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Retour sur l'exposition Sacré Cerveau et réflexions sur le travail en collaboration /

Cooke, Jean-François. Sasseville, Pierre. January 2003 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2003. / Ce texte est donc d'une part, différentes réflexions face au travail en collaboration et d'autre part, un texte accompagnant notre exposition de fin de maîtrise en arts visuels à l'Université Laval intitulée Sacré Cerveau.--p. [3]. Nous avons mis sur pieds un système de charte de couleurs permettant au lecteur de reconnaître à tout moment qui est l'auteur de ce qu'il a devant les yeux. Ainsi les textes écrits par Jean-François Cooke seront en bleu, ceux par Pierre Sasseville en vert et ceux réalisés conjointement, donc sous le nom Cooke-Sasseville, en mauve.--p. 7. Bibliogr.: f. 30-31. Publié aussi en version électronique.
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Coordinating collaborative building design

Heintz, John Linke, January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Technische Universiteit Delft, 1999. / Includes bibliographical references (p. 175-190).
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Coordinating collaborative building design

Heintz, John Linke, January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Technische Universiteit Delft, 1999. / Includes bibliographical references (p. 175-190).
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Le peintre Francisco Rizi (1614-1685) :relations sociales et production artistique à la Cour d’Espagne. Suivi d’un catalogue raisonné des œuvres

Lamas Delgado, Eduardo 26 March 2019 (has links) (PDF)
Le peintre Francisco Rizi (Madrid, 1614-Madrid, 1685), issu de la communauté d’artistes italiens qui gravitait autour de la Cour d’Espagne depuis la construction de l’Escorial, est l’une des figures majeures de la peinture baroque espagnole de la seconde moitié du XVIIe siècle. Cette thèse présente uné étude monographique qui étudie sa carrière et ses liens sociaux et professionnelles, étude accompagnée d'un premier catalogue raisonné de son œuvre. Malgré le fait que Francisco Rizi ait été le peintre attitré d’une Cour dont le souverain était à la tête d’une constellation d’états européens, où on était au courant des principaux courants artistiques du continent, sa vie et son œuvre ont été souvent analysés dans une approche très localiste. Par conséquent, l’image traditionnellement véhiculée a été celle d’un artiste de second rang qui n’eut guère de portée. Mais contrairement à cette idée reçue, la carrière de Francisco Rizi fut loin de se cantonner à un cadre local. Avec cette étude, on redécouvre un artiste inventeur de modèles de sculptures, d’architectures, de scènes de théâtre et même de pièces d’orfèvrerie. On révèle là un plaisir de la forme qui apparente Rizi à des artistes baroques tels que Rubens, Bernin ou Le Brun. Pourtant, dans son cas, aucun mythe ne s’était forgé. Bien au contraire, ses contributions en architecture et en sculpture lui valurent une véritable diabolisation. Dans ces domaines, l’artiste fut condamné par la critique néo-classique comme responsable de la décadence des arts en Espagne sous le règne de Charles II, mépris qui finit par déteindre sur son œuvre peinte. D’un autre côté, ses contributions pour le théâtre ne laissèrent aucune trace et tombèrent dans l’oubli. Notre contribution permet de confirmer que Rizi joua un rôle majeur dans les domaines de l’architecture décorative, dévoile tout à fait son rôle dans la conception de modèles pour la sculpture et permet de détailler pour la première fois les modalités de la confection des décors de théâtre. De toutes ces interventions, restées pour la plupart inédites, s’offre ici un premier corpus.Par ailleurs, cette thèse a mis l’accent sur les relations professionnelles du peintre et sur ses modes de production, sans pour autant négliger l’étude stylistique de sa production picturale et de ses dessins, ainsi que des rares gravures d’après ses compositions. Le catalogue de ses œuvres, expurgés de celles indûment attribuées au maître et augmenté de nombreux inédits, permet désormais une perception plus juste de l’art de Rizi. Toutefois, il faut reconnaître qu’à ce stade de la connaissance de l’artiste, ce catalogue ne peut inclure que les œuvres dûment attestées par la documentation connue à ce jour, ainsi que celles présentant sans équivoque le style typique du peintre. Des futures recherches devront élargir ce catalogue aux éventuels dessins présentant des ébauches et des études partielles encore non identifiés, ainsi qu’aux œuvres réalisées en collaboration avec d’autres artistes. Par ailleurs, les résultats de cette recherche permettront de faire surgir très certainement, on l’espère, des œuvres nouvelles à présent dispersées et inédites. Certains pans de l’œuvre de Rizi ont été redécouverts. C’est le cas notamment de son œuvre comme architecte et comme décorateur de fêtes théâtrales de la cour. Mais il est ainsi également de sa production de peintre murale, dont on connaît mieux à présent ses contributions et son organisation. Ces aspects permettent de nuancer la vision qu’on avait jusqu’à présent de l’artiste, dévoilant un rôle de premier ordre sur la scène artistique à Madrid pendant la seconde moitié du XVIIe siècle, presque incontournable dans les chantiers les plus prestigieux de la Cour. Rizi ne fut pas un peintre exclusivement religieux, comme les œuvres aujourd’hui conservées ont pu le suggérer. Longtemps resté méconnu et incompris, Rizi ne réussit pas seulement à devenir l’un des artistes les plus importants de son temps à travers une carrière brillante comme peintre de cour, mais également dans l’influence qu’il a eu sur son atelier, sur ses collègues et sur les artistes plus jeunes.Notre étude sur Rizi, cependant, ne s’est pas cantonnée à la confection du catalogue raisonné. Elle a également mis l’accent sur la relecture et l’analyse des sources positives et une étude prosopographique de l’entourage de l’artiste (dans la mesure où l’état de la question nous l’a permis). L’étude du milieu d’origine a permis de mettre en lumière que Rizi fut un héritier. Certes, il était le dernier représentant de toute une tradition artistique et le dernier bénéficiaire d’une stratégie du groupe socio-professionnel de l’ancienne colonie d’artistes de l’Escorial. Son père, le peintre Antonio Ricci, bien que peintre de second, voir troisième rang, abritait des grandes ambitions pour sa propre carrière et pour celle de ses fils. Ses relations dans les milieux des courtisans, notamment parmi les Italiens, ses affaires et ses projets variés à Madrid invitent à le confirmer. Dans le cadre d’une stratégie certainement bien réfléchie, Antonio plaça ses enfants chez deux maîtres peintres très en vue à la Cour, tous les deux d’origine et éducation italiennes. Juan Andrés a été placé chez le Père Mayno, maître de dessin du Roi, et Francisco chez Carducho, peintre du Roi à la tête de l’atelier le plus important de Madrid. Fortuné et influent, peintre érudit par excellence, Carducho était haut placé au sein de l’élite artistique et littéraire. Il transmit à Francisco l’héritage de la tradition académique du peintre inventeur cristallisé dans la Péninsule autour du chantier de l’Escorial, qui y joua un rôle comparable de celui de Fontainebleau dans le contexte français, et de l’éphémère Academia de San Lucas à Madrid. Mais l’héritage légué à Francisco par Antonio Ricci et par Vicente Carducho ne fut pas seulement d’ordre théorique et artistique. Il consista également en des relations socio-professionnelles dans le milieu des peintres, sculpteurs et architectes qui se révélèrent capitales dans la carrière de Rizi, mais aussi des relations dans les échelons de l’administration du Palais et dans les cercles ecclésiastiques et aristocratiques.La mort de son père et de Carducho en 1635 et 1638, alors que Rizi (à ce que l’on croit) n’avait pas encore démarré sa carrière en tant que maître indépendant, ne lui fit pas de tort ;bien au contraire. Ceci l’obligea, probablement, à offrir ses services dans d’autres ateliers, favorisant aussi, vraisemblablement, cette inventivité et cette capacité d’adaptation que nous avons signalées comme caractéristiques de l’œuvre de Rizi, caractéristiques qu’une formation dans un seul atelier dirigé par un seul et même maître aurait pu étouffer, éventuellement. Ses expériences dans des ateliers en compagnie de Pedro de la Torre, Francisco Fernández, Núñez del Valle et Antonio de Pereda (et peut-être aussi Cosimo Lotti) ont dû donner à Rizi l’opportunité d’enrichir et contraster son enseignement auprès de son père et de Carducho, et de ne retenir que ce qui pouvait lui être utile dans la suite de sa carrière. Mais surtout, Rizi put compléter son savoir-faire en matière d’organisation et de production à plusieurs mains, un aspect dans lequel il passera maître. Les dessins et la confection de modèles pour des tiers constituent un pan essentiel de sa production, négligé auparavant, et que notre étude a permis de mettre en lumière.Les relations tissées grâce à ses origines ouvrirent à Rizi les portes pour recevoir des commandes au Palais, et l’introduire dans les cercles du cardinal Moscoso et l’inquisiteur général Arce y Reinoso et du premier ministre Don Luis de Haro. Ainsi, les deux prélats devinrent ses protecteurs au début de sa carrière palatine. Il devint leur « créature », selon le langage de la cour. En effet, Rizi sut tirer profit des bouleversements produits à la Cour d’Espagne pendant les années qui suivirent la chute du ministre Olivares, à la différence d’un Alonso Cano ou d’un Antonio de Pereda. Dès la fin de 1648, à partir du mariage de Philippe IV avec Marianne d’Autriche, les commandes du Palais se succéderont, avec le seul malentendu produit pendant la Régence, en raison de la crise politique vécue alors. Sur la fin de sa carrière, les soutiens du cardinal Aragón, du prince Juan José d’Autriche et du jeune Charles II viendront confirmer sa place de choix à la Cour, et des commandes de prestige se suivirent.Les sources auxquelles Rizi s’est abreuvé dans son art sont multiples et variées. Il a hérité de son maître Carducho la maîtrise de la grande composition dans les tableaux d’histoire, à la laquelle il a su ensuite ajouter le dynamisme et la théâtralité du rubénisme. Ensuite et en parallèle, il s’est essayé dans l’introduction de la mode néo-vénitienne en Espagne, prenant principalement les modèles du Tintoret comme référence, pour devenir ensuite l’initiateur de l’intégration des nouveautés de Pietro de Cortona et de Carlo Maratti provenant de Rome, celles de Agostino Mitelli et de Michelangelo Colonna de Bologne et celles de Luca Giordano de Naples. Ces influences le situèrent à l’avant-garde de la production de grandes décorations et de tableaux d’autel monumentaux et lui permirent d’exercer une influence durable sur les peintres plus jeunes, même après sa mort. On en jugera à travers l’imposant Martyre de saint Gênes d’Arles et du décor de San Antonio de los Alemanes, qui s’inscrivent au rang de ses chefs-d’œuvre. L’œuvre de Rizi représente à lui seul l’évolution de la peinture d’histoire baroque à la cour d’Espagne, passant du style sage et monumental héritier de l’école toscane, au rubénisme plus mouvementé, au néo-vénétianisme plus chatoyant et décoratif, aux effets de la quadratura pour finir sur les grandes compositions peuplées de personnages et sagement agencées qui triompheront à la fin du siècle et prépareront l’arrivée à Madrid de Giordano. L’ardeur avec lequel ses collègues, ses élèves et ses suiveurs ont assimilé et perpétué l’une ou l’autre de ces tendances, voire plusieurs, ont contribué à conférer à la peinture du Baroque plein réalisée à Madrid l’homogénéité et la haute qualité qui la caractérisent. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Claude Parent, architecture et expérimentation, 1942-1996 : itinéraire, discours et champ d'action d'un architecte créateur en quête de mouvement / Claude Parent, architecture and experiment, 1942-1996 : itinerary, speech and possibilities of action of a creative architect in search movement

Jeanroy, Audrey 22 January 2016 (has links)
Consacrer une recherche monographique à un architecte vivant est un exercice d’autant plus ardu que Claude Parent (né en 1923) œuvra à se mettre en scène, autant dans son travail qu’à travers son activité de critique. Le regard historien le plus détaché ne peut être totalement neutre face à des réalisations souvent peu patinées par la mémoire, bien que parfois déjà patrimonialisées. C’est peut-être le moins volontaire des paradoxes que Claude Parent aima à construire autour de sa personne. À travers ses très nombreux écrits, il se construit un personnage de scandale et, pour cela, s’est tôt présenté comme marginalisé par la profession. Il se revendiqua néanmoins « homme de chantier », humble devant la force de l’acte architectural. Cette étude se situe dans le genre consacré de la monographie. Celui-ci est cependant revisité par un croisement avec l’étude des acteurs de la profession d’architecte à l’époque où Claude Parent en débat publiquement, avec l’analyse des structures de maîtrise d’ouvrage et de maîtrise d’œuvre, et avec l’étude des politiques d’urbanisme dans lesquelles l'architecte inscrit ses réalisations autant que ses spéculations théoriques. Cette recherche s’attarde aussi sur la complexité des rapports normatifs que la critique architecturale entretient avec les pratiques projectuelles et constructives. Claude Parent s’étant pensé autant en architecte qu’en homme de médias, sa stature professionnelle et publique composite, ainsi que son regard sur l’époque, non moins complexe, éclairent particulièrement bien les décennies 1950-1990, encore peu étudiées en histoire de l’architecture / To dedicate a monographic research to an alive architect is a difficult exercise, particularly since Claude Parent (born in 1923) himself contributed to his own myth-making, as much in his work as through his activity as a critic. The most detached historian outlook cannot be totally neutral in front of buildings often little skated by memory, although sometimes already considered like « heritage ». It is maybe the least voluntary paradoxe which Claude Parent liked to build around his person. Through his numerous articles, he builds himself a character of scandal and, because of this, was somewhat marginalized by the profession. He claimed to be nevertheless a « man of construction », humble in front of the strength of the architectural act. This study follows the general practice of the monography. It is however revisited through the study of the actors of the architectural profession when Claude Parent debated publicly the subject, with the analysis of the commissioners and architects, and with the study of the urban politics in which the architect places his buildings and his theoretical speculations. This research also questions the complexity of the normative relationships which architectural criticism entertains with design and constructive practices. Claude Parent considers himself like an architect as well as a man of medias. His professional, public and composite stature, as well as his outlook on the period, more complex, shed light on the decades 1950-1990, still little studied in the history of architecture
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La collaboration au féminin : les livres surréalistes de Lise Deharme

Beauchamp Houde, Sarah-Jeanne 03 1900 (has links)
No description available.
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Avatar : une application de réalité virtuelle utilisable comme nouvel outil de mise en scène collaborative

Dompierre, Christian 12 April 2018 (has links)
Une des plus importantes lacunes des outils actuels de mise en scène est que la collaboration en temps réel est très difficile à réaliser. En fait, les metteurs en scène doivent actuellement être situés au même endroit pour collaborer, ce qui n'est pas toujours possible. Les logiciels actuels de mise en scène ne permettent généralement pas la collaboration en temps réel. De plus, ces systèmes sont souvent très dispendieux et complexes d'utilisation. Une solution plus adaptée combinant des concepts de réalité virtuelle, technologie réseaux et vision numérique a ainsi été spécifiquement développée pour combler ces lacunes. Ce mémoire présente l'application de réalité virtuelle permettant la mise en scène collaborative résultant de nos travaux de recherche. Les défis les plus importants étaient d'assurer une synchronisation en temps réel entre une scène réelle et une scène virtuelle partagée et de minimiser les coûts tout en offrant un système multi-plates-formes et convivial. / One of the more important limitations of actual tools for performing arts design is that collaboration between designers is hard to achieve. In fact, designers must actually be co-located to collaborate in the design of a show, something that is not always possible. Actual software tools for performing arts design do not generally provide real-time collaboration and are not really convenient for collaborative work. In addition, these Systems are often expensive and complex to operate. A more adapted solution combining concepts from virtual reality, network technology, and computer vision has then been specifically developed to solve these issues. This master thesis presents the virtual reality application for supporting distributed collaborative production of theater shows resulting from our research. Challenges were to ensure real-time synchronization between a real and a shared virtual scene and to keep System cost as low as possible while offering platform independence and user-friendliness.

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