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Community and Health in Central Fort Worth: Understanding the Community's Perspectives on Health towards Informing Community-Based Interventions

Giamarqo, Giamarqo 05 1900 (has links)
In 2019, a major academic medical center released a public health research report on life expectancies in Texas organized by zip code. The study revealed that the 76104-zip code, part of the central area of the city of Fort Worth, has the lowest life expectancy in the entire state. Concerned about the life expectancy study statistics, New Mount Rose Baptist Church, affiliated churches, and other community members sought to understand better why the life expectancy in their area was so low. This exploratory study uses a mixed-methods approach that incorporates interviews, a survey, and participant observation to help understand (i) how community members in the area feel, think about, and relate to their community, (ii) what the major social determinants of health are for them, and (iii) what health-related infrastructures in the area are lacking or need improvement. This study unearths perceptions of health and community from the various communities in the area and social and structural determinants of health in 76104.
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“All work and no play … ?” : a critical investigation of an emerging public health discourse on children’s play.

Alexander, Stephanie 10 1900 (has links)
Dans de nombreuses sociétés industrialisées, une grande valeur est attribuée au jeu des enfants, principalement parce que le jeu est considéré comme étant une composante essentielle de leur développement et qu’il contribue à leur bonheur et à leur bien-être. Toutefois, des inquiétudes ont récemment été exprimées au regard des transformations qui s’opèrent dans le jeu des enfants, notamment en ce qui a trait à la réduction du temps de jeu en plein air. Ces transformations ont été attribuées, en grande partie, à une perception de risques accrus associés au jeu en plein air et à des changements sociaux qui favorisent des activités de loisirs plus structurées et organisées. L’inquiétude concernant la diminution de l’espace-temps accordé au jeu des enfants est d’ailleurs clairement exprimée dans le discours de la santé publique qui, de plus, témoigne d’un redoublement de préoccupations vis-à-vis du mode de vie sédentaire des enfants et d’une volonté affirmée de prévention de l'obésité infantile. Ainsi, les organisations de santé publique sont désormais engagées dans la promotion du jeu actif pour accroître l'activité physique des enfants. Nous assistons à l’émergence d’un discours de santé publique portant sur le jeu des enfants. À travers quatre articles, cette thèse explore le discours émergeant en santé publique sur le jeu des enfants et analyse certains de ses effets potentiels. L'article 1 présente une prise de position sur le sujet du jeu en santé publique. J’y définis le cadre d'analyse de cette thèse en présentant l'argument central de la recherche, les positions que les organisations de santé publique adoptent vis-à-vis le jeu des enfants et les répercussions potentielles que ces positions peuvent avoir sur les enfants et leurs jeux. La thèse permet ensuite d’examiner comment la notion de jeu est abordée par le discours de santé publique. L'article 2 présente ainsi une analyse de discours de santé publique à travers 150 documents portant sur la santé, l'activité physique, l'obésité, les loisirs et le jeu des enfants. Cette étude considère les valeurs et les postulats qui sous-tendent la promotion du jeu comme moyen d’améliorer la santé physique des enfants et permet de discerner comment le jeu est façonné, discipliné et normalisé dans le discours de santé publique. Notre propos révèle que le discours de santé publique représente le jeu des enfants comme une activité pouvant améliorer leur santé; que le plaisir sert de véhicule à la promotion de l’activité physique ; et que les enfants seraient encouragés à organiser leur temps libre de manière à optimiser leur santé. Étant donné l’influence potentielle du discours de santé publique sur la signification et l’expérience vécue du jeu parmi les enfants, cette thèse présente ensuite une analyse des représentations qu’ont 25 enfants âgés de 7 à 11 ans au regard du jeu. L’article 3 suggère que le jeu est une fin en soi pour les enfants de cette étude; qu'il revêt une importance au niveau émotionnel; et qu'il s’avère intrinsèquement motivé, sans but particulier. De plus, l’amusement que procure le jeu relève autant d’activités engagées que d’activités sédentaires. Enfin, certains enfants expriment un sentiment d'ambivalence concernant les jeux organisés; tandis que d’autres considèrent parfois le risque comme une composante particulièrement agréable du jeu. De tels résultats signalent une dissonance entre les formes de jeux promues en santé publique et le sens attribué au jeu par les enfants. Prenant appui sur le concept de « biopédagogies » inspiré des écrits de Michel Foucault, le quatrième article de cette thèse propose un croisement des deux volets de cette étude, soit le discours de santé publique sur le jeu et les constructions du jeu par les enfants. Bien que le discours de la santé publique exhortant au «jeu actif» soit reproduit par certains enfants, d'autres soulignent que le jeu sédentaire est important pour leur bien-être social et affectif. D’autre part, tandis que le « jeu actif » apparait, dans le discours de santé publique, comme une solution permettant de limiter le risque d'obésité, il comporte néanmoins des contradictions concernant la notion de risque, dans la mesure où les enfants ont à négocier avec les risques inhérents à l’activité accrue. À terme, cet article suggère que le discours de santé publique met de l’avant certaines représentations du jeu (actifs) tandis qu’il en néglige d’autres (sédentaires). Cette situation pourrait donner lieu à des conséquences inattendues, dans la mesure où les enfants pourraient éventuellement reconfigurer leurs pratiques de jeu et les significations qu’ils y accordent. Cette thèse n'a pas pour but de fournir des recommandations particulières pour la santé publique au regard du jeu des enfants. Prenant appui sur la perspective théorique de Michel Foucault, nous présentons plutôt une analyse d’un discours émergeant en santé publique ainsi que des pistes pour la poursuite de recherches sur le jeu dans le domaine de l’enfance. Enfin, compte tenu des effets potentiels du discours de la santé publique sur le jeu des enfants, et les perspectives contemporaines sur le jeu et les enfants, la conclusion offre des pistes de réflexion critique. / In many industrialised societies a high value is attributed to children’s play, mainly because it is deemed an essential component of childhood development and due to the conviction that play contributes to children’s happiness and well-being. However, concerns have arisen about the changing patterns of, and declines in, children’s play, especially outdoors. These have largely been attributed to increasing perceptions of risk in outdoor play and to societal changes popularising more structured and organised activities. Recently, the concerns about declining play, the mounting preoccupation with children’s sedentary ‘lifestyles’, and the focus on childhood obesity prevention have converged in public health discourses, and public health organisations have begun to promote active play as a way to increase children’s physical activity. What appears to be emerging is a public health discourse on children’s play. Through four articles, this thesis explores the emerging public health discourse on play and examines some of its potential effects. Article 1 is a position paper and provides a frame for the thesis findings. It presents the central argument of the research, outlines the emerging positions that public health organisations are taking on play and also discusses how these positions may be problematic for children’s play. The thesis then discursively examines how the notion of play is being taken up by public health. Article 2 addresses this uptake through a discursive analysis of 150 public health documents addressing children’s health, physical activity, obesity, leisure and play. This article examines what values and assumptions underlie the promotion of play for children’s physical health and analyses how play is being shaped, disciplined and normalised in the public health discourse. It shows that within the public health context, play is viewed as a productive health activity for children, and that pleasure is drawn on to promote physical activity. Furthermore, children also appear to be encouraged to self-govern their leisure time for it to be health promoting. Concerned with how the public health discourse may be shaping the way children engage and construct their own meanings and experiences of play, this thesis also examined the photographic and narrative constructions of play among 25 children 7 to 11 years old. Children’s photographs and narratives about play were analysed in Article 3. Children in this study suggested that importantly, play for them was an end in itself; that it was primarily emotionally important, intrinsically motivated and purposeless. This runs through all of the findings of the article, which suggest that enjoyable play is both active and inactive, that some children have a sense of ambivalence regarding scheduled forms of play, and that risk is sometimes considered an especially pleasurable component of play. These findings point to a dissonance between the forms of play promoted in public health and the meanings attributed to play by children. Drawing on the Foucault-inspired analytical concept of biopedagogies, the fourth article in this thesis places the two components of this study in dialogue (i.e., Canadian public health discourse on play and children’s constructions of play). The findings suggest that while the public health discourse around ‘active play’ is taken up and reproduced by some children, other children highlight sedentary play as important for social and emotional well-being. Indeed, while ‘active play’ is deemed a solution to the risk of obesity within the public health discourses, it also embodies contradictions regarding risk in play for children, which children appear to have to negotiate. This article suggests that the public health discourse appears to enable some representations of play (i.e., active) and obscure others (i.e., sedentary), and that this may be having the unintended consequence of reshaping and narrowing the meanings that children attribute to their own play. This thesis does not aim to provide directions for how play ought to be better addressed in public health. Rather, drawing on the critical work of Michel Foucault, this thesis presents an analysis of the emerging public health discourse on play. This work underscores relevant areas upon which public health ought to further critically reflect, particularly with respect to research concerning children. Importantly, considering the possible effects of this discourse on children’s play, this thesis concludes by emphasising the contingency of the current perspectives on play.
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“All work and no play … ?” : a critical investigation of an emerging public health discourse on children’s play

Alexander, Stephanie 10 1900 (has links)
No description available.
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No smoking! A critical examination of how Quebec tobacco control discourse may affect social inequalities in smoking

Lapalme, Josée 03 1900 (has links)
Au Canada, la prévalence du tabagisme a diminué de façon significative. Ce succès est attribué aux politiques populationnelles de lutte contre le tabagisme telles que les campagnes anti-tabac, les interdictions de fumer, les hausses de taxation et les restrictions sur la vente des produits tabagiques. Néanmoins, les inégalités sociales en matière de tabagisme s’accroissent; la prévalence de tabagisme demeure élevée au sein des groupes défavorisés, notamment ceux ayant un faible statut socio-économique (SSE). Malgré la recherche existante qui porte sur les effets des politiques de lutte contre le tabagisme selon le SSE, comment ces politiques affectent ces inégalités est peu documentée. Ainsi, dans le contexte où le Québec s’est engagé dans une lutte contre le tabagisme avec l’adoption d’une politique populationnelle en 2015, « Loi visant à renforcer la lutte contre le tabagisme » (L44), et le développement d’une stratégie populationnelle en 2020 qui priorisent la réduction des inégalités sociales en matière de tabagisme, cette thèse aborde une question de grande pertinence pour la santé publique : comment les politiques publiques populationnelles, telles que L44, pourraient-elles affecter les inégalités sociales de la santé? Cette thèse explore cette question de recherche par l’entremise de trois articles : un article conceptuel et deux articles empiriques. L’article conceptuel présente l’intérêt de la théorie de l’intersectionnalité pour la recherche sur les inégalités sociales de la santé, particulièrement lorsque cette recherche intègre les deux principes de l’intersectionnalité : le principe soulignant le rôle des structures sociales dans la reproduction d’inégalités sociales étant souvent négligé pour privilégier le principe faisant valoir les expériences des groupes sociaux défavorisés. Cet article permet donc d’encadrer cette thèse afin qu’elle considère les politiques de lutte contre le tabagisme et les pratiques des praticiens en lutte contre le tabagisme (PLT) comme étant des facteurs structuraux qui influencent les inégalités sociales en matière de tabagisme. Guidés par un devis qualitatif basé sur l’analyse critique du discours, les deux articles empiriques (articles 2 et 3) examinent le discours des politiques de lutte contre le tabagisme comme un mécanisme reliant ces politiques et les pratiques des PLT aux inégalités sociales en matière de tabagisme. D’abord, l’article 2 applique l’analyse poststructuraliste de Bacchi aux transcriptions des consultations parlementaires pour le projet de loi L44 avec des acteurs québécois de lutte contre le tabagisme. Cette analyse démontre que L44 renforce et avance des discours problématisant « le fumeur » comme groupe moralement déviant et duquel les non-fumeurs doivent être protégés. Il y est discuté la façon dont cette problématisation concrétise les relations de pouvoir entre les non-fumeurs et les personnes qui fument, ce qui donne le « droit » aux non-fumeurs de réguler ces dernières personnes. Il apparaît ainsi que L44 renforce l’identité sociale du fumeur qui se retrouve aux intersections du SSE, du genre, ou de la race. En employant un tel discours, il est soutenu que L44 pourrait perpétuer les inégalités sociales en matière de tabagisme. L’article 3 emprunte le concept poststructuraliste des « pratiques discursives » afin d’analyser des entrevues faites avec des PLT au Québec. Cet article illustre comment leurs pratiques sont issues de discours sur la prévention du risque et le changement de comportement. Ces pratiques favorisent les interventions visant la réduction de la prévalence du tabagisme auprès de groupes « à risque » au détriment d’interventions ciblant les facteurs structuraux inéquitables dont découlent les inégalités sociales en matière du tabagisme. Toutefois, les PLT qui travaillent avec des personnes défavorisées qui fument, contrairement à ceux qui travaillent en prévention du tabagisme, tiennent un discours plus nuancé qui attribue une importance à l’amélioration des conditions sociales liées au risque de fumer. Cet article suggère que d’élargir les discours dominants en santé publique, notamment en intégrant l’expérience vécue des groupes défavorisés, a le potentiel de produire des discours et des politiques axés vers la promotion de l’équité en santé. Bien qu’ancrée dans le contexte de la lutte contre le tabagisme, les connaissances générées par cette thèse pourront éclairer d’autres discours et politiques de santé publique. En utilisant une approche critique et théorique novatrice, l’importance d’adopter une perspective réflexive envers les connaissances, présuppositions et valeurs qui sous-tendent la problématisation d’un phénomène de la santé (p.ex. le tabagisme), est établie. Cette recherche démontre également qu’il est impératif d’intégrer l’expérience vécue dans l’élaboration de politiques publiques, de cibler les déterminants structuraux ainsi que d’engager les praticiens en santé publique dans le travail intersectoriel afin de réduire les inégalités sociales de la santé. / Significant reductions in smoking prevalence in Canada are attributed to population-level tobacco control policies, such as media campaigns, smoke-free policies, tax increases, and restrictions on the sale of tobacco products. Despite this public health success, social inequalities in smoking have been increasing, with smoking prevalence remaining high in certain socially disadvantaged groups, notably those of low socio-economic status (SES). Although research investigates potential effects of tobacco control policies across SES groups, evidence on how such policies come to have these inequitable effects is lacking. With Quebec’s implementation of a 2015 population-level tobacco control policy, An Act to Bolster Tobacco Control (L44), and a 2020 strategy addressing the reduction of social inequalities in smoking, this thesis attends to a pressing public health question: how might population-level policies, such as L44, impact social inequalities in health? To answer this question, the thesis is comprised of one conceptual article and two empirical articles. The conceptual article discusses the important insights that can be gained from using intersectionality theory when researching social inequalities in health, notably when examining both tenets of intersectionality – the tenet highlighting the role of intersecting social structures in the reproduction of social inequalities is often neglected to privilege the tenet underlining the experiences of intersecting social identities – to better understand the complexity of such inequalities. This article led the thesis to focus on tobacco control policies and practices of tobacco control practitioners (TCP) as structural factors influencing social inequalities in smoking. Using a qualitative critical discourse analysis design, the two empirical articles (articles 2 and 3) critically examine tobacco control discourse as a mechanism linking tobacco control policies and TCP practices to social inequalities in smoking. Article 2 applies a Bacchian post-structuralist approach to policy discourse analysis to documents detailing L44 parliamentary consultations with Quebec tobacco control policy stakeholders. This article demonstrates that L44 reinforces and advances anti-smoking discourses by problematising “the smoker” as a distinct morally deviant category of people from which non-smokers need to be protected. This problematisation is further shown to reify power relations between non-smokers and people who smoke, providing non-smokers the “right” to regulate people who smoke. It appears that by subjectifying and regulating people who smoke, L44, via its discourse, contributes to anchoring smoking status as a social identity intersecting with other social identities such as SES, gender, and/or race. In this way, it may contribute to perpetuating social inequalities in smoking. In article 3, the post-structural concept of “discursive practices” is used to analyse interviews with Quebec TCP. This article illustrates how their practices are shaped by discourses of risk prevention and behaviour change. This was observed through their practices, which reproduced stigmatising representations of “the smoker” (echoing findings from article 2) and supported interventions targeting reductions in smoking prevalence for “at-risk” groups, rather than those addressing inequitable structural determinants of smoking. However, TCP working directly with socially disadvantaged people who smoke, compared to those working in policy, held comparatively more nuanced discursive practices, leading to reduced stigma and attention to the social conditions placing their patients at greater risk of smoking. This article concludes that broadening dominant public health discourses to integrate the lived experiences of socially disadvantaged people who smoke will likely produce more inclusive discourses and favour social policies that reduce social inequalities. This in contrast to risk prevention and behaviour change discourses that may entrench such inequalities. The insights from this thesis can be applied to the relationships between a range of public health policies and social inequalities in health. By offering a critical perspective on tobacco control discourse through a novel theoretically-combined approach, this thesis ultimately aims to inform public health policy design by demonstrating strategies to reduce social inequalities in health and promote health equity. Chiefly, it underlines the importance of questioning unexamined knowledge, assumptions, and values shaping conceptualisations of health problems (e.g., smoking) and policy responses (e.g., tobacco control policies). It also demonstrates the importance of integrating lived experience in policy design and for public health practitioners to work intersectorally in order to achieve reductions in social inequalities in health.

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