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Réintégrer les départements annexés : le gouvernement et les services d’Alsace-Lorraine (1914-1919) / Returning to motherland : French government and the public administration of Alsace-Lorraine (1914-1919)

Schmauch, Joseph 01 December 2016 (has links)
Dès 1915, le gouvernement français élabore des projets politiques et administratifs pour l’Alsace-Lorraine, dans l’hypothèse d’une paix victorieuse. A cette fin, différents organismes sont chargés de formuler des vœux pour l’après-guerre. Au lendemain de l’armistice, un décret confie l’administration préfectorale à trois commissaires de la République, résidant à Metz, Colmar et Strasbourg. La présente étude, consacrée aux organisations civiles en charge de l’Alsace-Lorraine pendant la Première Guerre mondiale s’inscrit dans un horizon administratif aussi bien que politique. Elle s’intéresse aux positionnements adoptés par les autorités françaises, confrontées à une problématique de substitution de souveraineté : définition d’un régime administratif, adaptation législative, intégration à l’espace économique, orientations dans les domaines linguistique, scolaire ou confessionnel. Elle interroge les pratiques du pouvoir dans un contexte de guerre et de redéfinition du rapport de l’Etat vis-à-vis du fait régional. L’espace géographique dans lequel s’inscrit ce sujet de recherches impose également une approche comparatiste avec les réflexions conduites en Allemagne quant au devenir de l’Alsace-Lorraine dans l’hypothèse d’une victoire impériale. L’analyse s’intéresse, dans un premier temps, aux réflexions développées par les organismes chargés de préparer l’avenir des provinces annexées. Partant de cette volonté de réintégrer l’Alsace et la Lorraine, l’étude se penche sur les structures mises en œuvre pour « faire aimer la France ». La réflexion porte, enfin, sur les formes d’administration mises en œuvre sur le terrain, d’abord dans les seuls territoires de Haute-Alsace occupés par les armées françaises, puis, au cours des mois qui suivent le 11 novembre 1918, dans les trois départements recouvrés. / From 1915, the French government develops political and administrative plans for Alsace-Lorraine in case of a victorious peace. For that purpose, different organizations are involved in the conception of orientations to be applied after war. Following the armistice, a decree puts three commissars of the French Republic, in residence at Strasbourg, Metz and Colmar, in charge of prefectural duties. This study, about the civil organizations in charge of Alsace-Lorraine during the First World War, lies within an administrative, but also political frame. It is dealing with the positioning of French authorities, facing a substitution of sovereignty: definition of an administrative system, adaptation of the existent laws, integration into the French economic space, orientations to be given in the fields of language, scholarship or religion. It questions the practices of government in a context of war and of redefinition of the relations between State and regional power. The geographical frame, in which this research is inscribed, leads necessarily to make comparisons with the reflections about the future of Alsace-Lorraine in case of an imperial victory, that are taking place in Germany in the same time. The analysis will first deal with the projects, which are developed by the organizations in charge of preparing the future of the annexed provinces. To underline this French wish of a return of Alsace-Lorraine, the study will also be handling with the organizations in charge of “inspire love toward France”. The thesis will also be dealing with the different organizations in charge to govern concretely Alsace and Lorraine, in a first time the only territories in Upper-Alsace, that are occupied by the French armies, and during the months that are following November the 11th 1918, the entire the three departments in totality.
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Le contrôle du Conseil de sécurité en matière d'occupation impliquant ses membres permanents

Saihi, Majouba 05 1900 (has links)
Le Conseil de sécurité est l’organe principal du système onusien chargé du maintien de la paix et de la sécurité internationales. Face à une situation illégale, il ne peut donc l’ignorer et s’en désintéresser. Cependant, la perpétration d’un acte à la légalité controversée par l’un ou plusieurs de ses membres permanents peut nous laisser entendre que l’organe politique onusien aura des difficultés à remplir son rôle. Les membres permanents vont tenter d’instrumentaliser le Conseil de sécurité afin de diminuer l’illégalité de la situation. Ceci pose avec acuité le problème du contrôle de son activité en matière de maintien de la paix. L’accomplissement d’un acte illégal par un ou plusieurs membres permanents du Conseil de sécurité nécessite alors de réfléchir à des moyens d’ordre juridique pour limiter son pouvoir. Cette réflexion s’avère particulièrement pressante lorsque le Conseil est confronté à une occupation de guerre impliquant ses membres permanents ou, lorsqu’il crée ou autorise des opérations de paix de grandes envergures suite à un conflit armé impliquant ses membres permanents. Afin de limiter les prérogatives du Conseil de sécurité, le régime juridique de l’occupation tel qu’énoncé par le Règlement de La Haye (IV) de 1907 et la IVe Convention de Genève de 1949 devrait être appliquer par l’organe politique onusien lorsqu’il intervient dans une situation d’occupation de guerre impliquant ses membres permanents. L’objectif est d’éviter qu’il n’attribue aux puissances occupantes des missions qui dépassent le cadre juridique imposé par le droit des conflits armés. L’autorisation, par le Conseil de sécurité d’opérations de paix, telles qu’une administration civile transitoire ou une force multinationale avec un mandat de la paix avec recours à la force armée, suite à un conflit armé impliquant ses propres membres permanents, ouvre le débat sur leur réglementation. Alors, il sera proposé une interprétation progressiste de la définition de l’occupation telle qu’énoncée par le Règlement de La Haye (IV) de 1907 et la IVe Convention de Genève de 1949 afin d’y intégrer ces nouvelles formes d’occupations pacifiques, présentant de grandes similitudes avec les occupations de guerre. Ainsi, le régime juridique de l’occupation pourra leur être appliqué. / The Security Council is the primary body of the UN system responsible for peacekeeping and international security. In cases of violations of international law, the Security Council cannot turn a blind eye. Nevertheless, in cases when Security Council members are themselves perpetrators of international law violations one could conclude that this political body has difficulties in fulfilling its mandate. The danger exists that Security Council members in violation of international law will implicate the Security Council in justifying illegal decisions. This therefore raises the question of Security Council accountability. The violation of international law by a Security Council member therefore requires a legal mechanism to limit the powers of this body. This is particularly relevant for cases of occupation involving its permanent members, or, when the Security Council creates or authorizes large-scale peace-keeping operations following an armed conflict involving its own members. In order to limit the powers of the Security Council, this study proposes to impose a legal regime of administration as stipulated by the IV (1907) Hague and the 4th 1949 Geneva Convention, according to which the Security Council intervenes when a territory is administered by one of its permanent members. The goal is to avoid that the Security Council gives too much freedom to an administrative power during interventions which go beyond the legal framework defined by the law on administrated territories. The authorization by the Security Council of peace-keeping operations, such as transitional civil administration or multinational peace-keeping force mandated to use force, following an armed conflict involving its own members, opens the debate of their regulation. Consequently a progressive interpretation of occupation as defined by the IV (1907) Hague and the 4th 1949 Geneva Convention is proposed in order to encompass new forms of peaceful occupations which contain clear similarities with military occupations. Thus, they will fall under the legal mechanism of the latter.
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Le contrôle du Conseil de sécurité en matière d'occupation impliquant ses membres permanents

Saihi, Majouba 05 1900 (has links)
Le Conseil de sécurité est l’organe principal du système onusien chargé du maintien de la paix et de la sécurité internationales. Face à une situation illégale, il ne peut donc l’ignorer et s’en désintéresser. Cependant, la perpétration d’un acte à la légalité controversée par l’un ou plusieurs de ses membres permanents peut nous laisser entendre que l’organe politique onusien aura des difficultés à remplir son rôle. Les membres permanents vont tenter d’instrumentaliser le Conseil de sécurité afin de diminuer l’illégalité de la situation. Ceci pose avec acuité le problème du contrôle de son activité en matière de maintien de la paix. L’accomplissement d’un acte illégal par un ou plusieurs membres permanents du Conseil de sécurité nécessite alors de réfléchir à des moyens d’ordre juridique pour limiter son pouvoir. Cette réflexion s’avère particulièrement pressante lorsque le Conseil est confronté à une occupation de guerre impliquant ses membres permanents ou, lorsqu’il crée ou autorise des opérations de paix de grandes envergures suite à un conflit armé impliquant ses membres permanents. Afin de limiter les prérogatives du Conseil de sécurité, le régime juridique de l’occupation tel qu’énoncé par le Règlement de La Haye (IV) de 1907 et la IVe Convention de Genève de 1949 devrait être appliquer par l’organe politique onusien lorsqu’il intervient dans une situation d’occupation de guerre impliquant ses membres permanents. L’objectif est d’éviter qu’il n’attribue aux puissances occupantes des missions qui dépassent le cadre juridique imposé par le droit des conflits armés. L’autorisation, par le Conseil de sécurité d’opérations de paix, telles qu’une administration civile transitoire ou une force multinationale avec un mandat de la paix avec recours à la force armée, suite à un conflit armé impliquant ses propres membres permanents, ouvre le débat sur leur réglementation. Alors, il sera proposé une interprétation progressiste de la définition de l’occupation telle qu’énoncée par le Règlement de La Haye (IV) de 1907 et la IVe Convention de Genève de 1949 afin d’y intégrer ces nouvelles formes d’occupations pacifiques, présentant de grandes similitudes avec les occupations de guerre. Ainsi, le régime juridique de l’occupation pourra leur être appliqué. / The Security Council is the primary body of the UN system responsible for peacekeeping and international security. In cases of violations of international law, the Security Council cannot turn a blind eye. Nevertheless, in cases when Security Council members are themselves perpetrators of international law violations one could conclude that this political body has difficulties in fulfilling its mandate. The danger exists that Security Council members in violation of international law will implicate the Security Council in justifying illegal decisions. This therefore raises the question of Security Council accountability. The violation of international law by a Security Council member therefore requires a legal mechanism to limit the powers of this body. This is particularly relevant for cases of occupation involving its permanent members, or, when the Security Council creates or authorizes large-scale peace-keeping operations following an armed conflict involving its own members. In order to limit the powers of the Security Council, this study proposes to impose a legal regime of administration as stipulated by the IV (1907) Hague and the 4th 1949 Geneva Convention, according to which the Security Council intervenes when a territory is administered by one of its permanent members. The goal is to avoid that the Security Council gives too much freedom to an administrative power during interventions which go beyond the legal framework defined by the law on administrated territories. The authorization by the Security Council of peace-keeping operations, such as transitional civil administration or multinational peace-keeping force mandated to use force, following an armed conflict involving its own members, opens the debate of their regulation. Consequently a progressive interpretation of occupation as defined by the IV (1907) Hague and the 4th 1949 Geneva Convention is proposed in order to encompass new forms of peaceful occupations which contain clear similarities with military occupations. Thus, they will fall under the legal mechanism of the latter.

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