Spelling suggestions: "subject:"contrainte (droit)"" "subject:"ontrainte (droit)""
1 |
El delito de coacciones /Higuera Guimerá, Juan-Felipe. Cerezo Mir, José. January 1983 (has links)
Texte remanié de: Tesis Dr.--Derecho--Zaragoza--Facultad de derecho, Universidad de Zaragoza, 1977. / Bibliogr. p. 309-316. Notes bibliogr.
|
2 |
Notstand und Pflichtenkollision im amerikanischen Strafrecht /Etzel, Jochen. January 1993 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Rechtswissenschaftliche Fakultät--Freiburg im Breisgau--Albert-Ludwigs-Universität, 1990-1991. / Bibliogr. p. [221]-231.
|
3 |
La notion de la violence en tant que vice du consentement : étude critique ... /Breton, André. January 1925 (has links)
Thèse - Caen - Droit, 1925. / Contient une bibliographie.
|
4 |
Der Zwang im römischen Privatrecht /Hartkamp, Arthur Severijn, January 1971 (has links)
Proefschrift--Juristische Fakultät--Universiteit van Amsterdam, 1971. / Bibliogr. p. 325-337.
|
5 |
La démocratie ne fut jamais une option : analyse critique des discours modernes de justification de l'État, du gouvernement représentatif et du rejet de la démocratie directeBélanger-Champagne, Jérôme 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse au développement de la démocratie représentative en Occident et aux discours justificatifs du rejet de la démocratie directe. De surcroît, nous croyons qu'une étude de l'implantation de la démocratie représentative aux XIXe et XXe siècles serait incomplète sans une analyse des différentes théories de l'État dominantes durant cette période. Effectivement, la représentation politique est un type de gouvernement qui ne pourrait exister sans une mécanique de coercition capable d'imposer aux minorités réfractaires les décisions prises par les représentants politiques. C'est précisément le rôle que joue l'État dans les sociétés occidentales modernes : un appareil de contrôle, de contrainte et de coercition capable d'assurer la cohésion sociale. Durant la majeure partie de son histoire, le mot « démocratie » fut perçu de manière négative par les élites politiques qui voyaient souvent en elle le « pire » des régimes, celui qui laissait au peuple ignare, impulsif et irrationnel le soin de gouverner. À travers les deux cents dernières années, un glissement terminologique s'est opéré, tant dans le discours populaire que dans la pensée politique, qui fait maintenant équivaloir les termes de « gouvernement représentatif » et de « démocratie ». Il s'agit d'une opération consciente et volontaire des élites politiques occidentales afin de justifier la mise en place et le maintien d'un système qui devrait plutôt être qualifié « d'oligarchie électorale ». Généralement, les politologues justifient le choix de la démocratie représentative en expliquant que la démocratie directe serait impraticable dans les États-nationaux modernes en vertu de leurs populations imposantes et de l'impossibilité de regrouper autant d'individus en un seul lieu. Nous croyons que cette explication en masque une autre. Notre hypothèse est à l'effet que la démocratie représentative a davantage émergé de deux facteurs conjoints. D'une part, le désir du peuple de participer à la prise de décisions politiques qui fut instrumentalisé par les élites gouvernantes. D'autre part, l'existence de l'État en tant qu'appareil de coercition capable d'assurer l'application des décisions prises par ces élites au nom de la « majorité ».
______________________________________________________________________________
MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : démocratie directe, démocratie représentative, gouvernement représentatif, république, coercition, théories de la démocratie, théories de l'État.
|
Page generated in 0.086 seconds