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Authentification in wireless mesh networks with identity-based cryptography / Authentification dans les réseaux maillés sans fils avec la cryptographie basée sur l’identitéBoudguiga, Aymen 10 September 2012 (has links)
De nos jours, l'authentification dans les réseaux maillés sans fils fait appel aux certificats ou aux secrets partagés. Dans les environnements sans fils, la gestion des certificats est désavantageuse. En effet, les certificats nécessitent le déploiement d'une infrastructure à clés publiques (ICP) et la définition d'une autorité de certification (AC). La AC définit toute une politique qui permet de contrôler la génération, la transmission et la révocation des certificats. Cette politique ne prend pas en considération les limites en termes de puissance et de mémoire que peuvent avoir les stations des clients dans un réseau maillé. Afin de ne pas utiliser les certificats et ne pas déployer une ICP, nous avons étudié dans cette thèse les utilisations possibles de la cryptographie basée sur l’identité (CBI) pour la définition de nouveaux schémas d’authentification pour les réseaux maillés sans fils. La CBI propose de dériver, directement, la clé publique d’une station à partir de son identité. Par conséquent, nous n’avons plus besoin de passer par des certificats pour associer l’identité de la station à sa paire de clés (publique et privée). Par contre, la CBI définit un générateur de clé privée (GCP) qui gère le calcul des clés privées des différentes stations sur le réseau. Par conséquent, ce GCP est capable de réaliser une attaque d’usurpation d’identité (escroc de clés) à l’encontre de toutes les stations légitimes. Pour diminuer le risque de cette attaque, les chercheurs ont tendance à supposer que le GCP est digne de confiance. Dans cette thèse, nous présentons tout d'abord un protocole d'authentification basée sur l’utilisation conjointe d’un mot de passe et de la CBI. En effet, nous proposons d'utiliser le serveur d’authentification de notre réseau maillé comme GCP. Ensuite, nous étudions une liste de mécanismes qui permettent de contrer l’attaque de l’escroc qui caractérise le GCP / Nowadays, authentication in Wireless Mesh Networks (WMNs) refers to IEEE802.1X standard authentication methods or a pre-shared key authentication, and makes use of certificates or shared secrets. In wireless environments, management of certificates is disadvantageous. Certificates require deploying a Public Key Infrastructure (PKI) and a Certification Authority (CA). The CA defines a certificate management policy to control the generation, transmission and revocation of certificates. Management of certificates is a cumbersome task and does not match the limited (power and memory) resources available at wireless nodes. Moreover, it does not match the non permanent connectivity to the CA. In order to get rid of PKI disadvantages, we investigate in this thesis; the use of ID-Based Cryptography (IBC) for authentication in WMNs. IBC proposes to derive an entity public key from its identity directly. As such, IBC avoids the deployment of the PKI and the CA. IBC relies on a Private Key Generator (PKG) for the computation of stations private keys. As such, the PKG is able to impersonate as any station by illegally generating signature or deciphering encrypted traffic. For mitigating that Key Escrow Attack (KEA), a strong assumption is usually made necessary that the PKG is a trustworthy entity. In this thesis, we first present an ID-Based Password Authentication Protocol (IBPAP) that relies on IBC and a shared secret to authenticate mesh station to the network Authentication Server (AS). We propose to use the AS as a PKG. As such, the AS generates the ID-based private key of the supplicant station at the end of a successful authentication. Meanwhile, the supplicant station uses the shared secret to authenticate the AS and its ID-based public parameters. The latter are needed for the good usage of ID-based signature and encryption algorithms. Second, we propose a Key Escrow Resistant ID-Based Authentication Protocol (KERIBAP). That is, we make each supplicant station participate to the generation of its ID-based private key. We show how to change the existing ID-based signature and encryption algorithms to take into consideration the new format of private keys. We discuss also the possibility of distributing the private key generation between a set of ASs in order to avoid the key escrow attack. We verify that our authentication protocols are all secure in the formal model using the protocol verification tool ProVerif. In addition, we discuss their security resistance to some well-known attacks such as replay, collision and denial of service attacks. Finally, we propose some implementation results to confirm IBC advantages compared to PKI. We show how IBC usage reduces the memory consumption of stations
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Authentification dans les réseaux maillés sans fils avec la cryptographie basée sur l'identitéBoudguiga, Aymen 10 September 2012 (has links) (PDF)
De nos jours, l'authentification dans les réseaux maillés sans fils fait appel aux certificats ou aux secrets partagés. Dans les environnements sans fils, la gestion des certificats est désavantageuse. En effet, les certificats nécessitent le déploiement d'une infrastructure à clés publiques (ICP) et la définition d'une autorité de certification (AC). La AC définit toute une politique qui permet de contrôler la génération, la transmission et la révocation des certificats. Cette politique ne prend pas en considération les limites en termes de puissance et de mémoire que peuvent avoir les stations des clients dans un réseau maillé. Afin de ne pas utiliser les certificats et ne pas déployer une ICP, nous avons étudié dans cette thèse les utilisations possibles de la cryptographie basée sur l'identité (CBI) pour la définition de nouveaux schémas d'authentification pour les réseaux maillés sans fils. La CBI propose de dériver, directement, la clé publique d'une station à partir de son identité. Par conséquent, nous n'avons plus besoin de passer par des certificats pour associer l'identité de la station à sa paire de clés (publique et privée). Par contre, la CBI définit un générateur de clé privée (GCP) qui gère le calcul des clés privées des différentes stations sur le réseau. Par conséquent, ce GCP est capable de réaliser une attaque d'usurpation d'identité (escroc de clés) à l'encontre de toutes les stations légitimes. Pour diminuer le risque de cette attaque, les chercheurs ont tendance à supposer que le GCP est digne de confiance. Dans cette thèse, nous présentons tout d'abord un protocole d'authentification basée sur l'utilisation conjointe d'un mot de passe et de la CBI. En effet, nous proposons d'utiliser le serveur d'authentification de notre réseau maillé comme GCP. Ensuite, nous étudions une liste de mécanismes qui permettent de contrer l'attaque de l'escroc qui caractérise le GCP.
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Limiter le besoin de tiers de confiance en cryptographieAbdalla, Michel 24 November 2011 (has links) (PDF)
Les tiers de confiance sont essentiels aux communications sécurisées. Par exemple, dans une infrastructure de gestion de clés, l'autorité de certification est la clé de voute de l'authentification en garantissant le lien entre une identité et une clé publique. Une carte à puce se doit, pour sa part, d'assurer la confidentialité et l'intégrité des données secrètes lorsqu'elle sert de stockage de données cryptographiques. En effet, si ces garanties sont mises en défaut dans l'une de ces situations, alors la sécurité globale du système peut en être affectée. Plusieurs approches permettent de réduire l'importance des tiers de confiance, telles qu'accroître la difficulté de recouvrer la clé secrète, en la distribuant parmi plusieurs entités, ou limiter l'impact d'une fuite d'information secrète, comme dans les cryptosystèmes "intrusion-resilient" ou "forward-secure". Dans cette thèse, nous considérons deux méthodes complémentaires. La première méthode consiste à utiliser des mots de passe, ou des clés secrètes de faible entropie, qui n'ont pas besoin d'être stockés dans un dispositif cryptographique sécurisé. Malgré la faible entropie du secret, de tels protocoles peuvent fournir un niveau d'assurance satisfaisant pour la plupart des applications. On considère en particulier la mise en accord de clés. La deuxième méthode limite le besoin de garantie de la part des tiers de confiance en utilisant un cryptosystème basé sur l'identité, dans lequel la clé publique d'un utilisateur peut être une chaîne de caractères arbitraire, telle qu'une adresse email. Comme ces systèmes fournissent une résistance aux collusions, ils peuvent aussi être utilisés pour réduire les dommages causés par l'exposition de clés secrètes en générant des secrets indépendants pour chaque période de temps ou pour chaque périphérique/entité. Par ailleurs, ces systèmes basés sur l'identité permettent aux utilisateurs d'avoir un contrôle plus fin sur les capacités de déchiffrement des tiers, en limitant les conséquences liées à un mauvais usage.
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Cloud data storage security based on cryptographic mechanisms / La sécurité des données stockées dans un environnement cloud, basée sur des mécanismes cryptographiquesKaaniche, Nesrine 15 December 2014 (has links)
Au cours de la dernière décennie, avec la standardisation d’Internet, le développement des réseaux à haut débit, le paiement à l’usage et la quête sociétale de la mobilité, le monde informatique a vu se populariser un nouveau paradigme, le Cloud. Le recours au cloud est de plus en plus remarquable compte tenu de plusieurs facteurs, notamment ses architectures rentables, prenant en charge la transmission, le stockage et le calcul intensif de données. Cependant, ces services de stockage prometteurs soulèvent la question de la protection des données et de la conformité aux réglementations, considérablement due à la perte de maîtrise et de gouvernance. Cette dissertation vise à surmonter ce dilemme, tout en tenant compte de deux préoccupations de sécurité des données, à savoir la confidentialité des données et l’intégrité des données. En premier lieu, nous nous concentrons sur la confidentialité des données, un enjeu assez considérable étant donné le partage de données flexible au sein d’un groupe dynamique d’utilisateurs. Cet enjeu exige, par conséquence, un partage efficace des clés entre les membres du groupe. Pour répondre à cette préoccupation, nous avons, d’une part, proposé une nouvelle méthode reposant sur l’utilisation de la cryptographie basée sur l’identité (IBC), où chaque client agit comme une entité génératrice de clés privées. Ainsi, il génère ses propres éléments publics et s’en sert pour le calcul de sa clé privée correspondante. Grâce aux propriétés d’IBC, cette contribution a démontré sa résistance face aux accès non autorisés aux données au cours du processus de partage, tout en tenant compte de deux modèles de sécurité, à savoir un serveur de stockage honnête mais curieux et un utilisateur malveillant. D’autre part, nous définissons CloudaSec, une solution à base de clé publique, qui propose la séparation de la gestion des clés et les techniques de chiffrement, sur deux couches. En effet, CloudaSec permet un déploiement flexible d’un scénario de partage de données ainsi que des garanties de sécurité solides pour les données externalisées sur les serveurs du cloud. Les résultats expérimentaux, sous OpenStack Swift, ont prouvé l’efficacité de CloudaSec, en tenant compte de l’impact des opérations cryptographiques sur le terminal du client. En deuxième lieu, nous abordons la problématique de la preuve de possession de données (PDP). En fait, le client du cloud doit avoir un moyen efficace lui permettant d’effectuer des vérifications périodiques d’intégrité à distance, sans garder les données localement. La preuve de possession se base sur trois aspects : le niveau de sécurité, la vérification publique, et les performances. Cet enjeu est amplifié par des contraintes de stockage et de calcul du terminal client et de la taille des données externalisées. Afin de satisfaire à cette exigence de sécurité, nous définissons d’abord un nouveau protocole PDP, sans apport de connaissance, qui fournit des garanties déterministes de vérification d’intégrité, en s’appuyant sur l’unicité de la division euclidienne. Ces garanties sont considérées comme intéressantes par rapport à plusieurs schémas proposés, présentant des approches probabilistes. Ensuite, nous proposons SHoPS, un protocole de preuve de possession de données capable de traiter les trois relations d’ensembles homomorphiques. SHoPS permet ainsi au client non seulement d’obtenir une preuve de la possession du serveur distant, mais aussi de vérifier que le fichier, en question, est bien réparti sur plusieurs périphériques de stockage permettant d’atteindre un certain niveau de la tolérance aux pannes. En effet, nous présentons l’ensemble des propriétés homomorphiques, qui étend la malléabilité du procédé aux propriétés d’union, intersection et inclusion / Recent technological advances have given rise to the popularity and success of cloud. This new paradigm is gaining an expanding interest, since it provides cost efficient architectures that support the transmission, storage, and intensive computing of data. However, these promising storage services bring many challenging design issues, considerably due to the loss of data control. These challenges, namely data confidentiality and data integrity, have significant influence on the security and performances of the cloud system. This thesis aims at overcoming this trade-off, while considering two data security concerns. On one hand, we focus on data confidentiality preservation which becomes more complex with flexible data sharing among a dynamic group of users. It requires the secrecy of outsourced data and an efficient sharing of decrypting keys between different authorized users. For this purpose, we, first, proposed a new method relying on the use of ID-Based Cryptography (IBC), where each client acts as a Private Key Generator (PKG). That is, he generates his own public elements and derives his corresponding private key using a secret. Thanks to IBC properties, this contribution is shown to support data privacy and confidentiality, and to be resistant to unauthorized access to data during the sharing process, while considering two realistic threat models, namely an honest but curious server and a malicious user adversary. Second, we define CloudaSec, a public key based solution, which proposes the separation of subscription-based key management and confidentiality-oriented asymmetric encryption policies. That is, CloudaSec enables flexible and scalable deployment of the solution as well as strong security guarantees for outsourced data in cloud servers. Experimental results, under OpenStack Swift, have proven the efficiency of CloudaSec in scalable data sharing, while considering the impact of the cryptographic operations at the client side. On the other hand, we address the Proof of Data Possession (PDP) concern. In fact, the cloud customer should have an efficient way to perform periodical remote integrity verifications, without keeping the data locally, following three substantial aspects : security level, public verifiability, and performance. This concern is magnified by the client’s constrained storage and computation capabilities and the large size of outsourced data. In order to fulfill this security requirement, we first define a new zero-knowledge PDP proto- col that provides deterministic integrity verification guarantees, relying on the uniqueness of the Euclidean Division. These guarantees are considered as interesting, compared to several proposed schemes, presenting probabilistic approaches. Then, we propose SHoPS, a Set-Homomorphic Proof of Data Possession scheme, supporting the 3 levels of data verification. SHoPS enables the cloud client not only to obtain a proof of possession from the remote server, but also to verify that a given data file is distributed across multiple storage devices to achieve a certain desired level of fault tolerance. Indeed, we present the set homomorphism property, which extends malleability to set operations properties, such as union, intersection and inclusion. SHoPS presents high security level and low processing complexity. For instance, SHoPS saves energy within the cloud provider by distributing the computation over multiple nodes. Each node provides proofs of local data block sets. This is to make applicable, a resulting proof over sets of data blocks, satisfying several needs, such as, proofs aggregation
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