• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Littératie et autogestion du diabète : impact à court terme d’un programme de formation de 4 jours versus un programme de 2 jours sur le développement des compétences chez les patients diabétiques de type 2

Bouffard, Maud 10 1900 (has links)
Réalisé en collaboration avec l'équipe de l'Unité de jour de diabète de l'Hôtel-Dieu du CHUM: Hortensia Mircescu M.D., Françoise Desrochers, Michelle Messier et Stéphanie Chanel Lefort. / BUT : Cette étude longitudinale a pour objectif d’évaluer l’impact à court terme des programmes d’enseignement sur l’autogestion du diabète dispensés par l’équipe multidisciplinaire de l’Unité de jour de diabète (UJD) de l’Hôtel-Dieu du CHUM. L'UJD offre une formation de 4 jours (F4), avec une intervention mixte de type individuelle et de groupe, et une autre de 2 jours (F2), avec une intervention de groupe uniquement. MÉTHODE : En plus des mesures liées au contrôle métabolique (hémoglobine glyquée, indice de masse corporelle), des outils validés ont été retenus afin d’évaluer le niveau de littératie des patients, de même que les connaissances, les comportements d’autogestion et les attitudes par rapport au diabète à 0, 1 et 6 mois d’intervalle. Un total de 43 patients a été recruté, dont 13 en F2 et 30 en F4. RÉSULTATS : Âgés en moyenne de 59 ans, 77% des participants aux formations ont une scolarité de niveau collégial et plus. Cela les situe à un niveau satisfaisant de littératie, c'est-à-dire au regard de l’aptitude à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie courante. En revanche, 64% des patients qui ne se sont pas présentés au cours (N=11) avaient un niveau de scolarité équivalent ou inférieur à un secondaire cinq. Les données analysées à l’aide de tests non-paramétriques montrent que les formations permettent à court terme une amélioration significative du contrôle métabolique des patients (p=0,042; N=33) et une perte pondérale moyenne de 2,4 kg (p=0,004; N=27). Les deux types de formations favorisent l’augmentation des connaissances sur la maladie (p=0,000 2jrs/4jrs) et contribuent à faire progresser favorablement les attitudes, soit de façon significative dans le cas des participants à la formation de 4 jours (p=0,000). La formation de 2 jours s’avère particulièrement efficace pour améliorer les comportements d’autosoins comme la prise de glycémie et les soins des pieds, alors qu’elle n’a eu que très peu d’effet sur les comportements liés au mode de vie. CONCLUSION : Les résultats de cette étude sont en faveur d’une intervention de type mixte et d’un plus grand nombre d’heures de contact entre les éducateurs et éducatrices et la ou le patient. Les données suggèrent finalement que bien que les interventions soient efficaces, ce sont les patients déjà fortement scolarisés qui tendent à participer à ce type de formation structurée. / OBJECTIVES : The objective of this longitudinal study is to evaluate the short term impact of diabetes self-management programs given by the multidisciplinary team of the CHUM Hôtel-Dieu Diabetes Day-Care Unit over 2-days (T2) or 4-days (T4) training sessions. METHODS : A total of 43 patients were recruited; 13 in the 2-day program, providing only group intervention and 30 in the 4-day program, providing both group and individual interventions. Besides measures of metabolic control (glycated haemoglobin, body-mass index), validated tools were used to evaluate literacy, as well as knowledge, self-care behaviours, and attitudes towards diabetes (at 0, 1 and 6 months). RESULTS : The average age of patients participating in the training sessions is 59 years old, and 77% have reached collegial or higher educational levels. This gives them sufficient literacy skills in terms of capacity to understand and use written information in everyday life. However, 64 % of the patients that did not show up or complete the training (N=11) had educational levels equal or lower to secondary 5. Outcome data, analyzed with nonparametric tests, show that diabetes self-management education programs of the Hôtel-Dieu CHUM lead to significant short-term improvement of metabolic control in patients (p=0,042, N=33) and result in a average weight loss of 2.4 kg (p=0,004, N=27). Both types of training increase patients knowledge of the disease (p=0,000 F2/F4), and the 4-days training session significantly contribute to positive attitudes towards the disease (p=0,000). The 2-days training program is particularly effective in improving self-care behaviours such as blood glucose monitoring and foot care, but it had very little effect on behaviours related to lifestyle. CONCLUSION : These results show that the 4-day program has proven more effective in improving self-management competency suggesting that the duration of interaction time between educators and patient seems to be a good predictor of the impact of the training. Although interventions are found to be effective, outcomes ultimately suggest that it is mostly patients with higher education that tend to participate in this formal training.
2

Littératie et autogestion du diabète : impact à court terme d’un programme de formation de 4 jours versus un programme de 2 jours sur le développement des compétences chez les patients diabétiques de type 2

Bouffard, Maud 10 1900 (has links)
BUT : Cette étude longitudinale a pour objectif d’évaluer l’impact à court terme des programmes d’enseignement sur l’autogestion du diabète dispensés par l’équipe multidisciplinaire de l’Unité de jour de diabète (UJD) de l’Hôtel-Dieu du CHUM. L'UJD offre une formation de 4 jours (F4), avec une intervention mixte de type individuelle et de groupe, et une autre de 2 jours (F2), avec une intervention de groupe uniquement. MÉTHODE : En plus des mesures liées au contrôle métabolique (hémoglobine glyquée, indice de masse corporelle), des outils validés ont été retenus afin d’évaluer le niveau de littératie des patients, de même que les connaissances, les comportements d’autogestion et les attitudes par rapport au diabète à 0, 1 et 6 mois d’intervalle. Un total de 43 patients a été recruté, dont 13 en F2 et 30 en F4. RÉSULTATS : Âgés en moyenne de 59 ans, 77% des participants aux formations ont une scolarité de niveau collégial et plus. Cela les situe à un niveau satisfaisant de littératie, c'est-à-dire au regard de l’aptitude à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie courante. En revanche, 64% des patients qui ne se sont pas présentés au cours (N=11) avaient un niveau de scolarité équivalent ou inférieur à un secondaire cinq. Les données analysées à l’aide de tests non-paramétriques montrent que les formations permettent à court terme une amélioration significative du contrôle métabolique des patients (p=0,042; N=33) et une perte pondérale moyenne de 2,4 kg (p=0,004; N=27). Les deux types de formations favorisent l’augmentation des connaissances sur la maladie (p=0,000 2jrs/4jrs) et contribuent à faire progresser favorablement les attitudes, soit de façon significative dans le cas des participants à la formation de 4 jours (p=0,000). La formation de 2 jours s’avère particulièrement efficace pour améliorer les comportements d’autosoins comme la prise de glycémie et les soins des pieds, alors qu’elle n’a eu que très peu d’effet sur les comportements liés au mode de vie. CONCLUSION : Les résultats de cette étude sont en faveur d’une intervention de type mixte et d’un plus grand nombre d’heures de contact entre les éducateurs et éducatrices et la ou le patient. Les données suggèrent finalement que bien que les interventions soient efficaces, ce sont les patients déjà fortement scolarisés qui tendent à participer à ce type de formation structurée. / OBJECTIVES : The objective of this longitudinal study is to evaluate the short term impact of diabetes self-management programs given by the multidisciplinary team of the CHUM Hôtel-Dieu Diabetes Day-Care Unit over 2-days (T2) or 4-days (T4) training sessions. METHODS : A total of 43 patients were recruited; 13 in the 2-day program, providing only group intervention and 30 in the 4-day program, providing both group and individual interventions. Besides measures of metabolic control (glycated haemoglobin, body-mass index), validated tools were used to evaluate literacy, as well as knowledge, self-care behaviours, and attitudes towards diabetes (at 0, 1 and 6 months). RESULTS : The average age of patients participating in the training sessions is 59 years old, and 77% have reached collegial or higher educational levels. This gives them sufficient literacy skills in terms of capacity to understand and use written information in everyday life. However, 64 % of the patients that did not show up or complete the training (N=11) had educational levels equal or lower to secondary 5. Outcome data, analyzed with nonparametric tests, show that diabetes self-management education programs of the Hôtel-Dieu CHUM lead to significant short-term improvement of metabolic control in patients (p=0,042, N=33) and result in a average weight loss of 2.4 kg (p=0,004, N=27). Both types of training increase patients knowledge of the disease (p=0,000 F2/F4), and the 4-days training session significantly contribute to positive attitudes towards the disease (p=0,000). The 2-days training program is particularly effective in improving self-care behaviours such as blood glucose monitoring and foot care, but it had very little effect on behaviours related to lifestyle. CONCLUSION : These results show that the 4-day program has proven more effective in improving self-management competency suggesting that the duration of interaction time between educators and patient seems to be a good predictor of the impact of the training. Although interventions are found to be effective, outcomes ultimately suggest that it is mostly patients with higher education that tend to participate in this formal training. / Réalisé en collaboration avec l'équipe de l'Unité de jour de diabète de l'Hôtel-Dieu du CHUM: Hortensia Mircescu M.D., Françoise Desrochers, Michelle Messier et Stéphanie Chanel Lefort.
3

Autogestion du diabète de type 2 : influence des connaissances et des caractéristiques socioculturelles des patients fidèles des églises dites prophétiques à Kinshasa (République Démocratique du Congo)

Masamba, Nadine Lulendo 08 1900 (has links)
Un problème préoccupant du suivi des patients diabétiques en République Démocratique du Congo (RDC) demeure ceux perdus de vue qui ne cessent d’augmenter. En effet, beaucoup de patients négligent la gestion de leur maladie pour plusieurs raisons, parmi lesquelles les croyances religieuses. En général, les religions promeuvent la vie et consolident sa protection. Certaines croyances religieuses, cependant, confortent des comportements démissionnaires et irresponsables au regard de la santé. La présente recherche vise à comprendre le rôle des connaissances et des facteurs religieux sur l’autogestion du diabète. Une enquête qualitative descriptive par entretiens semi-dirigés a été réalisée à Kinshasa auprès de 23 fidèles diabétiques et ainsi qu’au moyen de trois groupes de discussion impliquant des leaders religieux de ces églises. Cette étude a démontré une connaissance erronée et insuffisante de la maladie et à l’influence des croyances religieuses sur la gestion du diabète. Les participants identifiaient le diabète comme une maladie grave, curable par des prières et par des plantes traditionnelles dictées par Dieu. Ils manifestaient un déni de la maladie, ce qui influençait leurs habitudes de vie (c’est-à-dire leur régime alimentaire et leur activité physique). Se disant détenir le pouvoir de guérison, les chefs religieux pouvaient interrompre le traitement médical et acceptaient que leurs fidèles diabétiques se rendent à l’hôpital uniquement pour vérifier leur taux de glycémie. Notre étude implique que les réseaux d’affiliation religieuse et d’entraide devraient être ciblés par les stratégies de sensibilisation contre la désinformation, afin de réduire les complications et les décès dus au diabète à Kinshasa en particulier et en République Démocratique du Congo en général. / An important problem in the follow-up of diabetic patients in the Democratic Republic of Congo (DRC) remains the lost to follow-up which continues to increase. Many patients neglect the management of their disease for several reasons including religious beliefs. In general, religions promote life and consolidate its protection. Certain religious beliefs, however, reinforce resigning and irresponsible behaviors regarding health. The current research aims to understand the role of knowledge and religious factors in the self-management of diabetes. A descriptive qualitative study by semi-structured interviews was carried out in Kinshasa among 23 diabetic patients and three focus groups of religious leaders from prophetic churches. This study suggests an incorrect and insufficient knowledge of the disease, and the influence of religious beliefs on diabetes management. Participants identified diabetes as a serious disease that was curable by prayers and by traditional plants dictated by God. They displayed a denial of the disease which influenced their lifestyle (i.e., diet and physical activity). Claiming to have the ability to heal, religious leaders could interrupt medical treatment and only allowed their diabetic patients to go to the hospital to check their blood sugar levels. Our study implies that religious affiliation and mutual aid networks should be targeted by advocacy strategies against disinformation to reduce complications and deaths from diabetes in Kinshasa and in the Democratic Republic of Congo.

Page generated in 0.1115 seconds