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Dionysius der Kartäuser : Einführung in Werk und Gedankenwelt /

Wassermann, Dirk. January 1996 (has links)
Inaug.-Diss.--Philosophische Fakultät--Köln--Universität zu Köln, 1995. / Bibliogr. p. 250-283. Index.
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Réforme et contre : -réforme catholiques : recherches sur la chartreuse de Cologne au xvie siècle /

Chaix, Gérald. January 1973 (has links)
Th. 3e cycle : Histoire : Tours. / Bibliogr. t. 2 pp. 432-755. Index t. 3.
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Manasses I. Erzbischof von Reims /

Gaul, Heinrich. January 1992 (has links)
Le texte de Gaul est le reprod. en fac.-sim. de : Diss. : Bonn : Katholisch-theologische Fakultät : 1940.
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Die Aufhebung der Kartause Gaming /

Hoffmann, Brunhilde. January 1981 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Geschichte--Wien, 1948. / Bibliogr. p. 77-81.
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La Certosa di Firenze nei suoi rapporti con l'architettura certosina /

Leoncini, Giovanni. January 1979 (has links)
Tesi--Firenze, 1978. / Bibliogr. p. 229-231.
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Entre apogée et déclin : vivre sa foi au Grand Siècle, dans les chartreuses féminines, 1570-1715 / From rise to fall : living one's faith during the Grand Siècle in women's charterhouses, 1570-1715

Jérôme, Thomas 08 December 2014 (has links)
La vie des communautés de moniales repose sur une double réalité. Tout d’abord, une considération matérielle. Derrière les évidentes questions économiques, se dissimule la vie quotidienne des moniales : vêtements, nourriture, hiérarchie, ou encore la question essentielle des rapports avec le dehors. Ensuite, une réalité spirituelle. À la fin du XVIe siècle, l’issue du concile de Trente ouvre une période de renouveau pour le clergé catholique. L’accueil des réformes tridentines, en particulier celle de la clôture, est un point fondamental pour les communautés régulières féminines. À cette question primordiale s’ajoute celle de la pratique de la foi, d’une manière individuelle ou collective. Bien entendu, l’approche de ces deux aspects ne peut se faire sans évoquer le passé médiéval des chartreuses féminines. Elle soulève à elle seule la problématique de l’acceptation d’une curare monialium au sein de l’ordre cartusien, ou encore celle du passé diaconal des premières moniales. Depuis leur naissance nébuleuse au XIIe siècle jusqu’au Grand Siècle, le parcours des filles de saint Bruno révèle une forte identité monastique, à la fois conformiste et marginale / Life in communities of nuns relies on a double reality. First, a concrete one. Indeed, behind the obvious economic issues, there is the nuns' everyday life, about clothes,food, hierarchy or the essential issue of the links with the outside. Then , a spiritual reality. At the end of the XVI th century, the end of the Council of Trent is at the same time the beginning of a period of revival for the Catholic clergy. Indeed, the acceptance of the reforms resulting from the Council – particularly the enclosure – is an essential aspect for the feminine communities. Moreover, there is also the problem of faith practice , both on individual and collective levels. Of course, debating about these two aspects cannot be made possible without taking into account the medieval background of the feminine charterhouses. What is at stake is the acceptance of a curare monalium within the Carthusian order itself, or the issue of the origin of nuns as deaconesses. From their nebulous origin in the XII th century to the Grand Siècle, Saint Bruno Order's nuns have shown a very strong cloistered identity, both conformist and non-conformist.
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En .I. lieu desert, plain de montagnes : les images et la commande d’oeuvres d’art pour les chartreuses médiévales (fin du XIe siècle - début du XVIe siècle) / En .I. lieu desert, plain de montaignes : images and commissions of works of art for medieval charterhouses (end of the 11th century - beginning of the 16th century)

Dagalita, Cristina 26 November 2015 (has links)
Après la fondation de la première chartreuse en 1084 par Bruno de Cologne dans les Alpes, ces monastères, installés au départ dans des sites isolés, furent réputés pour leur austérité. Les moines, qui faisaient vœu de silence, vivaient reclus dans leur cellules la plupart du temps, ne se retrouvant que deux fois par jour pour célébrer la messe. Dans ce cadre, qui a donné lieu à une architecture spécifique, les premières mentions d’œuvres d’art, dans la législation, apparaissent dans la deuxième moitié du XIIIe siècle. Cette période correspondait à la fois à une modification de la structure de l’ordre, prenant en compte l’accroissement du nombre des maisons, et aux premières fondations à proximité des villes. Le rapprochement des centres urbains allait déterminer une relation nouvelle entre les chartreux et leurs bienfaiteurs, exprimée dans les donations d’œuvres d’art en vue de la commémoration. Si de la chartreuse de Vauvert, établie près de Paris en 1259, subsistent surtout des relevés de plaques de fondation et de tombeaux, les commandes d’œuvres d’art pour les chartreuses princières et royales de Champmol et de Miraflores, destinées à recevoir les tombeaux de leurs fondateurs, étaient plus variées. L’implication des chartreux dans l’aménagement du décor de leurs maisons est attestée par les sources. Elle peut être observée lorsqu’ils recevaient les dons d’œuvres d’art de la part de plusieurs bienfaiteurs et elle prend un sens particulier quand les frères commandaient eux-mêmes des tableaux. Dans la spiritualité des chartreux, les œuvres d’art avaient un rôle au sujet duquel les moines, en participant à leur création, pouvaient nous renseigner. / Following the foundation of the first charterhouse by Bruno of Cologne, in 1084, in the Alps, these monasteries, established at first in solitary places, were well-known for their austere conditions. The monks, which had taken a vow of silence, lived isolated in their cells most of the time, meeting each other only twice a day, to celebrate mass. In these monasteries, characterized by their own architecture, the first mentions of artworks, in the legislation, date from the second half of the 13th century. At that time, the structure of the order was being revised by taking into account the multiplication of the charterhouses. Furthermore, the first foundations near cities were then established. This proximity to urban centres would determine a new relationship between Carthusians and their benefactors, visible through the donations of works of art for commemoration. From the charterhouse of Vauvert, established near Paris in 1259, have been preserved mostly drawings of memorial tablets or tombs. Nonetheless, for the princely and royal charterhouses of Champmol and Miraflores, that were to house the tombs of their founders, the commissions of works of art were more varied. The Carthusians’ participation in building the appearance of their monasteries is attested by the sources. This fact may also be observed when the Carthusians received donations of works of art from several benefactors and a special significance is attached to it when the brothers themselves commissioned paintings. In Carthusian spirituality, works of art had a role about which the monks, by involving themselves in their creation, could inform us.

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