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Analyse des prédicteurs de la saine alimentation : cas du Canada

Godonou, Gratias Gloria Denise M 31 October 2019 (has links)
La présente étude s’est donnée pour objectif d’actualiser les prédicteurs de la saine alimentation, chez les Canadiens âgés de 18 ans et plus avec des données récentes (Enquête sur la Santé dans les Collectivités Canadiennes (ESCC)-Nutrition 2015) et de vérifier l’effet de nouvelles variables. Ce, parce que les études menées jusque-là pour évaluer les déterminants de la saine alimentation sont des études anciennes ou lorsqu’elles sont récentes elles sont quand même basées sur les données de 2004. Dans ce cadre, nous avons évalué la qualité de l’alimentation avec l’indice de saine alimentation, version 2005 adaptée au contexte canadien (HEI-C2005), puis nous avons mené une régression linéaire multiple avec comme variables explicatives des facteurs socioéconomiques, démographiques, l’état de santé, le niveau d’activité physique et le bien-être général perçu. Nos résultats montrent qu’actuellement, la qualité de l’alimentation de la plupart des Canadiens doit être améliorée (un indice moyen de 68/100 avec un écart-type de 12, sachant qu’une valeur de 80/100 ou plus est le seuil d’une saine alimentation). Toutefois, il y a eu une amélioration par rapport à 2004 (indice moyen de 50,2/100). En ce qui concerne les prédicteurs, l’effet connu des variables classiques (âge, genre, éducation, bien-être perçu, revenu, origine ethnique et niveau d’activité physique) n’a pas changé. Concernant ce qui n’a pas encore été vérifié dans les études précédentes, nos résultats démontrent que l’insécurité alimentaire et le prix des légumes ont un effet négatif sur la qualité de l’alimentation Les personnes diabétiques et les personnes ne souffrant pas de cancer ont une alimentation plus saine que les non-diabétiques et les personnes souffrant de cancer. Aussi, nos résultats montrent que le prix des fruits et le milieu de résidence n’ont pas d’effet sur la qualité de l’alimentation. / The objective of this study is to update the predictors of healthy eating for adult Canadians with recent data (Canadian Community Health Survey (CCHS) -Nutrition 2015) and check the effect of new variables. This, because studies conducted to date to assess the determinants of healthy eating are either old studies or recent ones are still based on 2004 data. In this context, we evaluated the quality of the diet with the healthy eating index, 2005 version adapted to the Canadian context (HEI-C2005), then we carried out a multiple linear regression with as variables socioeconomic and demographic factors, health, level of physical activity and perceived general well-being. Our results show that currently, the diet quality of most Canadians needs to be improved (an average index of 68/100 with a standard deviation of 12, knowing that a value of 80/100 or more is the threshold of a healthy diet). However, there has been an improvement over 2004 (average index of 50,2 / 100). For predictors, the known effect of the classic variables (age, gender, education, well-being, income, ethnicity and level of physical activity) has not changed. Regarding what has not been verified in previous studies, our results show that food insecurity and vegetable prices have a negative effect on the diet quality. People with diabetes and people who don’t have cancer have a healthier diet than non-diabetics and people with cancer. Also, our results show that the price of fruits and the residence area have no effect on the diet quality
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Food literacy and healthy diets of Canadian parents : Associations and evaluation of the Eat Well Campaign

Fernandez, Melissa Anne 06 March 2019 (has links)
Une mauvaise alimentation est un facteur de risque important contribuant au fardeau des maladies chroniques. La littéracie alimentaire contribue à l’adoption de saines habitudes alimentaires et aide les consommateurs à développer de la résilience envers les effets négatifs de l’environnement alimentaire malsain qui offre une grande variété d’aliments à petits prix, souvent riches en énergie et de pauvre qualité nutritionnelle. Un besoin de réaliser de la recherche au Canada sur les déterminants de la littéracie alimentaire et leur association à la qualité de l’alimentation a déjà été identifié. La campagne « Bien manger » est une initiative portant sur la saine alimentation développée par Santé Canada pour sensibiliser les parents canadiens à la saine alimentation et augmenter leurs connaissances ainsi que leur participation à la planification des repas familiaux – une composante de la littéracie alimentaire. Les partenariats multisectoriels avec les détaillants alimentaires, les médias et les organisations de santé ont facilité la diffusion de la campagne et ont contribué à l’accroissement de sa portée et de son efficacité auprès des parents canadiens. La planification de repas n’est pas une composante de la littéracie alimentaire qui a été bien documentée dans la littérature, et jamais aucune intervention populationnelle sur ce sujet n’a fait objet d’une évaluation. De telles évaluations sont nécessaires pour fournir de la rétroaction aux parties prenantes concernant des pistes d’améliorations d’initiatives en santé et pour identifier des stratégies optimales visant à soutenir les progrès en santé publique. L’objectif principal de cette thèse est de mener des évaluations de processus et d’impacts de la campagne « Bien manger », explorer les associations entre la littéracie alimentaire et la qualité de l’alimentation des parents canadiens et de transférer les connaissances auprès des décideurs et des parties prenantes. Pour réaliser les objectifs, un échantillon composé de partenaires multisectoriels de Santé Canada a été interrogé et une enquête a été réalisée auprès de parents canadiens. Dans un premier temps, une évaluation qualitative du processus d’implantation a été effectuée avec 21 partenaires pour déterminer quels facteurs ont influencé leur décision d’adopter la campagne « Bien manger » et pour identifier les iv facteurs facilitants et les obstacles reliés à l’implantation de la campagne. Dans un deuxième temps, une évaluation quantitative a été effectuée auprès de 964 parents canadiens pour caractériser la portée de la campagne et déterminer les effets sur les attitudes reliés à la planification des repas familiaux. Dans un troisième temps, des associations entre la littéracie alimentaire, le statut d’emploi et la qualité de l’alimentation ont été examinés au sein de 767 parents. L’évaluation de processus a mis au jour de nombreux éléments clés à prendre en considération lors de futures collaborations. Notamment, indépendamment de la mission de chaque organisation, celles partageant des valeurs compatibles ont de bonnes chances d’être de bons partenaires. En revanche, la planification collaborative et la communication sont nécessaires pour maintenir l’engagement de l’organisation et pour soutenir l’implantation des activités. L’évaluation d’impact a dévoilé que le rappel de la campagne était plus important chez les francophones, les personnes sans éducation universitaire et les personnes à faibles revenus. Les taux de rappels ont largement varié à travers le pays, avec les taux les moins élevés à Vancouver, Winnipeg et Toronto et les taux les plus élevés à Québec et dans les régions rurales du Québec. De plus, le rappel de la campagne était associé à des attitudes plus favorables envers la planification de repas. Finalement, les analyses exploratoires ont dévoilé que le statut d’emploi n’est pas associé à la littéracie alimentaire, que le temps était un obstacle important à la préparation de repas, et que les dimensions de connaissances en nutrition et conceptualisation d’aliments étaient associées à une meilleure qualité alimentaire. En conclusion, les futures initiatives de santé publique en matière de nutrition peuvent être renforcées par l’implication de partenaires avec des valeurs semblables dès l’étape de planification de l’intervention. Les initiatives futures devraient être élaborées en ciblant les dimensions de littéracie alimentaire qui ont la plus grande chance d’influencer des facteurs nutritionnels positives telles que les dimensions de connaissances alimentaires ou conceptualisation alimentaire, et prendre en considération des stratégies permettant aux parents de surmonter les obstacles reliés au manque de temps. / Poor diet is a major risk factor for non-communicable chronic diseases such as obesity, cardiovascular disease and certain cancers. Food literacy supports healthy eating practices and can help individuals build resilience to food environments that provide consumers with a large variety of energy-dense nutrient poor foods in abundance at low-costs. A need for further research in Canada on the determinants of food literacy and their relationship to diet quality has previously been identified. The Eat Well Campaign (Food Skills) (EWC) is a healthy eating initiative developed by Health Canada to increase parents’ awareness, knowledge of and engagement in meal planning – a component of food literacy. Cross-sector partnerships with the retail food industry, media and health organizations facilitated the diffusion of the EWC and were pivotal to extend its reach and effectiveness. Meal planning is not well described in the literature and no population-wide communication interventions targeting meal planning have been evaluated to date. Evaluations are essential to provide feedback to stakeholders on improving health initiatives, identify optimal strategies to support advances in public health and ensure government accountability. The main objective of this thesis was to conduct process and impact evaluations of the EWC, explore associations between food literacy and diet quality of Canadian parents and put this information into context for decision makers and stakeholders. To achieve these objectives, a purposeful sample of Health Canada’s cross-sector partners were interviewed and a cross-section of Canadian parents were surveyed. First, a qualitative process evaluation was conducted with 21 cross-sector partners to determine which factors influenced their decision to adopt the EWC and identify facilitators and barriers that they experienced during the EWC implementation. Second, a quantitative impact evaluation was conducted with 964 parents from across Canada to characterise the reach (i.e., awareness) of the EWC and determine whether the campaign’s awareness influenced meal planning attitudes, behaviors and self-efficacy. Third, associations between different food literacy dimensions, employment status and diet quality were investigated in a subsample of 767 parents. The process evaluation revealed several key considerations for future collaborations with partners from multiple sectors. Of note, regardless of mission, organizations with similar values are likely to make stronger partnerships; however, advanced collaborative planning and consistent communication are necessary to maintain organizational engagement and activity implementation. The impact evaluation revealed that the highest rates of campaign awareness were among French-speakers, parents without university education and those from low-income households. Awareness varied greatly across the country with the lowest rates in Vancouver, Winnipeg and Toronto, and the highest rates in Quebec City and rural Quebec. Additionally, campaign awareness was associated with more positive attitudes towards meal planning. Finally, exploratory analyses of different food literacy dimensions revealed that employment status was not associated with food literacy, time was a major limitation for home-based meal preparation and nutrition knowledge and food conceptualisation are significantly associated with diet quality. In conclusion, future public health nutrition initiatives can be strengthened by involving partners with similar values during the intervention planning stage. Future interventions should target dimensions of food literacy that are most likely to influence dietary outcomes such as nutrition knowledge or food conceptualisation and need to consider strategies to overcome time barriers to healthy eating.

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