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Les relations entre le trésor public francais et les banques centrales de la zone franc / The monetary agreements of France and the CFA franc zone

Nkodia Kibo, Mathat 13 March 2014 (has links)
Les rapports entre le Trésor français et les banques centrales africaines de la zone franc sont fondés sur la garantie de convertibilité externe que la France accorde aux francs CFA. De la sorte, le Trésor français convertit de manière illimitée les francs CFA en euro et en d’autres monnaies. Par ailleurs, la BCEAO et la BEAC sont protégées contre le risque d’épuisement des réserves de change car, elles peuvent puiser théoriquement de façon illimitée en cas de rupture de changes sur les réserves françaises. La mise en oeuvre de cette solidarité repose sur un mécanisme particulier appelé : comptes d’opérations. Hérité de la période coloniale, ce principe oblige les instituts d’émission africains en vertu des accords de coopération monétaire signés avec la France au lendemain des indépendances et rénovés en 1972 et 1973, à déposer 65 % de leurs réserves de change sur ces comptes. Cette quotité a été ramenée depuis la réforme de 2005 à 50%. Le Trésor français verse des intérêts à ces comptes lorsqu’ils sont créditeurs alors qu’il prélève des intérêts en cas de débit. Cette coopération vise deux objectifs principaux : la solidarité monétaire et le développement économique par le biais d’une solidarité monétaire sécurisée. Cette coopération a donné naissance à des institutions qui oeuvrent en vue d’atteindre ces objectifs. Lors de l’adoption de l’euro à l’échelle européenne en 1999, la France a pu obtenir de ses partenaires européens la reconnaissance de la nature budgétaire des accords qui la lient à ses anciennes possessions d’Afrique pour continuer à garantir les francs CFA. Cette coopération comporte cependant beaucoup d’inconvénients qui incitent au dépassement du cadre actuel. / The monetary agreements of France and the CFA franc zone are based on the permanent free convertibility of the CFA. In this case, the French Treasury supports the free convertibility of the CFA franc into Euros and other currencies with a fixed change rate. The BCEAO and the BEAC accordingly cannot suffer from the lack of changes risk for, they are both guaranteed by France. Such a parity and interdependence principles inherited from the colonial period was renewed in the 1960's up to 2005 reforms. The main goals of this cooperation are the economical development and monetary solidarity safety. Some institutions have been created in order to achieve those goals. In anticipation of the coming of the Euro in 1999, the competent French authorities convinced the European Union to maintain the monetary agreements France has with the African countries using the CFA currency. Nevertheless, such agreements compound some shortcomings which require new ideas.
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Taux de change et régimes de change en Afrique Sub-saharienne (ASS) : les enseignements de l'expérience de a zone franc CFA. / Exchange rates and Exchange rate regimes in Sub-Saharan Africa : lessons from the CFA zone

Coulibaly, Issiaka 08 November 2013 (has links)
Au début des années 2000, les pays africains se sont engagés dans des projets d'unions monétaires régionales dans le but de créer une monnaie unique pour tout le continent à l'horizon 2028. L'objectif de cette thèse est d'analyser le bien-fondé d'une telle stratégie, à partir notamment des enseignements qui peuvent être tirés de l'expérience des pays de la zone CFA. Plus précisément, nous analysons les conséquences du choix de ces pays consistant à ancrer leurs monnaies communes à une monnaie extérieure et nous cherchons à savoir s'il est souhaitable ou pas de transposer l'expérience de ces pays à d'autres régions en Afrique.Dans une première partie, nous revisitons les critères d'optimalité des zones CFA et ZMAO en nous intéressant à la dynamique des taux de change réels. Nous mettons en évidence des similarités intéressantes entre les pays de l'UEMOA, le Ghana, la Gambie et la Sierra Léone d'une part et entre le Nigéria et la CEMAC d'autre part, indiquant que ces deux groupes de pays pourraient chacun partager une monnaie commune. Nous suggérons également que les critères d'optimalité de la théorie des zones monétaires optimales ne sont pas forcément pertinents. Ainsi, nous montrons, qu'à défaut d'être optimale, la zone CFA, en facilitant les équilibres interne et externe comparativement à d'autres pays d'Afrique Sub-saharienne (ASS), est une zone monétaire soutenable.Dans une seconde partie, nous nous intéressons aux implications économiques du régime de change des pays de la zone CFA qui s'apparente à ce que nous avons appelé un « double ancrage » (c'est-à-dire appartenance à une union monétaire et ancrage de la monnaie commune). Nous montrons que l'appréciation réelle du franc CFA au cours de la dernière décennie s'explique par l'ancrage à un euro qui s'est continuellement apprécié depuis 2001. Elle a conduit à réduire les gains de compétitivité réalisés à la suite de la dévaluation de 1994 et à accroitre les effets négatifs de l'appréciation du taux de change sur la croissance de ces pays. Enfin, en analysant les différences de performances économiques entre les différents régimes de change en vigueur dans l'ASS, nous avançons l'idée selon laquelle un régime d'union monétaire sans ancrage à une monnaie externe pourrait être une meilleure option pour ces pays. / Since the early 2000s, African countries are engaged in regional monetary unions' projects in order to create a single currency for this continent in 2028. The aim of this PhD thesis is to analyze the relevance of such a strategy upon the lessons learned from the experience of the CFA zone countries. Specifically, we analyze the consequences of the choice of those countries to anchor their common currencies to a foreign currency and we look to see whether it is desirable or not to replicate the experience of the CFA zone in other African regions.In a first part, we revisit the arguments about optimum currency areas of the CFA and the WAMZ zones, by studying real exchange rate dynamics. We find interesting similarities between WAEMU and Ghana, Gambia and Sierra Leone as well as between Nigeria and CAEMC, indicating that each of these groups of countries could share its common currency. We also argue that the arguments about optimum currency areas have proved to be less than relevant. Thus we show that, if not optimal, the CFA zone, by facilitating internal and external balances compared to other countries in Sub-Saharan Africa (SSA), is a sustainable monetary area.In a second part, we focus on the economic implications of the exchange rate regime of the CFA countries which consists in what we have called a "double anchoring" (i.e. a monetary union in which the common currency is anchored to a foreign one). We show that the real appreciation of the CFA franc, in the last decade, is due to its peg to the euro that has continuously appreciated since 2001. This appreciation has led to reduced competitiveness gains achieved with the 1994 devaluation and to increase the negative effects of exchange rate's appreciation on economic growth. Finally, analyzing the differences in economic performances between the exchange rate regimes adopted in SSA, we suggest that a monetary union without an external anchor currency could be a better regime for these countries.
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FOOD IMPORTS UNDER FOREIGN EXCHANGE CONSTRAINTS IN THE CFA’S FRANC ZONE OF SUB-SAHARAN AFRICA (SSA)

Sene, Seydina Ousmane 01 January 2014 (has links)
To respond to the high imported food prices in their domestic markets, net food importing countries in the Communauté Financière Africaine (CFA) zone[1] are adjusting their import tariffs and homologate domestic prices of imported commodities such as rice, wheat, maize, and sugar. This research uses a multivariate specification of error correction model (VECM) of estimation to investigate the link between food imports, world price index of rice, wheat, maize and sugar, real effective exchange rates, domestic food production, GDP, and trade openness in the short and long run. The data are on each homogenous commodity from 1969 to 2012. This research finds a long-run relationship between world price index, domestic production, GDP, real effective exchange rates and trade openness. Under fixed exchange rates regime, GDP, domestic food production, world price index of food, and trade openness are the determinants of food imported in the CFA zones. Policy options focusing on long-term investment in domestic food production of rice, wheat, maize and sugar, and trade openness are the fundamental factors to curtail the increasing food import volume/bill under fixed exchange rate regime in the CFA zones. [1] The CFA zone in Sub-Saharan Africa is the WAEMU and CEMAC Countries, which are listed and represented in figure 1.
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Croissance et convergence des pays de la zone CFA : une étude par les données de panel non stationnaires / Growth and convergence in CFA zone countries : a non stationary panel data study

Niang, Abdou-Aziz 14 June 2011 (has links)
Les pays africains de la zone CFA ont connu ces dernières années de multiples transformations économiques d'une part à travers les mesures initiées par les bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux et d'autre part à travers les politiques d'intégration économique et monétaire. Ainsi, en partant de l'hypothèse selon laquelle du fait de ces nombreuses interventions, ces systèmes économiques incorporent divers phénomènes tels que les changements structurels et les dépendances inter-économies, nous avons étudié leurs principales implications sur la croissance, la convergence et la prévisibilité du taux de croissance. L'accent est d'abord mis sur les traits majeurs des politiques d'intégration dans le cadre d'une union monétaire tout en soulignant les éventuelles incidences de telles politiques sur la dynamique économique des pays membres principalement en termes de modélisation économétrique de la croissance et de la convergence. Les différentes études réalisées sur la base d'outils économétriques adaptés ont permis d'aboutir à des résultats nouveaux relatifs au processus de croissance et de convergence de ces économies comparativement à ceux basés sur les outils classiques de modélisation économétrique. Il ressort également de cette étude que la présence de facteurs communs et de ruptures structurelles est fortement liée aux politiques d'intégration mises en oeuvre au sein de la zone CFA. Ces résultats révèlent aussi que les chocs produisent des effets hétérogènes et ont généralement des dates d'occurrence différentes selon les pays et qu'il est nécessaire de faire varier les réponses de politique économique d'un pays à l'autre pour une croissance durable et mieux partagée. / During the recent years, african countries in the CFA zone have experienced many economic changes on the one hand through the measures initiated by bilateral and multilateral donors and on the other hand through the economic and monetary integration policies. Thus, relying on the assumption that because of these interventions, the economic systems incorporate various phenomena such as structural change and economic interdependencies, we studied their major implications on growth, convergence and growth predictability. Emphasis is first placed on the major features of integration policies in a monetary union, while stressing the possible implications of such policies on the economic dynamics of member countries mainly in terms of econometric modelling of growth and convergence. The different studies conducted on the basis of appropriate econometric tools led to new results concerning the process of growth and convergence of these economies compared to those based on standard tools of econometric modelling. It is also clear from this study that the presence of common factors and structural breaks is strongly linked to integration policies implemented in the CFA zone. These results also indicate that shocks produce heterogeneous effects on economies with various dates of occurrence and that it is necessary to vary the policy responses from one country to another for sustainable and shared growth.

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