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FACTS-ON : Fighting Against Counterfeit Truths in Online social Networks : fake news, misinformation and disinformation

Amri, Sabrine 03 1900 (has links)
L'évolution rapide des réseaux sociaux en ligne (RSO) représente un défi significatif dans l'identification et l'atténuation des fausses informations, incluant les fausses nouvelles, la désinformation et la mésinformation. Cette complexité est amplifiée dans les environnements numériques où les informations sont rapidement diffusées, nécessitant des stratégies sophistiquées pour différencier le contenu authentique du faux. L'un des principaux défis dans la détection automatique de fausses informations est leur présentation réaliste, ressemblant souvent de près aux faits vérifiables. Cela pose de considérables défis aux systèmes d'intelligence artificielle (IA), nécessitant des données supplémentaires de sources externes, telles que des vérifications par des tiers, pour discerner efficacement la vérité. Par conséquent, il y a une évolution technologique continue pour contrer la sophistication croissante des fausses informations, mettant au défi et avançant les capacités de l'IA. En réponse à ces défis, ma thèse introduit le cadre FACTS-ON (Fighting Against Counterfeit Truths in Online Social Networks), une approche complète et systématique pour combattre la désinformation dans les RSO. FACTS-ON intègre une série de systèmes avancés, chacun s'appuyant sur les capacités de son prédécesseur pour améliorer la stratégie globale de détection et d'atténuation des fausses informations. Je commence par présenter le cadre FACTS-ON, qui pose les fondements de ma solution, puis je détaille chaque système au sein du cadre : EXMULF (Explainable Multimodal Content-based Fake News Detection) se concentre sur l'analyse du texte et des images dans les contenus en ligne en utilisant des techniques multimodales avancées, couplées à une IA explicable pour fournir des évaluations transparentes et compréhensibles des fausses informations. En s'appuyant sur les bases d'EXMULF, MythXpose (Multimodal Content and Social Context-based System for Explainable False Information Detection with Personality Prediction) ajoute une couche d'analyse du contexte social en prédisant les traits de personnalité des utilisateurs des RSO, améliorant la détection et les stratégies d'intervention précoce contre la désinformation. ExFake (Explainable False Information Detection Based on Content, Context, and External Evidence) élargit encore le cadre, combinant l'analyse de contenu avec des insights du contexte social et des preuves externes. Il tire parti des données d'organisations de vérification des faits réputées et de comptes officiels, garantissant une approche plus complète et fiable de la détection de la désinformation. La méthodologie sophistiquée d'ExFake évalue non seulement le contenu des publications en ligne, mais prend également en compte le contexte plus large et corrobore les informations avec des sources externes crédibles, offrant ainsi une solution bien arrondie et robuste pour combattre les fausses informations dans les réseaux sociaux en ligne. Complétant le cadre, AFCC (Automated Fact-checkers Consensus and Credibility) traite l'hétérogénéité des évaluations des différentes organisations de vérification des faits. Il standardise ces évaluations et évalue la crédibilité des sources, fournissant une évaluation unifiée et fiable de l'information. Chaque système au sein du cadre FACTS-ON est rigoureusement évalué pour démontrer son efficacité dans la lutte contre la désinformation sur les RSO. Cette thèse détaille le développement, la mise en œuvre et l'évaluation complète de ces systèmes, soulignant leur contribution collective au domaine de la détection des fausses informations. La recherche ne met pas seulement en évidence les capacités actuelles dans la lutte contre la désinformation, mais prépare également le terrain pour de futures avancées dans ce domaine critique d'étude. / The rapid evolution of online social networks (OSN) presents a significant challenge in identifying and mitigating false information, which includes Fake News, Disinformation, and Misinformation. This complexity is amplified in digital environments where information is quickly disseminated, requiring sophisticated strategies to differentiate between genuine and false content. One of the primary challenges in automatically detecting false information is its realistic presentation, often closely resembling verifiable facts. This poses considerable challenges for artificial intelligence (AI) systems, necessitating additional data from external sources, such as third-party verifications, to effectively discern the truth. Consequently, there is a continuous technological evolution to counter the growing sophistication of false information, challenging and advancing the capabilities of AI. In response to these challenges, my dissertation introduces the FACTS-ON framework (Fighting Against Counterfeit Truths in Online Social Networks), a comprehensive and systematic approach to combat false information in OSNs. FACTS-ON integrates a series of advanced systems, each building upon the capabilities of its predecessor to enhance the overall strategy for detecting and mitigating false information. I begin by introducing the FACTS-ON framework, which sets the foundation for my solution, and then detail each system within the framework: EXMULF (Explainable Multimodal Content-based Fake News Detection) focuses on analyzing both text and image in online content using advanced multimodal techniques, coupled with explainable AI to provide transparent and understandable assessments of false information. Building upon EXMULF’s foundation, MythXpose (Multimodal Content and Social Context-based System for Explainable False Information Detection with Personality Prediction) adds a layer of social context analysis by predicting the personality traits of OSN users, enhancing the detection and early intervention strategies against false information. ExFake (Explainable False Information Detection Based on Content, Context, and External Evidence) further expands the framework, combining content analysis with insights from social context and external evidence. It leverages data from reputable fact-checking organizations and official social accounts, ensuring a more comprehensive and reliable approach to the detection of false information. ExFake's sophisticated methodology not only evaluates the content of online posts but also considers the broader context and corroborates information with external, credible sources, thereby offering a well-rounded and robust solution for combating false information in online social networks. Completing the framework, AFCC (Automated Fact-checkers Consensus and Credibility) addresses the heterogeneity of ratings from various fact-checking organizations. It standardizes these ratings and assesses the credibility of the sources, providing a unified and trustworthy assessment of information. Each system within the FACTS-ON framework is rigorously evaluated to demonstrate its effectiveness in combating false information on OSN. This dissertation details the development, implementation, and comprehensive evaluation of these systems, highlighting their collective contribution to the field of false information detection. The research not only showcases the current capabilities in addressing false information but also sets the stage for future advancements in this critical area of study.
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Ceux qui ont dit « Non » Histoire du mouvement des marins chiliens opposés au coup d’État de 1973

Magasich-Airola, Jorge 30 November 2007 (has links)
L’opposition au coup d’État de 1973 au sein des forces armées chiliennes a été significative. En effet, un nombre symptomatique d’officiers, tout comme un nombre considérable des membres de la troupe, ont répondu « Non » à l’ordre de renverser le gouvernement légitime. Ces militaires légitimistes ont été particulièrement actifs dans la Marine, institution qui vit un conflit entre sa structure archaïque et le statut social de technicien acquis par les marins. Ce derniers perçoivent, avant d’autres secteurs de la société, le danger d’un coup d’État et vont tenter de s’organiser, tout d’abord pour informer les autorités et ensuite pour tenter de le faire avorter. Notre objectif est de retracer l’histoire du mouvement des marins légitimistes et notre hypothèse de travail est que le coup d’État de 1973 n’est pas l’œuvre de l’armée mais d’une fraction de celle-ci. Nous avons consulté quatre catégories de sources : 1) La presse : 6 quotidiens et 2 hebdomadaires opposés au gouvernement d’Allende; 4 quotidiens, 2 hebdomadaires et un bimensuel proches du gouvernement ou de gauche. 2) Les essais, documents politiques, témoignages et mémoires, particulièrement les mémoires des quatre amiraux organisateurs du coup d’État. 3) Les procès entamés contre les marins dès la fin du gouvernement d’Allende, dont les 6.000 pages du célèbre procès 3926 contre les marins de la flotte. 4) Nous avons interviewé 30 marins, ce qui correspond à environ un tiers des marins condamnés par les tribunaux navals sous la dictature. En outre, nous avons interviewé, des militants, des avocats, un procureur, un général de l’aviation opposé au coup d’État, un officier de la Marine opposé au coup d’État et un officier de la Marine favorable au coup d’État. Au total 52 interviews qui totalisent un bon millier de pages. L’introduction présente le sujet et explique sa pertinence : les réunions entre les marins et les dirigeants politiques restent un événement souvent cité dans l’historiographie qui justifie le coup d’État. Le ch. I est un travail de compilation sur l’histoire des révoltes de marins au XXe siècle, pour identifier les éléments communs entre elles. Le ch. II tente de situer la Marine chilienne dans son contexte historique et social, rappelant les conflits qui ont secoué la force navale et sa réorganisation lors du début de la Guerre froide et décrivant le contenu de l’enseignement donné à l’École navale des officiers. Le ch. III décrit la vie sociale dans la Marine de 1970 –l’année de l’élection présidentielle– surtout les relations difficiles entre la troupe et les officiers. Celles-ci se manifestent à travers des réactions contradictoires au résultat de l’élection. Pendant les premiers mois du gouvernement d’Allende, un nombre croissant d’officiers manifeste son opposition, alors que des « hommes de mer » (la troupe) s’organisent pour le défendre. Les ch. IV et V couvrent la période qui va de 1971 jusqu’à la première tentative de coup d’État le 29 juin 1973 (el Tanquetazo). Elle est marquée d’une part par l’adhésion de la plupart des officiers aux thèses putschistes, et d’autre part, par un notable développement des groupes de marins antiputschistes. Nous décrivons les relations structurelles entre les officiers et civils conjurés et l’établissement des relations entre des groupes de marins et certains partis politiques de gauche. Ce travail décrit la réunion secrète où plusieurs groupes de marins, tentent d’établir une coordination et discutent s’il faut agir avant que le coup d’État ne soit déclenché ou seulement en réaction à celui-ci. Le chapitre VI couvre les cinq « semaines décisives » qui s’écoulent entre la tentative de putsch du 29 juin et l’arrestation des marins de la flotte, le 5 août 1973. Dans la Marine, la préparation du coup d’État arrive à sa phase finale, avec un affairement perceptible. Beaucoup de marins craignent d’être forcés à y participer. Dans ce contexte, le groupe de marins de la flotte formule une ébauche de plan d’occupation des navires et organise des réunions avec des dirigeants de gauche pour tenter une action qui ferait avorter le coup d’État imminent. Nous avons pu retracer ce plan ainsi que les célèbres réunions avec les dirigeants du PS, du MAPU et du MIR, grâce à plusieurs témoignages de marins et de « civils » présents dans ces réunions. Le chapitre VII décrit la période entre l’arrestation des marins et les semaines qui suivent le coup d’État, décrivant les premières tortures, la difficile situation du gouvernement d’Allende, qui attaque en justice les marins « infiltrés », et le débat politique et juridique suscité par les arrestations et tortures, un des derniers débats démocratiques. Le chapitre VIII expose la poursuite des procès sous la dictature. Parmi les avocats pro deo qui se contentent d’une timide défense pour la forme, nous avons trouvé une défense exceptionnelle des marins sur le plan politique : « le devoir de tout militaire est de défendre le gouvernement légitime », affirme l’avocate Lidia Hogtert, une dame de 75 ans, qui, en 1975, ose défier la justice militaire. En 1988, à la fin de la dictature, lorsque l’ancien secrétaire du MAPU Oscar Garretón se présente devant la justice navale, le cas connaît un nouveau retentissement : après plusieurs condamnations par des tribunaux militaires, Garreton obtient une victoire complète à la Cour Suprême. Il est acquitté de toute accusation pour « sédition et mutinerie ».
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Ceux qui ont dit "Non": histoire du mouvement des marins chiliens opposés au coup d'Etat de 1973

Magasich-Airola, Jorge 30 November 2007 (has links)
L’opposition au coup d’État de 1973 au sein des forces armées chiliennes a été significative. En effet, un nombre symptomatique d’officiers, tout comme un nombre considérable des membres de la troupe, ont répondu « Non » à l’ordre de renverser le gouvernement légitime. Ces militaires légitimistes ont été particulièrement actifs dans la Marine, institution qui vit un conflit entre sa structure archaïque et le statut social de technicien acquis par les marins. Ce derniers perçoivent, avant d’autres secteurs de la société, le danger d’un coup d’État et vont tenter de s’organiser, tout d’abord pour informer les autorités et ensuite pour tenter de le faire avorter. <p>Notre objectif est de retracer l’histoire du mouvement des marins légitimistes et notre hypothèse de travail est que le coup d’État de 1973 n’est pas l’œuvre de l’armée mais d’une fraction de celle-ci.<p><p>Nous avons consulté quatre catégories de sources :<p>1) La presse :6 quotidiens et 2 hebdomadaires opposés au gouvernement d’Allende; 4 quotidiens, 2 hebdomadaires et un bimensuel proches du gouvernement ou de gauche. <p>2) Les essais, documents politiques, témoignages et mémoires, particulièrement les mémoires des quatre amiraux organisateurs du coup d’État. <p>3) Les procès entamés contre les marins dès la fin du gouvernement d’Allende, dont les 6.000 pages du célèbre procès 3926 contre les marins de la flotte.<p>4) Nous avons interviewé 30 marins, ce qui correspond à environ un tiers des marins condamnés par les tribunaux navals sous la dictature. En outre, nous avons interviewé, des militants, des avocats, un procureur, un général de l’aviation opposé au coup d’État, un officier de la Marine opposé au coup d’État et un officier de la Marine favorable au coup d’État. Au total 52 interviews qui totalisent un bon millier de pages.<p><p>L’introduction présente le sujet et explique sa pertinence :les réunions entre les marins et les dirigeants politiques restent un événement souvent cité dans l’historiographie qui justifie le coup d’État.<p>Le ch. I est un travail de compilation sur l’histoire des révoltes de marins au XXe siècle, pour identifier les éléments communs entre elles.<p>Le ch. II tente de situer la Marine chilienne dans son contexte historique et social, rappelant les conflits qui ont secoué la force navale et sa réorganisation lors du début de la Guerre froide et décrivant le contenu de l’enseignement donné à l’École navale des officiers. <p>Le ch. III décrit la vie sociale dans la Marine de 1970 –l’année de l’élection présidentielle– surtout les relations difficiles entre la troupe et les officiers. Celles-ci se manifestent à travers des réactions contradictoires au résultat de l’élection. Pendant les premiers mois du gouvernement d’Allende, un nombre croissant d’officiers manifeste son opposition, alors que des « hommes de mer » (la troupe) s’organisent pour le défendre.<p>Les ch. IV et V couvrent la période qui va de 1971 jusqu’à la première tentative de coup d’État le 29 juin 1973 (el Tanquetazo). Elle est marquée d’une part par l’adhésion de la plupart des officiers aux thèses putschistes, et d’autre part, par un notable développement des groupes de marins antiputschistes. Nous décrivons les relations structurelles entre les officiers et civils conjurés et l’établissement des relations entre des groupes de marins et certains partis politiques de gauche. Ce travail décrit la réunion secrète où plusieurs groupes de marins, tentent d’établir une coordination et discutent s’il faut agir avant que le coup d’État ne soit déclenché ou seulement en réaction à celui-ci.<p>Le chapitre VI couvre les cinq « semaines décisives » qui s’écoulent entre la tentative de putsch du 29 juin et l’arrestation des marins de la flotte, le 5 août 1973. Dans la Marine, la préparation du coup d’État arrive à sa phase finale, avec un affairement perceptible. Beaucoup de marins craignent d’être forcés à y participer. Dans ce contexte, le groupe de marins de la flotte formule une ébauche de plan d’occupation des navires et organise des réunions avec des dirigeants de gauche pour tenter une action qui ferait avorter le coup d’État imminent. Nous avons pu retracer ce plan ainsi que les célèbres réunions avec les dirigeants du PS, du MAPU et du MIR, grâce à plusieurs témoignages de marins et de « civils » présents dans ces réunions.<p>Le chapitre VII décrit la période entre l’arrestation des marins et les semaines qui suivent le coup d’État, décrivant les premières tortures, la difficile situation du gouvernement d’Allende, qui attaque en justice les marins « infiltrés », et le débat politique et juridique suscité par les arrestations et tortures, un des derniers débats démocratiques. <p>Le chapitre VIII expose la poursuite des procès sous la dictature. Parmi les avocats pro deo qui se contentent d’une timide défense pour la forme, nous avons trouvé une défense exceptionnelle des marins sur le plan politique :« le devoir de tout militaire est de défendre le gouvernement légitime », affirme l’avocate Lidia Hogtert, une dame de 75 ans, qui, en 1975, ose défier la justice militaire. En 1988, à la fin de la dictature, lorsque l’ancien secrétaire du MAPU Oscar Garretón se présente devant la justice navale, le cas connaît un nouveau retentissement :après plusieurs condamnations par des tribunaux militaires, Garreton obtient une victoire complète à la Cour Suprême. Il est acquitté de toute accusation pour « sédition et mutinerie ». / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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