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Die Lyrik Basil Buntings

Müller, Karl, January 1975 (has links)
Thesis--Freiburg im Breisgau. / Bibliography: p. 257-266.
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Basil Bunting a major British modernist /

Lesch, Barbara E. January 1900 (has links)
Thesis--University of Wisconsin--Madison. / Tupescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves 431-454).
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« Mythomorphoses » écriture du mythe, écriture métapoétique chez Basil Bunting, T. S. Eliot, Ezra Pound et W. B. Yeats / « Mythomorphoses » : metapoetic rewritings of myth in Basil Bunting, T. S. Eliot, Ezra Pound and W. B. Yeats

Estrade, Charlotte 30 November 2012 (has links)
Les mythologies – gréco-romaine, irlandaise, perse, indienne, japonaise, chinoise –sont omniprésentes dans la poésie de Bunting, Eliot, Pound et Yeats. Les prédilections desauteurs pour certaines mythologies, véritables choix identitaires et politiques, montrenttoutefois une péroccupation commune pour les mythes violents, aux niveaux martial et sexuel.Ce premier niveau thématique se combine avec une réflexion plus distanciée sur le mythe,outil critique qui permet la reformulation de croyances rituelles et spirituelles, et de nouvellesthéories poétiques qui visent à ordonner et donner un sens au monde chaotique du XXe siècle.Le mythe, subversif, permet donc l’articulation de nouvelles spiritualités et denouvelles expériences poétiques. Enfin, matériau vivant et modelable, dont la mention est à lafois un raccourci de récits anciens et un horizon élargi vers d’autres références et réécritures,le mythe est objet linguistique. En traduction, le mythe transfert les contenus thématiques,déplace les rythmes et fait circuler et s’entremêler les arts. En effet, retour fantasmé à uneorigine du langage artistique, le mythe est parfois fiction d’un art total où les figuresmythiques seraient à la fois objet linguistique, représentation imaginaire picturale etmanifestation musicale. De cette vision du mythe émane une poésie polyphonique et hybride,à l’image du centaure et des autres créatures monstrueuses présents dans l’oeuvre poétique deBunting, Eliot, Pound et Yeats. / Greek and Roman, Irish, Persian, Indian, Japanese and Chinese mythologies areeverywhere in the poetry of Bunting, Eliot, Pound and Yeats. Their favouring somemythologies over others are often justified by their definitions of identity and politics. Yettheir common point is a recurent rewriting of sexually or martially violent myths. Secondly,more than a theme, myth also provides a distanced reflection which enables the poets toformulate new ritual and spiritual beliefs, together with a new poetics meant to order andmake sense of what is seen as a chaotic 20th century.Finally, myth is a living and protean material, whose presence is both a shorthand forolder narratives and a broader horizon pointing to other rewritings. In its linguistic dimension,myth in translation emphasizes questions of rhythm and enables the incorporation of other artsinto poetry. Indeed, the use of myth suggests a fantasized return to the origins of language andthe arts. Myth enables poets to try and create total art works where mythical figures are bothlinguistic and musical objects, as well as pictural representations of the imagination. From thepossibilities afforded by myth stems a polyphonic and hybrid poetry, akin to the image of thecentaur and other monstrous creatures present in the poetic works of Bunting, Eliot, Poundand Yeats.
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Les Nords poétiques, poétique du Nord (Basil Bunting, Ted Hughes, Tony Harrison et Simon Armitage) / Poetic Norths, Northern Poetics (Basil Bunting, Ted Hughes, Tony Harrison and Simon Armitage)

Hélie, Claire 06 December 2013 (has links)
Séparé du Sud pastoral, de la capitale londonienne et d’Oxbridge par une frontière moins géographique que culturelle, le Nord de l'Angleterre a une géographie variable en fonction des besoins du discours. Une constante discursive parcourt cependant la littérature sur la région : marqué par ses rudes conditions climatiques, jadis peuplé de barbares, en butte aux invasions et ravagé par la Révolution Industrielle, le Nord serait en marge de la sphère poétique. Or, à partir des années 1960, dans le cadre d'une redécouverte des marges de l'ex-empire et d’une dissolution des frontières nationales due à la mondialisation, le Nord revendique son droit à figurer à part entière au cœur de la carte poétique. Les poésies de Basil Bunting, de Ted Hughes, de Tony Harrison, et de Simon Armitage nous invitent à parcourir ces Nords géographiques, historiques, culturels, mais avant tout poétiques. Ces quatre poètes, nés dans le Nord, ont en commun d’avoir pris une distance, sinon physique, du moins intellectuelle, avec la région, ce qui leur a permis de poser un regard critique. Le mouvement nostalgique de retour à la terre natale amorce une réappropriation sur le plan de l’imaginaire de cet espace colonisé par des discours dépréciatifs. Les poètes y découvrent une source intarissable de créativité et partent en quête d’une langue qui résorbe l’écart entre nordicité et poéticité : l'impur accent barbare devient axiome poétique. Comment cette poésie du Nord met-elle en question l'anglicité et la tradition poétique anglaise en même temps qu'elle la structure ? Si « poésie du Nord » il y a, quelles en sont les réalisations dans la voix, le rythme et la forme poétiques ? / Divided from the pastoral South, London and Oxbridge by a frontier that is less geographical than cultural, Northern England has been constructed through shifting discourses. One discursive feature though has been constantly present in the literature on the region : since the place is forbidding (not the least because of its grim weather), since it used to be populated with barbaric tribes and provided a buffer against even more barbarian invasions, since it was devastated by the Industrial Revolution, the North is excluded from the poetic sphere. Yet since the 1960s, in a context of peripheries emerging from the former empire and of national frontiers disappearing due to globalisation, the North has claimed its right to hold a central place on the poetic map. Basil Bunting, Ted Hughes, Tony Harrison and Simon Armitage have participated in reconfiguring geographical, historical, cultural, but, most importantly, poetic Norths. The nostalgic return to the region where they were born and bred reads as a creative and critical reappropriation of a space that has been colonised by derogatory discourses. The poets discover an inexhaustible source of inspiration and set on a quest for a language that would bridge the gap between northerness and poetry : their impure barbarian accent becomes a poetic axiom. How does this Northern English poetry question Englishness and the English poetic tradition while constructing them ? If « Northern English poetry » does exist, how does it show in terms of poetic voice, rhythms and forms ?
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Writing at the edge of the person lyric subjectivity in Cambridge poetry, 1966-1993 /

Butler, Thomas, January 2005 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Notre Dame, 2005. / Thesis directed by Romana Huk for the Department of English. "June 2005." Focuses on the poets J.H. Prynne, Peter Riley and Denise Riley, as well as the influence of Basil Bunting. Includes bibliographical references (leaves 222-237).
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" Mythomorphoses " écriture du mythe, écriture métapoétique chez Basil Bunting, T. S. Eliot, Ezra Pound et W. B. Yeats

Estrade, Charlotte 30 November 2012 (has links) (PDF)
Les mythologies - gréco-romaine, irlandaise, perse, indienne, japonaise, chinoise -sont omniprésentes dans la poésie de Bunting, Eliot, Pound et Yeats. Les prédilections desauteurs pour certaines mythologies, véritables choix identitaires et politiques, montrenttoutefois une péroccupation commune pour les mythes violents, aux niveaux martial et sexuel.Ce premier niveau thématique se combine avec une réflexion plus distanciée sur le mythe,outil critique qui permet la reformulation de croyances rituelles et spirituelles, et de nouvellesthéories poétiques qui visent à ordonner et donner un sens au monde chaotique du XXe siècle.Le mythe, subversif, permet donc l'articulation de nouvelles spiritualités et denouvelles expériences poétiques. Enfin, matériau vivant et modelable, dont la mention est à lafois un raccourci de récits anciens et un horizon élargi vers d'autres références et réécritures,le mythe est objet linguistique. En traduction, le mythe transfert les contenus thématiques,déplace les rythmes et fait circuler et s'entremêler les arts. En effet, retour fantasmé à uneorigine du langage artistique, le mythe est parfois fiction d'un art total où les figuresmythiques seraient à la fois objet linguistique, représentation imaginaire picturale etmanifestation musicale. De cette vision du mythe émane une poésie polyphonique et hybride,à l'image du centaure et des autres créatures monstrueuses présents dans l'oeuvre poétique deBunting, Eliot, Pound et Yeats.

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