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The instrumentalisation of the environment and the diversionary behaviour in non-conflictual conditions : a case study of the political discourse between the USA and China between 1979 and 2004 / Instrumentalisation of the environment and the diversionary behavior in non-conflictual conditionsAlatassi, Alia 16 April 2018 (has links)
Comme la protection de l'environnement reçoit une attention croissante dans le discours politique actuel, il importe de se demander si ce phénomène représente une politique d'état bien définie ou un simple instrument stratégique. Ce mémoire cherche à répondre à cette question, en utilisant la théorie de la diversion conflictuelle. Cette théorie affirme que les chefs politiques éprouvant des problèmes internes appliquent une politique étrangère agressive contre les états non démocratiques. Ce comportement étatique est expliqué en se limitant à l'analyse des périodes de conflit, laissant ainsi un grand manque dans la recherche qui porte sur la diversion étatique pendant les périodes de non-conflit. Cette étude vise donc à déterminer si les instabilités internes peuvent être associées aux comportements de diversion étatique, et ce, en période non conflictuelle. De plus, cette recherche vise à démontrer que les valeurs écologiques sont utilisées comme instruments de politique étrangère. Pour ce faire, les discours politiques entre les États-Unis et la Chine de 1979 à 2004 sont analysés, en utilisant un modèle qualitatif et comparatif. L'hypothèse centrale prévoit que, durant les périodes de non-conflit, les États-Unis utilisent l'environnement pour attaquer la Chine. Ce comportement est surtout observé lorsque l'administration américaine souffre de troubles internes et lorsque l'opinion publique américaine est en faveur de la protection de l'environnement.
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1842-1793 : entre la Chine et l'Angleterre : diplomatie-rhétoriqueDéry, Carl 11 April 2018 (has links)
Le traité de Nankin de 1842, celui qu'on appelle souvent le premier des traités inégaux, est l'aboutissement d'un processus diplomatique qui s'inscrit dans la longue durée des relations sino-anglaises, aux XVIIIe-XIXe siècles. Une analyse soutenue des procédés d'argumentation à l'œuvre dans les correspondances officielles échangées entre les gouvernements chinois et anglais, depuis l'Ambassade Macartney de 1793 jusqu'à la Guerre de l'opium de 1840-42, nous dévoile une évolution très nette, voire une transformation de l'attitude diplomatique de chacun des protagonistes. Parmi les facteurs significatifs qui caractérisent cette longue intrigue diplomatique, on remarque la croissance des intérêts commerciaux, les changements au niveau des règles politiques qui régissent les pratiques européennes mais surtout, l'immense malaise social qui contribue à accroître de manière significative le déclin de l'autorité impériale chinoise. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Entre mobilisation et manipulation : rôle des communautés locales en russie orientale : la question frontalière en Primor'e (1993-2000)Dubé, François 18 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / Les relations entre la Russie et la Chine ont progressé de manière considérable depuis la ratification de l'accord sur leur frontière commune en 1991. Or, les enquêtes examinant cette évolution tendent traditionnellement à placer au centre de l'analyse l'opposition entre les exécutifs nationaux et les régions périphériques autour de la politique asiatique fédérale. Ces approches passent ainsi sous silence le rôle unique des communautés locales russes, ignorées par les cadres d'analyse. Nous examinerons ici l'influence et le rôle que jouèrent ces communautés dans l'évolution des relations frontalières sino-russes au cours des années 90. Pour ce faire, nous proposerons d'abord certains ajustements théoriques au modèle à niveaux multiples, qui nous permettront de recadrer notre analyse vers les interactions entre les autorités et les mobilisations locales. Nous procéderons ensuite à l'examen du rôle des communautés locales de la Primor'e sur deux enjeux régionaux : les échanges commerciaux transfrontaliers et les concessions territoriales.
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Redefining superpower relations in the Caspian : the same old game : a critical analysis of competition and cooperation as well as Russia's perception of threat posed by China and the USMizrokhi, Elena 17 April 2018 (has links)
Aujourd'hui, l'expression « Nouveau grand jeu » fait partie du jargon de la littérature scientifique et du discours politique. Cette expression établit une analogie avec le « Grand jeu », le conflit entre l'Empire russe et l'Empire britannique pour le contrôle de l'Asie centrale, et prétend que la compétition actuelle entre les puissances pour l'accès aux hydrocarbures de la région de la mer Caspienne demeure constante et intense. Ce mémoire conteste l'emploi de l'appellation « Nouveau grand jeu » pour qualifier les relations entre la Russie, la Chine et les États-Unis pendant les deux mandats présidentiels de Poutine. L'argument principal est façonné à partir d'une étude détaillée du contexte géopolitique régional et une analyse des données sur la production d'hydrocarbures sous contrôle de chacune des superpuissances. Ce projet de recherche démontre également l'influence de la hausse des investissements américains et chinois sur la façon dont Moscou perçoit ses rivaux et analyse l'impact de ces deux éléments sur l'articulation de la politique étrangère russe dans la région Caspienne.
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L'influence des facteurs externes sur les préférences politiques et identitaires des taïwanaisMargotton, Frédéric 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / Grâce au tournant sociologique de la discipline des relations internationales, les questions identitaires suscitent un intérêt nouveau. Ainsi, de nombreux auteurs cherchent à comprendre les effets de l'identité nationale ainsi que les facteurs - internes et externes - pouvant l'influencer. Notre étude analyse et évalue le poids relatif qu'exerce chacun des facteurs externes de nature économique, politique ou militaire sur les préférences identitaires et politiques des individus d'une nation en quête d'indépendance de jure ou, du moins, d'une plus grande autonomie. Ici, celle retrouvée à Taïwan. Les résultats nous permettent de confirmer que les facteurs de nature économique influenceront davantage l'opinion publique, l'amenant vers plus de pragmatisme. Cependant, la mémoire collective ainsi que les autres facteurs externes ont joué et continuent à jouer un rôle significatif dans la définition de l'identité nationale à Taïwan et dans l'élaboration de préférences conditionnelles en regard au statut politique futur de leur ± nation ¿.
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La Chine face à l'Angleterre et la Russie aux XVIIe-XVIIIe siècles : évaluation comparative des attitudes de la dynastie Qing sous l'angle des modalités de l'actualisation frontalièreDéry, Carl 23 April 2018 (has links)
Cette thèse propose une évaluation comparative des attitudes de la dynastie Qing face à l’Angleterre et la Russie aux XVIIe – XVIIIe siècles, particulièrement autour de l’ambassade Macartney de 1793 et de la ratification des Traités de Nerchinsk (1689) et de Kiaktha (1727). Plusieurs réponses ont été proposées par les historiens pour tenter d’expliquer pourquoi les Mandchous ont accepté de signer des ententes frontalières avec la Russie, tout en refusant systématiquement de négocier quoi que ce soit avec l’Angleterre. Plutôt que d’ajouter une autre voix à la recherche d’explications des causes de ces divergences à partir d’une essentialisation de la culture et de la tradition chinoises, nous croyons que ces attitudes s’inscrivent toujours dans la contingence des rencontres et qu’elles reproduisent d’importantes similitudes selon des modalités particulières. Ces modalités se retrouvent au cœur d’une dynamique identitaire que nous appelons l’actualisation frontalière, faisant la part entre l’intérieur et l’extérieur, se trouvant à la jonction de l’affirmation territoriale et des processus de légitimation politique. Selon notre modèle théorique de l’actualisation frontalière, les relations diplomatiques de la dynastie Qing aux XVIIe – XVIIIe siècles doivent d’abord se lire comme des relations frontalières qui reproduisent une certaine constance, davantage en fonction de l’intensité de l’éloignement et de la complexité géopolitique, plutôt qu’en fonction des institutions ou des règles prescrites, des configurations territoriales, des événements ou même des spécificités des populations impliquées. Cette perspective nous permet de reconnaître des similitudes stratégiques dans la fluctuation des réactions et des attitudes de la dynastie Qing, reproduisant les mêmes dynamiques face à l’Angleterre et la Russie, mais aussi à l’occasion, face aux Hollandais, Dzungares, Portugais, Solons, Khalkhas, ainsi que face aux Chinois des provinces du littoral. Notre modèle théorique apparaît comme un filtre frontalier, reposant d’abord sur l’intégration par le Trône des populations périphériques, à cheval entre l’intérieur et l’extérieur du territoire de l’Empire Qing, demeurant le creuset sur lequel se fondent toutes les attitudes, les représentations et les stratégies à l’égard de l’étranger. / This thesis proposes a comparative evaluation of Qing dynasty’s attitudes toward England and Russia during the 17th – 18th centuries. Historians have offered number of answers trying to explain why the Manchus have accepted to sign frontier agreements with Russia in 1689 and 1727 (Treaty of Nerchinsk and of Kiaktha) while refusing systematically to negotiate anything whatsoever with England during the Macartney Embassy of 1793. Instead of adding another voice to a type of research based on trying to find causes for the explanation of different attitudes, which are too often leading to essentializing Chinese culture and traditions, we’re trying to show how attitudes toward strangers are always rooted in contingencies and how they reproduce important similarities according to specific modalities. Those modalities are at the heart of a dynamic process of political self-identification that we call frontier actualization. This frontier actualization plays the crucial role of a filter separating and distinguishing the realm of the Inner and the Outer, and is to be found at the junction of territoriality and political legitimization. Through the lens of this dynamic filter, one can recognize that attitudes and strategies of the Qing dynasty toward strangers are reproducing the same pattern, according to the intensity of the distance toward central power and geopolitical complexities, rather than according to a prescribe set of rules and institutions, traditions, territory, events, and also the populations involved. Because diplomatic strategies are first rooted in the process of integrating peripheral populations, it is possible to recognize a similar pattern in the fluctuating attitudes toward England and Russia, but also toward Dzungars, Khalkhas, Holland, Solons, and even toward the Chinese population living on the different frontiers of the Empire.
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The EU's trade relations with China, 1975-2008: a linkage power at work ?Zhang, Xiaotong 20 April 2010 (has links)
The EU’s Trade Relations with China (1975-2008): <p>A Linkage Power at Work?<p><p>(Summary)<p><p>The central aim of this thesis is to improve our understanding of the EU’s power, in particular in its external trade relations/negotiations. Our hypothesis is that the EU is a distinctive kind of linkage power, defined as an actor relying on linkage as a crucial modus operandi in its external relations. We explored how, to what extent and in which distinctive ways the EU is such a linkage power. <p>Our analysis was based on three logically interrelated concepts – power resources, linkage and linkage power. Linkage refers to a leveraging strategy, with an aim of packaging relevant power resources, so as to increase leverage in bargaining, or more generally attain a policy objective. I identified seven types of linkages that the EU used: political-economic issue linkage, economic-economic issue linkage, conditionality, contextual linkage, linkage with a third party, cognitive linkage and synergistic linkage. Linkage can hardly work without proper power resources. The latter, as Dahl (1970) defined, refers to all the resources-opportunities, acts, objects etc – that an actor can exploit in order to affect the behaviour of another. So, linkage is a bridge between power resources and impacts – meaning affecting or changing the behaviour of another party. By putting linkage and power together, we created a new term – “linkage power”, referring to a power based on linkages. The EU, the US, China or any other power can all be such labelled, though these actors may diverge in power resources, linkage strategies and the variables affecting linkage effectiveness. When applying such an analytical framework to the EU, we gave particular attention to the implications of the EU’s sui generis nature on its linkage power.<p>Our case study is the EU’s trade relations with China (1975-2008), which were punctuated by two critical historical junctures – the Tian’anmen Square Incident in 1989 and the EU-China Textile Crisis in 2005. In 1975, The EEC’s successful strategy by linking political issues (Europe-China balancing the Soviet Union and recognising China’s sovereignty over Taiwan) with economic issues (signing the EEC-China Trade Agreement) played a crucial role in securing the establishment of diplomatic relations between the EEC and China. Different types of linkages were then applied to the EEC’s negotiations with Beijing on the 1978 Trade Agreement and the 1979 textile agreement, which effectively prompted the Chinese side to agree to the EU’s terms.<p>Immediately after the 1989 Tian’anmen Square Incident, the EC imposed economic sanctions with an aim of coercing China to accept Western world’s human rights conditions. This linkage did not last long or pay off due to divergent political and economic interests among the Member States and the EC’s institutional handicaps (foreign policy competence was largely in the hands of Member States, collective foreign policy action was non-binding), and soon de-linked.<p>Having realised that confrontational approach did not work well, the EC/EU and its Member States started to change their China policies in 1993-95. The period of 1993-2004 witnessed the EC/EU’s power through partnership. The strategic partnership was seen as a complex of different pairs of issue linkages, ranging from political-strategic issues to economic and human rights issues. The partnership, once established, had fostered new linkages and consolidated old ones. China’s WTO accession was seen as a once-in-a-century opportunity for the EU to exercise linkage through conditionality, so as to extract market access concessions from the Chinese side. Moreover, by linking with China could the European Commission garnered international support for advancing the Galileo project within the Union and ward off some of the US pressure in 2003. <p>The Year 2005 was singled out since an unprecedented trade row on textiles broke out, confronting the EU against China’s export prowess resulting from globalisation and China’s WTO accession. Linkages were used as a predominant strategy to help the EU to persuade and press the Chinese side firstly accept voluntary export restrictions and then share the burden of allowing the blocked textiles in European ports to be released. In 2006-08, the trade deficit problem emerged, coupled with a series political spats between Europe (France and Germany) and Beijing on the Tibet issue. As the EU-China honeymoon was over, the Commission toughened its approach towards China. Although linkage was again used to redress the trade deficit, its effects were not satisfactory, as the EU power resources were eroded. <p>Our conclusions are (1) linkage is a crucial modus operandi in the EU’s internal bargain and its external relations with China; (2) Linkage was generally effective vis-à-vis China, but with variations, either over time or across different linkage types; (3) The EU is a sui generis linkage power, resulting from its institutional characteristics and heterogeneity of interests among the Commission and Member States. We find that the EU’s increased institutionalisation (both regional and bilateral) and competences generally facilitated its use of linkage strategies. The EU’s sui generis structure and its internal interest divergences have mixed implications on its linkage effectiveness. On one hand, the EU’s linkage power was weakened accordingly. But on the other, the Commission could tactically make use of some Member State government’s row with Beijing and advance its own economic agenda (such as the EU-China High-level Economic and Trade Dialogue, HED). Moreover, our research also confirmed Andrew Moravcsik’s argument that issue linkage is more easily made within an issue-area than across issue-areas. But we differ from him on the reason behind that. We find that this was largely attributable to the EU’s pillar structure and competence divisions. <p>The theoretical contributions include: (1) Linkage power provides a distinctive prism to look into the EU’s concrete strategies in internal bargains, and external commercial negotiations. Linkage serves as a crucial strategy for the EU to handle its relations with a far-abroad country like China, including establishing diplomatic relations, negotiating trade deals, forging strategic partnerships and holding high-level dialogue. (2) Giving some insights to the EU’s actorness. We find that the EU, though institutionally not a unitary actor, was somehow able to present its power to the extent like a sovereign state on some occasions using linkage strategies. (3) Contributing to the understanding of the EU’s means to spread its governance model. We find that the EU’s norm-setting goals have often been achieved through non-normative ways – such as interest exchange and trade-off, and other deliberate ways of persuasion and even coercion, mainly based on linkage. (4) Shedding light on the interactions between the Commission and the Member State governments and on the Commission’s autonomy in external trade relations. <p> Two future directions of research have been identified: (1) comparative studies: the EU’s linkage practices vis-à-vis the US, Russia and middle powers, or other actors’ linkage strategies vis-à-vis China; (2) post-Lisbon linkage strategies used by the EU. <p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Mackinder reloaded : the emerging role of international security institutions in the global scramble for Central AsiaContessi, Nicola 18 April 2018 (has links)
Plusieurs organisations internationales régionales de sécurité ont été créées en Asie centrale depuis la fin de la Guerre froide, typiquement sous l’impulsion d’un État entrepreneur. Malgré la présence de plusieures ménaces à la sécurité provenant de cette région, on peut se si les institutions existent vraiment pour réduire les coûts de transaction qui découlent du besoin de négocier les accords destinés à encadrer les relations interétatiques, n’en serait-il suffisante une seule? Si d’autre part, les institutions internationales sont sans importance tel que le prétendent les néoréalistes, comment expliquer cette multiplication d’acronymes? En prenant comme point de départ l’affirmation que “la coopération rend possible l’exercice du pouvoir” (Moe 2003, 12), cette thèse présume que depuis la fin de la Guerre froide, les grandes puissances ont été enclines à se servir des institutions intergouvernementales multilatérales pour brandir leur influence dans la région. Il est suggéré que les institutions multilatérales représentent une option stratégique inégalée par des outils de politique alternatifs, tel que les relations bilatérales. Leur valeur spécifique réside dans le fait de générer des opportunités permettant de légitimer des positions et des discours, former des coalitions et solidifier des relations, y compris des relations de pouvoir. Ceci s’éloigne sensiblement de la position réaliste selon laquelle les institutions ne sont autre chose que le miroir d’un équilibre de puissance en présence. Au contraire, cela suggère que les institutions contribuent à créer et à façonner les rapports de pouvoir. Cela s’éloigne également de l’approche néolibérale des couts de transaction, qui néglige largement la dimension du pouvoir. À partir de ces observations, cette thèse développe un cadre théorique pour expliquer le comportement respectif de la Chine dans l’Organisation de coopération de Shanghai, de la Russie dans l’Organisation du Traité de sécurité collective, et des États-Unis dans le Partenariat Euro-Atlantique de l’OTAN. Ce cadre met de l’avant deux hypothèses stipulant que les institutions internationales représentent la variable intermédiaire grâce à laquelle un État entrepreneur s’efforce de : 1) promouvoir son propre contrôle sur les États membres qui lui sont associés; 2) refuser ce même contrôle à une institution ou à une puissance rivale. Les donnés empiriques récoltées soutiennent significativement le mécanisme exposé dans le cadre de la première hypothèse, mais sont insuffisantes à confirmer pleinement la seconde, bien que les réalisations de ces institutions soient cohérentes avec les attentes evoqués par l’hypothèse. / Numerous regional security organizations have emerged in Central Asia since the end of the Cold War under the leadership of one entrepreneur nation. Whereas multiple security externalities stem from the region, if institutions are really in place to reduce the transaction costs arising from the need to negotiate agreements that guide interstate cooperation, wouldn’t one be sufficient? If, on the other hand, institutions are irrelevant as neorealists argue, why such proliferation of acronyms? Starting from the insight that “it is cooperation that makes the exercise of power possible” (Moe 2003: 12), this thesis assumes that since the end of the Cold War, major powers have been prone to using multilateral intergovernmental institutions as a means of wielding influence in the region. It is suggested that multilateral institutions represent a strategic option that alternative policy instruments, such as bilateral agreements, do not match. Their specific value is that they generate opportunities to legitimize claims, form coalitions, and crystallize power relations. This is quite different from saying that institutions are merely a reflection of existing power relations, as much realist literature does. Rather it suggests that institutions have a role in creating and shaping power relations. But it also differs from the transaction costs approach which neglects the power dimension. The research develops a framework to explain the respective agency of China in the Shanghai Cooperation Organization, Russia in the Collective Security Treaty Organization, and the United States in NATO’s Euro-Atlantic Partnership. This framework advances two hypotheses which postulate that institutions represent the intervening variable for entrepreneur states to: 1) foster control over the associated member states; and 2) Deny attempts to exercise control to rival institutional projects or major powers. Empirical evidence lends significant support to the mechanism described by the first hypothesis, but is insufficient in the case of the second one, though institutional outputs are consistent with the expectations of the hypothesis.
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Héros chinois, aussi un héros canadien? : étude des représentations canadiennes de Norman Bethune, de sa mort à 1979St-Pierre, Marc 09 September 2024 (has links)
Bethune a connu une vie atypique. Médecin, artiste, communiste, humaniste, il se fait volontaire lors de la guerre civile espagnole. Puis, il se rend en Chine pour offrir ses services à la 8e Armée de route. Son parcours chez les Chinois, ainsi que sa mort, le mène à l'héroïsation en Chine. Cependant, l'histoire de Bethune ne s'arrête pas avec son décès, il y a également une histoire de ses représentations après sa mort. Ce mémoire retrace l'histoire des représentations de Bethune au Canada de 1939 à 1979. Bethune était controversé de son vivant, cela continue aussi après sa mort alors que les représentations du docteur sont parfois diamétralement opposées.
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