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Les variations de la phosphatémie chez les bovins laitiers

Montiel, Lisandro January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Stratégies de développement du copépode calanoïde Mixodiaptomus laciniatus dans un lac de montagne : approche par les biomarqueurs lipidiques et pigmentaires

Vera, Aurélie 09 December 2005 (has links) (PDF)
Notre étude concerne une population de Mixodiaptomus laciniatus vivant dans un lac de montagne oligotrophe du Massif Central. Dans cet écosystème, le zooplancton est dominé par ce copépode qui, grâce à des réserves lipidiques, peut rester actif toute l'année. Nous avons donc voulu préciser comment ces réserves étaient accumulées et utilisées par les différents stades du calanoïde. Chez celui-ci, l'accumulation des réseves lipidiques dépend des ressources alimentaires, mais aussi de son stade de développement. Les relations trophiques liant ce microcrustacé aux communautés microbiennes ont été étudiées par l'utilisation concomitante de marqueurs chémotaxonomiques de type pigments, acides gras et stérols. Cette étude souligne l'importance du bloom phytoplanctonique automnal et laisse suggérer que Mixodiaptomus, par son cycle de développement, a pu mettre en place un ensemble de stratégies écologiques, physiologiques et biochimiques afin d'assurer sa pérennité dans cet écosystème
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Répartition de l'Eider à duvet pendant les périodes d'élevage des jeunes et de mue des adultes le long du fleuve Saint-Laurent

Diéval, Hélène 07 1900 (has links) (PDF)
Les effectifs de la population d'Eiders à duvet (Somateria mollissima dresseri) de l'estuaire du Saint-Laurent fluctuent considérablement sans tendance apparente depuis plusieurs années. Pendant l'été, les périodes d'élevage des jeunes et de mue des adultes sont deux moments importants du cycle de vie de cette espèce. La sélection d'habitats optimaux appropriés à leurs besoins est alors primordiale. La moindre modification de ces habitats, notamment par le développement anthropique, pourrait jouer un rôle important dans le devenir de toute la population. Les objectifs de notre étude étaient d'étudier la répartition et le comportement des eiders sur les sites d'élevage des jeunes et de mue des adultes sous l'influence de facteurs biotiques et abiotiques le long de la rive sud de l'estuaire du Saint-Laurent. Le terrain d'étude s'étendait sur 200 km entre les municipalités de Notre-Dame-du-Portage et de Matane dans la région du Bas Saint-Laurent. Des inventaires ont été effectués dans 68 zones d'observation le long de la côte, tous les trois jours. Le nombre d'oiseaux, l'âge des jeunes, le sexe des adultes et leur comportement ont été notés, ainsi que l'occurrence du dérangement humain. La disponibilité des ressources alimentaires a été obtenue sur le terrain par une caractérisation des habitats à l'aide d'une série de transects établis aléatoirement dans un sous-échantillon de zones. Les couvées et les adultes sans jeunes avaient une répartition distincte principalement influencée par la répartition et l'abondance de leurs proies préférentielles. Les couvées privilégiaient les côtes proches des îles de nidification tandis que les adultes partaient en direction du Golfe du Saint-Laurent très tôt après l'éclosion. Leur comportement sur les rives variait également selon leurs besoins énergétiques respectifs mais aussi, pour tous les oiseaux, sous l'influence du dérangement humain. Cette étude a caractérisé les sites préférentiels d'élevage des jeunes le long de la rive sud du fleuve Saint-Laurent. Elle a également révélé que la majorité des adultes ne mue pas dans cette partie de l'estuaire. Ces connaissances faciliteront la mise en place de plans de gestion pour la conservation de cette espèce. Néanmoins, d'autres études sont à mener pour identifier les principaux sites de mue des adultes et caractériser plus précisément l'influence de variables abiotiques comme le dérangement humain sur les couvées d'eiders. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Somateria mollissima, élevage des jeunes, mue, répartition, ressources alimentaires
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Bioécologie et diversité génétique d'Orthops palus (Heteroptera, Miridae), ravageur du manguier à La Réunion / No English title available

Atiama, Morguen 31 March 2016 (has links)
La culture du manguier à La Réunion est confrontée à un cortège de bioagresseurs, dont la punaise Orthops palus (Heteroptera, Miridae). Cette espèce est uniquement signalée en Ouganda et à La Réunion mais n'est considérée comme ravageur du manguier qu'à La Réunion. Peu d'études ont donc été consacrées à cet insecte, ce qui est à l'origine du manque de connaissance sur ce ravageur. L'objectif général de cette thèse est l'acquisition de connaissances sur O. palus. Il se décline en plusieurs objectifs spécifiques. Il s'agit, dans un premier temps, de caractériser la diversité de mirides présentes dans les vergers de manguiers de La Réunion. Dans un deuxième temps, l'objectif est de caractériser le cycle biologique d'O. palus et les interactions insecte-plantes. Enfin, dans un troisième temps, le dernier objectif consiste à étudier la distribution et la diversité génétique de l'espèce à La Réunion et dans la zone sud-ouest de l'océan Indien (SOOI). Les principaux résultats de la thèse sont les suivants. La miridofaune des vergers de manguiers a été étudiée et, parmi les 13 espèces de mirides recensées, O. palus est l'espèce la plus abondante sur les inflorescences du manguier lors de sa floraison. Pour identifier O. palus au laboratoire et la reconnaître sur le terrain, trois outils originaux ont été construits (une clé d'identification, des séquences du Cytochrome c Oxydase I et une fiche de reconnaissance sur le terrain). Un élevage d'O. palus a été mis au point ; il a permis de caractériser son cycle biologique et de mesurer les durées de développement des différents stades. Parallèlement, l'inventaire in situ des plantes hôtes d'O. palus (15 espèces à La Réunion) a montré le caractère polyphage de espèce. Les études sur la diversité et la structuration génétique d'O. palus dans les îles du SOOI ont apporté des résultats importants. À La Réunion, la population d'O. palus est structurée en deux clusters, mais les facteurs structurant n'ont pu être totalement identifiés. À Maurice, une seule population est recensée et demeure différente de celles de La Réunion. Aucune race d'hôte n'a été mise en évidence, ni à La Réunion, ni à Maurice. Des flux de populations, dans les deux sens, ont été mis en évidence entre ces deux îles. Enfin, l'analyse de la diversité de l'ADN mitochondrial sur des individus prélevés sur quatre îles du SOOI (La Réunion, Maurice, Mayotte, Grande Comore) montre la présence d'au moins sept haplotypes dont la distribution confirme les échanges inter-îles. La dynamique spatiale et temporelle de l'insecte en relation avec sa stratégie de passage de l'année ainsi que les flux de populations à l'échelle du SOOI font l'objet de discussions transversales. Les résultats montrent qu'au-delà d'être une punaise s'attaquant uniquement au manguier, comme son nom le suggérait jusqu'à présent, O. palus est surtout une "Punaise des fleurs", susceptible de se maintenir toute l'année en se déplaçant, selon la disponibilité des ressources alimentaires, de plante en fleur à plante en fleur. Parmi les plantes participant à sa dynamique annuelle, plusieurs sont des plantes d'intérêt économique (letchi, jujubier, avocatier). Diverses perspectives de recherche sont proposées pour compléter les connaissances déjà acquises sur O. palus, notamment la compréhension des processus de dispersion des populations à l'échelle de l'agroécosystème, la vérification de la présence d'O. palus dans d'autres territoires du SOOI et l'étude de sa diversité génétique dans cette même région. Enfin, à la lumière des résultats acquis dans la thèse, des propositions de gestion agroécologique des populations d'O. palus à l'échelle locale, ainsi que des recommandations sur les mesures de précaution à prendre pour éviter les flux de populations entre les pays de l'océan Indien sont faites. / Mango crops in Reunion Island are threatened by a series of pests, including the bug Orthops palus (Heteroptera, Miridae). This species has only been reported in Uganda and Reunion Island but is considered pest of mango only in Reunion Island. Few studies have therefore been devoted to this bug, which explains the lack of knowledge concerning this pest. The overall aim of my thesis was to acquire knowledge about O. palus, and several specific objectives were pursued. The first was to characterize mirid diversity in the mango orchards of Reunion Island. The second was to characterize the life cycle of O. palus and insect-plant interactions. The third objective was to study the distribution and genetic diversity of the species in Reunion Island and on other islands in the south-west Indian Ocean (SWIO).The main results of these studies are: among the 13 species identified in the community of mirids in mango orchards, O. palus was the most abundant on the mango inflorescences when in flower. Three original tools were built to identify O. palus in the laboratory and to recognize the species in the field: an identification key, COI sequences, and a field recognition card). A method was developed to rear O. palus, which enabled the characterization of its life cycle and the length of the development stages. Meanwhile, the inventory of in situ host plants (15 species in Reunion Island) showed that O. palus is polyphagous. Studies of the diversity and genetic structure of O. palus in SWIO islands also provided significant results. In Reunion Island, the population is structured in two clusters, although the structural factors could not be fully identified. In Mauritius, one cluster was identified and was shown to be different from the clusters in Reunion Island. No host race was found either in Reunion Island or in Mauritius. Population movements in both directions between the two islands were highlighted. Finally, the analysis of the mitochondrial DNA diversity of individuals sampled on four SWIO islands (Reunion, Mauritius, Mayotte, Grande Comore) revealed the presence of at least seven haplotypes whose distribution confirmed exchanges between islands.The dynamics of O. palus in space and over time are discussed in connection with its survival strategy over the course of the year and with population flows across SWIO. The results showed that beyond being a bug that attacks only the mango tree, as the name strongly suggests, O. palus is rather a "flower bug" likely to maintain populations throughout the year by moving from one flowering plant to another according to food availability. Among the plants involved in the annual dynamics of the insect, several species beside mango are of economic interest (lychee, jujube, avocado). Several research topics are proposed to complete the knowledge already acquired on O. palus, including understanding of population dispersion processes at the scale of the agro-ecosystem, and evaluating the presence and the genetic diversity of O. palus in other SWOI territories. Finally, agroecological practices for the local management of O. palus populations are proposed based on the results of the studies that comprise the present dissertation. Recommendations are made for precautionary measures to prevent the flow of O. palus populations between countries located in the Indian Ocean.
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Cycle biologique et stratégies de développement chez les coccolithophores (Prymnesiophyceae, Haptophyta) . Implications écologiques

Houdan, Aude 19 December 2003 (has links) (PDF)
Les coccolithophores sont des microalgues calcifiées constituant un des principaux groupes phytoplanctoniques marins. Ces organismes restent cependant encore mal connus, du fait du peu d'espèces cultivées. Dans ce travail, les connaissances sur la biologie et l'écologie de ce groupe ont été approfondies à travers l'étude du cycle de vie et de ses implications écologiques pour quatre coccolithophores en culture : Coccolithus pelagicus, Calcidiscus leptoporus, Coronosphaera mediterranea et Emiliania huxleyi. Un cycle digénétique haplo-diplophasique hétéromorphe a d'abord été démontré par différentes techniques. Des expériences écophysiologiques sur des facteurs abiotiques (température, lumière, turbulence, nutriments) ont ensuite permis d'émettre des hypothèses sur l'influence du cycle digénétique sur l'écologie de ces espèces et d'établir un cycle écologique. Enfin, une étude préliminaire de la toxicité a été réalisée, démontrant la toxicité de cinq espèces côtières de coccolithophores.

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