Spelling suggestions: "subject:"calcul diagrammatic"" "subject:"calcul programmatique""
1 |
Computing with sequents and diagrams in classical logic - calculi *X, dX and ©XZunic, Dragisa 21 December 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse de doctorat étudie l'interprétation calculatoire des preuves de la logique classique. Elle présente trois calculs reflétant trois approches différentes de la question. <br /><br /> Cette thèse est donc composée de trois parties. <br /><br /> La première partie introduit le *X calcul, dont les termes représentent des preuves dans le calcul des séquents classique. Les règles de réduction du *X calcul capture la plupart des caractéristiques de l'élimination des coupures du calcul des séquents. Ce calcul introduit des termes permettant une<br />implémentation implicite de l'effacement et de la duplication. Pour autant que nous sachions, c'est le premier tel calcul pour la logique classique. <br /><br /> La deuxième partie étudie la possibilité de représenter les calculs classiques au moyen de diagrammes. Nous présentons le dX calcul, qui est le calcul diagrammatique de la logique classique, et dont les diagrammes sont issus des<br />*X-termes. La différence principale réside dans le fait que dX fonctionne à un niveau supérieur d'abstraction. Il capture l'essence des preuves du calcul des séquents ainsi que l'essence de l'élimination classique des coupures. <br /><br /> La troisième partie relie les deux premières. Elle présente le $copy;X calcul qui est une version unidimensionnelle du calcul par diagramme. Nous commencons par le *X, où nous identifions explicitement les termes qui doivent l'être. Ceux-ci<br />sont les termes qui encodent les preuves des séquents qui sont équivalentes modulo permutation de règles d'inférence indépendantes. Ces termes ont également la même représentation par diagramme. Une telle identification induit une relation de congruence sur les termes. La relation de réduction est définie modulo la congruence, et les règles de réduction correspondent à celle du dX calcul.
|
2 |
Carquois et relations pour les blocs réguliers des algèbres blobPetit, Philippe 06 1900 (has links)
Les algèbres de Temperley–Lieb de type B, aussi appelées algèbres de Temperley–Lieb à une frontière, sont une famille d’algèbres associatives unitaires de dimension finie généralisant les algèbres de Temperley–Lieb. Elles ont été introduites en 1992 par P.P. Martin et H. Saleur pour la résolution de modèles en mécanique statistique [MS94], mais elles ont rapidement pris de l’importance en théorie de la représentation suite aux travaux de P.P. Martin et D. Woodcock [MW00] [MW03], qui montrent qu’elles s’obtiennent comme quotient d’al- gèbres de Hecke cyclotomiques et qui observent des liens profonds avec la théorie de Lie. Ces quotients sont liés aux algèbres de Khovanov–Lauda–Rouquier (KLR) par les travaux de Brundan et Kleshchev [BK09]; c’est à l’aide des algèbres KLR et de leur formulation diagrammatique que les résultats de ce mémoire seront obtenus. Elles seront maintenant appelées algèbres blob.
Ce mémoire porte sur la théorie de la représentation de certains blocs des algèbres blob. Plus précisément, nous trouvons les carquois et relations décrivant les catégories de modules des blocs réguliers en caractéristique nulle. Les résultats sont obtenus par calcul diagram- matique, en utilisant la base cellulaire construite par Plaza–Ryom-Hansen [PRH14] et les idempotents primitifs de Hazi–Martin–Parker [HMP21].
Structure du mémoire: Le premier chapitre rappelle brièvement les notions algébriques qui seront utilisées. Le deuxième chapitre présente les algèbres blob de façon algébrique et diagrammatique, puis plusieurs résultats connus sur celles-ci. Les troisième et quatrième chapitres contiennent tous les résultats originaux, c’est-à-dire le calcul du carquois et relations pour les blocs réguliers. / The Temperley–Lieb algebras of type B, also known as one-boundary Temperley–Lieb al- gebras, are a family of unitary associative algebras of finite dimension that generalize the Temperley–Lieb algebras. They were introduced in 1992 by P.P Martin and H. Saleur for solving models in statistical mechanics [MS94] but they quickly became important in rep- resentation theory following the work of P.P. Martin and D. Woodcock [MW00] [MW03], who showed that they can be realized as quotients of cyclotomic Hecke algebras and observed deep connections with Lie theory. These quotients are related to Khovanov–Lauda–Rouquier (KLR) algebras through the work of Brundan and Kleshchev [BK09]; it is with the help of KLR algebras and their diagrammatic presentation that the results of this thesis will be obtained. They will now be referred to as blob algebras.
This thesis focuses on the representation theory of certain blocks of blob algebras. Specif- ically, we find the quivers and relations describing the module categories of regular blocks in characteristic zero. The results are obtained through diagrammatic calculus, using the cellular basis constructed by Plaza–Ryom-Hansen [PRH14] and the primitive idempotents of Hazi–Martin–Parker [HMP21].
Structure: The first chapter briefly recalls the algebraic concepts that will be used. The second chapter presents blob algebras in both algebraic and diagrammatic ways, along with several known results about them. The third and fourth chapters contain all the original results, namely the calculation of quivers and relations for regular blocks.
|
Page generated in 0.0686 seconds