departments involved in the management of the program, and between the US and Chilean protagonists in the field.
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États, échanges nucléaires et prolifération : de l'importation à l'exportation de matières et technologies nucléaires militaires

Lewis, Saëd'Nhir Irving 20 April 2018 (has links)
Cette recherche fournit une explication à propos du passage des États, de récipiendaires à fournisseurs de matières et technologies nucléaires militaires dans le but de participer à l’accumulation de la connaissance sur les déterminants de la prolifération nucléaire analysés à partir de l’approche fournisseur-centrée. Une tâche à laquelle ne s’était alors penchée, de manière systématique, aucune étude dans la littérature spécialisée. Pour ce faire, une analyse empirique d’un modèle théorique a été menée. Selon ce modèle dénommé théorie interactive des échanges nucléaires militaires bilatéraux et basé sur une reconceptualisation des concepts de l’opportunité et de la volonté, le passage des États, de récipiendaires à fournisseurs de matières et technologies nucléaires militaires, est motivé par des facteurs politiques et économiques et est favorisé par des facteurs culturels alors que les facteurs institutionnels et normatifs semblent n’avoir aucun effet sur son occurrence. Le test empirique du modèle a été effectué à partir d’observations relatives aux transactions nucléaires militaires interétatiques bilatérales entre 1945 et 2010. Les données ont été analysées par le biais de deux méthodes, l’analyse quali-quantitative comparée (Qualitative Comparative Analysis) et l’analyse de processus (Process-tracing), afin de donner plus de robustesse aux résultats. Ces résultats confirment les hypothèses du modèle : les affinités identitaires de l’État fournisseur avec l’État récipiendaire, sa volonté de contenir un État menaçant commun avec l’État récipiendaire et son désir de tirer profit financièrement de son expertise nucléaire sont tous trois facteurs explicatifs de la variation du passage de récipiendaires à fournisseurs de matières et technologies nucléaires militaires alors que la participation de l’un ou l’autre des États au régime international de non-prolifération ne semble pas être un frein à l’occurrence du phénomène.
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Vers une analyse sociologique des opérations militaires multinationales: regards croisés en Afghanistan, en Bosnie et au Liban

Resteigne, Delphine H.R.G.G. 02 October 2009 (has links)
Au cours de ces dernières années, les forces armées de différents pays ont de plus en plus été amenées à travailler sur les mêmes théâtres d’opérations. Cette collaboration militaire multinationale, même si elle n’est pas souhaitée par tous, s’est généralisée à l’ensemble des missions militaires. C’est ce cadre multinational et de spécialisation croissante, mais aussi le caractère interagence à travers les contacts entretenus avec les intervenants civils et les populations locales qui caractérisent les missions actuelles. Et, même si les décisions d’engagement restent fixées en dernier ressort par les gouvernements nationaux, la configuration multinationale et modulaire des forces armées est devenue inévitable. Aussi, en choisissant comme objet d’étude les militaires belges déployés dans des opérations militaires multinationales, on s’est attaché à analyser, d’une part, comment se passe le travail dans ces environnements à risques et fortement diversifiés et, d’autre part, le type de collaboration observée entre les contingents nationaux. <p><p>Tout comme les autres organisations, les armées de différents pays se regroupent au sein de task forces spécifiques et temporaires qui nécessitent une configuration organisationnelle plus flexible ainsi qu’une culture d’organisation davantage adaptée à ces nouveaux cadres de travail. Aussi, l’objectif de la première partie est, précisément, de se pencher sur ces deux dimensions, structurelle et culturelle, de l’organisation militaire belge pour comprendre ensuite les interactions sociales observées dans les milieux opérationnels étudiés. Dans un premier chapitre, on s’attache à montrer les changements rencontrés dans la plupart des organisations militaires des pays industrialisés mais aussi, plus spécifiquement, les réformes institutionnelles entreprises pour moderniser les forces armées belges. Le deuxième chapitre aborde ensuite les éléments culturels que l’on retrouve au cœur de l’organisation militaire. Traditionnellement considérée comme un ensemble homogénéisé par une culture organisationnelle forte et cohésive, dans une perspective de différenciation, on relèvera les éléments croissants de diversité culturelle interne qui rendent l’organisation plus diverse tout en rendant la coordination de l’ensemble plus délicate. <p><p>La deuxième partie- empirique- aborde trois études de cas qui ont été menées dans un contexte géographique et institutionnel particulier :en Afghanistan pour la mission ISAF, au Liban pour la mission UNIFIL et en Bosnie-Herzégovine pour la mission Althea. Au niveau de la récolte des données, l’approche méthodologique suivie est de nature essentiellement inductive et combine différentes méthodes de récolte de données (observation et entretiens sur le terrain, questionnaires quantitatifs, rapports de lessons learned, articles de presse, etc.). En procédant par analyses comparatives et en se basant sur les récits, les pratiques observées, les conversations informelles, ces approches permettent de mieux comprendre la perception subjective de la réalité sociale par les militaires ainsi que les interactions observées. Les données relatives à la mission menée par l’OTAN en Afghanistan ont été collectées à Kaboul où les militaires belges étaient déployés sur l’aéroport aux côtés d’une trentaine de nations. Ces données ont notamment servi de base pour appliquer le modèle des rôles managériaux de Mintzberg à des managers belges opérant dans des circonstances exceptionnelles. Dans un second temps, on s’est également penché sur l’étude des équipes de reconstruction provinciale qui ont été déployées dans la plupart des provinces afghanes et sur la délicate collaboration entre les acteurs civils et militaires à Kunduz. La deuxième étude de cas, relative à la mission de l’ONU au sud-Liban, s’intéresse d’une part à la cohabitation belgo-polonaise au camp de Tibnine et, d’autre part, au fonctionnement de l’état-major multinational de la force à Naqoura. Enfin, le séjour en Bosnie-Herzégovine a permis d’étudier le déploiement de militaires belges dans un cadre européen, sous l’égide de l’EUFOR. Le troisième et dernier chapitre de cette partie fait, en quelque sorte, la synthèse des différents éléments, théoriques et empiriques, relevé et les combine dans une tentative de modélisation théorique des principaux facteurs de coopération militaire multinationale. <p><p>Sur base de nombreux extraits des données recueillies in situ, ce travail s’attache à montrer que la multinationalisation des milieux militaires opérationnels présente non seulement des avantages mais aussi de nouveaux challenges. Elle est ainsi fortement appréciée par les ‘petits’ pays, comme la Belgique, qui peuvent ainsi prendre part simultanément à différentes missions en mettant à disposition des capacités limitées mais spécialisées dans certaines niches de compétences. A travers les synergies opérées, ces formes de collaboration permettent de limiter les coûts liés aux déploiements opérationnels tout en assurant une certaine crédibilité par rapport aux engagements internationaux. Toutefois, même si cette multinationalisation est plus fréquente que par le passé, en raison de difficultés diverses (linguistiques, logistiques, caveats, etc.), elle reste encore souvent marginale au niveau des plus petites unités organisationnelles. C’est généralement à partie d’un certain niveau hiérarchique ou de spécialisation que l’on retrouve des militaires étrangers travaillant dans des équipes multinationales. Le fait que la majorité des militaires belges continuent surtout à travailler avec des collègues nationaux n’implique pas pour autant qu’ils n’ont aucun contact avec les militaires étrangers. Vivant dans des espaces confinés et, à l’exception des contacts virtuels avec la famille et les proches, les relations avec les autres militaires représentent leur seule vie sociale pendant plusieurs mois et c’est donc aussi et surtout à ce niveau que l’influence du contexte multinational se fait sentir. <p><p>Dans la lignée de d’Iribarne qui parlait de logique de l’arrangement en faisant référence à la culture belge, les comportements des militaires semblent autant régulés par cette conception particulière de la coopération et cette recherche d’accords informels que par le respect des ordres. Mais c’est sans doute aussi le sentiment d’appartenir à une organisation militaire dont l’influence est plus limitée qui semble encourager ses membres à adopter des comportements propices au développement de relations inter-organisationnelles ou de ce que l’on a qualifié de logique de la débrouillardise. <p><p> / Doctorat en sciences sociales, Orientation sociologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Et si Machiavel avait été banquier? : une étude sur l'allocation des prêts de la Banque mondiale

Thériault, Dimitri 24 October 2018 (has links)
Cette recherche étudie l’allocation des prêts de la Banque mondiale à l’aide de données de panel couvrant 115 États au maximum et trois périodes : guerre froide (1973-1990), post-guerre froide (1991-2000) et post-11 septembre (2001-2013). Parmi nos découvertes, nous trouvons que plus un État reçoit un montant élevé de prêts, plus il se rapproche de la politique étrangère des États-Unis. Cependant, peu importe la période, les récipiendaires des prêts de la Banque mondiale sont en moyenne plus près de la politique étrangère de la Russie que de la politique étrangère des États-Unis. Nous soutenons que ces résultats impliquent que les prêts de la Banque sont utilisés pour acheter et récompenser des appuis ou des abstentions aux Nations unies pour quelques résolutions seulement et non pas pour l’ensemble des résolutions votées au cours d’une session. En outre, nous trouvons qu’à la suite du 11 septembre 2001, plus un récipiendaire de prêts de la Banque mondiale a reçu un montant important d’assistance militaire américaine, plus le montant des prêts qu’il reçut de la Banque fut important. Bien que ce dernier résultat soutienne la thèse que les attentats du 11 septembre aient amené les États-Unis à utiliser la Banque mondiale pour soutenir ses intérêts comme durant la guerre froide, nous trouvons que la Banque apparaît avoir laissé moins de place aux considérations politiques dans l’allocation de ses prêts après la dislocation de l’URSS et plus significativement entre 2001 et 2013. Mots clés : Banque mondiale, AID, BIRD, Institutions multilatérales de développement, aide, assistance militaire, affinité politique / This research studies the allocation of World Bank loans with panel data covering up to 115 countries over three time periods: Cold War (1973-1990), post-Cold War (1991-2000), and post-September 11 (2001-2013). Among our findings, we show that the more a state receives a large amount of loans by the World Bank, the more it supports the US foreign policy. At the same time, our data reveals that recipients of World Bank loans are on average closer to Russian foreign policy than American foreign policy for all periods under consideration. We argue that these results provide evidence that World Bank’s loans are used to buy and reward supports or abstentions for specific resolutions in the United Nations rather than for all the ones adopted in a session. Our study furthermore indicates that after September 11 terrorist attacks, World Bank recipient countries receiving the greatest amount of US military assistance were also the ones receiving the largest loans by the Bank. Although this supports the thesis that the events of 9/11 led the United States to use the World Bank in their national interests as during the Cold War, we find that the Bank appears to have limited political considerations in the allocation of its loans after the collapse of the USSR and especially between 2001 and 2013. Keywords : World Bank, IBRD, IDA, multilateral development institutions, aid, military assistance, political affinity
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Repenser les rapports est-ouest : les États-Unis face à la Yougoslavie de Tito (1948-1953)

Gagné, Louis 17 April 2018 (has links)
Le présent mémoire s'intéresse à la politique d'aide pratiquée par le gouvernement des États-Unis à l'égard de la Yougoslavie de Tito entre 1948 et 1951. Plus précisément, il cherche à déterminer les raisons qui ont amené l'administration démocrate d'Harry Truman à apporter un soutien économique et militaire de plusieurs dizaines de millions de dollars au régime yougoslave durant cette période. Cette étude s'est principalement basée sur des sources institutionnelles produites par les branches executive et législative du gouvernement américain. Les volumes de la série Foreign Relations of the United States, les rapports produits par les services de renseignement américains, de même que le Congressionnal Record, ont ainsi constitué la majeure partie du corpus. Leur analyse tend à démontrer que l'assistance économique et militaire fournie par les États-Unis à la Yougoslavie entre 1948 et 1951 visait d'abord à améliorer la défense de l'Europe occidentale et, dans une moindre mesure, à encourager les dissensions au sein de la sphère d'influence soviétique.

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