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The treasuries at Delphi : an architectural study /

Partida, Elena C. January 2000 (has links)
Texte remanié de: Thesis--University of Birmingham, 1996. / Bibliogr. p. 322-333.
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L'aire du pilier des Rhodiens : fouille 1990-1992 : à la frontière du profane et du sacré /

Luce, Jean-Marc. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Dijon, 1993. Titre de soutenance : Fouille à Delphes, 1990-1992 : l'habitat et le sanctuaire de 1200 à 500 av. J.-C. / Bibliogr. vol. 1, p. 443-458. Notes bibliogr.
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Les thèmes de la propagande delphique

Defradas, Jean. January 1954 (has links)
Thèse--Paris. / Without thesis statement. "Textes cités et étudiés": p. 294-295. Bibliographical footnotes.
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Delphes et les Attalides en 160/159 av. J.-C. : un cas d'évergétisme royal

Murray, Geneviève 16 April 2018 (has links)
Le sanctuaire de Delphes est l'un de ceux qui ont reçu le plus grand nombre de donations de la part des grands rois hellénistiques, donations dont nous avons gardé trace le plus souvent sous forme d'inscriptions. Or, l'histoire nous a conservé un corpus exceptionnel de quatre décrets delphiens, tous datés de l'année 160/159 avant Jésus-Christ, qui témoignent d'importantes donations à Delphes de la part des rois attalides, qui, sans contredit, ont été les plus généreux des rois hellénistiques. Comprendre et expliquer, de la façon la plus exacte possible, les relations entre la cité de Delphes et le royaume de Pergame au cours de cette année est le but premier de ce mémoire. Par ailleurs, une seconde problématique se dégage de ce travail, en filigrane: celle de la vitalité de la cité à l'époque hellénistique. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Archéologie de l'empreinte : techniques de fixation des statues en Grèce égéenne, de l'époque archaïque à la fin de l'époque hellénistique (VIIè - Ier siècle av. J.-C.) / The footprints of Greek sculptures : an archaeological study of techniques used to fasten statues on their bases Aegean Greece from the Archaic period to the end of the Hellenistic period (7th-1st century BC)

Nouet, Rachel 02 December 2017 (has links)
Ce travail vise à étudier les techniques de fixation des statues sur leurs bases dans le monde grec, depuis la fin du VIIe s. jusqu’à la fin de l’époque hellénistique, à partir des bases inscrites. Il se fonde sur l’étude d’un corpus de 387 monuments ayant conservé des traces de fixation, à Delphes, Délos et Athènes, décrits et analysés dans un catalogue dédié. La première partie est consacrée à l’établissement d’une chrono-typologie des techniques de fixation visant à les caractériser en fonction du matériau, de la taille et du type de figure, et à les dater. La seconde partie s’attache à l’interprétation des traces de fixation en comme empreintes de la statue disparue. On a d’abord déterminé le type d’informations qu’elles pouvaient apporter sur elle, comme son matériau et sa taille, mais aussi son type et surtout sa position. On s’est ensuite intéressé aux bases signées, afin de dégager des traditions artisanales propres à des régions ou des ateliers, en croisant la fixation utilisée et les positions révélées par les traces. Enfin, on s’est interrogé sur les évolutions de l’utilisation des matériaux ; on a pu dégager le rôle des contextes d’exposition à partir de l’époque classique, et contribuer à élucider le retour du marbre à partir du IIe s. Cette étude entend par là contribuer aux recherches sur les techniques de fabrication autant qu’à celles sur la sculpture dans son contexte. / The study examines the techniques used to attach statues to their bases in the Greek world from the end of the 7th c. BC to the end of the Hellenistic period. Starting from bases bearing inscriptions, it builds on a corpus of 387 monuments from Delphi, Delos and Athens, showing traces of attachment. Their description and analysis can be found in a separated catalogue. In the first part of the study, a chrono‐typology was elaborated, identifying and dating each technique according to the material, the size and the type of the figures. In the second part, the traces of attachment were interpreted as signs of the missing statue. First, we showed that these traces brought information on its material and its size but also its type and its position. Then we focused on signed bases and proceeded to a cross‐examination of the kind of technique used and the position revealed by the traces in order to identify artisanal traditions specific to regions or workshops. Finally, we considered the reasons for using marble or bronze for statues; we thus showed the importance of the setting context from the classical period onward, as exemplified by the come-back of marble sculpture in the 2nd c. BC. The study is thus intended as a contribution to research both on attachment techniques and sculpture in its context.
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Le rôle des grands sanctuaires dans la vie internationale en Grèce aux Ve et IVe siècles av. J.-C / The part of the great sanctuaries in international life in Greece in the 5th and 4th centuries B. C.

Colonge, Victor 09 December 2017 (has links)
Malgré leurs divisions politiques, les Grecs reconnaissaient l’existence de sanctuaires qui leur étaient communs. Or, à côté de leurs fonctions religieuses, ces grands sanctuaires jouèrent aussi un rôle indéniable dans la politique internationale aux Ve et IVe siècles avant notre ère. En effet, les quatre plus grands, les sanctuaires de Delphes, de l’Isthme, de Némée et d’Olympie, organisaient des concours panhelléniques et recevaient des offrandes venues de tout le monde grec. Certes, les sanctuaires communs pouvaient aussi rassembler tout ou partie des Hellènes, dans le cadre de koina ou d’alliances militaires, mais ils étaient avant tout des lieux de mise en scène des rivalités entre les États grecs. C’est pourquoi ceux-ci cherchèrent à exercer un contrôle plus ou moins direct sur eux. Ainsi, lorsque le caractère commun du lieu sacré s’était traduit par la mise en place d’institutions, celles-ci pouvaient voir s’exprimer des rapports de force entre les différents membres. Surtout, en particulier dans le cas des sanctuaires se situant sur des confins, la volonté de maîtriser des sanctuaires communs pouvait donner lieu à des conflits mêlant politique et religion, le contrôle d’un sanctuaire étant alors la clé de l’hégémonie sur la région dont il était le centre cultuel. Néanmoins, les grands sanctuaires ne furent pas que des enjeux entre puissances  : les oracles et les familles sacerdotales qui y étaient responsables du culte pouvaient incontestablement prendre position dans les luttes pour l’hégémonie en Grèce. De plus, ces sanctuaires pouvaient parfois servir d’interfaces entre la civilisation hellénique et les cultures voisines (Perses, Étrusques, Libyens…). / Despite their political divisions, Greeks knew the existence of sanctuaries who were common to them. However, in addition to their religious functions, these great sanctuaries played too an undeniable in international policy in the 5th and 4th centuries BC. The four greatest sanctuaries (Delphi, Isthmia, Nemea and Olympia) organized panhellenic games and received consecrations from all the Greek world. Moreover, common sanctuaries could gather all the Hellenes or a part of them in koina or military alliances, but they were above all places for rivalries between Greek states. That is why these tried to control them more or less directly. Thus, when the common characteristics of the sacred place had resulted in specific institutions, these could be the scene of conflicts between different protagonists. Above all, particularly with sanctuaries on the borders, the will of control of great sanctuaries coul result in both political and religious wars. The control of a sanctuary was then the key of the hegemony on the country of which it was the religious center. Nevertheless, great sanctuaries were not only stakes between powers: oracles and priestly families who were in charge of the temple could unquestionably intervene in struggles for hegemony in Greece. Moreover, these sanctuaries could sometimes be places of contact between Hellenic civilization and neighbouring cultures (Persians, Etruscans, Libyans, etc.).

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