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L'influence de trois modèles parentaux sur les développements émotif, affectif et social de l'enfant à la période préscolaire

Ménard, Ann January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Image corporelle et attitudes maternelles : exploration des perceptions de jeunes femmes avec et sans trouble des conduites alimentaires

Séguin, Laurence January 2017 (has links)
Au cours des dernières décennies, l’insatisfaction à l’égard de l’image corporelle est devenue une problématique si prévalente chez les femmes de tous âges que certains chercheurs la qualifient de mécontentement normatif (Rodin, Silberstein, & Striegel-Moore, 1985), c’est-à-dire que la préoccupation vis-à-vis de l’image corporelle est considérée comme faisant partie de la vie d’une femme (Thompson, Heinberg, Altabe, & Tantleff-Dunn, 1999). Cette situation s’avère préoccupante puisqu’une telle insatisfaction chez les femmes est associée à la présence chez elles de diverses psychopathologies telles que l’anorexie mentale et la boulimie (Stice, 2001). L’insatisfaction à l’égard de l’image corporelle est le résultat d’une évaluation négative de son apparence physique (Presnell, Bearman, & Stice, 2004). Plusieurs facteurs sont liés à son développement, notamment la valorisation de la minceur par les parents. À ce sujet, il ressort que la manière dont les filles perçoivent les attitudes de leur mère quant à leur apparence est associée à la satisfaction qu’elles éprouvent ou non à l’égard de leur image corporelle. Malgré les liens existant entre ces perceptions et l’image corporelle, peu d’études ont porté sur ce sujet jusqu’à ce jour. Parmi celles qui s’y sont intéressées, une seule a été effectuée exclusivement auprès de jeunes femmes adultes en émergence âgées de 18 à 25 ans (Segar, 2012) et aucune n’incluait de groupe de comparaison. Le premier objectif de la présente étude vise donc à décrire comment les jeunes femmes adultes présentant ou non un trouble des conduites alimentaires (TCA) perçoivent leur image corporelle depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte en émergence. Le second objectif vise à établir comment ces jeunes femmes perçoivent les attitudes de leur mère concernant leur apparence physique tout au long de leur développement. À partir d’entrevues semi-structurées, les perceptions de 16 jeunes femmes âgées entre 18 et 23 ans, soit huit ne présentant pas de TCA et huit souffrant d’un tel trouble (TCA) sont comparées. Ces perceptions sont explorées par le biais d’un devis méthodologique qualitatif de nature descriptive et exploratoire. L’analyse de contenu est effectuée à l’aide du logiciel QDA Miner. Les résultats du présent travail démontrent que sur le plan de l’image corporelle, les jeunes femmes ne présentant pas de TCA rapportent se percevoir de manière positive à l’enfance et à l’âge adulte en émergence, l’adolescence ayant constitué une période plus difficile sur ce plan. Par contre, les jeunes femmes souffrant de TCA rapportent se percevoir de manière négative tout au long de leur développement. En ce qui concerne les attitudes maternelles, les jeunes femmes ne présentant pas de TCA les perçoivent de manière positive tout au long de leur développement. Pour leur part, les jeunes femmes souffrant de TCA les perçoivent de manière négative de l’enfance à l’âge adulte en émergence; cependant, ces perceptions semblent plutôt constituer un reflet de la perception de la fille que celle de leur mère. Les résultats de la présente thèse contribuent à l’avancement des connaissances dans le domaine de l’image corporelle. Ils appuient l’importance de s’intéresser à l’évolution de l’image corporelle et des attitudes maternelles selon une perspective développementale afin de mieux comprendre comment ces variables sont reliées. Ils démontrent également la pertinence de sensibiliser les mères à l’importance que prennent leurs attitudes pour le développement de l’image corporelle chez leur fille et ce, tout au long de la vie.
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Relations prédictives entre traits de personnalité, attitudes parentales et comportements perturbateurs : un modèle transactionnel de l'enfance à l'adolescence

Carignan, Véronique 08 1900 (has links)
Plusieurs études ont confirmé que certains traits de personnalité des enfants et certaines attitudes et pratiques éducatives de leurs parents constituaient des prédicteurs des comportements perturbateurs à l’adolescence. Toutefois, la majorité des recherches ont adopté un modèle postulant des relations directes et indépendantes entre ces facteurs de risque et des comportements perturbateurs. Le modèle transactionnel est plus réaliste parce qu’il postule des relations bidirectionnelles à travers le temps entre ces deux facteurs de risque. Cette étude visait à vérifier l’existence de relations bidirectionnelles entre les traits de personnalité des enfants et les attitudes parentales de leur mère mesurés à deux reprises durant l’enfance (à 6 et 7 ans), pour ensuite vérifier si les comportements perturbateurs des enfants mesurés à l’adolescence (15 ans) pouvaient être prédits par les traits de personnalité et les attitudes parentales. Les données utilisées proviennent d’une étude longitudinale prospective de 1000 garçons et 1000 filles évalués à plusieurs reprises de la maternelle à l’adolescence. Six traits de personnalité des enfants et deux attitudes parentales ont été évalués par les mères à 6 et 7 ans, alors que les diagnostics de troubles perturbateurs (trouble des conduites, trouble oppositionnel avec provocation, trouble de déficit de l’attention/hyperactivité) ont été évalués par les adolescents et les mères à 15 ans. Afin de tester les hypothèses de recherche, des analyses de cheminement (« path analysis ») multi-groupes basées sur la modélisation par équations structurales ont été utilisées. Les résultats ont confirmé la présence de relations bidirectionnelles entre les traits de personnalité de l’enfant et les attitudes parentales durant l’enfance. Toutefois, peu de relations étaient significatives et celles qui l’étaient étaient de faible magnitude. Les modèles multi-groupes ont par ailleurs confirmé la présence de relations bidirectionnelles différentes selon le sexe. En ce qui concerne la prédiction des comportements perturbateurs, de façon générale, surtout les traits de personnalité et les attitudes parentales à 6 ans (plutôt qu’à 7 ans) ont permis de les prédire. Néanmoins, peu de relations prédictives se sont avérées significatives. En somme, cette étude est une des rares à avoir démontré la présence de relations bidirectionnelles entre la personnalité de l’enfant et les attitudes parentales avec des données longitudinales. Ces résultats pourraient avoir des implications théoriques pour les modèles explicatifs des comportements perturbateurs, de même que des implications pratiques pour le dépistage des enfants à risque. / Several studies confirmed that some children’s personality traits and parental attitudes constitute risk factors of later disruptive behaviors during adolescence. However, most research has adopted a model postulating direct and independent relations between these risk factors and disruptive behaviors. The transactional model is more realistic because it postulates bidirectional relations over time between these two risk factors. Even though the transactional model is popular amongst researchers, there is in fact very little research formally demonstrating the existence of bidirectional relations with longitudinal data during childhood. This study aimed at verifying the existence of bidirectional relations between children’s personality traits and their mothers’ parental attitudes measured on two occasions during childhood (ages 6 and 7), and later verifying if individuals’ disruptive behaviors during adolescence (age 15) could be predicted by children’s personality traits and parental attitudes. The data came from a prospective longitudinal study of 1000 boys and 1000 girls assessed on various occasions from kindergarten through adolescence. Six children’s personality traits and two parental attitudes were assessed by mothers at ages 6 and 7, while the disruptive behavior diagnostics (conduct disorder, oppositional defiant disorder, attention deficit hyperactivity disorder) were assessed by adolescents ant their mothers at age 15. In order to test the research hypotheses, multiple-group path analyses based on structural equations modeling were used. The results confirmed the presence of bidirectional relations between children’s personality traits and parental attitudes during childhood. Nevertheless, there were few significant relations and most of them were of small size. Multiple-group models also confirmed the presence of gender-specific bidirectional relations. With regards to the prediction of disruptive behaviors, especially children’s personality traits and parental attitudes at age 6 (rather than age 7) were predictive. Nonetheless, few predictive relations turned out to be significant. Overall, this study is one of the rare to demonstrate the presence of bidirectional relations between children’s personality and parental attitudes with longitudinal data. These results could have theoretical implications for explanatory models of disruptive behaviors, as well as practical implications for early screening of children at risk.
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Relations prédictives entre traits de personnalité, attitudes parentales et comportements perturbateurs : un modèle transactionnel de l'enfance à l'adolescence

Carignan, Véronique 08 1900 (has links)
Plusieurs études ont confirmé que certains traits de personnalité des enfants et certaines attitudes et pratiques éducatives de leurs parents constituaient des prédicteurs des comportements perturbateurs à l’adolescence. Toutefois, la majorité des recherches ont adopté un modèle postulant des relations directes et indépendantes entre ces facteurs de risque et des comportements perturbateurs. Le modèle transactionnel est plus réaliste parce qu’il postule des relations bidirectionnelles à travers le temps entre ces deux facteurs de risque. Cette étude visait à vérifier l’existence de relations bidirectionnelles entre les traits de personnalité des enfants et les attitudes parentales de leur mère mesurés à deux reprises durant l’enfance (à 6 et 7 ans), pour ensuite vérifier si les comportements perturbateurs des enfants mesurés à l’adolescence (15 ans) pouvaient être prédits par les traits de personnalité et les attitudes parentales. Les données utilisées proviennent d’une étude longitudinale prospective de 1000 garçons et 1000 filles évalués à plusieurs reprises de la maternelle à l’adolescence. Six traits de personnalité des enfants et deux attitudes parentales ont été évalués par les mères à 6 et 7 ans, alors que les diagnostics de troubles perturbateurs (trouble des conduites, trouble oppositionnel avec provocation, trouble de déficit de l’attention/hyperactivité) ont été évalués par les adolescents et les mères à 15 ans. Afin de tester les hypothèses de recherche, des analyses de cheminement (« path analysis ») multi-groupes basées sur la modélisation par équations structurales ont été utilisées. Les résultats ont confirmé la présence de relations bidirectionnelles entre les traits de personnalité de l’enfant et les attitudes parentales durant l’enfance. Toutefois, peu de relations étaient significatives et celles qui l’étaient étaient de faible magnitude. Les modèles multi-groupes ont par ailleurs confirmé la présence de relations bidirectionnelles différentes selon le sexe. En ce qui concerne la prédiction des comportements perturbateurs, de façon générale, surtout les traits de personnalité et les attitudes parentales à 6 ans (plutôt qu’à 7 ans) ont permis de les prédire. Néanmoins, peu de relations prédictives se sont avérées significatives. En somme, cette étude est une des rares à avoir démontré la présence de relations bidirectionnelles entre la personnalité de l’enfant et les attitudes parentales avec des données longitudinales. Ces résultats pourraient avoir des implications théoriques pour les modèles explicatifs des comportements perturbateurs, de même que des implications pratiques pour le dépistage des enfants à risque. / Several studies confirmed that some children’s personality traits and parental attitudes constitute risk factors of later disruptive behaviors during adolescence. However, most research has adopted a model postulating direct and independent relations between these risk factors and disruptive behaviors. The transactional model is more realistic because it postulates bidirectional relations over time between these two risk factors. Even though the transactional model is popular amongst researchers, there is in fact very little research formally demonstrating the existence of bidirectional relations with longitudinal data during childhood. This study aimed at verifying the existence of bidirectional relations between children’s personality traits and their mothers’ parental attitudes measured on two occasions during childhood (ages 6 and 7), and later verifying if individuals’ disruptive behaviors during adolescence (age 15) could be predicted by children’s personality traits and parental attitudes. The data came from a prospective longitudinal study of 1000 boys and 1000 girls assessed on various occasions from kindergarten through adolescence. Six children’s personality traits and two parental attitudes were assessed by mothers at ages 6 and 7, while the disruptive behavior diagnostics (conduct disorder, oppositional defiant disorder, attention deficit hyperactivity disorder) were assessed by adolescents ant their mothers at age 15. In order to test the research hypotheses, multiple-group path analyses based on structural equations modeling were used. The results confirmed the presence of bidirectional relations between children’s personality traits and parental attitudes during childhood. Nevertheless, there were few significant relations and most of them were of small size. Multiple-group models also confirmed the presence of gender-specific bidirectional relations. With regards to the prediction of disruptive behaviors, especially children’s personality traits and parental attitudes at age 6 (rather than age 7) were predictive. Nonetheless, few predictive relations turned out to be significant. Overall, this study is one of the rare to demonstrate the presence of bidirectional relations between children’s personality and parental attitudes with longitudinal data. These results could have theoretical implications for explanatory models of disruptive behaviors, as well as practical implications for early screening of children at risk.

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