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Étude de l’orientation cardinale sud dans les sépultures mayas de la Période Classique

Lessard, Sandrine 12 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur l’étude de l’orientation des sépultures mayas de la Période Classique (250 - 900/1000 de notre ère). Il s’agit d’une recherche visant à comprendre le choix d’une orientation sud des défunts dans la vallée du Belize et ses environs. L’intérêt porté à cette région vient du fait que l’orientation sud des défunts est un phénomène que l’on retrouve rarement sur le territoire maya, sauf à cet endroit. Alors que la présence de la cardinalité en lien avec la cosmovision maya est attestée dans l’architecture, le plan des sites, la forme et la fonction des divinités, dans l’agriculture, etc., il est plutôt rare qu’elle soit analysée dans les études du traitement funéraire. Ainsi, le but de cette recherche est de saisir l’ampleur de la pratique de l’orientation sud des défunts sur le territoire maya, de comprendre son origine et sa ou ses possible(s) signification(s). Les données des sépultures de la Période Classique de cinq sites de la vallée du Belize (Baking Pot, Barton Ramie, Blackman Eddy, Cahal Pech et Xunantunich), de quatre sites du Plateau Vaca (Minanha, Pacbitun, Mountain Cow et Caracol) et de trois sites situés à l’ouest (Holmul) et au nord (San José et Altun Ha) de ces deux régions sont compilées. Les résultats révèlent que le coeur de cette pratique se trouve dans la vallée du Belize, bien qu’une orientation sud des défunts ait été retrouvée partout. Cette pratique semble apparaitre à la fin de la Période Préclassique et les analyses ne révèlent pas de lien entre l’orientation sud et certaines variables (âge, sexe, position du défunt). Finalement, on arrive à la conclusion qu’il est possible que cette orientation sud des défunts soit en lien avec le passage des défunts dans l’inframonde et que cela forme un choix culturel local en lien avec le statut et l’identité du défunt. / This thesis focuses on the study of the orientation of Classic Maya burials (AD 250 - 900/1000). The research is directed towards the understanding of the presence of the south orientation of burials in the Belize Valley and its surroundings. While the presence of the cardinality of the Mayan worldview is established as reflected in the architecture, settlement patterns, form and function of divine agents, agriculture, etc., it is rarely analyzed in funerary treatment studies. Thus, the aim of this research is to understand the extent of the practice of the south orientation of the deceased on the Mayan territory, to understand its origin, and its possible signification(s). Data from the Classic burials of five Belize Valley sites (Baking Pot, Barton Ramie, Blackman Eddy, Cahal Pech, and Xunantunich), four Vaca Plateau sites (Minanha, Pacbitun, Mountain Cow, and Caracol), and three sites located west (Holmul) and north (San José and Altun Ha) of the two previous regions have been compiled. The results reveal that the heart of this practice lies in the Belize Valley, although a south orientation of the deceased was found everywhere. This practice seems to appear at the end of the Preclassic Period and analysis revealed no link between south orientation and certain variables (age, sex, position of the deceased). Finally, it was found that it is possible that south orientation of the deceased is connected with the passage of the deceased in the underworld, and that it is a local choice in connection with the status and the identity of the deceased.
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Blood, fire and fertility : human remains and ritual practices at the temple pyramid groups of Cantona, Puebla, Mexico

Meehan, Pascale D. 05 1900 (has links)
La ville préhispanique de Cantona, située dans la vallée d’Oriental dans l’état de Puebla au Mexique, atteignit sa première apogée culturelle entre 150 av. J.C. et 600/650 A.D. Durant cette période, des complexes cérémoniaux comprenant des groupes de pyramides-temples et des terrains de jeu de balle furent construits. Ces installations servirent au déroulement de nombreux rites au cours desquels les victimes de sacrifices étaient décapitées, démembrées, décharnées, écorchées, bouillies, brûlées et, dans certains cas, consommées. D’autres traitements du corps humain comportent l’inhumation d’individus en position assise et repliés sur eux-mêmes. Pour mieux comprendre le traitement mortuaire rituel des corps humains à Cantona, les découvertes faites sur place sont comparées aux données datant de la même époque obtenues dans trois régions voisines : la vallée de Mexico, Puebla-Tlaxcala et le golfe du Mexique. A partir de ces renseignements, on peut en déduire que la majorité des découvertes faites à Cantona sont les restes des dépouilles et offrandes provenant de rites destinés à la communication avec les dieux et à l’obtention de la fertilité, tandis que les dépouilles des individus en position assise appartiennent à des prêtres ou à des personnages religieux. / The prehispanic city of Cantona, located in the Valley of Oriental in the state of Puebla, Mexico, reached its first cultural apogee between 150 B.C. - 600/650 A.D. During this time, ceremonial complexes such as Temple Pyramid Groups and ballcourts were constructed. These served as the location for a number of rituals involving the beheading, dismemberment, defleshing, flaying, boiling, burning, and in some cases, the consumption of sacrifice victims. Other human body treatment included the burial of individuals in flexed seated positions. To better understand the ritual mortuary treatment of human bodies at Cantona, the finds are compared with data from three neighboring areas: the Valley of Mexico, Puebla-Tlaxcala, and the Gulf of Mexico. From this information, it can be deduced that most of discoveries at Cantona are the remains of rites dedicated to deity communication and fertility while those of individuals in flexed, seated positions belong to religious actors. / La ciudad prehispánica de Cantona, ubicada en el valle de Oriental dentro del estado de Puebla, Mexico, tuvo su primer apogeo cultural entre 150 a.ne. y 600/650 d.n.e. Durante ese periodo, se edificaron gran número de complejos ceremoniales tal como Grupos de Templo Pirámide y canchas de juego de pelota. Estas construcciones sirvieron como sitios rituales en donde se llevaron a cabo gran número de ritos, los cuales, en parte, consistían en decapitar, desmembrar, descarnar, desollar, hervir, quemar, y, en algunos casos, comer a las víctimas humanas de los sacrificios. En otros casos, los cuerpos humanos fueron encontrados en posición flexionada y sentada. Para entender mejor el tratamiento ritual de cuerpos humanos en Cantona, estos descubrimientos fueron comparados con información obtenida de tres regiones cercanas: el Valle de México, Puebla-Tlaxcala y la Costa del Golfo. Esto permitió deducir que la mayoría de los hallazgos en Cantona representan los restos de ritos dedicados a la comunicación con divinidades y a la fertilidad, mientras que los individuos encontrados en posición flexionada y sentada corresponden a sacerdotes o actores rituales difuntos.
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Sémiologie du temple Maya : contribution à l'archéologie des centres cérémoniels du Yucatán et du Petén entre 200 et 900 ap. J.-C. / Semiology of the Maya temple : contribution to ceremonial centers of Yucatán and Petén archaeology, (200-900 a.d.)

Letouzé, Aliénor 16 June 2015 (has links)
Dès les débuts de l’archéologie préhispanique, au XIXe siècle, le temple maya sous sa forme commune de pyramide est devenu la figure de proue d’une discipline qui s’est construite dans un contexte intellectuel bien particulier. Entre la redécouverte du patrimoine archéologique italien et égyptien et l’esprit romantique des premiers explorateurs, les constructions mayas perdues dans la végétation du Yucatán et du Petén ont su enflammer l’imagination. L’étude du monde méso-américain a donc pris naissance dans le creuset de l’évolutionnisme européen et de la tradition chrétienne, dès la Conquête espagnole, au XVIe siècle. En réalité, la pensée cosmographique maya, née du fonds culturel méso-américain formé à l’époque olmèque, est beaucoup plus complexe, et l’on ne peut se contenter d’interprétations consensuelles. Le temple maya, réitération du macrocosme, est l’une des expressions spécifiques d’une conception de l’univers qui se manifeste au travers d’un véritable discours d’imbrication et de démultiplication interne de signes. Fondée sur l’examen précis et systématique d’un vaste corpus de sites des Basses Terres de la péninsule yucatèque et du Petén, datés du IIIe au Xe siècle (époque III ou Classique), cette étude use de la sémiologie comme outil d’analyse de l’organisation spatiale des centres urbains mayas. Elle se propose d’apporter une nouvelle lecture du processus intellectuel et matériel de construction, afin de révéler l’ensemble de la sémantique formulée par le temple et l’architecture rituelle et sacrificielle mayas. / From the beginning of pre-Hispanic archaeology, in the end of the 19th century, the Maya temple as a pyramid has become the figurehead of a discipline built in a very specific intellectual context. Between the rediscovery of the Italian and Egyptian archaeological heritage and the Romantic spirit of the early explorers, Maya buildings lost in the forest of Yucatán and Petén were able to fire the imagination. The study of the Mesoamerican world has thus been formed based on European evolutionism and Christian tradition, starting from the Spanish Conquest in the 16th century. Actually, the Mayas’ cosmographic thought, born of the Mesoamerican cultural unit – first formed by the Olmecs – is so much more complex that we can not just settle for consensual explanations. Not only is the Maya temple a reiteration of the macrocosm, but also a particuliar expression of their conception of the universe which is a true speech made of internal multiplication and interweaving signs. Built on a systematic and accurate observation of a huge site corpus of the Lowlands of the Yucatecan peninsula and Petén (3rd to 10th century, Classic period), this study uses semiology as a real tool for analysing the spatial organization of Maya cities. Its aim is to provide a new understanding of both the intellectual and material construction process, in order to reveal the whole semantics behind the temple and the Maya ritual and sacrificial architecture.

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