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The art of David Lean : a textual analysis of audio-visual structure /Moraitis, Catherine. January 2004 (has links)
Doct. thesis Univ. of Kent, Canterbury, 2001. / Includes filmography. Includes bibliographical references.
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L’esthétique de l’altérité dans le cinéma de David Lean, du "Pont de la rivière Kwai" (1957) à "La route des Indes" (1984) / The aesthetics of Otherness in the cinema of David Lean, From The Bridge on the River Kwai (1957) to A Passage to India (1984)Derfoufi, Mehdi 27 June 2012 (has links)
Cette thèse porte sur l’émergence, puis l’évolution, d’une esthétique de l’altérité dansle cinéma de David Lean à partir du Pont de la Rivière Kwaï (1957) et jusqu’à sondernier film réalisé, La Route des Indes (1984). Elle adopte également la perspectived’une réévaluation qualitative du cinéma du cinéaste britannique, en mettant au jourles fondements idéologiques qui expliquent sa marginalisation dans le contextefrançais.Cette thèse interroge la façon dont le cinéma de David Lean contribue aux définitionsanthropologiques et culturelles de l’identité occidentale, dans sa relation avecl’altérité orientale. Le rôle des représentations de genre, de race et de classe estexaminé en lien avec les techniques cinématographiques dans la perspective de faireapparaître l’historicité et l’ethnicité des modalités de la figuration.L’analyse détaillée des quatre films que David Lean a consacrés à la représentationde l’histoire impériale britannique s’accompagne d’une étude précise du contexte deproduction de chacun des films. De plus, les filiations cinématographiques sontprises en compte afin de situer les films dans une histoire des représentations del’altérité. Le rôle central de la relation coloniale et postcoloniale dans l’élaborationd’une esthétique de l’altérité est envisagé tout au long de la période étudiée.Cette thèse aboutit à la conclusion d’une esthétique de l’altérité structurée par lanécessité pour la civilisation occidentale d’intégrer la notion de crise dans unprocessus de reconfiguration permanent. Cette nécessité émerge avec lesindépendances et la décolonisation. Elle s’impose à partir des années 1970 avecl’autonomie des sujets dominés qui composaient jusque-là l’Orient imaginaire / The topic of this thesis is the emergence and the subsequent evolution of anaesthetics of otherness in the cinema of David Lean, starting with The Bridge on theriver Kwai (1957) and up to A passage to India (1984), the very last film he made.This thesis seeks as well a qualitative reassessment of the British filmmaker's work,unearthing thereby the ideological factors behind his marginalization in the contextof French critical discourse.This thesis explores the ways in which David Lean's work contributes to theanthropological and cultural definition of Western identity in its relationship withOriental otherness. I examine the role played by gender, race and classrepresentations in relationship with cinema techniques in view of shedding light onthe historicity and ethnicity of modes of figuration.The detailed analysis of the four David Lean films taking as their topic therepresentation of British imperial history is complemented by a meticulous study ofeach film's context of production. Furthermore, I consider cinematic genealogies soas to situate the films within a history of the representation of otherness. I take intoaccount the central role played by colonial and postcolonial relationships in thedevelopment of an aesthetics of otherness throughout the historical period underconsideration.This thesis reaches the following conclusion regarding an aesthetics of otherness :namely, that it is structured by the necessity for Western civilization of incorporatingthe notion of crisis in a process of constant reconfiguration. Emerging with liberationmovements and decolonization, this necessity imposes itself from the 1970s onwardsfollowing the independence of dominated subjects who, up to then, had been makingup an imaginary East
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L'esthétique de l'altérité dans le cinéma de David Lean, du "Pont de la rivière Kwai" (1957) à "La route des Indes" (1984)Derfoufi, Mehdi 27 June 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur l'émergence, puis l'évolution, d'une esthétique de l'altérité dansle cinéma de David Lean à partir du Pont de la Rivière Kwaï (1957) et jusqu'à sondernier film réalisé, La Route des Indes (1984). Elle adopte également la perspectived'une réévaluation qualitative du cinéma du cinéaste britannique, en mettant au jourles fondements idéologiques qui expliquent sa marginalisation dans le contextefrançais.Cette thèse interroge la façon dont le cinéma de David Lean contribue aux définitionsanthropologiques et culturelles de l'identité occidentale, dans sa relation avecl'altérité orientale. Le rôle des représentations de genre, de race et de classe estexaminé en lien avec les techniques cinématographiques dans la perspective de faireapparaître l'historicité et l'ethnicité des modalités de la figuration.L'analyse détaillée des quatre films que David Lean a consacrés à la représentationde l'histoire impériale britannique s'accompagne d'une étude précise du contexte deproduction de chacun des films. De plus, les filiations cinématographiques sontprises en compte afin de situer les films dans une histoire des représentations del'altérité. Le rôle central de la relation coloniale et postcoloniale dans l'élaborationd'une esthétique de l'altérité est envisagé tout au long de la période étudiée.Cette thèse aboutit à la conclusion d'une esthétique de l'altérité structurée par lanécessité pour la civilisation occidentale d'intégrer la notion de crise dans unprocessus de reconfiguration permanent. Cette nécessité émerge avec lesindépendances et la décolonisation. Elle s'impose à partir des années 1970 avecl'autonomie des sujets dominés qui composaient jusque-là l'Orient imaginaire
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