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L'implication de la République populaire de Chine dans la Guerre du Viêtnam (1966-1969)

Laplante, Emile 13 December 2023 (has links)
La Guerre du Viêtnam est un conflit qui de 1954 à 1975 oppose les États-Unis, parrain du régime sud-vietnamien à Saigon, au régime nord-vietnamien à Hanoi et leurs alliés respectifs. Ce théâtre militaire géostratégique de la Guerre froide débute sous l'impulsion d'un mouvement révolutionnaire de réunification nord-vietnamienne du Viêtnam. Le gouvernement nord-vietnamien souhaite réunifier le pays, partitionné temporairement depuis 1954 en raison des Accords de Genève. Le gouvernement chinois, dirigé par le chef d'État Mao Zedong, s'implique dans le conflit en soutenant économiquement, militairement, politiquement et stratégiquement son partenaire à Hanoi qui recherche un soutien essentiel à ses démarches réunificatrices. Pékin envoie entre 1966 et 1969 de nombreuses divisions, brigades et régiments d'ingénieurs et de troupes d'artilleries antiaériennes, ainsi que des quantités importantes de biens, de matériels et de vivres, à Hanoi. Ces contributions fourniront un soutien indispensable au régime nord-vietnamien. Parallèlement, les dirigeants chinois fournissent un soutien politique et stratégique d'envergure à leurs homologues nord-vietnamiens par le biais de rencontres bilatérales récurrentes. Le 3 avril 1968, Hanoi annonce au monde avoir accepté de participer à des négociations quadripartites avec les États-Unis. Cette décision prise sans consulter Pékin frustre les dirigeants chinois. Les échanges bilatéraux sino-nord-vietnamiens diminuent dramatiquement avant de disparaître à la suite de cette annonce. Le 17 novembre 1968, les dirigeants chinois déclarent même à leurs homologues nord-vietnamiens qu'ils retirent leurs effectifs présents au Viêtnam. Cette recherche analyse donc cette transition abrupte de la politique étrangère nord-vietnamienne du gouvernement chinois, à savoir celle qui met fin, temporairement, à la collaboration étroite entre les deux pays durant cette période importante de la Guerre du Viêtnam.
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The instrumentalisation of the environment and the diversionary behaviour in non-conflictual conditions : a case study of the political discourse between the USA and China between 1979 and 2004 / Instrumentalisation of the environment and the diversionary behavior in non-conflictual conditions

Alatassi, Alia 16 April 2018 (has links)
Comme la protection de l'environnement reçoit une attention croissante dans le discours politique actuel, il importe de se demander si ce phénomène représente une politique d'état bien définie ou un simple instrument stratégique. Ce mémoire cherche à répondre à cette question, en utilisant la théorie de la diversion conflictuelle. Cette théorie affirme que les chefs politiques éprouvant des problèmes internes appliquent une politique étrangère agressive contre les états non démocratiques. Ce comportement étatique est expliqué en se limitant à l'analyse des périodes de conflit, laissant ainsi un grand manque dans la recherche qui porte sur la diversion étatique pendant les périodes de non-conflit. Cette étude vise donc à déterminer si les instabilités internes peuvent être associées aux comportements de diversion étatique, et ce, en période non conflictuelle. De plus, cette recherche vise à démontrer que les valeurs écologiques sont utilisées comme instruments de politique étrangère. Pour ce faire, les discours politiques entre les États-Unis et la Chine de 1979 à 2004 sont analysés, en utilisant un modèle qualitatif et comparatif. L'hypothèse centrale prévoit que, durant les périodes de non-conflit, les États-Unis utilisent l'environnement pour attaquer la Chine. Ce comportement est surtout observé lorsque l'administration américaine souffre de troubles internes et lorsque l'opinion publique américaine est en faveur de la protection de l'environnement.
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1842-1793 : entre la Chine et l'Angleterre : diplomatie-rhétorique

Déry, Carl 11 April 2018 (has links)
Le traité de Nankin de 1842, celui qu'on appelle souvent le premier des traités inégaux, est l'aboutissement d'un processus diplomatique qui s'inscrit dans la longue durée des relations sino-anglaises, aux XVIIIe-XIXe siècles. Une analyse soutenue des procédés d'argumentation à l'œuvre dans les correspondances officielles échangées entre les gouvernements chinois et anglais, depuis l'Ambassade Macartney de 1793 jusqu'à la Guerre de l'opium de 1840-42, nous dévoile une évolution très nette, voire une transformation de l'attitude diplomatique de chacun des protagonistes. Parmi les facteurs significatifs qui caractérisent cette longue intrigue diplomatique, on remarque la croissance des intérêts commerciaux, les changements au niveau des règles politiques qui régissent les pratiques européennes mais surtout, l'immense malaise social qui contribue à accroître de manière significative le déclin de l'autorité impériale chinoise. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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L'implication de la République populaire de Chine dans la Guerre du Viêtnam (1966-1969)

Laplante, Emile 09 September 2022 (has links)
La Guerre du Viêtnam est un conflit qui de 1954 à 1975 oppose les États-Unis, parrain du régime sud-vietnamien à Saigon, au régime nord-vietnamien à Hanoi et leurs alliés respectifs. Ce théâtre militaire géostratégique de la Guerre froide débute sous l'impulsion d'un mouvement révolutionnaire de réunification nord-vietnamienne du Viêtnam. Le gouvernement nord-vietnamien souhaite réunifier le pays, partitionné temporairement depuis 1954 en raison des Accords de Genève. Le gouvernement chinois, dirigé par le chef d'État Mao Zedong, s'implique dans le conflit en soutenant économiquement, militairement, politiquement et stratégiquement son partenaire à Hanoi qui recherche un soutien essentiel à ses démarches réunificatrices. Pékin envoie entre 1966 et 1969 de nombreuses divisions, brigades et régiments d'ingénieurs et de troupes d'artilleries antiaériennes, ainsi que des quantités importantes de biens, de matériels et de vivres, à Hanoi. Ces contributions fourniront un soutien indispensable au régime nord-vietnamien. Parallèlement, les dirigeants chinois fournissent un soutien politique et stratégique d'envergure à leurs homologues nord-vietnamiens par le biais de rencontres bilatérales récurrentes. Le 3 avril 1968, Hanoi annonce au monde avoir accepté de participer à des négociations quadripartites avec les États-Unis. Cette décision prise sans consulter Pékin frustre les dirigeants chinois. Les échanges bilatéraux sino-nord-vietnamiens diminuent dramatiquement avant de disparaître à la suite de cette annonce. Le 17 novembre 1968, les dirigeants chinois déclarent même à leurs homologues nord-vietnamiens qu'ils retirent leurs effectifs présents au Viêtnam. Cette recherche analyse donc cette transition abrupte de la politique étrangère nord-vietnamienne du gouvernement chinois, à savoir celle qui met fin, temporairement, à la collaboration étroite entre les deux pays durant cette période importante de la Guerre du Viêtnam.
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La traduction de la littérature québécoise en Chine : état des lieux et perspectives

Sun, Min 16 April 2018 (has links)
Dans un contexte de mondialisation de la culture et de l'expansion du rôle tant économique que culturel que joue la Chine sur la scène internationale, la Chine, au cours des dernières décennies, s'est intéressée à un nombre grandissant de littératures étrangères, dont la littérature québécoise d'expression française. Or, les études qui prennent en considération les modes de reproduction d'oeuvres littéraires québécoises au moyen de la traduction en Chine sont encore inédites. Peu d'études jusqu'ici se sont intéressées aux rapports interculturels sino-québécois. Ce travail vise à contribuer à l'avancement du savoir dans le domaine des études traductologiques centrées sur les relations interculturelles, en particulier entre le Québec et la Chine. La présente recherche a comme objectif d'explorer le rôle des traducteurs littéraires dans la diffusion de la culture littéraire québécoise en Chine. Plus spécifiquement, elle s'attarde sur les modes que revêt la diffusion en Chine de la culture littéraire québécoise au moyen de sa traduction. Son parcours se centre sw les questions suivantes : Que traduit-on de la production littéraire québécoise? Qui traduit en chinois la littérature québécoise? Pour qui la traduit-on? Comment la traduit-on? Cette étude traductologique vise en particulier à déterminer si la traduction de la httérature québécoise en chinois est le produit d'une approche vernaculaire ou exotisante. Elle repose sur l'analyse de quarante-cinq exemples tirés de trois oeuvres littéraires québécoises en fonction de trois thèmes : les particularismes, les réalités culturelles et les images métaphoriques. Nous examinons, d'une part, les difficultés inhérentes à la traduction de la culture littéraire québécoise et, d'autre part, les procédés utilisés par les traducteurs chinois face à ces écarts culturels qui posent des défis traductifs. La littérature québécoise est une part intégrante des littératures francophones. Or, contrairement à la littérature française, elle reste très peu connue auprès des lecteurs chinois. Notre recherche, en dressant un état de la présence de la littéramre québécoise en Chine, permettra aux lecteurs chinois de mieux connaître le Québec et la littérature québécoise, et contribuera à une diffusion plus large de la littérature québécoise en Chine.
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Étude des investissements directs étrangers sud-africains et chinois en Afrique : les préférences politiques et les implications idéologiques

Gaudreault, Francis 19 April 2018 (has links)
L'exemple de réussite économique des pays émergents fait de plus en plus d'envieux en Afrique. La croissance des investissements des pays émergents en Afrique est maintenant au centre de la politique économique internationale et deux pays sont grandement actifs en Afrique : l'Afrique du Sud et la Chine. L'objectif de ce mémoire est d'expliquer l'action politique et économique sud-africaine et chinoise en Afrique et d'identifier les déterminants politiques qui influencent les choix de destination de ces investissements. Les résultats révèlent que les investissements directs étrangers des corporations multinationales sud-africaines et chinoises en Afrique subsaharienne sont dirigés de préférence vers les pays ayant un régime politique autocratique en 2009 et 2010. Les résultats révèlent également que l'Afrique du Sud et la Chine ne prennent pas en considération lors de leurs investissements en Afrique subsaharienne le respect des droits humains. Finalement, nos résultats nous laissent croire que les deux pays émergents à l'étude, la Chine et l'Afrique du Sud, défient l'approche traditionnelle qui met habituellement de l'avant la bonne gouvernance démocratique et le respect des droits humains lors du choix des pays récipiendaires. L'action de ces deux pays émergents semble ainsi montrer un changement de paradigme à propos du développement économique.
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Entre mobilisation et manipulation : rôle des communautés locales en russie orientale : la question frontalière en Primor'e (1993-2000)

Dubé, François 18 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / Les relations entre la Russie et la Chine ont progressé de manière considérable depuis la ratification de l'accord sur leur frontière commune en 1991. Or, les enquêtes examinant cette évolution tendent traditionnellement à placer au centre de l'analyse l'opposition entre les exécutifs nationaux et les régions périphériques autour de la politique asiatique fédérale. Ces approches passent ainsi sous silence le rôle unique des communautés locales russes, ignorées par les cadres d'analyse. Nous examinerons ici l'influence et le rôle que jouèrent ces communautés dans l'évolution des relations frontalières sino-russes au cours des années 90. Pour ce faire, nous proposerons d'abord certains ajustements théoriques au modèle à niveaux multiples, qui nous permettront de recadrer notre analyse vers les interactions entre les autorités et les mobilisations locales. Nous procéderons ensuite à l'examen du rôle des communautés locales de la Primor'e sur deux enjeux régionaux : les échanges commerciaux transfrontaliers et les concessions territoriales.
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Redefining superpower relations in the Caspian : the same old game : a critical analysis of competition and cooperation as well as Russia's perception of threat posed by China and the US

Mizrokhi, Elena 17 April 2018 (has links)
Aujourd'hui, l'expression « Nouveau grand jeu » fait partie du jargon de la littérature scientifique et du discours politique. Cette expression établit une analogie avec le « Grand jeu », le conflit entre l'Empire russe et l'Empire britannique pour le contrôle de l'Asie centrale, et prétend que la compétition actuelle entre les puissances pour l'accès aux hydrocarbures de la région de la mer Caspienne demeure constante et intense. Ce mémoire conteste l'emploi de l'appellation « Nouveau grand jeu » pour qualifier les relations entre la Russie, la Chine et les États-Unis pendant les deux mandats présidentiels de Poutine. L'argument principal est façonné à partir d'une étude détaillée du contexte géopolitique régional et une analyse des données sur la production d'hydrocarbures sous contrôle de chacune des superpuissances. Ce projet de recherche démontre également l'influence de la hausse des investissements américains et chinois sur la façon dont Moscou perçoit ses rivaux et analyse l'impact de ces deux éléments sur l'articulation de la politique étrangère russe dans la région Caspienne.
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Influence of Chinese management soft power on African skills development

Abodohoui, Alexis 25 September 2019 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’influence du soft power managérial chinois sur les africains. La question fondamentale de recherche est : comment les africains ayant étudié en Chine ont-ils été influencés par le soft power chinois? Ont-ils développé des capacités managériales à l’instar des managers ou des entrepreneurs chinois? Afin de répondre à la question de recherche, le premier article offre une perspective synthétique des travaux réalisés sur la Chine-Afrique entre 2014-2015. Dans cette revue de littérature, les investissements chinois en Afrique, les acteurs, les motivations, le mode d'entrée, les impacts et les défis de gestion, ont été analysés à la lumière des théories en management international. Cette revue offre de nouvelles perspectives pour explorer les investissements chinois dans les pays africains et contribue à l'ensemble des connaissances sur les relations sino-africaines. Dans le second article, en raison de l’intégration croissante des deux régions, une comparaison des pratiques managériales entre la Chine et les pays africains a été faite. Le but de cet article est de faciliter cette compréhension par une analyse analytique de la littérature. D'après notre analyse, certaines similitudes et divergences liées principalement aux fondations de la gestion, aux styles managériaux, au réseautage et à l'entrepreneuriat ont été identifiées. En raison de la croissance des Africains en Chine, il devient de plus en plus opportun et pertinent d’étudier comment ils sont influencés par les valeurs culturelles chinoises. Ce troisième article analyse, à travers la théorie de l'acculturation, l'influence de la culture chinoise sur les pratiques managériales des Africains formés en Chine. Divers documents suggèrent que l'adaptation peut conduire à la performance et à la créativité. Nous étendons ceci pour inclure le réseau en tant que variable modératrice. À partir d’une enquête auprès de 378 managers africains, nous avons constaté que les adaptations socioculturelles, psychologiques et académiques influençaient de manière positive les compétences entrepreneuriales des Africains. En termes d’effets modérateurs, on considère que le réseau active ou renforce l’effet direct de l’adaptation sur le développement des compétences en entrepreneuriat. Quant au dernier article, il permet d’identifier les capacités managériales et entrepreneuriales développées par les africains lors de leur séjour en Chine. À partir d’une approche méthodologique interprétative basée sur la théorie du Soft Power, les thèmes qui émergent du répertoire cognitif des managers africains et qui reflètent les capacités développées sont entre autres le développement du réseau, la prise de risque, l'optimisme et le pragmatisme. Les résultats de cette étude fournissent de nouvelles perspectives pour l'exploration du soft power chinois en Afrique. Ils montrent que la Chine n'influence pas seulement à travers les aides, les investissements, le modèle économique, etc., mais qu'elle inspire aussi de nombreux pays en raison de ses idées de gestion connues sous le nom de gestion chinoise Soft Power. Mots-clés : pratiques managériales ; soft power ; management africain ; management chinois ; transfert de connaissances ; entrepreneuriat, renforcement de capacités ; adaptation culturelle ; investissements. / This thesis focuses on the Influence of Chinese management soft power on African skills development. The fundamental research question is: how were Africans who studied in China influenced by Chinese soft power? Have they developed managerial skills like Chinese managers or entrepreneurs? To answer these questions, the first article offers a synthetic perspective of the works done on China-Africa between 2014-2015. Based on this literature review, Chinese investments in Africa, the actors, and motivations, mode of entry, impacts and management challenges were analyzed in the light of theories in international management. This review offers new perspectives for exploring Chinese investments in African countries and contributes to the body of knowledge on Sino-African relations. In the second article, due to the growing integration of the two regions, a comparison of managerial practices between China and African countries was made. The purpose of this article is to facilitate this understanding through a critical analysis of the literature. Based on our analysis, some similarities and divergences related mainly to management foundations, managerial styles, networking and entrepreneurship were identified. The third article analyzes, through acculturation theory, the influence of Chinese culture on the managerial practices of Africans trained in China. Based on multiple linear regression, this article analyzes not only the effect of acculturation on the development of entrepreneurial capacities but also the moderating role of networking on the different on acculturation. As for the last article, it makes it possible to identify the managerial and entrepreneurial capacities developed by Africans during their stay in China. Using an interpretive methodological approach and based on the Soft Power theory, the themes that emerge from the cognitive repertoire of African managers and that reflect the capacities developed are: network development, risk-taking, optimism and pragmatism. The results of this study provide new perspectives for the exploration of Chinese soft power in Africa. They show that China does not only influence through aids, investments, economic model, etc. but it also inspires many countries due to its management ideas known as Chinese Management Soft Power. Keywords: managerial practices; soft power; African management; Chinese management; knowledge transfer; entrepreneurship, capacity building, cultural adaptation; investments.
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L'évolution des politiques du Canada à l'égard des droits de la personne en Chine (1984-2014) : l'influence des premiers ministres

Labrecque, Charles-Louis 23 April 2018 (has links)
Cette thèse s’intéressée à l’évolution de la politique étrangère du Canada envers les droits de la personne en Chine sur une période de trente ans, entre 1984 et 2014. Plus précisément elle analyse l’impact du décideur en tant qu’agent de changement. En s’inspirant de la littérature en psychologie politique qui traite de l’importance des décideurs sur la politique étrangère, cette thèse vérifie l’influence des codes opératoires et des traits de la personnalité des premiers ministres sur la politique étrangère du Canada à l’égard des droits de la personne en Chine. Cinq changements distincts ont été identifiés dans la façon dont le Canada a géré la question des droits de la personne en Chine. Si cette thèse ne confirme pas l’hypothèse de l’influence des codes opératoires et des traits de personnalité sur la comportement du Canada à l’égard de la Chine, elle vient toutefois confirmer l’importance de considérer l’impact du premier ministre et illustre que la seule considération des pressions domestiques et internationales, telles que traditionnellement considérées dans l’étude de la politique étrangère du Canada, n’est pas suffisante pour comprendre le comportement international du Canada. Cette thèse illustre que les caractéristiques personnelles des premiers ministres peuvent avoir un impact sur la politique étrangère du Canada lorsqu’une « fenêtre d’opportunité » est ouverte. Ces « fenêtres d’opportunité » s’ouvrent lorsque les contextes interne et externe permettent un changement de politique. Cette thèse a également apporté une contribution aux connaissances portant sur les relations entre le Canada et la Chine. La recension historique des relations sino-canadiennes effectuée dans cette thèse est plus détaillée que ce qui a été réalisé jusqu’à présent et cette étude a fait ressortir différents éléments des relations sino-canadiennes jusqu’ici méconnus. Par exemple, au contraire de ce qui a souvent été affirmée à propos de la politique du Canada à l’égard de la Chine, cette thèse a démontré que les droits de la personne ont été intégrés dans la politique du Canada en 1986 et non seulement à partir de 1989.

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