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Bush et l'évangélisme de la peur : l'Iran, « grand satan » dans la croisade contre la terreurGoulet-Cloutier, Catherine January 2010 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse à la représentation de l'Iran par l'administration George W. Bush, telle que véhiculée par la rhétorique officielle de cette administration. Par une analyse de discours poststructuraliste portant sur le lexique, les tropes et les liens intertextuels employés par le président et la Maison-Blanche dans les communications orales et écrites officielles, et en particulier celles publiées durant le deuxième mandat de cette administration (2005-2009), le mémoire mettra en évidence trois modes de représentation de l'Iran: (1) comme État soutenant le terrorisme; (2) comme État dédié à la prolifération et à l'utilisation d'armes de destruction massive; et (3) comme État tyran. Le mémoire soutiendra que, pris ensembles, ces trois modes de représentation ou discours contribuent à imposer une identité à l'État iranien, de même qu'à constituer ce dernier comme ennemi des États-Unis et comme menace à la sécurité nationale américaine et à la paix mondiale. En outre, le mémoire arguera que ces discours sur l'Iran concourent à consacrer une identité nationale positive pour l'Amérique, en représentant cette dernière comme une puissance exceptionnelle ayant la destinée manifeste de répandre les valeurs libérales dans le monde. Le mémoire soutiendra que ces discours sur l'Iran et les États-Unis participent, par extension, à consolider une hiérarchie morale américaine du monde, fortement genrée et racialisée, au sein de laquelle les États-Unis occupent la place prédominante. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Identité nationale, Analyse de discours, États-Unis, George W. Bush, République islamique d'Iran.
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La réaffirmation des armes nucléaires dans le monde : quand la culture pose un dilemmeDesnoyers, Marc January 2009 (has links) (PDF)
Le présent mémoire, intitulé « La réaffirmation de l'importance des armes nucléaires dans le monde: quand la culture pose un dilemme », analyse la stratégie nucléaire américaine et son évolution au courant des deux mandats du président George W. Bush. La thèse qui y est défendue est celle en vertu de laquelle, pendant cette période, les armes nucléaires ont réaffirmé leur importance non seulement aux États-Unis, mais dans le système international en général. Comme pistes explicatives, nous proposons deux concepts: le dilemme de la sécurité et la culture stratégique nucléaire américaine. À ce titre, nous affirmons qu'un dilemme de sécurité, notamment en raison de la prolifération nucléaire vers des États hostiles aux États-Unis comme la Corée du Nord et l'Iran et des attentats terroristes du 11 septembre, a été interprété par le gouvernement américain d'une façon qui a exacerbé certains traits caractéristiques de la culture stratégique nucléaire américaine. La résultante, soit des modifications importantes de la posture nucléaire américaine dont la plus importante est certainement le déploiement d'un bouclier antimissile, a par la suite alimenté un dilemme de sécurité chez d'autres acteurs du système international, en particulier la Russie et la Chine. Conséquemment, ces pays ont eux aussi opté pour une réaffirmation de l'importance de leurs arsenaux nucléaires respectifs dans leur politique étrangère, engendrant à nouveau un cercle vicieux de prolifération et de course aux armements nucléaires, particulièrement au Moyen-Orient et en Extrême-Orient.
Sans faire reposer tout le blâme de cette réaffirmation internationale de l'importance des armes nucléaires sur les seules épaules du gouvernement américain, nous sommes toutefois arrivés à la conclusion que ce dernier, un peu via sa branche législative et beaucoup via sa branche exécutive, en avait été le protagoniste principal. Nous en avons donc compris que certains traits de la culture stratégique nucléaire américaine, exacerbés par la prolifération et le terrorisme, avaient enclenché un processus de dilemme de la sécurité pour d'autres États. Comme quoi la culture a posé un dilemme qui a mené à une réaffirmation de l'importance des armes nucléaires aux États-Unis en particulier et dans le monde en général.
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When talking the talk is enough: rhetorical policymaking and George W. Bush's "call to service"Holtzman, Richard Gibbons 28 August 2008 (has links)
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The War Lobby: Iraq and the Pursuit of U.S. Primacy / Iraq and the Pursuit of U.S. PrimacyDuggan, Edward C., 1971- 09 1900 (has links)
xiv, 162 p. / In my dissertation I argue that the invasion of Iraq was a part of a larger project by Vice President Dick Cheney and Secretary of Defense Donald Rumsfeld to reestablish the unconstrained use of U.S. military power after the defeat of Vietnam. The study presents the best evidence against the alternative explanations that the invasion of Iraq was the result of an overreaction to 9/11, the threat of Weapons of Mass Destruction, a plan to spread democracy in the Middle East, a desire to protect Israel or a plan to profit from Iraqi oil. The study also challenges the leading explanation among academics that emphasizes the role of the neoconservatives in the decision to invade. These academics argue that neoconservatives, such as Paul Wolfowitz and Richard Perle, successfully persuaded the American President, George W. Bush, and his Vice President, Dick Cheney, of the necessity to eliminate Saddam Hussein by winning an internal policy battle over realists, such as Secretary of State Colin Powell.
With their narrow focus on neoconservatives and realists, scholars have largely overlooked a third group of hawkish policy makers, the primacists. This latter group, centered on Secretary of Defense Rumsfeld and Vice President Cheney, had a long standing goal of strengthening the U.S. military and presidential powers in order to pursue U.S. primacy. This goal manifests itself in the invasion of Iraq, a country in the heart of the geopolitically important, oil-rich region of the Persian Gulf.
I demonstrate that it was the primacists, not the neoconservatives, who persuaded the President to go to war with Iraq. Through historical process tracing, especially through a close look at the careers of the major policy actors involved and their public statements as well as declassified documents, I provide strong evidence that these leaders wanted to pursue regime change in Iraq upon taking office. The invasion of Iraq would extend the War on Terror, providing an opportunity to pursue their long-held policy of strengthening the power of the presidency and transforming the military into a high-tech and well-funded force. / Committee in charge: Jane Kellet Cramer, Chairperson/Advisor;
Lars S. Skålnes, Member;
Daniel J. Tichenor, Member;
Val Burris, Outside Member
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Entre George W. Bush ( 2000 - 2008) e Barack H. Obama ( 2009) : a efetividade da Nova Direita no consenso político norte-americano / Between George W. Bush ( 2000 - 2008) and Barack H. Obama ( 2009) : the effectiveness of the New Right in the political consensus in the Uninet StatesFinguerut, Ariel, 1980- 24 August 2018 (has links)
Orientador: Paulo César Souza Manduca / Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciências Humanas / Made available in DSpace on 2018-08-24T13:01:37Z (GMT). No. of bitstreams: 1
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Previous issue date: 2014 / Resumo: Neste trabalho procuramos entender a efetividade da Nova Direita na política norte-americana. Para tanto, foi preciso conhecer o papel do conservadorismo, destacando a função dos Think Tanks enquanto espaço de formação e circulação das ideias. Ao estudar a Nova Direita, sua estrutura, dinâmica de ação e articulação político-social, discutimos este conceito propondo uma nova leitura. Como resultado apresentamos um panorama do conservadorismo americano contemporâneo e a percepção da Nova Direita sobre os governos de George W. Bush e Barack H. Obama / Abstract: The central proposal of this work is to understand the effectiveness of the New Right in American politics. Therefore, it was necessary to know the role of conservatism and in this regard it was highlighted the role of Think Tanks as an area of training and the dissemination of ideas. By studying the New Right, its structure, dynamic action and political-social articulation, we discussed this concept by proposing a new reading. As a result we present an overview of the contemporary conservatism in U.S and the perception of the New Right on the governments of George W. Bush and Barack H. Obama / Doutorado / Ciencia Politica / Doutor em Ciência Política
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Beyond securitization : a critical review of the Bush administration and IraqDonnelly, Faye January 2010 (has links)
This thesis responds to the longstanding call from constructivist and poststructuralist scholars for a turn to discourse. It focuses on the paradox of the ability of language to act as a constituting and constraining device within an agent-structure discussion. The Copenhagen School (CS), its attention to language and its concept of securitization is examined in terms of its strengths and weaknesses, including bringing discourse onto the security agenda to an unprecedented extent. This thesis seeks to speak security at a deeper level and move securitization beyond the moment of utterance and the notion of agents breaking free of rules that would otherwise bind, as well as beyond a singular definition of security. It is proposed that the CS framework can be theoretically complemented by Wittgenstein’s notion of language games on board. The analytical shift made by juxtaposing a speech act and a language game also foregrounds the link between language and rules. Wittgenstein’s idea of ‘acts of interpretation’ is also considered, and substantive questions are raised about what the language of security legitimates in principle and in practice. The Bush administration’s justifications for the 2003 Iraq war are taken as a point of departure, and covers how the Bush administration deployed the language of security to justify highly controversial moves. Their narrative about the use of the pre-emptive use of force without an imminent threat existing and ‘enhanced interrogation techniques’ such as those seen in the Abu Ghraib photographs in the name of security exemplify that words matter. The arguments conclude that adjustments are needed in the way security is currently spoken in IR theory.
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La sécurisation de la menace terroriste aux États-Unis, depuis G. W. Bush jusqu'à la fin du premier mandat de Barack ObamaLaliberté-Seyer, Arlow 09 1900 (has links) (PDF)
Notre recherche a comme sujet la lutte contre le terrorisme aux États-Unis depuis le 11 septembre 2001. Notre problématique aborde les changements et les continuités dans la lutte contre le terrorisme menée par les États-Unis durant le premier mandat du président Barack Obama par rapport à son prédécesseur, au niveau des discours et des pratiques. Pour cette recherche, nous employons la théorie de la sécurisation développée par l'École de Copenhague. D'après celle-ci, énoncer un enjeu comme un « problème de sécurité » permet d'obtenir des pouvoirs spéciaux pour s'en occuper, d'une manière déterminée de la part de l'auteur de la démarche sécuritaire (Waever 1995, p.54). À l'aide de ce cadre d'analyse, nous analysons les discours formulés par des acteurs clés (George W. Bush, Dick Cheney, Barack Obama, John O. Brennan) et les politiques qui ont suivies. Notre recherche nous conduit à croire que malgré certains changements et reformulations, il y a une continuité générale de la sécurisation de la menace terroriste sous Obama. Après que les tours jumelles du World Trade Center ont été percutées par deux avions de ligne le 11 septembre 2001, la politique américaine a connu d'importants changements. L'administration du président G. W. Bush a entrepris une lutte contre le terrorisme qui était sans précédent. Selon la théorie de la sécurisation de l'École de Copenhague, c'était un cas de sécurisation à grande échelle. En effet, le gouvernement américain a annoncé une menace urgente mettant en péril l'existence de nombreux objets référents (la souveraineté des États-Unis et de leurs alliés, la sécurité des Américains et du reste du monde...) et a demandé certains droits spéciaux pour s'en occuper. L'administration Bush a pris par la suite plusieurs moyens extraordinaires afin de prévenir et combattre la menace terroriste : interventions militaires en Afghanistan et en Iraq, adoption du Patriot Act, ouverture de la prison de Guantanamo Bay et de centres de détention secret par la CIA, etc. L'élection présidentielle de Barack Obama en 2009 annonçait de nombreux changements dans la politique américaine, notamment au niveau de la lutte contre le terrorisme et la sécurité nationale. Les discours du nouveau président et de John O. Brennan (le conseiller principal pour la lutte antiterroriste entre 2009 et 2012) laissaient croire qu'il en serait ainsi : les troupes américaines seraient retirées d'Iraq, la prison de Guantanamo Bay serait fermée et le gouvernement américain n'emploierait plus la torture. La lutte contre le terrorisme durant le premier mandat du président Obama a toutefois été marquée par davantage de continuités que de changements en comparaison à l'administration précédente. La menace terroriste a continué d'être l'objet d'une sécurisation à travers laquelle le gouvernement a poursuivi des politiques extraordinaires au nom de la lutte contre le terrorisme. Bref, la sécurisation de la menace terroriste s'est poursuivie malgré certaines reformulations et de nouvelles politiques...
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : École de Copenhague, sécurisation, lutte contre le terrorisme, Barack Obama, George W. Bush
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Crusade for freedom?Walker, Michael January 2008 (has links)
Presidents of the United States and other American policymakers have throughout history cited democracy promotion as one of the chief goals of American foreign policy, and the current administration of George W. Bush has been no exception. However, and notwithstanding the habitual endorsement of this objective by US administrations, the subject of democracy promotion has received relatively little academic attention. This study aims to correct this gap in the literature by considering two questions relating to United States democracy promotion. First, have the efforts of the US to spread democracy to other countries met with success? Second, is promoting democracy truly a priority of American policymakers, or is it rather window dressing cynically aimed at winning public and congressional support for foreign policy? I begin by defining the terms democracy and democracy promotion. I then use three recent case studies to answer the two questions outlined above, the first of which focuses on President Reagan’s policy towards Nicaragua. In the second case study I consider President Clinton’s policy towards Haiti, while the third deals with President George W. Bush’s policy towards Colombia. The evidence I present points to the conclusion that the United States has not been successful in its efforts to promote democracy in other countries, and that spreading democracy abroad is at best a secondary goal of American foreign policy. The evidence presented in the thesis also demonstrates the utility of foreign policy analysis-based approaches to the study of international relations.
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Ideographs, Fragments, and Strategic Absences: An Ideographic Analysis of <Collateral Damage>Rhidenour, Kayla 12 1900 (has links)
This study examined the ideograph of <collateral damage> through an analysis of the Bush Administration's rhetoric as well as visual photographs of Iraqi civilian deaths. The project argues that the psycho-dynamic rhetoric of the Bush Administration during a time of visual censorship lead to the dehumanization of Iraqi civilian deaths during the War in Iraq. The method consisted of a textual analysis of the Bush Administration's rhetoric and continued with a content analysis of news media's photographs. The author argues that critics gain a deeper understanding of the disappearing dead phenomenon of Iraqi civilians by examining ideographic fragments of psycho-dynamic rhetoric.
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Competing Frames? The War on Terror in Campaign RhetoricKaufman, Heather L. 06 1900 (has links)
Indiana University-Purdue University Indianapolis (IUPUI) / The Iraq War and the War on Terror were pivotal issues in the presidential race for the White House in 2004. Competing frames about the meaning of September 11, 2001, terrorism, and American power were constructed by the rival candidates and established a limited debate that marginalized alternative interpretations of war and peace. It is likely that the dilemma over U.S. forces in Iraq and the War on Terror will continue to be a major issue in the upcoming 2008 Presidential Election. Therefore, the campaign speeches of the presidential candidates, President George W. Bush and Senator John Kerry, during the 2004 Election regarding terrorism were important to understanding the themes that initiated public debate in the U.S. about the conflict in Iraq and the War on Terror. In this document analysis, these candidates’ public addresses illustrated how the role of the U.S. power to combat terrorism shaped a particular perspective about the post-9/11 world. Ideas that challenged “official” debate about war and national security were excluded from mainstream media coverage of the campaign. In order to examine the narrow debate over terrorism and how alternative “ways of seeing” war have been and continue to be marginalized, this study compared how the candidates framed the war in contrast to anti-war voices. Cindy Sheehan, who is an emergent leader in the peace and social justice movement, and more “official” voices of dissent like Representative Dennis Kucinich, have criticized “official” framing of the war. Dissenting perspectives about the Iraq War and the War on Terror invite a different understanding about U.S. hegemony, terrorism, and the consequences of the War on Terror for foreign and domestic policies. The impact of the war upon domestic policy and national crises, such as the widely televised and heavily criticized federal response to Hurricane Katrina Summer 2005, were examined to explore how domestic crises undermine “official” framing of the Iraq War and the War on Terror and empower alternative understandings of war and peace.
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