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Sleep bruxism is associated with a rise in blood pressure

Nashed, Angela 04 1900 (has links)
Objectifs : Le bruxisme survenant au cours du sommeil est un trouble du mouvement caractérisé par du grincement de dents et l’activité rythmique des muscles masticateurs (ARMM). Le bruxisme/ARMM est souvent associé à des mouvements du corps et des à éveils corticaux. Une séquence d’activation précède le ARMM/bruxisme. Ces événements incluent une augmentation des variables suivants : l’activité sympathique (-4 minutes), les activités encéphalographique (-4 second), le fréquence cardiaque, l’amplitude de la respiration (-1 second) et l’activité des muscle suprahyoïdiens (-0.8 second). La présente étude a examiné l’association entre le bruxisme et les changements de la pression artérielle. Méthodes: Dix sujets avec le bruxisme (5 hommes, 5 femmes, âge moyen = 26 ± 1,8) ont complétés 3 nuits de polysomnographie qui comprenait l'enregistrement non invasive de la pression artérielle. La première nuit a servi de dépistage et d’habituation au laboratoire. L'analyse a été réalisée sur les deuxièmes et troisièmes nuits enregistrements. Seuls les épisodes de bruxisme isolés survenant au cours du stade 2 du sommeil ont été utilisés pour l’analyse, pour un total de 65 épisodes. Les mesures des pressions systolique et diastolique ont été prises 20 battements avant et 23 battements après l'apparition de chaque épisode bruxisme lors du sommeil. Les épisodes de bruxisme ont été classés comme suit: 1) bruxisme avec éveil cortical; 2) bruxisme avec mouvement du corps (MC), 3) bruxisme avec éveil cortical et MC. Une quatrième catégorie, bruxisme seul, a également été analysée, mais utilisée comme donnée préliminaire puisque la catégorie se composait de seulement 4 épisodes de bruxisme. Résultats: Les deux pressions systolique et diastolique ont augmenté avec les épisodes de bruxisme. Cette augmentation a été statistiquement significative pour la pression systolique et diastolique pour les épisodes de bruxisme avec éveil cortical et/ou MC (p ≤ 0,05). L’augmentation moyenne de la pression (systolique / diastolique ± SE) a été : 28,4 ± 2,4/13,2 ± 1,5 mm Hg pour le bruxisme avec éveil cortical; 30,7 ± 1,6/19.4 ± 2.3 mm Hg pour bruxisme avec MC; 26.4 ± 2,8 / 14,6 ± 2.0mm Hg pour bruxisme avec éveil cortical et MC; 22,9 ± 5,2/12,4 ± 3,3mm Hg pour les épisodes de bruxisme seuls. Conclusion: Le bruxisme du sommeil est associé à des hausses de la pression artérielle pendant le sommeil. Cette hausse est supérieure dans les épisodes de bruxisme associés à un éveil cortical et / ou MC, qui sont souvent associés avec les événements bruxisme. Ces résultats sont en accord avec nos observations antérieures, où le bruxisme est précédé par une augmentation de l'activité sympathique et de la tachycardie sinusale. / Objectives: Sleep Bruxism (SB) is a movement disorder identified by tooth grinding and rhythmic masticatory muscle activity (RMMA). It is often associated with body movements and sleep arousals. Increases in autonomic sympathetic activities that characterize sleep arousal precede SB. These events include an augmentation of the following variables: sympathetic cardiac activity (-4 minutes), electroencephalography frequencies (-4 seconds), heart rate and respiratory amplitude (-1 seconds), and suprahyoid muscle activity (-0.8 seconds). This study examined whether these sympathetic activities are associated with significant changes in arterial blood pressure (BP). Methods: Ten subjects with SB (5 male; 5 female; mean age ± standard error = 26 ± 1.8) underwent 3 nights of full polysomnography that included non-invasive beat to beat BP recording. The first night served as a screening and habituation night. Analysis was performed on second and third night recordings. Overall analysis was based on single SB episodes occurring in stage 2 sleep only, for a total of 65 episodes. Systolic and diastolic BP measurements were taken from a window of 20 beats before and 23 beats after onset of each SB episode. SB episodes were categorized as: 1) SB + cortical arousal; 2) SB + body movement (BM); 3) SB + cortical arousal + BM. A fourth category, SB alone, was also analysed but used as preliminary data since the category consisted of only 4 episodes. Results: Both systolic and diastolic BP increased with SB episodes. This increase was significant for both systolic and diastolic BP for SB events with cortical arousal and/or BM (p≤0.05). The average BP surges (systolic/diastolic ± SE) were: 28.4 ± 2.4/13.2 ± 1.5mm Hg for SB + cortical arousal; 30.7 ± 1.6/19.4 ± 2.3mm Hg for SB + BM; 26.5 ± 2.8/14.6 ± 2.0mm Hg for SB + cortical arousal + BM; 22.9 ± 5.2/12.4 ± 3.3mm Hg for SB episodes occurring alone. Conclusion: Sleep bruxism is associated with blood pressure fluctuations during sleep. This BP surge is greater in SB episodes associated with cortical arousal and/or BM, which often co-occur with SB events. These results are congruent with our previous observations, where SB is preceded by a rise in sympathetic activity and sinus tachycardia.
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Effets d'un appareil d'avancement mandibulaire calibré sur le bruxisme relié au sommeil

Landry-Schönbeck, Anaïs January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Rhythmic Masticatory Muscle Activity during Sleep: Etiology and Clinical Perspectives

Carra, Maria Clotilde 06 1900 (has links)
L’activité rythmique des muscles masticateurs (ARMM) pendant le sommeil se retrouve chez environ 60% de la population générale adulte. L'étiologie de ce mouvement n'est pas encore complètement élucidée. Il est cependant démontré que l’augmentation de la fréquence des ARMM peut avoir des conséquences négatives sur le système masticatoire. Dans ce cas, l'ARMM est considérée en tant que manifestation d'un trouble moteur du sommeil connue sous le nom de bruxisme. Selon la Classification Internationale des Troubles du Sommeil, le bruxisme est décrit comme le serrement et grincement des dents pendant le sommeil. La survenue des épisodes d’ARMM est associée à une augmentation du tonus du système nerveux sympathique, du rythme cardiaque, de la pression artérielle et elle est souvent en association avec une amplitude respiratoire accrue. Tous ces événements peuvent être décrits dans le contexte d’un micro-éveil du sommeil. Cette thèse comprend quatre articles de recherche visant à étudier i) l'étiologie de l’ARMM pendant le sommeil en relation aux micro-éveils, et à évaluer ii) les aspects cliniques du bruxisme du sommeil, du point de vue diagnostique et thérapeutique. Pour approfondir l'étiologie de l’ARMM et son association avec la fluctuation des micro-éveils, nous avons analysé le patron cyclique alternant (ou cyclic alternating pattern (CAP) en anglais), qui est une méthode d’analyse qui permet d’évaluer l'instabilité du sommeil et de décrire la puissance des micro-éveils. Le CAP a été étudié chez des sujets bruxeurs et des sujets contrôles qui ont participé à deux protocoles expérimentaux, dans lesquels la structure et la stabilité du sommeil ont été modifiées par l'administration d'un médicament (la clonidine), ou avec l'application de stimulations sensorielles (de type vibratoire/auditif) pendant le sommeil. Dans ces deux conditions expérimentales caractérisées par une instabilité accrue du sommeil, nous étions en mesure de démontrer que les micro-éveils ne sont pas la cause ou le déclencheur de l’ARMM, mais ils représentent plutôt la «fenêtre permissive» qui facilite l'apparition de ces mouvements rythmiques au cours du sommeil. Pour évaluer la pertinence clinique du bruxisme, la prévalence et les facteurs de risque, nous avons effectué une étude épidémiologique dans une population pédiatrique (7-17 ans) qui était vue en consultation en orthodontie. Nous avons constaté que le bruxisme est un trouble du sommeil très fréquent chez les enfants (avec une prévalence de 15%), et il est un facteur de risque pour l'usure des dents (risque relatif rapproché, RRR 8,8), la fatigue des muscles masticateurs (RRR 10,5), les maux de tête fréquents (RRR 4,3), la respiration bruyante pendant le sommeil (RRR 3,1), et divers symptômes liés au sommeil, tels que la somnolence diurne (RRR 7,4). Ces résultats nous ont amenés à développer une étude expérimentale pour évaluer l'efficacité d'un appareil d'avancement mandibulaire (AAM) chez un groupe d'adolescents qui présentaient à la fois du bruxisme, du ronflement et des maux de tête fréquents. L'hypothèse est que dans la pathogenèse de ces comorbidités, il y a un mécanisme commun, probablement lié à la respiration pendant le sommeil, et que l'utilisation d'un AAM peut donc agir sur plusieurs aspects liés. À court terme, le traitement avec un AAM semble diminuer l'ARMM (jusqu'à 60% de diminution), et améliorer le ronflement et les maux de tête chez les adolescents. Cependant, le mécanisme d'action exact des AAM demeure incertain; leur efficacité peut être liée à l'amélioration de la respiration pendant le sommeil, mais aussi à l'influence que ces appareils pourraient avoir sur le système masticatoire. Les interactions entre le bruxisme du sommeil, la respiration et les maux de tête, ainsi que l'efficacité et la sécurité à long terme des AAM chez les adolescents, nécessitent des études plus approfondies. / Approximately 60% of the general adult population experiences rhythmic masticatory muscle activity (RMMA) during sleep. The etiology of this movement is not yet understood. However, it has been demonstrated that an increased frequency of RMMA may have detrimental consequences on the stomatognathic system. In this case, RMMA is considered the manifestation of a sleep-related motor disorder known as sleep bruxism (SB). According to the definition of the International Classification of Sleep Disorders, SB is the activity of tooth grinding and clenching during sleep. The occurrence of SB-related activity, i.e., RMMA, is associated with rises of sympathetic tone, heart rate, blood pressure, and it is frequently concomitant with larger respiratory breaths. All these events can be described within a sleep arousal. The present thesis includes four research articles aimed to study i) the etiology of RMMA during sleep in relation to sleep arousal; and ii) the clinical perspectives of SB assessment and management. To further investigate the etiology of RMMA and its association with sleep arousal fluctuations we analyzed the cyclic alternating pattern (CAP), a scoring method to assess sleep instability and describe sleep arousal pressure. CAP was scored in SB subjects and controls that participated in two experimental protocols in which sleep architecture and stability were altered by either a medication (i.e., clonidine), or sensory stimulations (i.e., vibratory/auditory). Under these experimental conditions known to increase sleep instability, we were able to show that sleep arousal is not the trigger or cause of RMMA, rather the “permissive window” that facilitates the occurrence of RMMA during sleep. To evaluate the clinical relevance of SB, we conducted a survey on a 7-17 year old orthodontic population to investigate the prevalence and risk factors associated with SB. It appeared that SB is a highly prevalent sleep disorders in children (15% of prevalence), and is a risk factor for tooth wear (odds ratio, OR 8.8), jaw muscle fatigue (OR 10.5), frequent headache (OR 4.3), loud breathing during sleep (OR 3.1), and several sleep complaints, such as daytime sleepiness (OR 7.4). These findings led us to design an experimental trial using a mandibular advancement appliance (MAA) in adolescents in order to investigate the possible relationship between SB, snoring, and headache. We hypothesized that a common underlying mechanism related to breathing during sleep may be responsible for all concomitant conditions. The short-term use of an MAA appeared to reduce SB (up to 60%), and improve snoring and headache complaints in adolescents. However, the precise mechanism of action of MAA remains under debate; its effectiveness can be either related to the improvement of breathing during sleep, or its influence on the masticatory system. The interactions between SB, breathing, and headache as well as the long-term effectiveness and safety of the MAA in adolescents need further investigations. / L’attività ritmica dei muscoli masticatori (ARMM) durante il sonno si osserva in circa il 60% della popolazione generale adulta. L'eziologia di questo movimento non è stata ancora del tutto compresa. Tuttavia, è dimostrato che un’aumentata frequenza di ARMM può avere conseguenze negative sul sistema stomatognatico. In questo caso, l’ARMM è considerato la manifestazione di un disturbo motorio del sonno noto come bruxismo. Secondo la Classificazione Internazionale dei Disturbi del Sonno, il bruxismo è l'attività di digrignamento e serramento dei denti durante il sonno. La comparsa di episodi di ARMM durante il sonno è associata a un aumento del tono del sistema nervoso simpatico, della frequenza cardiaca, della pressione arteriosa, ed è spesso in concomitanza con un aumentato volume inspiratorio. Le variazioni di questi parametri fisiologici sono compresi nel contesto di un arousal (micro risveglio) del sonno. Questa tesi comprende quattro articoli di ricerca volti a studiare i) l'eziologia dell’ARMM durante il sonno in relazione all’arousal, ed a valutare ii) l’inquadramento clinico del bruxismo nel sonno. Per approfondire l'eziologia dell’ARMM e l’associazione con l’arousal nel sonno, abbiamo analizzato il cyclic alternating pattern (CAP), che permette di valutare l'instabilità del sonno e descrivere la potenza degli arousals. Il CAP è stato esaminato in soggetti con bruxismo e soggetti controllo che hanno partecipato in due protocolli sperimentali, in cui la struttura e la stabilità del sonno sono stati modificati con la somministrazione di un farmaco (la clonidina), o con l’applicazione di stimolazioni sensoriali (di tipo vibratorio/uditivo) durante il sonno. In queste condizioni sperimentali caratterizzate da un’aumentata instabilità del sonno, siamo stati in grado di dimostrare che l’arousal non è la causa o il generatore dell’ARMM, ma piuttosto la "finestra permissiva" che facilita il verificarsi di questi movimenti ritmici durante il sonno. Per valutare la rilevanza clinica del bruxismo, abbiamo condotto uno studio epidemiologico in una popolazione pediatrica afferente alla clinica di ortodonzia per studiare la prevalenza e i fattori di rischio associati al bruxismo. Questa ricerca ha evidenziato che il bruxismo è un comune disturbo del sonno nei bambini (con una prevalenza del 15%), ed è un fattore di rischio per usura dentale (odds ratio, OR 8.8), fatica dei muscoli masticatori (OR 10.5), mal di testa frequenti (OR 4.3), respirazione rumorosa durante il sonno (OR 3.1), e diversi sintomi legati al sonno, quali la sonnolenza diurna (OR 7.4). Questi risultati ci hanno portato a progettare uno studio sperimentale per valutare l’efficacia di un apparecchio di avanzamento mandibolare (AAM) in un gruppo di adolescenti che presentavano al contempo bruxismo, russamento e frequenti cefalee. L’ipotesi è che nella patogenesi di tali comorbidità, vi sia un meccanismo comune, probabilmente legato alla respirazione durante il sonno, e che l’utilizzo di un AAM possa quindi avere un beneficio multiplo. Il trattamento a breve termine con un AAM sembra diminuire l’ARMM (fino al 60%) e migliorare il russamento e i mal di testa negli adolescenti. Tuttavia, l'esatto meccanismo di azione degli AAM rimane incerto; la loro efficacia può essere correlata sia al miglioramento della respirazione durante il sonno, ma anche all’influenza che questi apparecchi svolgono sul sistema masticatorio. Le interazioni tra il bruxismo nel sonno, la respirazione, e le cefalee, così come l'efficacia e la sicurezza a lungo termine degli AAM negli adolescenti, necessitano di ulteriori studi clinici.
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Analyse de la variabilité de la fréquence cardiaque des enfants atteints d’apnée obstructive et de bruxisme du sommeil

St-Pierre, Laurie 12 1900 (has links)
Introduction : L'apnée obstructive du sommeil (AOS) et ses comorbidités (tel le bruxisme du sommeil (BS)) sont associées à des fluctuations du système nerveux autonome (SNA) chez les adultes et les enfants. La variabilité de la fréquence cardiaque (VFC), qui concerne, entre autres, la fluctuation des intervalles de temps entre les battements cardiaques adjacents, est une méthode non invasive et reproductible d'évaluation de la modulation du SNA. Objectif : Évaluer l'effet individuel et potentiellement cumulatif de ces conditions sur la VFC de la population pédiatrique. Méthodes : Des questionnaires dentaires et de bruxisme ont été remplis par les parents. Les enfants ont subi une évaluation dentaire et un enregistrement polysomnographique. La VFC a été analysée dans une fenêtre de référence de 5 minutes ainsi que dans des fenêtres de 4x3 minutes avant et après les événements d’AOS ou de BS. Résultats : Un total de 41 enfants ont été classés en sous-groupes : BS, contrôle et AOS+BS. Le rapport de puissance spectrale Basse Fréquence/Haute Fréquence (BF/HF), qui est connu pour utiliser les transformations de Fourier rapide, était plus élevé dans le groupe AOS + BS que dans le groupe contrôle (p = 0,01) et le groupe BS (p = 0,04) pour toutes les fenêtres d’analyse combinées (B0-B8). Dans le domaine temporel de la VFC, l'écart type des intervalles RR (SDNN) des fenêtres était plus élevé après chaque événement (B5 à B8) que la ligne de base (B0) pour les 3 groupes (p < 0,05). Conclusion : La VFC est différente entre les trois groupes. / Introduction: Obstructive sleep apnea (OSA) and its comorbid conditions (such as sleep bruxism (SB)) are associated with an autonomic nervous system (ANS) fluctuation in adults and children. Heart rate variability (HRV), which is concerned with, among other things, the fluctuation of the time intervals between adjacent heartbeats, is a non-invasive and reproducible method of assessing the modulation of the ANS. Aim: To assess the individual and potentially cumulative effect of these conditions on HRV in the pediatric population. Methods: Dental and bruxism questionnaires were completed by the parents. Children underwent a dental assessment and polysomnographic recording. HRV was analyzed in a 5-minute baseline windows as well as in 4x3-minute windows before and after OSA or SB events. Results: A total of 41 children were classified into subgroups: SB, control and OSA+SB. The Low Frequency/High Frequency (LF/HF) power ratio, which is known to use Fast Fourier Transforms, was higher in the AOS + SB group than in the control group (p = 0.01) and the SB group (p=0.04) for all analysis windows combined (B0-B8). In the time domain of the HRV, the standard deviation of the RR intervals (SDNN) of the windows was higher after each event (B5 to B8) than the baseline (B0) for the 3 groups (p < 0.05). Conclusion: HRV is different between the three groups.
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Effet de l’expansion palatine sur le bruxisme du sommeil chez des enfants en comparant des appareils d’expansion palatine rapide collé ou bagué

Bellerive, Audrey 03 1900 (has links)
Introduction : Le bruxisme du sommeil est un désordre du mouvement décrit comme un mouvement involontaire de la mastication durant le sommeil. Cette parafonction est observée dans 14-38% de la population pédiatrique. Un lien a été trouvé entre les événements respiratoires et les épisodes de bruxisme. L’expansion palatine rapide (EPR) est un traitement orthopédique effectué chez les enfants en croissance pour régler un manque transverse squelettique du maxillaire supérieur. Quelques études ont observé que l’apnée obstructive du sommeil a été diminuée par un traitement d’expansion palatine rapide. Objectifs : Étant donné que le bruxisme est en lien avec des événements respiratoires et que l’expansion palatine rapide augmente la dimension des cavités nasales, l’objectif de la présente étude est d’évaluer la possible réduction du bruxisme après le traitement d’expansion rapide. Méthodes : Ce projet pilote est une étude clinique randomisée contrôlée de patients consécutifs qui a inclus 27 enfants (8-14 ans, 8 garçons et 19 filles) avec ou sans bruxisme du sommeil. Tous ces patients sont venus à la clinique d’orthodontie de l’Université de Montréal et présentaient un manque transverse du maxillaire supérieur (au moins 5 mm). Dans le cadre de l’étude, les patients devaient passer un enregistrement polysomnographique ambulatoire avant le traitement d’expansion palatine (T0) et après l’activation de l’appareil d’expansion (T1). Résultats : Les résultats démontrent une diminution du bruxisme chez 60% (9 patients) de nos patients bruxeurs. L’interaction entre le traitement et les groupes (Br et Ctl) s’est avérée significative (p=0,05 ANOVA mesures répétées), et démontre une diminution du bruxisme chez les bruxeurs (p=0,04, t-test paire). Les médianes (min, max) du groupe avec bruxisme sont passées de 3,11 (2,06; 7,68) à 2,85 (0,00; 9,51). Les paramètres de sommeil sont restés stables (Stade N1/N2/N3, REM, efficacité du sommeil), ainsi que les paramètres respiratoires et le ronflement. Conclusion : Une réduction du bruxisme a été observée lors de cette étude, mais un échantillonnage plus grand est nécessaire pour conclure. / Introduction: Sleep bruxism (SB) is a movement disorder described as an involuntary mastication movement during sleep. This parafunction is observed in 14-38% of the child population. A link was found between respiratory events and episodes of bruxism. Rapid palatal expansion (RPE) in children is an orthopedic treatment that is effective in correcting maxillary transverse deficiency and in reducing obstructive apnea syndrome (OAS) by increasing airway capacity. Objectives : Since bruxism is related to respiratory events and RPE increases respiratory capacity, the objective of this study is to evaluate the possible reduction of bruxism after RPE therapy. Material and Methods : This prospective randomized controlled clinical pilot study recruited 27 children (8-14 years old, 8 boys, 19 girls) with or without sleep bruxism. These patients were seeking treatment for transverse maxillary deficiency (5 mm or more) at the orthodontics department of the University of Montreal. Patients underwent an ambulatory polysomnography before (T0) and after expansion (T1). Sleep parameters, rhythmic muscular masticatory activity index were evaluated. Results : The results show a reduction of bruxism in 60% of bruxer patients (9 participants). The interaction between the treatment and the groups (Br and ctl) was significant (p=0,05, repeated measures ANOVA). A reduction of bruxism is shown for bruxers (p=0,04, paired t-test). The sleep parameters stayed stable after RPE (Stage N1/N2/N3, REM, sleep efficiency) as well as the breathing parameters and snoring data. The medians (min, max) of bruxism group went from 3,11 (2,06; 7,68) to 2,85 (0,00; 9,51). Conclusion : During this study, a reduction of bruxism was observed but a larger sample size is needed to conclude on the subject.
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Effet de l’expansion palatine sur le bruxisme du sommeil chez des enfants en comparant des appareils d’expansion palatine rapide collé ou bagué

Bellerive, Audrey 03 1900 (has links)
Introduction : Le bruxisme du sommeil est un désordre du mouvement décrit comme un mouvement involontaire de la mastication durant le sommeil. Cette parafonction est observée dans 14-38% de la population pédiatrique. Un lien a été trouvé entre les événements respiratoires et les épisodes de bruxisme. L’expansion palatine rapide (EPR) est un traitement orthopédique effectué chez les enfants en croissance pour régler un manque transverse squelettique du maxillaire supérieur. Quelques études ont observé que l’apnée obstructive du sommeil a été diminuée par un traitement d’expansion palatine rapide. Objectifs : Étant donné que le bruxisme est en lien avec des événements respiratoires et que l’expansion palatine rapide augmente la dimension des cavités nasales, l’objectif de la présente étude est d’évaluer la possible réduction du bruxisme après le traitement d’expansion rapide. Méthodes : Ce projet pilote est une étude clinique randomisée contrôlée de patients consécutifs qui a inclus 27 enfants (8-14 ans, 8 garçons et 19 filles) avec ou sans bruxisme du sommeil. Tous ces patients sont venus à la clinique d’orthodontie de l’Université de Montréal et présentaient un manque transverse du maxillaire supérieur (au moins 5 mm). Dans le cadre de l’étude, les patients devaient passer un enregistrement polysomnographique ambulatoire avant le traitement d’expansion palatine (T0) et après l’activation de l’appareil d’expansion (T1). Résultats : Les résultats démontrent une diminution du bruxisme chez 60% (9 patients) de nos patients bruxeurs. L’interaction entre le traitement et les groupes (Br et Ctl) s’est avérée significative (p=0,05 ANOVA mesures répétées), et démontre une diminution du bruxisme chez les bruxeurs (p=0,04, t-test paire). Les médianes (min, max) du groupe avec bruxisme sont passées de 3,11 (2,06; 7,68) à 2,85 (0,00; 9,51). Les paramètres de sommeil sont restés stables (Stade N1/N2/N3, REM, efficacité du sommeil), ainsi que les paramètres respiratoires et le ronflement. Conclusion : Une réduction du bruxisme a été observée lors de cette étude, mais un échantillonnage plus grand est nécessaire pour conclure. / Introduction: Sleep bruxism (SB) is a movement disorder described as an involuntary mastication movement during sleep. This parafunction is observed in 14-38% of the child population. A link was found between respiratory events and episodes of bruxism. Rapid palatal expansion (RPE) in children is an orthopedic treatment that is effective in correcting maxillary transverse deficiency and in reducing obstructive apnea syndrome (OAS) by increasing airway capacity. Objectives : Since bruxism is related to respiratory events and RPE increases respiratory capacity, the objective of this study is to evaluate the possible reduction of bruxism after RPE therapy. Material and Methods : This prospective randomized controlled clinical pilot study recruited 27 children (8-14 years old, 8 boys, 19 girls) with or without sleep bruxism. These patients were seeking treatment for transverse maxillary deficiency (5 mm or more) at the orthodontics department of the University of Montreal. Patients underwent an ambulatory polysomnography before (T0) and after expansion (T1). Sleep parameters, rhythmic muscular masticatory activity index were evaluated. Results : The results show a reduction of bruxism in 60% of bruxer patients (9 participants). The interaction between the treatment and the groups (Br and ctl) was significant (p=0,05, repeated measures ANOVA). A reduction of bruxism is shown for bruxers (p=0,04, paired t-test). The sleep parameters stayed stable after RPE (Stage N1/N2/N3, REM, sleep efficiency) as well as the breathing parameters and snoring data. The medians (min, max) of bruxism group went from 3,11 (2,06; 7,68) to 2,85 (0,00; 9,51). Conclusion : During this study, a reduction of bruxism was observed but a larger sample size is needed to conclude on the subject.

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