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L'industrialisation du logement en France (1885-1970) : De la construction légère et démontable à la construction lourde et architecturale

Fares, Kinda 16 March 2012 (has links) (PDF)
La thèse porte sur l'industrialisation du logement en France (1885-1970), de la construction légère et démontable à la construction lourde et architecturale. L'objet de cette thèse se place à l'interface de quatre grands sujets : l'existence de l'industrialisation avant la seconde guerre mondiale, la politique technique du ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme (MRU), les projets réalisés après la seconde guerre mondiale dont on applique les méthodes d'industrialisation imposées par l'Etat, et les principes de la charte d'Athènes. La période d'étude s'étend de 1885, premier témoin européen de l'industrialisation du bâtiment, à 1970 année de remise en cause de ce type de construction. l'industrialisation du bâtiment a des racines très anciennes, elle croît d'abord parmi les militaires, pour les besoins de la conquête coloniale, des campagnes, des guerres qui enflamment l'Europe. La cabane de plage ou la baraque de villégiature, la tente de toile, l'auvent de marché, sont autant de figures constructives qui prolifèrent en fin du XIXe siècle. Surtout, les expéditions coloniales menées tambours battants exigent rapidité, sécurité, capacité : la baraque est la solution industrielle. L'industrialisation se poursuit, non plus légère mais lourde. Elle est pour l'Etat la principale voie car elle diminue le prix de revient de la construction, réduit les interventions et améliore le confort des logements. A partir de 1945, l'Etat français nouveau investit dans la partie la plus sinistrée, encourage les innovations basées sur l'emploi de matériaux et de techniques en instituant l'agrément technique des " matériaux nouveaux et des procédés non traditionnels de construction ". Dans la première partie de cette recherche, nous avons essayé de montrer qu'il y a bien une industrialisation du bâtiment avant la seconde guerre mondiale. L'industrialisation occupe " brutalement " la construction légère dans les années 1890. La baraque démontable et transportable, militaire, ambulante devient l'objet de compétitions, de confrontations, d'intérêts guerriers en Europe de l'ouest. Des dizaines de modèles sont préfabriqués et montés en arrière des champs de batailles ou en prévision des conquêtes territoriales. Dans un second temps nous avons choisi de continuer l'histoire de la construction lourde dans l'après guerre, spécifiquement la construction du logement. Par conséquent nous avons choisi d'étudier deux projets remarquables de la période juste après la seconde guerre mondiale. 1- Le projet de la cité expérimentale de Noisy-le-Sec : au travers de ce projet l'Etat a essayé de tester les procédés et matériaux nouveaux permettant d'utiliser moins de matières premières et d'énergie, de simplifier la mise en œuvre, de faire connaître ces nouveautés pour faire de la technique une technologie et contribuer à l'amélioration de l'habitat (confort intérieur, équipement). Pour ce faire, il importe des procédés et impose des changements de rythme et d'échelle. 2- le projet des Grands Terres : Le chantier des Grands Terres doit être considéré comme le premier chef d'œuvre de préfabrication lourde de logements. Ce projet affirme aussi une nouvelle façon de penser la ville et son rapport à l'habitat, il est une des applications réussies de la Charte d'Athènes, bible de l'urbanisme de Lods, et une référence pour les évolutions urbaines des décennies 60 et 70. Enfin, pour élaborer cette recherche académique j'ai pris le parti "chronologique" " : 1885-1940 "la construction légère et démontable", 1940-1970, "la préfabrication lourde et indémontable", 1945-1953 " la cité d'expérience de Noisy-le-Sec", 1952-1956, "le modèle achevé le plus réussi des grands opérations, le projet des Grandes Terres".
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La présence militaire romaine à Strasbourg-Argentorate et le camp de la VIIIe légion / Roman military presence in Strasbourg-Argentorate and the 8th Legion’s camp

Kuhnle, Gertrud 28 November 2015 (has links)
L’histoire des sites légionnaires de l’Empire romain connaît aujourd’hui un important renouveau grâce aux nombreuses recherches réalisées en Europe. C’est dans ce cadre que s’insère ce travail qui explore la présence militaire romaine à Strasbourg-Argentorate, en examinant tout particulièrement le camp de la VIIIe légion selon une perspective à la fois archéologique et historique. Cette étude se fonde sur l’analyse des sources littéraires et épigraphiques, l’interprétation de la documentation publiée et sur les résultats issus de deux récentes fouilles préventives (« Grenier d’Abondance » et « 4 rue Brûlée »). Elle révèle que l’occupation romaine débutant vers 15 ap. J.-C. coïncide en fait avec l’arrivée de la legio II Augusta dont la présence est attestée par plusieurs monuments funéraires. Entre 43 ap. J.-C. et l’arrivée de la legio VIII Augusta dans les années 90 ap. J.-C., Strasbourg n’est pas un lieu de garnison légionnaire, mais pourrait plutôt être celui de troupe(s) d’auxiliaires. Le camp de la VIIIe légion est d’abord protégé par un rempart en terre et en bois, avant d’être doté d’une enceinte en pierre (IIe s. ap. J.-C.) qui sera renforcée vers 300 ap. J.-C. Les baraquements dans le latus praetorii dextrum sont occupés jusqu’à la fin du premier quart du IVe s. ap. J.-C. Avec l’installation de civils à partir du deuxième tiers du IVe s. ap. J.-C., le camp légionnaire se transforme progressivement en site urbain fortifié qui inclut une présence militaire réduite jusqu’au début du Ve s. ap. J.-C. au moins. Ce travail permet de mieux connaître l’aspect du camp de la VIIIe légion et de réviser la chronologie de la présence militaire romaine de ce site rhénan majeur. / The history of legionary sites in the Roman Empire is undergoing a significant revival today thanks to numerous research projects being conducted in Europe. Within this context, the present study explores the Roman military presence in Strasbourg - Argentorate, and more particularly the 8th Legion’s camp, from an archaeological and historical viewpoint. This study is based on the analysis of literary and epigraphic sources, on the interpretation of published documentation and on the results of two recent rescue excavations (“Grenier d’Abondance” and “4 rue Brûlée”). It shows that the Roman occupation, beginning around 15 AD, coincides with the arrival of the legio II Augusta whose presence is attested by several funerary monuments. Between 43 AD and the settlement of the legio VIII Augusta around 90 AD, Strasbourg was not a legionary garrison, but mostly one of auxiliary troops. In its early form, the camp of the 8th Legion was protected by an earth rampart with layers of timber before being superimposed with the first stone defensive circuit around the mid-2nd century AD; that wall was reinforced around 300 AD. The barracks in the latus praetorii dextrum remained occupied until the end of the first quarter of 4th century AD. With the settlement of civilians from the second third of 4th century AD, the legionary camp gradually turned into an urban fortified site with a limited military presence, at least until the beginning of 5th century AD. This study provides detailed insight into aspects of the 8th Legion’s camp and reviews the chronology of the Roman military presence of this major Rhineland site.
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L'industrialisation du logement en France (1885-1970) : De la construction légère et démontable à la construction lourde et architecturale / The industrialization of housing in France (1885-1970) : from the lightweight and removable construction to the heavy construction and architecture

Fares, Kinda 16 March 2012 (has links)
La thèse porte sur l’industrialisation du logement en France (1885-1970), de la construction légère et démontable à la construction lourde et architecturale. L’objet de cette thèse se place à l’interface de quatre grands sujets : l’existence de l’industrialisation avant la seconde guerre mondiale, la politique technique du ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (MRU), les projets réalisés après la seconde guerre mondiale dont on applique les méthodes d’industrialisation imposées par l’Etat, et les principes de la charte d’Athènes. La période d’étude s’étend de 1885, premier témoin européen de l’industrialisation du bâtiment, à 1970 année de remise en cause de ce type de construction. l’industrialisation du bâtiment a des racines très anciennes, elle croît d’abord parmi les militaires, pour les besoins de la conquête coloniale, des campagnes, des guerres qui enflamment l’Europe. La cabane de plage ou la baraque de villégiature, la tente de toile, l’auvent de marché, sont autant de figures constructives qui prolifèrent en fin du XIXe siècle. Surtout, les expéditions coloniales menées tambours battants exigent rapidité, sécurité, capacité : la baraque est la solution industrielle. L’industrialisation se poursuit, non plus légère mais lourde. Elle est pour l’Etat la principale voie car elle diminue le prix de revient de la construction, réduit les interventions et améliore le confort des logements. A partir de 1945, l’Etat français nouveau investit dans la partie la plus sinistrée, encourage les innovations basées sur l’emploi de matériaux et de techniques en instituant l’agrément technique des « matériaux nouveaux et des procédés non traditionnels de construction ». Dans la première partie de cette recherche, nous avons essayé de montrer qu’il y a bien une industrialisation du bâtiment avant la seconde guerre mondiale. L’industrialisation occupe « brutalement » la construction légère dans les années 1890. La baraque démontable et transportable, militaire, ambulante devient l’objet de compétitions, de confrontations, d’intérêts guerriers en Europe de l’ouest. Des dizaines de modèles sont préfabriqués et montés en arrière des champs de batailles ou en prévision des conquêtes territoriales. Dans un second temps nous avons choisi de continuer l’histoire de la construction lourde dans l’après guerre, spécifiquement la construction du logement. Par conséquent nous avons choisi d’étudier deux projets remarquables de la période juste après la seconde guerre mondiale. 1- Le projet de la cité expérimentale de Noisy-le-Sec : au travers de ce projet l’Etat a essayé de tester les procédés et matériaux nouveaux permettant d’utiliser moins de matières premières et d’énergie, de simplifier la mise en œuvre, de faire connaître ces nouveautés pour faire de la technique une technologie et contribuer à l’amélioration de l’habitat (confort intérieur, équipement). Pour ce faire, il importe des procédés et impose des changements de rythme et d’échelle. 2- le projet des Grands Terres : Le chantier des Grands Terres doit être considéré comme le premier chef d’œuvre de préfabrication lourde de logements. Ce projet affirme aussi une nouvelle façon de penser la ville et son rapport à l’habitat, il est une des applications réussies de la Charte d’Athènes, bible de l’urbanisme de Lods, et une référence pour les évolutions urbaines des décennies 60 et 70. Enfin, pour élaborer cette recherche académique j’ai pris le parti “chronologique” ” : 1885-1940 “la construction légère et démontable”, 1940-1970, “la préfabrication lourde et indémontable”, 1945-1953 “ la cité d’expérience de Noisy-le-Sec”, 1952-1956, “le modèle achevé le plus réussi des grands opérations, le projet des Grandes Terres”. / The thesis focuses on the industrialization of housing in France (1885-1970), from the lightweight and removable construction to the heavy construction and architecture. The purpose of this thesis is placed at the interface of four major topics: the existence of industrialization before the World War II, the technical policy of the Ministry of Reconstruction and Urbanism (MRU), projects after the Second World War that applied the methods of industrialization imposed by the State, and the principles of the Charter of Athens. The study period extends from 1885, the first witness of European industrialization of the building, to 1970ties of questioning of this type of construction. The industrialization of the building has very old roots; it grows primarily in the military, for the needs of the colonial conquest, campaigns, wars, which inflamed the Europe. The beach cabin or the shack resort, the canvas tent, canopy of market, are as much constructive figures which are proliferating at the end of the nineteenth century. Especially, the colonial expeditions conducted drums requiring speed, security, capacity: the shack is the industrial solution. Industrialization continues to be not light anymore but heavy. It is the main route for the State because it decreases the cost price of the construction, reduces the interventions and improves the comfort of the housing. From 1945, the French State newly invests in the most stricken, encourages innovation based on the employment of materials and techniques in establishing the technical approval of the "new materials and non-traditional methods of construction". In the first part of this research, i have tried to show that there is an industrialization of the building before the Second World War. Industrialization occupied "brutally" lightweight construction in the 1890s. The shack removable and transportable, military becomes the object of competitions, confrontations, of interest of warriors in Western Europe. Dozens of models are prefabricated and really mounted in the fields of battles or in anticipation of territorial conquest. In a second time i have chosen to continue the story in the heavy construction in the after war, specifically the construction of the housing. Therefore i chose to study two outstanding projects of the period just after the Second World War. First is the project of Noisy-le-Sec, through which the state tried to test the processes and new materials to use fewer the raw materials and energy, to simplify the implementation, to raise awareness of these innovations to advance technology and contribute to the improvement of the habitat (interior comfort and equipment). To do this, it imported new processes and imposed changes in pace and scale. Second is the project of Grandes Terres: The site of the project of Grandes Terres could be considered as the first masterpiece of heavy housing prefabrication. In addition the project of Grandes Terres affirms a new way of thinking about the city and its report to the habitat, it is one of the successful applications of the Charter of Athens, bible of the urbanism of Lods, and a reference for the urban development’s decades 60 and 70. Finally, to develop this academic research I have taken the party "chronologically":1885-1940 "the lightweight construction and demountable", 1940-1970, "the heavy prefabrication and Unremovable", 1945-1953 "the city of experience of Noisy-le-sec", 1952-1956, "the completed model which is the most successful of major operations, the project of Grandes Terres".

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