Inaug.-Diss.--Münster. / At head of title: Romanische Philologie. Bibliography: p. 222-226.

Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1968. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliography.

Proefschrift--Sociale wetenschappen--Leuven, 1979. / Bibliogr. p. 406-413.

Thèse - Fribourg. / Includes bibliographical references (p. [173]-177).

Diss.--Philos. Fakultät--Universität Augsburg, 1989.

Even though parallels between the philosophy of Albert Camus and The Big Lebowski have been drawn repeatedly, a sustained enquiry into several possible dimensions of the matter is yet to have been conducted.This dissertation makes an attempt to conduct the aforementioned enquiry in some detail. In doing this, the study will try to analytically compare Camusian philosophy and Dudeism and bring out the similarities between them. This does not imply that there are no differences between the two; but the focus of this study is the similarities and not the differences. Dudeism, for the purpose of this study, will not be restricted to The Dude and the literature written on The Dude and Dudeism. It will also be expanded to accommodate certain other parts of the larger discourse of Ethan and Joel Coen’s filmography as well as a few other parts of The Big Lebowski itself. It is crucial, however, to “draw a line in the sand” (Walter, The Big Lebowski) at the very outset. In embarking on a comparative analysis between Camusian philosophy and Dudeism, this study does not intend to propose that one of them is influenced by the other and “what-have-you” ("The Editorial Preface" 12). Instead, it simply attempts to point out some of the discursive elements that they share with each other as well as with several of the sub-discourses they comprise of. The analysis in the dissertation that follows is split into three major chapters: 1. ‘Well, I’ll tell you what I’m blathering about’: An analytical frame of reference. 2. ‘You can’t be worried about that shit, life goes on, man’: Life, Death and Absurdity in Camus and Dudeism. 3. ‘Somebody this square community won’t give a shit about’: Camus’ Absurd Man and Dudeism The first chapter, “‘Well, I’ll tell you what I’m blathering about’: An analytical frame of reference”, provides an analytical framework for the discussions that follow in the rest of the dissertation. It is further divided into three sections. The first section lays out a basic understanding of a few fundamental ideas of Dudeism for the readers. The second section discusses a few important aspects of the philosophy of Albert Camus. The third section briefly establishes the connections between Dudeism and the philosophy of Camus which are examined in greater detail later in the study. The second chapter, “‘You can’t be worried about that shit, life goes on, man’: Life, Death and Absurdity in Camus and Dudeism” looks at Camus’ takes on Life, Death and Absurdity while also pointing out the parallels they seem to strike with Dudeism. The chapter is further divided into four sections. The first section examines strands of Camusian thought, especially the Absurd in the other films of Ethan and Joel Coen before establishing a connection to The Big Lebowski. The second section explores the attitudes towards Death in Camusian philosophy and Dudeism. The third section compares the ideologies of Life in the works of Camus and Dudeism. The fourth and final section explores parallels between Camus’ novel The Stranger and The Stranger: the cowboy narrator of The Big Lebowski. The third chapter picks up on the Camusian trope of the Absurd Man and its relation to Happiness in both: the works of Camus as well as the discourses of Dudeism. It comprises of three sections. The first section explores the notion of Alienation in Camusian philosophy and Dudeism and looks at how it eventually leads to the trope of the Absurd Man in Camus. The second section explores Camus’ creation of the Absurd Man through the Cycle of the Absurd and looks at how it fits into Dudeism. The third and final section delves into a comparison of the Absurd Man’s quest for Happiness in Camus and Dudeism. / M.A. Honours with Research in English

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Th. 3e cycle--Lettres--Tunis, 1987. / Bibliogr. p. 219-222.

En commençant son étude critique sur Camus, Pierre de Boisdeffre,dans (Métamorphose de la littérature, Proust, Valéry, Cocteau, Anouilh, Camus, Sartre, Verviers, Marabout Université, 1974, p.309), fait le constat suivant:"l'Europe depuis Nietzsche, est à la recherche d'un cinquième Evangile. Qu'elle exalte les nourritures terrestres ou qu'elle communie à sa propre nausée, la littérature contemporaine n'a plus qu'une seule certitude: elle sait que Dieu est mort et s'efforce de le remplacer par l'Homme." En méditant la pensée de Camus à travers ses essais philosophiques, il semble que, même si dans un entretien sur la révolte, ce dernier déclare qu'"il n'est pas humaniste", la question du comment l'homme doit vivre avec ses semblables dans le monde et en société, est au centre de la réflexion philosophique camusienne. Car, l'époque de Camus fut celle où la vie humaine comme valeur et la dignité de l'être humain, furent soumises à une dure épreuve d'être respectées par chaque homme et en tout homme. D'où l'intérêt que l'oeuvre de Camus porte sur la question de la "vitalogie": L'homme peut-il vivre heureux sans le secours de Dieu? Oui ou non, l'homme, peut-il se tuer volontairement ou bien tuer les autres sans raison? L'homme peut-il détruire le monde qui le porte sans détruire sa propre vie? En effet, loin de voir dans la mort raisonnée et dans le suicide une valeur, Camus considère qu'ils sont plutôt un mal que les hommes doivent éviter et faire éviter les autres dans le "vivre-ensemble." C'est pour cette raison que la pensée philosophique chez Camus présente comme l'une des caractéristiques majeures, la "passion de vivre" de l'homme et pour l'homme, car la vie est, selon lui, une valeur cardinale qui doit être respectée en tout être humain dans la communauté qui voudrait être juste, paisible, libre, solidaire et unie. A cet effet, nous soutenons la thèse suivante: La pensée camusienne est une "vitalogie" paradoxale, c'est-à-dire qu'elle est debat philosophique sur la vie de l'être humain, en tant que valeur fondamentale, dans ses rapports avec Dieu, le monde et les autres. Par conséquent, une société dans laquelle les hommes sont habités par la passion de bien vivre et mieux vivre ensemble, il y a une exigence impérieuse pour eux de promouvoir et de crer les valeurs qui favorisent le respect de l'être humain et de sa vie. La vitaogie camuusienne est indissociable de la vision qu'on se fait sur l'homme ici et maintenant, en tenant compte des contradictions ou des antinomies du "oui" et du "non" de l'existence. Selon Camus, en effet, la mission principale de l'homme dans le monde est de vivre: "Oui, mais je n'aurai rien manqué de ce qui fait toute ma mission et c'est de vivre." (Carnets I.,p.92). La pensée camusienne est donc une vitalogie. Mais comment l'homme doit-il vivre? Celui-ci, pense Camus, doit devenir "créateur" des valeurs de la justice, de la liberté, de la solidarité, de la paix, de l'amitié et de la fraternité entre les hommes et être courageux, pour assumer la responsabilité de sa vie et de son destin dans le monde, en évitant d'aliéner son esprit dans les illusions, dans quelque absolutisme qu'il soit ou dans un pessimisme tétanisant. Au total, l'homme doit prendre en main sa destinée, en vue de la "joie vivre", sans pour autant perdre de vue que celle-ci ne se sépare pas non plus du "désespoir de vivre."

Th. doct.--Littérature française--Stockholm, 2003. / Institutionen för franska och italienska = Département de français et d'italien. Résumé en anglais. Bibliogr. p. 194-202.