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Influence de CA125 sur le processus de transition épithélium-mesenchymateuse des cellules de cancer de l'ovaire

Comamala-Torres, Marina January 2009 (has links)
Le cancer épithélial de l'ovaire (CEO) est létal à cause de son potentiel d'invasion, sa progression insidieuse et sa capacité de métastase à travers la cavité péritonéale. L'antigène tumoral CA125 (MUC16) est le marqueur clinique du cancer de l'ovaire le plus important. Il est utilisé pour surveiller la progression de la maladie. L'antigène tumoral CA125 (MUC16) est une glycoprotéine de grand poids moléculaire (200-2000 kDa) de la famille des mucines transmembranaires. Il est encodé par le gène MUC16 à partir d'un long ARNm de 66kb. L'expression de CA125 (MUC16) est retrouvée dans la majorité des cancers épithéliaux de l'ovaire (CEO) mais il n'est pas détecté dans l'épithélium normal des ovaires. Cependant, sa contribution au développement du CEO reste pratiquement inconnue. Il y a des évidences croissantes que les mucines transmembranaires sont impliquées dans plusieurs voies de signalisation intracellulaire en régulant l'expansion cellulaire, l'adhésion cellulaire, la migration et la mort cellulaire. Il est envisageable que CA125 (MUC16) pourrait exercer certaines de ces fonctions. Nos données supportent ce concept. Pour étudier les fonctions de CA125, nous avons initialement développé un inhibiteur spécifique de CA125 qui consiste en un minianticorps de chaîne simple anti-CA125 (scFv) qui est retenu dans le réticulum endoplasmique et qui prévient la localisation de CA125 à la surface cellulaire, en imitant, par conséquence, un knockdown de son expression. Des transfectants stables exprimant ce scFv ont été dérivés à partir de la lignée parentale NIH: OVCAR-3. Nous avons démontré que le knockdown de CA125 altère la morphologie cellulaire, inhibe l'agrégation cellulaire homotypique et de façon dramatique, il diminue la croissance cellulaire indépendante d'ancrage et la tumorigénicité chez les souris nues. Nous avons déterminé que CA125 interagit avec E-cadhérine, [béta]-caténine, [alpha]-actinine, [béta]-actine. Plus tard, nous avons observé par immunofluorescence et par microscopie électronique que les cellules CA125 knockdown présentent des jonctions intercellulaires détériorées et un réarrangement des filaments d'actine, ce qui nous suggère que CA125 pourrait être associé aux jonctions intercellulaires et impliqué dans l'organisation du cytosquelette. La formation et la dissolution dynamique des complexes de jonction sont des processus centraux pendant la transition épithélio-mésenchymateuse.Le knockdown de CA125 augmente aussi la migration des cellules OVCAR-3. Nous avons constaté que le maintien de cette migration est dépendant de la présence du EGF dans le milieu de culture et qu'elle est presque exclusivement due à l'effet de ce facteur de croissance. L'ajout de différents inhibiteurs du récepteur d'EGF (EGFR) démontre une abolition presque complète de la migration cellulaire de clones CA125 knockdown. En plus, l'expression d'E-cadhérine et de claudine-7 est significativement diminuée chez les cellules CA125 knockdown, tandis que l'expression de la vimentine et de N-cadhérine est augmentée, nous suggérant que la perte de CA125 cause une EMT chez ces cellules. De façon intéressante, l'expression ectopique du domaine C-terminal (CTD) de CA125 chez les cellules de cancer de l'ovaire SKOV-3 confère aux cellules les mêmes phénotypes indiquant que ce domaine peut être suffisant pour moduler ces comportements cellulaires.Le domaine C-terminal pourrait représenter ce qui reste de CA125 à la surface cellulaire après le clivage protéolytique causant le relâchement de la majorité de son domaine extracellulaire. Cependant, l'expression ectopique des domaines extracellulaires de CA125 (domaines transmembranaire et unique (TMU) ou transmembranaire-unique plus une des répétitions (TMU+1R)) ne confère pas d'effet sur les jonctions intercellulaires ni sur la migration évoquant que l'expression isolée de ces domaines ne donne pas un avantage et que d'autres portions et/ou répétitions de la molécule sont requises. Si nous prenons l'ensemble de nos données, ces résultats nous permettent de proposer que CA125 régule la tumorigénicité et le potentiel EMT/métastatique en modulant les complexes de jonction et l'organisation du cytosquelette. Ce projet a permis de déterminer comment CA125 module ces comportements. Les effets du knockdown de CA125 sur les jonctions intercellulaires, l'adhésion cellulaire et la migration ont été comparés aux effets produits par l'expression forcée des différents domaines de CA125 (C-terminal, transmembranaire et une des répétitions). Une fois que les domaines ont été identifiés et liés à des phénotypes nous avons considéré qu'il était important de commencer à déterminer les voies de signalisation impliquées et modulées entre nos systèmes cellulaires. La présence du EGF dans le milieu de culture a donc été identifié comme un facteur essentiel permettant la migration de cellules CA 125 knockdown. Ces études contribuent de façon significative à notre compréhension des fonctions biologiques de CA125, son rôle dans le développement et progression du carcinome épithélial de l'ovaire et suggèrent que CA125 pourrait éventuellement être une nouvelle cible moléculaire pour le traitement de cette maladie.
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Etude de deux chimiokines cxcl12/sdf-1 et fractalkine (fkn)/cx3cl1 dans le cancer epithelial des ovaires

Nasreddine, Salam 06 June 2011 (has links) (PDF)
Le cancer épithélial de l'ovaire (CEO) est une cause majeure de mortalité parcancer gynécologique. Il est associé à un mauvais pronostic car il est souventdécouvert à un stade tardif. Mieux comprendre les causes et les mécanismesmoléculaires et cellulaires associés à la progression de ce cancer représente unenjeu majeur.Les deux chimiokines CXCL12/SDF-1 et fractalkine (FKN)/CX3CL1 ont étéimpliquées dans diverses tumeurs. La chimiokine SDF-1, a un effetimmunosuppresseur dans le CEO. Elle est aussi impliquée dans l'angiogenèsetumorale. L'effet de SDF-1 médié par CXCR4 est également impliqué dans larégulation de la prolifération, la survie, la migration et l'invasion des cellulescancéreuses. La FKN, a largement été mise en évidence dans les tissusépithéliaux et dans divers cancers où elle peut avoir soit un rôle anti-tumoral soitun rôle pro-tumoral. Jusqu'à présent la FKN n'a pas été étudié dans le CEO.Dans notre étude, nous avons démontré l'expression de SDF-1 et de la FKNdans l'épithélium de surface de l'ovaire sain et dans les tumeurs bénignes etmalignes. Ces résultats montrent que l'expression de SDF-1 et de la FKNpréexiste à la tumorigenèse. Nous avons démontré une expression hétérogènedes deux chimiokines dans les cellules du CEO. Les niveaux d'expression deSDF-1 dans les cellules tumorales sur une cohorte de 183 patientes n'ont aucunevaleur pronostique sur la survie globale et sur la survie sans progressiontumorale des patientes atteintes par le CEO. L'étude de la corrélation del'expression de la FKN avec les deux marqueurs de prolifération, Ki-67 etGILZ, sur une autre cohorte de 54 patientes, complétée par des expériences invitro, a montré que GILZ augmente l'expression de la FKN et d'autre part que laFKN elle-même augmente la prolifération. Cette étude contribue à élucider lerôle de SDF-1 et de la FKN dans le CEO.
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Etude de deux chimiokines cxcl12/sdf-1 et fractalkine (fkn)/cx3cl1 dans le cancer epithelial des ovaires

Nasreddine, Salam 06 June 2011 (has links) (PDF)
Le cancer épithélial de l'ovaire (CEO) est une cause majeure de mortalité parcancer gynécologique. Il est associé à un mauvais pronostic car il est souventdécouvert à un stade tardif. Mieux comprendre les causes et les mécanismesmoléculaires et cellulaires associés à la progression de ce cancer représente unenjeu majeur.Les deux chimiokines CXCL12/SDF-1 et fractalkine (FKN)/CX3CL1 ont étéimpliquées dans diverses tumeurs. La chimiokine SDF-1, a un effetimmunosuppresseur dans le CEO. Elle est aussi impliquée dans l'angiogenèsetumorale. L'effet de SDF-1 médié par CXCR4 est également impliqué dans larégulation de la prolifération, la survie, la migration et l'invasion des cellulescancéreuses. La FKN, a largement été mise en évidence dans les tissusépithéliaux et dans divers cancers où elle peut avoir soit un rôle anti-tumoral soitun rôle pro-tumoral. Jusqu'à présent la FKN n'a pas été étudié dans le CEO.Dans notre étude, nous avons démontré l'expression de SDF-1 et de la FKNdans l'épithélium de surface de l'ovaire sain et dans les tumeurs bénignes etmalignes. Ces résultats montrent que l'expression de SDF-1 et de la FKNpréexiste à la tumorigenèse. Nous avons démontré une expression hétérogènedes deux chimiokines dans les cellules du CEO. Les niveaux d'expression deSDF-1 dans les cellules tumorales sur une cohorte de 183 patientes n'ont aucunevaleur pronostique sur la survie globale et sur la survie sans progressiontumorale des patientes atteintes par le CEO. L'étude de la corrélation del'expression de la FKN avec les deux marqueurs de prolifération, Ki-67 etGILZ, sur une autre cohorte de 54 patientes, complétée par des expériences invitro, a montré que GILZ augmente l'expression de la FKN et d'autre part que laFKN elle-même augmente la prolifération. Cette étude contribue à élucider lerôle de SDF-1 et de la FKN dans le CEO.
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Caractérisation de Cks1, régulateur du cycle cellulaire, dans le cancer épithélial de l'ovaire

Desgagnés, Julie 12 1900 (has links)
Le cancer épithélial de l’ovaire est le cancer gynécologique le plus létal. La survie à 5 ans est de 30-40% chez les patientes atteintes d’une tumeur invasive(TOV), comparativement à 95% chez les patientes diagnostiquées pour une tumeur à faible potentiel de malignité (LMP). Au laboratoire, l’analyse de l’expression des gènes de la micropuce à ADN HuFL d’Affymetrix a révélé que Cks1 est un gène dont l’expression varie entre les tumeurs LMP et TOV. En effet, ce régulateur du cycle cellulaire est surexprimé dans les tumeurs TOV par rapport aux tumeurs LMP. Nous avons donc déplété Cks1 dans des lignées cellulaires tumorales invasives du cancer de l’ovaire dérivées au laboratoire, soit la TOV112D et la TOV1946, en utilisant des shRNAs sous le contrôle d’un répresseur inductible à la tétracycline. Puis, nous avons dérivé des clones stables inductibles à la tétracycline. Les résultats obtenus nous indiquent que la déplétion de Cks1 n’a pas d’effet sur la prolifération et la migration cellulaires, ni sur la formation de structures tridimensionnelles in vitro. Ainsi, nous pouvons conclure que Cks1 ne joue pas un rôle clé dans la progression tumorale par rapport aux paramètres testés. Or, des études supplémentaires seraient nécessaires pour expliquer les différences biologiques observées entre les deux types de tumeurs étudiées, et justifier cette variation observée de l’expression de Cks1. / Epithelial ovarian cancer is the most lethal gynecologic cancer with a five-year survival rate of only 30-40% in patients diagnosed with high-grade invasive disease (TOV). This contrasts with the 95% five-year survival in patients diagnosed with the low malignant potential (LMP)disease. Previously, we have identified differential expression of Cks1 between serous LMP and TOV tumors through gene expression analysis using Affymetrix HuFL DNA microarrays. Overexpression of this cell cycle regulator was observed in the TOV tumors, but not in the LMP samples. To study its role on the invasive potential of ovarian cancer cell lines, Cks1 was depleted in two tumoral invasive ovarian cancer cell lines established in our laboratory, TOV112D and TOV1946, using an inducible shRNA strategy. Then, tetracycline-inducible stable clones were derived and studied further. Comparisons between clones and controls have shown no Cks1-dependent effect on cellular growth, neither in migration capacity nor spheroid formation. Thus, we can conclude that Cks1 does not play a crucial role in the tested parameters for cancer progression, but further experiments could elucidate the biological differences observed between the two kinds of tumors studied.
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Caractérisation de Cks1, régulateur du cycle cellulaire, dans le cancer épithélial de l'ovaire

Desgagnés, Julie 12 1900 (has links)
Le cancer épithélial de l’ovaire est le cancer gynécologique le plus létal. La survie à 5 ans est de 30-40% chez les patientes atteintes d’une tumeur invasive(TOV), comparativement à 95% chez les patientes diagnostiquées pour une tumeur à faible potentiel de malignité (LMP). Au laboratoire, l’analyse de l’expression des gènes de la micropuce à ADN HuFL d’Affymetrix a révélé que Cks1 est un gène dont l’expression varie entre les tumeurs LMP et TOV. En effet, ce régulateur du cycle cellulaire est surexprimé dans les tumeurs TOV par rapport aux tumeurs LMP. Nous avons donc déplété Cks1 dans des lignées cellulaires tumorales invasives du cancer de l’ovaire dérivées au laboratoire, soit la TOV112D et la TOV1946, en utilisant des shRNAs sous le contrôle d’un répresseur inductible à la tétracycline. Puis, nous avons dérivé des clones stables inductibles à la tétracycline. Les résultats obtenus nous indiquent que la déplétion de Cks1 n’a pas d’effet sur la prolifération et la migration cellulaires, ni sur la formation de structures tridimensionnelles in vitro. Ainsi, nous pouvons conclure que Cks1 ne joue pas un rôle clé dans la progression tumorale par rapport aux paramètres testés. Or, des études supplémentaires seraient nécessaires pour expliquer les différences biologiques observées entre les deux types de tumeurs étudiées, et justifier cette variation observée de l’expression de Cks1. / Epithelial ovarian cancer is the most lethal gynecologic cancer with a five-year survival rate of only 30-40% in patients diagnosed with high-grade invasive disease (TOV). This contrasts with the 95% five-year survival in patients diagnosed with the low malignant potential (LMP)disease. Previously, we have identified differential expression of Cks1 between serous LMP and TOV tumors through gene expression analysis using Affymetrix HuFL DNA microarrays. Overexpression of this cell cycle regulator was observed in the TOV tumors, but not in the LMP samples. To study its role on the invasive potential of ovarian cancer cell lines, Cks1 was depleted in two tumoral invasive ovarian cancer cell lines established in our laboratory, TOV112D and TOV1946, using an inducible shRNA strategy. Then, tetracycline-inducible stable clones were derived and studied further. Comparisons between clones and controls have shown no Cks1-dependent effect on cellular growth, neither in migration capacity nor spheroid formation. Thus, we can conclude that Cks1 does not play a crucial role in the tested parameters for cancer progression, but further experiments could elucidate the biological differences observed between the two kinds of tumors studied.
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Implication des inhibiteurs de PARP dans le cancer de l’ovaire

Fleury, Hubert 05 1900 (has links)
No description available.

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