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How language, ritual and sacraments work : according to John Austin, Jürgen Habermas and Louis-Marie Chauvet /Duffy, Mervyn. January 2005 (has links)
Tesi--Roma--Pontificia universitas Gregoriana, 2005. / Bibliogr. p. 253-268.
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The Word of God in ecclesial rites and the formation of Christian identity a comparison of Karl Barth and Louis-Marie Chauvet /Trinidad, Tom M. January 2007 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Notre Dame, 2007. / Thesis directed by Nathan D. Mitchell for the Department of Theology. "April 2007." Includes bibliographical references (leaves 274-287).
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The development of the concept of the ecclesial nature of the sacraments from selected documents of Vatican II and through the writings of Karl Rahner, Edward J. Kilmartin and Louis-Marie ChauvetDoherty, Daniel J. January 2006 (has links)
Thesis (S.T.L.)--Catholic University of America, 2006. / Includes bibliographical references (leaves 164-170).
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The development of the concept of the ecclesial nature of the sacraments from selected documents of Vatican II and through the writings of Karl Rahner, Edward J. Kilmartin and Louis-Marie ChauvetDoherty, Daniel J. January 2006 (has links)
Thesis (S.T.L.)--Catholic University of America, 2006. / Includes bibliographical references (leaves 164-170).
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La grâce et la reconnaissance : de l'anthropologie du don de Marcel Hénaff à la théologie sacramentaire de Louis-Marie ChauvetBergeron, Patrice 24 April 2018 (has links)
Explorer la grâce à la lumière des pratiques de don étudiées par Marcel Mauss a une pertinence tout à la fois anthropologique et théologique, donc humaine : telle est l’hypothèse qui est à l’origine de cette recherche de théologie systématique. Concrètement, il s’agit de vérifier cette hypothèse à partir d’une lecture analytique des travaux de deux auteurs qui, dans leurs champs disciplinaires respectifs, se sont intéressés à l’«Essai sur le don» de Mauss pour repenser la grâce, et qui ont aussi accordé une attention soutenue à la dimension rituelle des pratiques de don. Du côté de l’anthropologie, Marcel Hénaff rattache explicitement la grâce – pratiques et pensées diverses – à la tradition du «don réciproque cérémoniel» dans les sociétés segmentaires, mais il montre aussi et surtout en quoi elle implique une transformation majeure de cette tradition. Tant du côté du don cérémoniel que de celui de la grâce, il s’agit de reconnaissance publique et de lien social – dit autrement, de symbolisme –, mais il s’agit aussi de formes distinctes. Autant il importe de rattacher ces diverses formes aux contextes et aux types d’organisation sociale qui les portent, autant il importe également de prendre en considération la part «invisible» de la reconnaissance pour bien comprendre ce qui s’y joue, c’est-à-dire la reconnaissance avec les diverses figures de l’invisible – esprits, ancêtres, dieux. De plus, la pensée anthropologique de la reconnaissance de Marcel Hénaff jette un éclairage singulier sur la tradition chrétienne et sur ce qu’elle a fait du don. Du côté de la théologie chrétienne, Louis-Marie Chauvet pense lui aussi la grâce en lien avec les travaux de Mauss sur le don. Bien que sa théorie du «symbolique» soit hétéroclite, le don cérémoniel comme «échange symbolique» y occupe une place de choix. L’échange symbolique va même jusqu’à configurer le champ des questions, et il intervient de manière centrale dans sa théologie de l’alliance chrétienne et de la grâce. Il en va de même pour l’eucharistie, qu’il approche comme un rituel/sacrement de don à partir duquel il interroge l’héritage chrétien de la grâce. À plusieurs égards, les travaux d’Hénaff et de Chauvet s’appellent et se complètent. Le premier est attentif aux rituels dans les sociétés segmentaires et il manifeste une authentique curiosité théologique. Cependant, il en dit peu sur la ritualité chrétienne. Le second, quant à lui, est attentif aux rituels chrétiens et il manifeste une authentique curiosité anthropologique, mais il tend parfois à sous-estimer l’écart entre l’«échange symbolique» dans les sociétés segmentaires et ce qui pourrait être l’«échange symbolique» dans le christianisme. Enfin, tous les deux portent une interrogation de fond sur les sociétés occidentales modernes, sur leurs fécondités, mais aussi sur les défis qu’elles doivent affronter, notamment en ce qui concerne le lien social et les empiétements de l’économique sur l’ensemble des secteurs de vie. À partir des travaux de ces deux auteurs, la présente recherche vise donc à faire entendre certaines des résonnances actuelles de l’alliance chrétienne et de la grâce en ce qui concerne l’avènement du sujet croyant, le lien ecclésial, la vie sacramentaire et la participation des Églises à la société civile et au lien social en contexte de modernité occidentale. / Exploring grace in light of the gift practices studied by Marcel Mauss is relevant from an anthropological standpoint as much as from a theological standpoint: such is the hypothesis explored in this systematic theology research. Precisely, this hypothesis is tested through an analytical reading of the works of two authors who, in their respective fields and with the ambition of rethinking grace, showed a resolute interest in Mauss’s essay on the gift and devoted a special attention to the ritual dimension of gift practices. In his work, Marcel Hénaff considers grace from an anthropological point of view and relates it – with its diverse practices and theories – to the ceremonial gift exchange tradition which can be found in societies without a central state, but he also mainly shows how it implies a major transformation of this tradition. Ceremonial gift exchange and grace are primarily concerned with public recognition and social bonding – in other words, with symbolism – but that recognition is also embodied in very different institutions. In order to understand what is at stake in these different forms of recognition, it is essential not only to relate them to the different types of social organization in which they are found, but also to consider their «invisible» part, that is the relationships with the diverse figures of the invisible – spirits, ancestors, gods. This is how Marcel Hénaff’s anthropology of recognition sheds light on the Christian tradition and on its handling of the gift. In Christian theology, Louis-Marie Chauvet also approaches grace in relation to Mauss’s essay and thinking on gift practices. In Chauvet’s variegated theory of the «symbolic», the ceremonial gift as a «symbolic exchange» stands out. The vocabulary associated with symbolic exchange not only formulates the important questions, it is also central in his theology of Christian covenant and grace. The same applies to the Eucharist, which he addresses as a gift ritual and through which he examines the Christian heritage of grace. In many ways, Hénaff’s and Chauvet’s work complete each other. The former is mindful of the rituals in societies without a central state and shows an authentic theological curiosity. However, he does not say much about Christian rituality. The latter is mindful of Christian rituals and shows an authentic anthropological curiosity, but he tends to underestimate the difference between «symbolic exchange» in societies without a central state and what could be a Christian «symbolic exchange». Finally, both examine and question western and modern societies regarding their possibilities, but also the challenges they are facing concerning social bonding, as well as the overlapping of economic exchanges in every sphere of life. The objective of this research and its analysis of the works of these two authors is to enlighten today’s relevance of covenant and grace in its various aspects: the advent of the subject, the ecclesiological bond, the sacramental life and the participation of Christian Churches in the social life in western modernity.
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