• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • Tagged with
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

La formation du clergé du Dahomey/Bénin de 1914 à nos jours / The formation of the Dahomey/Benin clergy from 1914 till date

Zossou, Julien 15 March 2011 (has links)
Pour la mission au Dahomey, il a été demandé à Mgr de Marion-Brésillac de fonder la Société des Missions Africaines. Aussi n’a-t-il pas été aisé pour les missionnaires de la SMA arrivés au Dahomey de préparer la relève en fondant le clergé local, même si cela était contraire à la doctrine de leur fondateur sur le clergé indigène. C’est finalement par l’insistance du Saint-Siège et par la détermination de Mgr Steinmetz, deuxième Vicaire apostolique du Dahomey que le clergé local a été institué. Mais contrairement à leurs aînés, les jeunes générations réclament l’amélioration de la qualité de leur formation. Les Supérieurs finissent par réagir favorablement aux requêtes des séminaristes. La Compagnie de Saint-Sulpice sollicitée pour la cause, passe la direction du Séminaire au clergé diocésain conformément aux termes du contrat avec les évêques tout en continuant à collaborer à la formation des séminaristes. La hiérarchie ecclésiastique étant totalement revenue au clergé local, elle est responsable de l’orientation de la formation des futurs prêtres en accord avec la Congrégation pour l’Évangélisation des Peuples. Les professeurs de Séminaires désormais pourvus des grades académiques canoniques, travaillent à l’harmonie et à la qualité de la formation des séminaristes béninois conformément à la Ratio fundamentalis de l’Église, dans un esprit d’inculturation. L’évangélisation s’étend et imprègne progressivement la culture béninoise de valeurs évangéliques. Des prêtres béninois ont marqué l’histoire nationale. Et le dynamisme tant des fidèles que du clergé du Bénin se remarque aussi au niveau de l’Église universelle. / For the mission in Dahomey, it was asked of Bishop Marion-Brésillac to found the Society of African Missions. So had it not been easy for the missionaries who arrived in the SMA Dahomey to prepare future generations by forming the local clergy, even if this was contrary to the doctrine of their founder on the native clergy. It was finally by the insistence of the Holy See and by the determination of Mgr Steinmetz, second Apostolic Vicar of Dahomey that the local clergy was established. But unlike the elders the younger generations call for better quality of their training. Superiors eventually responded positively to the requests of seminarians. Compagnie de Saint-Sulpice solicited for this cause, handed over going the direction of the seminary to the diocesan clergy in conformity with the terms of the contract with the bishops while continuing to contribute to the formation of seminarians.The hierarchy is fully returned to the local clergy, she is responsible for guiding the formation of future priests in agreement with the Congregation for the Evangelization of Peoples. Seminary for lecturers now furnished with the canonical academic degrees, work to the harmony and quality of training of Benin seminarians according to the Fundamentalis ratio of the Church in an inculturation spirit. Evangelism gradually extends and permeates the culture of Benin Gospel values. Benin priests marked the nation's history. And the dynamism of both the faithful and clergy of Benin is also evident at the Universal Church.
2

Canonicité de la Conférence des évêques / Canonicity of the Conference of bishops

Malonga Diawara-Doré, Charlemagne Didace 12 September 2012 (has links)
Comme son titre l’indique, la présente thèse porte sur la canonicité de la Conférence des évêques. Elle vise à réfléchir au degré d’autorité decette nouvelle institution spécifiquement latine. La Conférence des évêques est devenue un organe permanent, alors que le Synode desévêques né en 1965 sous le pontificat de Paul VI n’a pas reçu cette caractéristique. La Conférence des évêques est-elle une expression de lacollégialité épiscopale ? Le Concile Vatican II (1962-1965) l’a admise comme l’une des composantes de cette collégialité. Vatican II l’aconsacrée et institutionnalisée (Constitution Lumen Gentium et Décret Christus Dominus), mais sans parvenir à lever toutes les questionsliées à son autorité et à sa juridiction. Le Synode des évêques de 1969, dont le thème annoncé était précisément la collégialité vécue, a aussiabordé la question des Conférences épiscopales. À cette Assemblée synodale, le débat a concerné principalement les moyens à mettre enoeuvre pour réaliser une coopération réelle et efficace entre Rome et les Conférences épiscopales et pour garantir une meilleure autonomie àces Conférences, sans pour autant entraver la liberté du Pape, ni porter atteinte à l’autorité de l’évêque diocésain. Il s’en est suivi une plusgrande détermination des principes qui régissent d’une part les relations entre les Conférences épiscopales et Siège apostolique, et d’autrepart les liens des Conférences épiscopales entre elles.Mais ce débat n’a toujours pas été tout à fait dirimé, surtout quant à l’autorité magistérielle de la Conférence des évêques. La qualificationjuridique en 1983 par les soins de la codification latine semble n’avoir pas suffi. Témoigne de ce malaise persistant le Synode des évêques de1985. Celui-ci a formellement demandé une réévaluation de l’institution de la Conférence des évêques : « Puisque les Conférencesépiscopales sont particulièrement utiles, voire nécessaires dans le travail pastoral actuel de l’Église, on souhaite l’étude de leur « status »théologique pour qu’en particulier la question de leur autorité doctrinale soit plus clairement et plus profondément explicitée, compte tenude ce qui est écrit dans le décret conciliaire Christus Dominus n° 38 et dans le Code de droit canonique, can. 447 et 753 ». Cela aoccasionné deux efforts institutionnels, l’un consultatif (L’Instrumentum laboris de 1987 de la Congrégation pour les évêques), l’autre décisionnel (le Motu proprio Apostolos suos de 1998). Dans cette dernière norme de requalification théologique et juridique, le Pape Jean-Paul II réaffirme de manière plus décisive la spécificité de la Conférence des évêques. Ce vaste dossier peut sembler redondant et lancinant. Les chercheurs peuvent constater que le problème de l’autorité de la Conférence des évêques s’avère encore difficile à trancher. En effet, les principaux paramètres de l’édifice ecclésial ne sont-ils pas profondément interrogés ? / As it is suggested within the title, the present thesis focuses on the canonicity of the Conference of bishops. It aims to reflect the degree ofauthority of this new specifically Latin Institution. The bishops Conference has become a permanent body, while the Synod of bishops whichwas born in 1965, under Pope Paul VI did not receive this feature. Is the Conference of bishops an expression of episcopal collegiality? TheSecond Vatican Council (1962-1965) was admitted as a component of this collegiality. Vatican II was consecrated and institutionalized(Constitution Lumen Gentium and Decree Christus Dominus), but failed to raise any issue relating to its authority and jurisdiction. The 1969Synod of bishops, whose theme was announced, more precisely lived collegiality, also addressed the question of episcopal conferences. Atthe Synod Assembly, the debate has mainly concerned the means to implement in order to achieve a real and effective cooperation betweenRome and the bishops' conferences, and to ensure greater autonomy to these conferences, without impeding the freedom of the Pope, orundermining the authority of the diocesan bishop. There ensued a greater commitment to the principles which govern, on the one hand, therelationship between the Episcopal Conferences and the Apostolic See, and on the other hand, the links between the different episcopalConferences.But that debate has still not been completely invalidated, especially as it refers to the teaching authority of the Conference of bishops. Thejuridical qualification, in 1983, through the efforts of the latin codification seems to have been insufficient.The Synod of Bishops, in 1985, demonstrates this persistent discomfort. It has formally requested a reassessment of the institution of theConference of bishops: « Since the Episcopal Conferences are particularly useful, even necessary in the current pastoral work of theChurch, we want to study their theological " status " so that in particular the issue of their doctrinal authority would be more clearly anddeeply explained, taking into account what is written in the conciliar Decree Christus Dominus, item N° 38 and in the Code of Canon Law,can. 447 and 753 ». This situation derived to two institutional efforts: an advisory one (The Instrumentum laboris of 1987 of theCongregation for bishops), then another one, a decision (the Motu proprio Apostolos suos 1998). In this last theological standard and juridicalrequalification, Pope John Paul II reaffirms, more decisively, the specificity of the Conference of bishops. This extensive file may seem to beredundant and haunting. Researchers can notice that the problem of authority of the Conference of bishops remains difficult to determine. Infact, are the main parameters of the ecclesial structure not deeply questioned ?

Page generated in 0.0406 seconds