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La peur de récidive du cancer chez les femmes ayant été traitées pour un cancer et étant porteuses d'une mutation génétique BRCA1/2

Michel, Alexandra 09 November 2022 (has links)
Contexte théorique. La peur de la récidive du cancer (PRC) est la crainte que le cancer revienne dans le même organe ou dans une autre partie du corps. Elle touche pratiquement tous les patients qui ont été traités pour un cancer, à des degrés divers. Les femmes traitées pour un cancer du sein et qui sont porteuses d'une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2 ont un risque élevé d'avoir un nouveau cancer. Aucune étude n'a encore évalué la PRC spécifiquement dans cette population. Objectif. Cette étude, menée chez des femmes traitées pour un cancer du sein et porteuses d'une mutation des gènes BRCA1/2, vise à : (1) évaluer le niveau moyen de PRC et estimer la proportion de patientes présentant un niveau clinique de PRC globalement et dans différents sous-groupes (p. ex., BRCA1 vs BRCA2 ; groupes d'âge) ; (2) examiner la relation entre la PRC et certaines variables psychologiques (p. ex., évitement, intolérance à l'incertitude) et la qualité de vie ; (3) investiguer si le niveau de PRC varie selon le traitement curatif et préventif reçu; et (4) évaluer la relation entre la PRC et la présence de conflits décisionnels ou de regrets face aux différentes options préventives. Méthode. Les participantes ont été recrutées par le biais d'un courriel envoyé à une liste de diffusion d'un réseau en oncogénétique (Réseau ROSE). Elles ont été invitées à remplir en ligne une batterie de questionnaires autorapportés afin d'évaluer leur niveau de PRC et d'autres variables psychologiques et de qualité de vie, notamment en utilisant l'Inventaire de la peur de récidive du cancer. Résultats. Un total de 89 femmes a complété l'étude. La majorité des participantes avaient subi une mastectomie préventive (62,9%) et une salpingo-ovariectomie préventive (75,3%) au moment de l'étude. Le score moyen à la sous-échelle de sévérité de l'Inventaire de la peur de la récidive du cancer (IPRC-S) était de 16,8, ce qui dépasse le seuil clinique de 13, et 70,8% des participantes présentaient un niveau clinique de PRC. Les résultats ont également montré qu'un niveau plus élevé de PRC était significativement associé à des scores plus élevés d'anxiété et de dépression, à des scores supérieurs à l'échelle Impact de l'événement puis à de l'évitement et une intolérance à l'incertitude plus élevés, mais pas à la qualité de vie. Aucune différence significative n'a été observée au score global de PRC entre les femmes ayant subi une chirurgie préventive (mastectomie et/ou salpingo-ovariectomie) et celles qui l'envisageaient mais ne l'avaient pas reçue et celles qui ne l'envisageaient pas. Un score de PRC plus élevé était également significativement associé à des niveaux de conflits décisionnels et des regrets plus importants face au choix de recevoir ou non une chirurgie préventive. Conclusion. Ces données suggèrent que la PRC est un problème important pour les femmes traitées pour un cancer du sein et porteuses d'une mutation des gènes BRCA1/2, même après avoir subi une chirurgie prophylactique, une procédure efficace pour réduire le risque de récidive. Cela souligne l'importance de fournir à ces femmes une intervention psychologique qui cible spécifiquement la PRC.
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La peur de récidive du cancer chez les femmes ayant été traitées pour un cancer et étant porteuses d'une mutation génétique BRCA1/2

Michel, Alexandra 13 December 2023 (has links)
Contexte théorique. La peur de la récidive du cancer (PRC) est la crainte que le cancer revienne dans le même organe ou dans une autre partie du corps. Elle touche pratiquement tous les patients qui ont été traités pour un cancer, à des degrés divers. Les femmes traitées pour un cancer du sein et qui sont porteuses d'une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2 ont un risque élevé d'avoir un nouveau cancer. Aucune étude n'a encore évalué la PRC spécifiquement dans cette population. Objectif. Cette étude, menée chez des femmes traitées pour un cancer du sein et porteuses d'une mutation des gènes BRCA1/2, vise à : (1) évaluer le niveau moyen de PRC et estimer la proportion de patientes présentant un niveau clinique de PRC globalement et dans différents sous-groupes (p. ex., BRCA1 vs BRCA2 ; groupes d'âge) ; (2) examiner la relation entre la PRC et certaines variables psychologiques (p. ex., évitement, intolérance à l'incertitude) et la qualité de vie ; (3) investiguer si le niveau de PRC varie selon le traitement curatif et préventif reçu; et (4) évaluer la relation entre la PRC et la présence de conflits décisionnels ou de regrets face aux différentes options préventives. Méthode. Les participantes ont été recrutées par le biais d'un courriel envoyé à une liste de diffusion d'un réseau en oncogénétique (Réseau ROSE). Elles ont été invitées à remplir en ligne une batterie de questionnaires autorapportés afin d'évaluer leur niveau de PRC et d'autres variables psychologiques et de qualité de vie, notamment en utilisant l'Inventaire de la peur de récidive du cancer. Résultats. Un total de 89 femmes a complété l'étude. La majorité des participantes avaient subi une mastectomie préventive (62,9%) et une salpingo-ovariectomie préventive (75,3%) au moment de l'étude. Le score moyen à la sous-échelle de sévérité de l'Inventaire de la peur de la récidive du cancer (IPRC-S) était de 16,8, ce qui dépasse le seuil clinique de 13, et 70,8% des participantes présentaient un niveau clinique de PRC. Les résultats ont également montré qu'un niveau plus élevé de PRC était significativement associé à des scores plus élevés d'anxiété et de dépression, à des scores supérieurs à l'échelle Impact de l'événement puis à de l'évitement et une intolérance à l'incertitude plus élevés, mais pas à la qualité de vie. Aucune différence significative n'a été observée au score global de PRC entre les femmes ayant subi une chirurgie préventive (mastectomie et/ou salpingo-ovariectomie) et celles qui l'envisageaient mais ne l'avaient pas reçue et celles qui ne l'envisageaient pas. Un score de PRC plus élevé était également significativement associé à des niveaux de conflits décisionnels et des regrets plus importants face au choix de recevoir ou non une chirurgie préventive. Conclusion. Ces données suggèrent que la PRC est un problème important pour les femmes traitées pour un cancer du sein et porteuses d'une mutation des gènes BRCA1/2, même après avoir subi une chirurgie prophylactique, une procédure efficace pour réduire le risque de récidive. Cela souligne l'importance de fournir à ces femmes une intervention psychologique qui cible spécifiquement la PRC.
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Le rôle de la régulation émotionnelle dans l'adaptation psychologique au cancer

Guimond, Anne-Josée 24 April 2019 (has links)
Cette thèse doctorale visait à investiguer le rôle de la régulation émotionnelle (RÉ) mesurée subjectivement (réévaluation cognitive, suppression émotionnelle et évitement expérientiel) et objectivement (variabilité de la fréquence cardiaque; VFC) comme processus sous-jacent à une variété de symptômes associés au cancer (dépression, anxiété, peur de la récidive de cancer [PRC], insomnie, fatigue, douleur et difficultés cognitives subjectives) pris isolément et de manière regroupée (clusters de symptômes), chez des patientes atteintes d’un cancer du sein. Plus spécifiquement, cette étude a évalué: 1) Les relations transversales entre la RÉ et les symptômes et clusters de symptômes avant (T1) et après (T2) la radiothérapie; et 2) Le rôle prédicteur de la RÉ mesurée au T1 dans la survenue et l’exacerbation des symptômes et des clusters de symptômes au T2. Pour ce faire, 81 patientes ayant reçu un diagnostic de cancer du sein ont été recrutées à L’Hôtel-Dieu de Québec. Au T1 et au T2, les participantes ont rempli des questionnaires évaluant des mesures subjectives de RÉ et les symptômes associés au cancer. La VFC a été évaluée au repos (5 minutes) au T1. Les résultats ont révélé que deux stratégies de RÉ généralement considérées comme maladaptées, soit la suppression émotionnelle et l’évitement expérientiel, étaient significativement associées à des niveaux plus élevés d’anxiété, de dépression, de PRC, de fatigue et de difficultés cognitives de façon transversale au T1 et au T2. L’usage de ces mêmes stratégies prédisait aussi l’appartenance à un cluster comprenant des niveaux plus élevés de ces symptômes à chaque temps de mesure. Toutefois, les stratégies de RÉ ne prédisaient pas significativement les changements observés dans les clusters de symptômes entre le T1 et le T2. De plus, aucune association significative transversale ou prospective n’a été trouvée entre la VFC et les symptômes psychologiques isolés et les clusters de symptômes. En somme, l’évitement expérientiel et la suppression émotionnelle pourraient être des mécanismes transdiagnostiques communs à un ensemble de symptômes psychologiques fréquents chez les patientes atteintes d’un cancer du sein, mesurés au même moment (analyses transversales). Les résultats de cette thèse soulignent la pertinence de poursuivre les recherches pour identifier d’autres mécanismes psychologiques communs pouvant influencer l’adaptation psychologique au cancer, et particulièrement l’évolution longitudinale des symptômes psychologiques et de leurs clusters.
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Évaluation longitudinale du fonctionnement cognitif de femmes traitées pour un cancer du sein non métastatique

Quesnel, Catherine 12 April 2018 (has links)
Plusieurs femmes traitées par chimiothérapie pour un cancer du sein affirment percevoir des changements au niveau de leur mémoire et de leur habileté à penser clairement. À cet effet, les études transversales qui ont évalué la relation entre le fonctionnement cognitif et la chimiothérapie ont révélé que les patientes traitées par chimiothérapie présentent une performance altérée à des tests neuropsychologiques standards comparativement à des patientes traitées sans chimiothérapie ou à des femmes en bonne santé. Cependant, puisque les participantes de ces études ont été évaluées à une seule reprise et ce, plusieurs mois à plusieurs années suivant la fin des traitements, il est impossible de déterminer si ces altérations cognitives sont secondaires à la chimiothérapie ou si elles reflètent plutôt une condition pré-existante. L'objectif principal de la présente étude consiste donc à comparer de façon prospective l'impact d'un traitement de chimiothérapie à celui de la radiothérapie sur le fonctionnement cognitif de femmes traitées pour un cancer du sein non métastatique. Pour ce faire, 41 femmes recevant de la chimiothérapie et 40 femmes traitées par radiothérapie administrée sans chimiothérapie pour un cancer du sein ont été évaluées au pré-traitement, au post-traitement et à un suivi 3 mois par le biais de tests neuropsychologiques standards. Les résultats obtenus à une analyse de covariance à mesures répétées en modèle mixte suggèrent que le fait d'avoir reçu un traitement oncologique, qu'il s'agisse ou non de chimiothérapie, affecte négativement les capacités de recrutement de l'information en mémoire verbale. En revanche, la chimiothérapie aurait un impact négatif spécifique sur les capacités d'évocation au plan verbal. De plus, seules les patientes traitées par chimiothérapie ont rapporté subjectivement une augmentation du niveau d'altérations cognitives. Cependant, les altérations cognitives perçues ne sont pas apparues associées au fonctionnement cognitif mesuré objectivement, alors qu'elles se sont avérées associées aux symptômes de dépression, d'anxiété, de fatigue, d'insomnie et de ménopause. Ces résultats contribuent au développement d'une meilleure compréhension de la relation entre les traitements oncologiques et le fonctionnement cognitif. Il apparaît maintenant important de s'intéresser aux mécanismes sous-jacents et aux répercussions de ces difficultés sur le fonctionnement quotidien des patientes.
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Le rôle du perfectionnisme dans l'adaptation psychologique au cancer : une étude prospective

Massicotte, Véronique 26 March 2024 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles. / La présente thèse doctorale visait à explorer le rôle du perfectionnisme et de ses deux dimensions principales (aspirations et préoccupations perfectionnistes) dans l'adaptation psychologique au cancer de femmes traitées par chimiothérapie pour un cancer du sein non métastatique. Plus spécifiquement, cette étude a évalué : 1) les relations transversales et prospectives entre les aspirations et les préoccupations perfectionnistes et les symptômes psychologiques (anxiété, dépression, peur de la récidive du cancer [PRC]) et psychophysiologiques (insomnie, fatigue, douleur, difficultés cognitives, dysfonctions sexuelles) avant (T1), pendant (T2) et après la fin des traitements de chimiothérapie (T3), de même que six mois plus tard (T4); et 2) le rôle médiateur de l'autocompassion et de l'autodissimulation évaluées au T2 dans la relation entre les aspirations et les préoccupations perfectionnistes mesurées au T1 et les symptômes psychologiques évalués au T3. Pour ce faire, 40 patientes ayant récemment reçu un diagnostic de cancer du sein non métastatique et étant sur le point de commencer des traitements de chimiothérapie ont été recrutées au Centre des maladies du sein Deschênes-Fabia de l'Hôpital du St-Sacrement (CHU de Québec-Université Laval). Les participantes ont rempli des questionnaires auto-rapportés évaluant le perfectionnisme et ses dimensions, l'autocompassion, l'autodissimulation et les symptômes psychologiques et psychophysiologiques à l'ensemble des temps de mesure (T1 à T4). Des corrélations de Spearman, des corrélations partielles (contrôlant pour la variance partagée entre les dimensions du perfectionnisme; analyses transversales), des modèles linéaires à mesures répétées avec effet aléatoire de la participante (analyses prospectives), ainsi que des analyses de dépendance (path analysis; analyses de médiation séquentielle) ont été réalisés afin de tester les hypothèses. Les résultats ont révélé plusieurs associations significatives sur le plan transversal entre les aspirations et les préoccupations perfectionnistes et des niveaux plus élevés d'anxiété, de symptômes dépressifs et de PRC. Ces corrélations étaient relativement constantes à travers les temps de mesure (T1 à T4). Certaines associations significatives ont également été observées entre les dimensions du perfectionnisme et les symptômes psychophysiologiques, notamment une fatigue plus élevée au T2 et au T4. Ces relations étaient toutefois moins stables d'un temps de mesure à l'autre. Les corrélations partielles n'ont, quant à elles, révélé aucune association significative entre une dimension du perfectionnisme et les symptômes psychologiques et psychophysiologiques lorsqu'un contrôle statistique était effectué pour l'autre dimension du perfectionnisme. Ceci peut s'expliquer par l'importante covariance observée entre les aspirations et les préoccupations perfectionnistes dans le cadre de la présente étude (rₛ = .68 à .75, ps ≤ .001). Concernant les relations prospectives évaluées (combinant les T1 à T4), seule la dimension des aspirations perfectionnistes était significativement associée à une anxiété plus élevée, alors que seule celle des préoccupations perfectionnistes était significativement associée à des symptômes dépressifs plus sévères. Ces relations étaient stables à l'ensemble des temps de mesure. Aucune relation significative n'a été observée entre les deux dimensions du perfectionnisme et la PRC, l'insomnie, la fatigue, la douleur, les difficultés cognitives et les dysfonctions sexuelles sur le plan prospectif. Enfin, en ce qui a trait aux analyses de médiation effectuées, un niveau plus faible d'autocompassion durant la chimiothérapie (T2) était un médiateur significatif de la relation entre un niveau plus important de préoccupations perfectionnistes avant la chimiothérapie (T1) et des symptômes anxieux et dépressifs plus sévères après la fin de celle-ci (T3). La relation était marginalement significative pour la PRC. Cependant, l'autocompassion ne contribuait pas significativement à expliquer les relations entre les aspirations perfectionnistes et les symptômes psychologiques. De plus, aucune relation de médiation significative n'a été observée pour l'autodissimulation. En somme, ces résultats soulignent la pertinence d'étudier le perfectionnisme en contexte oncologique et suggèrent que les patients présentant des niveaux plus élevés d'aspirations et de préoccupations perfectionnistes seraient plus à risque de vivre de la détresse psychologique (anxiété, dépression) au cours de leur trajectoire de soins. Ils soulignent aussi le potentiel rôle protecteur d'un niveau plus élevé d'autocompassion chez les patients atteints de cancer présentant davantage de préoccupations perfectionnistes et appuient la pertinence d'inclure une composante visant la promotion de l'autocompassion dans les interventions psychologiques offertes à ces derniers.

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